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Chapitre 3
Après un petit passage en début d’après-midi au parc Dalmazimätteli, réputé pour sa drague en soirée et entre hommes, Martin et moi prenons le bus en direction de la Länggasse, parcours d’environ 15 minutes pendant lequel Martin m’explique qu’il va m’amener boire un verre sur une terrasse sur le toit d’un immeuble, l’idée est alléchante, la surprise sera de taille…
Arrivé à l’arrêt de bus, nous faisons quelques pas en direction d’une enseigne marquée « Sundeck », ce qui signifie en Allemand « Solarium » ou « Terrasse » en Anglais, naïvement je me dit que ce doit être la fameuse terrasse et en plus au soleil…
Nous entrons par une petite porte à l’arrière du bâtiment, suivie d’un couloir terminé par un ascenseur tout petit, nous avons de la peine à y tenir à deux.
Arrivé au deuxième étage, surprise, c’est l’entrée d’un sauna…
-Hallo Martin
Je comprends tout de suite que mon guide à ses habitude dans l’établissement, j’ose un timide « Bonjour »
-Bonjour Monsieur, vous êtes un ami de Martin ?
-Oui, si l’on peut dire
-Bienvenue au sauna Sundeck, passez une agréable après-midi, vous avez le temps, nous fermons à 23.00h (tout ça dans un français très correct, rien à voir avec le français fédéral de l’Aqualis)
Je demande à Martin…
-C’est ça ta terrasse ?
-Attend tu verras.
Nous payons l’entrée, nous changeons, ou plutôt, nous déshabillons au vestiaire, puis passons les serviettes de bain autour de la taille.
Martin commence à me faire visiter et à me présenter à plusieurs de ses amis ou connaissances présentes dans le sauna, puis m’explique les installations :
Ici tu as les douches, avec le jacuzzi à côté, suivi d’un bassin d’eau froide, en face c’est le sauna basse température, au fond le sauna chaud et le hammam en forme de grotte, tu verras, c’est très sympa, et après tu à le bar et les cabines et cinéma.
Ça me semble bien équipé et propre, rien à voir avec l’Aqualis.
-Et la terrasse ?
-A l’étage, viens…
En effet à l’étage se trouve une magnifique terrasse entourée de palissades qui cache le voisinage, quelle surprise de voir une dizaine d’hommes de tous âges se prélasser nus au soleil sur le toit d’un immeuble en pleine ville
Un jeune homme pratique une fellation sur un gars plus âgé, ça me fait bander… Martin m’emmène alors dans le hammam, c’est très sombre, mais on voit quand même un peu où l’on va… il m’entraine dans un coin un peu caché à droite de l’entrée…
Sur place, j’entends des bruits de sussions, je bande un max, soudain une main me caresse, mais ce n’est pas celle de Martin, je lui en fais part.
-Laisse toi faire, ici il n’y a pas de jaloux…
Le propriétaire de la main commence à me masturber, puis me pratique une fellation en règle, quel pied…
Je demande à Martin de monter sur un petit banc juste à côté et commence à mon tour à le sucer… Waouh… on me suce et je suce en même temps, j’adore…et en plus Martin commence à me travailler les tétons… pied total…
Je suis obligé d’interrompre mes partenaires sous peine de jouir immédiatement, je veux profiter de ce lieu magique…
Nous sortons pour aller faire un tour du côté des cabines… Martin m’entraine dans l’une d’elles et ne ferme pas la porte, nous commençons un 69 qui me ravis, j’aime sucer Martin.
Deux jeunes hommes de l’âge de Martin entrent dans la cabine et demande s’ils peuvent se joindre à nous, un Mm mmm de Martin leur répond…l’un des deux commence à me caresser tandis que l’autre s’occupe de Martin, puis les choses se précipitent, le plus jeune, (j’apprendrai que c’est Röbi), commence à me sucer pendant que je suce Martin qui lui suce Alain (l’autre jeune) qui lui, suce Röbi… vous suivez ?
Au bout d’un quart d’heure je dois encore interrompre nos ébat pour ne pas jouir.
Allez, tout le monde au bar, une bonne bière à la main et hop, sur la terrasse à l’étage pour profiter du soleil.
A ma grande surprise, les deux amis de Martin sont parfaitement bilingues et la conversation est des plus plaisantes…
Röbi me caresse gentiment dit qu’il a encore envie de me sucer, mais Alain dit qu’il aimerais bien goûter aussi… résultat, deux bouches pour s’occuper de ma queue pendant que je suce à nouveau Martin, je ne m’en lasse pas… j’aime sa grosse queue dans ma bouche…
Alain propose de retourner au hammam et de profiter des opportunités… D’accord… plus on est de fous… à partir de là, je ne sais plus qui me suce, qui je suce, qui me jute dans la bouche, qui me travaille les tétons, qui m’introduit un doigt dans le cul et à qui je fais la même chose…
Au bout d’un long moment, nous sortons du hammam car il fait trop chaud, (dans tous les sens du terme)
Alain me roule une méga pèle et me dit
-J’aime beaucoup quand tu me suce…
Ni une ni deux, je me dirige vers les cabines, mais Röbi intervient et nous entrainent tous vers la terrasse.
Là, je suce Alain pendant que Röbi l’encule sans ménagement et que Martin vient me sucer… spectacle garanti.
Alain gémis de plus en plus fort et finit par me donner 5 bonnes giclées de bon jus directement dans la bouche, je continue à le sucer pendant qu’il jouit…il a adoré.
Je me dis que l’on va faire un break… c’est sans compter sur la jeunesse de mes nouveaux amis, on repart pour faire le spectacle dans les cabines, toujours sans les fermer… de nombreux hommes viennent voir, se masturbent ou nous jutent dessus, mais ne nous touchent jamais sans avoir demandé l’autorisation.
En fin de soirée, je suis un peu désorienté par la fougue de cette jeunesse déroutante qui jouis à répétition, qui dans la bouche ou le cul de qui…je ne saurais dire.
Je termine couché en 69 avec Martin au-dessus de moi qui me pilonne la bouche pendant qu’Alain me travaille les tétons, le salaud, il a bien vu que j’aime ça…
Martin se déverse dans ma bouche en longues saccades savoureuses, j’avale tout et jouis à mon tour dans sa bouche, il n’en perd pas une goutte…
Après une bonne douche, j’invite mes trois amis à manger, je leur doit bien ça… Martin nous amène je ne sais où, dans un petit resto gay de la capitale.
On mange, on boit des bières et on discute… puis on finit tous chez Alain ou nous remettrons le couvert toute la nuit…
Le lendemain je prends congé de Martin, non sans avoir échangé nos numéros de portable, nous nous reverrons c’est sur…
C’est la tête pleine de souvenirs bandant et les couilles archi vides que je quitte à regret la capitale…
J’y reviendrai, et pas que pour perfectionner mon allemand.
Fin
Stéphane
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