Premier épisode
Chapitre 2
La cantine avait été une torture ce jour là, je pensais sans cesse à la délicieuse teub de Pablo libre dans son short odorant sous son survet, et je voyais que lui aussi y pensait, parce que le devant de son futal commençait à se tendre, de moins en moins discrètement.
On passa le repas à se frotter cuisse contre cuisse, la matière de nos survets aidant la glisse. Après le repas, nouvelle heure de torture : l’étude. On était déjà pas ultra productifs en temps normal, mais là c’était encore pire. On s’était installés au fond, quasiment tout le monde somnolait, le pion compris, mais nous, nous étions parfaitement réveillés. Au bout d’un moment, Pablo pris ma main pour la poser sur sa queue qui était maintenant complètement bandée, et mît la sienne sur mon paquet, dans le même état. Il manqua de me faire gicler à force de me caresser la bite à travers mon jogging.Pablo m’écrivait sur une feuille des petits messages: « j’espère que t’es chaud Teddy, parce que ce soir on nique » , ou bien « je vais te pourlécher la rondelle et te faire gicler dans ma bouche bg » . Moi je lui répondais « j’espère que t’as encore des réserves de foutre parce que j’ai grave la dalle mec » . « T’inquiète je suis un bon producteur, tu vas être rassasié » .Il nous fallut sortir de l’étude avec nos vestes devant le paquet pour cacher nos queues bien dures dans nos survets plus que révélateurs.
À l’internat, il nous fallut encore patienter une bonne heure avant que le pion ne donne le signal de l’extinction des feux pour la nuit. On voulait pas commencer . Le surveillant passa enfin nous dire d’aller nous pieuter à 10h15 ( un quart d’heure de retard ! Alors que ce con était d’habitude ponctuel comme une horloge !) Pablo me branchait depuis une heure en sortant sa queue et en la tapant dans sa main pour me montrer sa dureté en se léchant les lèvres.
Dès que la lumière fût coupée, il vira son jogging et resta en short, jambes écartées indécemment avec son regard salace.
« Viens sniffer l’odeur de ton mec Teddy » . Je me jettai sur lui. À genoux au pied de son lit le nez enfouit dans son short qui sentait le mec.
« Ça t’excite hein les footeux mon beau ? Vas y bouffe, profite bien des odeurs de la star de l’équipe mec » . Je pouvais même pas lui répondre, je voulais pas lâcher son paquet. Son short blanc était plein de ma salive et était devenu transparent. Je pouvais maintenant voir sa belle bite brune que je suçais à travers son short de foot. J’avais jamais fait un truc comme ça de ma vie, mais ça me rendait complètement dingue, ma queue dure en était témoin.
Pablo m’attrapa par les aisselles pour me faire grimper sur son lit et me rouler une pelle. Il libéra ma bite de mon freegun trempé de mouille et commença à me branler, puis plongea pour me gober le chibre comme un affamé. J’étais en transe , tout juste capable de lui répéter « putain oui, suce, suce, suce !!!! ». Sentant le jus monter de mes couilles, je lui dis « arrête Pablo , arrête ou je t’en mets plein la bouche », mais au lieu d’arrêter de sucer, ce salaud me fourra son index dans le cul, ce qui me fit partir dans un putain d’orgasme. J’adorais cette sensation nouvelle d’avoir une partie de lui à l’intérieur de moi.
« J’en ai pas fini avec toi » me dit il en se débarrassant de son short, avant de venir se mettre tête bêche au dessus de moi, me fourrant sa queue en bouche , et ré avalant la mienne qui n’avait même pas fait mine de débander.
Je lui pourléchais le gland, et me foutant de la bave plein le visage, excité comme un dingue par la découverte de son trou du cul dans la pénombre,légèrement poilu. J’étais fasciné par la vue, son cul parfait de latino, différent des culs « classiques » de footeux toujours un peu secs. Lui au contraire avait deux globes parfaits, ronds, tout en muscle et couverts de duvet brun. Son musc était comme un drogue, une odeur indescriptible, propre, mais pourtant indéniablement mâle. Au bout de quelques minutes, je ne pus plus tenir et je lâchai son chibre pour mettre ma langue dans son trou. Je m’attendais à être un peu écœuré, mais ce ne fût pas le cas. Le goût était à la hauteur du parfum. Salé très légèrement âcre, délicieux. Il lâcha ma bite et se mît à gémir « putain on m’a jamais fait ça ! Oh putain mon Teddy c’est bon ! » .
Il se redressa, se retourna et s’assit sur ma bouche. J’avais la langue bien enfoncée dans son cul, ses couilles poilues suintantes sur le nez et son chibre dans toute sa splendeur en gros plan. « Bouffe mon cul ! Bouffe mon cul ! » me répétait il , en transe.
« Mon Teddy, j’ai envie que tu m’encules »
Je le regardai, interloqué. Jamais je ne l’aurais imaginé en train de se prendre une queue. Il était l’image même que je me faisais de la virilité.
« T’es sûr ? J’ai peur de te faire mal »
« J’ai un peu peur aussi, mais j’ai trop envie, sérieux. Il faut que je te sente en moi, j’ai envie d’être complètement à toi mon beau » me dit il en m’embrassant tendrement. J’en aurais presque pleuré tellement cela me toucha.
« Mets toi à 4 pattes, je vais y aller doucement » . Il fallu faire avec les moyens du bord, nous n’avions pas de lubrifiant, alors je lui crachais abondamment sur la rondelle, et commençai à lui mettre un , puis deux doigts pour l’ouvrir. Il les accueillit sans trop de difficulté, ses gémissements m’encourageaient.
« Des fois, sous la douche , je m’enfile des doigts en pensant que c’est toi qui me met ta queue » m’avoua t il.
Je me plaçai derrière lui, mon gland plein de mouille sur sa rondelle et commençai à pousser.
« Oh putain ! Oh putain ! Doucement mon Teddy. Ça fait mal » . Je stoppai net, horrifié de le faire souffrir.
« Tu veux que je sorte ? Je veux pas te faire mal mon beau »
« Non non, reste dedans mais laisse moi m’habituer. Ça va déjà un peu mieux, mais putain c’est gros. J’ai trop envie. Je veux que tu me dépucèles le cul mon beau. Je suis trop content que ça soit toi qui me fasses ça mon beau »
Encore une fois, cela me toucha profondément. Je recommençai donc ma progression, millimètre par millimètre en faisant de nombreuses pauses pour le laisser s’ouvrir à ma queue, en caressant son dos parfait et en lui susurrant que j’étais trop bien dans son cul, qu’il était chaud et doux à l’intérieur, que j’avais jamais connu ça, et que moi aussi j’étais trop heureux de faire ça avec lui. Quand mes couilles vinrent butter contre son cul, je me sentis le roi du monde, et m’arrêtai pour attendre qu’il me donne le signal de recommencer à le fourrer.
« Ça va mon beau ? »
« Beaucoup mieux oui. J’ai presque plus mal. Putain ça commence à être délicieux mec, je kiffe »
Il se redressa pour pouvoir me rouler une pelle, contorsionné.
« Je t’aime Teddy » me susurra t il si bas que je failli ne pas l’entendre.
« Moi aussi Pablo » lui répondis je sur le même ton.
« Fourre moi maintenant. Je te dirai si ça fait mal. »
Il se pencha à nouveau en avant pour me faciliter la baise, et mordi l’oreiller juste à temps pour étouffer un gémissement sonore. Galvanisé par nos « je t’aime » je m’étais enfoncé un peu vite dans son cul.
« Putain désolé mon Pablo. Excuse-moi, je voulais pas te faire mal »
« Je me vengerai tout à l’heure » dit il en haletant.
« Allez je pense que tu m’as complètement ouvert maintenant, baise moi comme une salope »
Je lui enfonçai la tête dans l’oreiller et commençai donc à obéir à ses ordres. Dieu bénisse les bâtiments anciens et le murs épais, sinon tout l’étage nous aurait entendu. Il mordait son coussin pour ne pas gueuler, mais gémissait en continue, et je me penchai à son oreille pour lui susurrer des saloperies
« Je te fourre bien salope ? Ça te plaît de te faire défoncer la chatte ? »
Je comprenais des « oui !oui! Encore ! Encule moi fort! » étouffés.
Je ne tins que quelques minutes avant de lui tapisser l’intérieur de sperme. En me mordant la main pour ne pas hurler et voir tout le monde débarquer dans la chambre.
Je restai quelques minutes dans son trou, la queue baignant dans mon jus, pendant que nous reprenions notre souffle.
Je me retirai ensuite, et son cul laissa s’échapper une petite flaque de foutre avant de se refermer. Je jetai un coup d’œil sur mon gland, ma hantise était d’avoir de la merde sur la bite, mais rien. Dieu bénisse les organismes en bonne santé et les fibres. Mon gland était luisant de sperme, de salive, de mouille, mais aucune trace suspecte. Je découvris que Pablo avait giclé abondamment sur son drap, et m’en voulu un peu de n’avoir pas pensé à son plaisir. Je m’en excusai.
« Hein ? De quoi ? » me répondit il un peu ailleurs. « Oh putain, non ! T’inquiète ! J’ai pris un pied de malade ! T’es un baiseur de ouf mon Teddy » me dit il en venant se coller contre moi pour m’embrasser.
À ce moment-là, on toqua à la porte. C’était le pion.
« Ça dort toujours pas ici ?! » nous engueula t il .
On était rouges comme des tomates, tous les deux. À quelques minutes près on se serait fait choper en train de s’enculer comme des malades.
Je regagnais donc mon lit, un peu frustré que ça s’arrête.
« On remet ça dès demain mon Teddy, je t’aime. Faut que t’essaye de te faire enculer, tu vas adorer ça. Et j’ai trop envie de ton trou en plus » me chuchota Pablo de peur que le pion ne soit toujours dans les parages en train d’écouter à la porte.
« Je t’aime aussi mon latino, j’ai hâte qu’on soit demain et qu’on recommence »
Teddy
Gnacrafrac@gmail.com