Premier épisode
Chapitre 2
Après notre première rencontre, nous nous sommes revus plusieurs fois dans ce bunker…. Avec la peu de français qu’il connaissait, j’ai appris qu’il s’appelait Memeth, qu’il était marié et père de deux enfants. Sa femme et ses enfants étaient restés en Turquie… A chaque fois que nous nous sommes rencontrés, il se montrait au début très attentionné, mais au fur et à mesure que nous avancions dans nos ébats, il devenait de plus en plus dominant et directif. Pour autant, même si j’appréciais de plus en plus cela, je ne m’étais jamais totalement donné à lui. Je me contentais de lui faire de bonnes pipes avec de bonnes gorges profondes mais je sentais bien qu’il était frustré quand nous nous séparions.
Cet après-midi-là, comme tous les dimanches depuis un mois, nous nous sommes retrouvés pour un moment sexe. Mais contrairement aux autres fois, il ne m’a pas mis direct à genoux pour me faire bouffer sa queue. Il s’est jeté sur moi, et pour la première fois il m’a roulé une pelle magistrale. Sa langue est entrée directement et très profondément dans ma bouche. Elle fouillait, explorait la totalité de la cavité. Lorsqu’il se retirait, je le sentais totalement en transe, à la limite de la frénésie. Il me collait à lui assez brutalement. A travers l’étoffe de son pantalon, il frottait son chibre contre mes cuisses, puis il reprenait sa pelle magistrale pendant que ses mains faisaient des incursions dans mon slip.
Tous ses gestes étaient brusques, je pense qu’il devait s’abstenir de baiser toute une semaine et qu’il devait absolument libérer toute cette tension accumulée. Moi, à chacune de nos rencontres je devenais un peu plus sa lope, un peu plus soumis…
Mais aujourd’hui, quelque chose avait changé, il était en plus tendu que les autres fois. Cette tension était palpable. Il était encore plus directif que les autres fois…. Ce n’est pas moi qui le suçais, c’est lui baisait ma bouche de façon frénétique. Avec sa queue enfoncée au maximum dans ma gueule, il se penchait en avant pour pouvoir masser mon cul. Après peu de temps, alors que je m’y opposais, il a réussi à baisser mon pantalon et mon slip pour mettre mon cul à l’air.
Dans sa langue maternelle, il baragouinait un tas de truc cochons je pense, car il bandait toujours plus fort dans ma bouche et me massait le cul de ses mains râpeuses. Après un petit moment, il s’est redressé mais maintenait son pal fermement au fond de ma gorge. Je suffoquais, le nez perdu dans sa touffe de poils drus et noirs et ma lèvre inférieure à la naissance de ses couilles noyées dans le reste de sa toison.
Sans le voir, je l’ai entendu cracher dans sa main restée libre, qu’il est venu poser entre mes fesses après s’être à nouveau penché par-dessus ma tête. Ses doigts mouillés sont directement allés sur ma rondelle et ont directement entrepris une exploration.
Immédiatement, j’ai voulu l’empêcher de toucher à mon cul avec une de mes mains, mais il l’a fermement écartée d’un geste brusque. Avec sa queue dans ma bouche, ses cuisses, et une main posée sur ma tête, il m’a bien bloqué et a repris de m’explorer l’anus avec ses doigts libres…. Malgré tout je me suis encore braqué tellement j’avais peur d’avoir mal. Il faut dire qu’il ne faisait pas dans la dentelle.
Dans sa tête, il avait l’idée de se faire mon cul, et rien ne l’arrêterait. Comme il voyait qu’il n’arriverait pas à ses fins de cette manière-là, il m’a relevé et ma retourné sans ménagement en m’obligeant à me pencher en avant. Je me suis retrouvé totalement à sa merci et instinctivement, je protégeais mon cul avec une main. Il s’est accroupi derrière moi et d’un geste assez doux, il a écarté ma main protectrice.
A cet instant-là, j’ai senti son souffle passer dans ma raie aussitôt suivie par sa langue chaude et humide. Je n’en revenais pas mais j’étais en train de me faire lécher la chatte. La douceur et la chaleur de sa langue me faisaient découvrir de nouvelles sensations et j’adorais ça. De moi-même j’ai écarté mes fesses pour qu’il puisse aller plus loin… et l’air de rien, sans que j’en prenne totalement conscience, sa langue ouvrait un nouveau passage pour sa queue. C’est maintenant ses mains qui écartaient plus encore mes fesses pour pousser son exploration plus profondément. Le râpeux de sa barbe de trois jours contre mes fesses contrastait avec la douceur et la moiteur de sa langue à l’entrée de mon cul.
Je me perdais dans une délectation infinie entrainé par la vision de sa queue raide qui laissait s’échapper un long filet de liquide séminal…. Plus je me laissais aller, plus les coups de langues devenaient vigoureux. Plus ils étaient vigoureux, plus ma rondelle s’abandonnait et s’offrait à sa bouche gourmande.
Alors que je me perdais dans l’extase de ces nouvelles sensations, il a profité de ma semi-inconscience pour se redresser et directement coller son gland sur ma rondelle. J’ai bien évidemment tout de suite réagi, mais il était déjà trop tard son gland visqueux avait déjà percé la pâle résistance de mon cul. J’essayai de l’en déloger sans succès tant il me maintenait fermement les hanches. Malgré mes contestations, son chibre poursuivait lentement mais surement sa progression dans mon fondement. Alors que je tentais toujours de le déloger, il m’a plaqué sur une vieille table qui trainait là. D’une main il a collé ma tête à plat sur la table et a profité de cet instant pour m’introduire d’un seul coup le dernier tiers restant de sa queue au fond du cul.
A ce moment, j’ai perdu toute résistance et il a commencé un court mais frénétique va et vient. Très vite, il s’est totalement cambré et dans un grognement puissant a giclé une salve de sperme que je sentais arriver par les contractions de sa bite. Entre le moment où son gland s’est présenté à mon cul et sa jouissance, il est certain que 5 minutes ne s’étaient pas écoulées.
Il était maintenant totalement couché sur mon dos le souffle court à reprendre ses esprits sans être pour autant sorti de mon antre. Il racontait des trucs que je ne comprenais pas tout en recommençant des petits allers-retours. Son chibre, qui n’avait pas vraiment perdu de vigueur, reprenait un rythme plus rapide et très vite mon bel étalon s’est redressé pour m’envoyer dans un nouveau grognement de satisfaction une deuxième bordée des giclées épaisses. C’est alors que j’ai pris pleinement conscience que je venais de me faire enculer pour la première fois. Je suis resté là comme un con pendant quelques instants et lorsqu’enfin je me suis relevé pour m’habiller, mon étalon lui était déjà en train de fumer une cigarette comme si de rien était. Il était là à me regarder avec l’air satisfait d’avoir enfin pu me baiser comme il le souhaitait.
TITI68
thph68@outlook.fr
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