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Chapitre 3
Le lendemain matin, je fus réveillé extrêmement tôt par la plus délicieuse des sensations : quelqu’un me suçait le chibre.
Il me fallût quelques secondes pour me rappeler les événements de la veille et comprendre que c’était la bouche de Pablo qui s’activait sur mon gland. Je lui souris, il me regardait avec un regard de salope dans la pénombre, et je fus à nouveau ému par ses traits parfaits. Qu’il était beau mon mec !
Je lui dit de se retourner pour pouvoir lui rendre la pareille, et on se fit jouir comme ça, rapidement, en 69 , en nous enfonçant mutuellement des doigts dans le cul pendant qu’on se pompait. Une douche rapide, à deux, l’occasion de se branler et de nous galocher et nous étions prêts à partir à l’heure. On s’était levés super tôt, mais ça valait le coup.
Au petit-déjeuner, je vis Pablo prendre des petites portions de beurre qu’il mît dans la poche de sa veste, et lui lançai un regard interrogateur auquel il ne répondit que par un clin d’œil.
La journée fût longue. J’étais crevé de m’être levé si tôt, et puis surtout, je n’attendais qu’une chose : l’extinction des feux de ce soir pour pouvoir baiser avec mon latino. Nous avions convenu d’être plus prudents et de bien attendre la nuit pour nous donner du plaisir. À la pause de 10h, Pablo me suivit toutefois aux chiottes et me poussa dans une cabine pour me sucer. Je lui giclai rapidement dans la bouche, et fus extrêmement frustré de ne pas avoir le temps de lui rendre la pareille.
Je passai la journée avec une demi molle en pensant à sa queue et à son trou. Je n’arrêtais pas de matter son cul et son paquet, voyant qu’il était dans le même état que moi. Il fallait vraiment que je me calme, parce qu’à plusieurs reprises je vis des regards se porter sur mon paquet, qui était certainement plus gros que d’habitude; quelques nanas me regardaient avec envie, et je crus même entrevoir une lueur lubrique dans l’œil du jeune prof d’histoire.
Le soir, au repas, Pablo repris des portions de beurre, et à nouveau, je fronçai les sourcils en interrogation, et il me répondit par un sourire. En étude, même manège que la veille, sauf que Pablo alla jusqu’à mettre la main à l’intérieur de mon survet pour commencer à me branler. Arrivés à l’internat, je demandais à Pablo de me laisser aller me doucher seul. Il eut l’air déçu, mais je lui expliquais que je voulais me préparer pour la baise. Je fis une petite recherche Google sur mon portable, pour savoir comment faire un lavement. Je comptais bien offrir mon cul à mon mec ce soir, et être la salope à mon tour.
Quand je fus prêt, j’enfilai mon short de foot sans sous vêtements, et eu la bonne surprise de trouver Pablo dans le sien. Je sais pas pourquoi le foot m’excite autant. Mais depuis que j’ai commencé à me branler et que j’ai compris que c’était les mecs qui me faisaient bander, c’est mon fantasme le plus récurent : des footeux qui baisent en sueur après leur match.
Pablo semblait partager mon fétiche, ou alors il avait compris que ça me plaisait vraiment et voulait me faire plaisir.
Il était bientôt l’heure…
22h…. 22h05….22h10…. Quand est-ce que ce connard de surveillant allait couper ?! La tension était palpable dans la chambre. Pablo et moi on bandait comme des dingues dans nos shorts.
22h12 la lumière s’éteignît et une minute après , le pion tapa à la porte sans même l’ouvrir et gueula à travers « on dort les gars ! » Je me mis à la porte, pour l’écouter faire pareil à toutes les portes de l’étage jusqu’à arriver à sa chambre. Bien. Il lui arrivait de s’attarder dans les couloirs, de discuter un peu avec des gars de l’étage, visiblement, ce soir c’était pas au programme.
Même pas le temps de me retourner pour rejoindre Pablo au plumard, il était venu se mettre derrière moi et m’avait plaqué contre le mur. Il m’embrassait les épaules, je sentais sa queue raide qui se frottait contre mon cul à travers nos shorts.
« J’y ai pensé toute la journée. Putain t’es beau mon Teddy, t’as même pas idée. J’ai pas arrêté de te matter. Je pensais à ta queue qui m’a dépucelé la chatte hier soir. Je pensais à ton petit trou que j’ai même pas encore léché alors que je te l’avais promis. J’ai grave envie de toi mon mec, je t’aime. » Il haletait, excité comme un fou et mimait la baise dans mon dos en me tenant par les poignets contre le mur. La position était hyper excitante, avec mon beau latino qui me dominait complètement comme ça. Et j’aurais voulu baiser là, tout de suite, mais Pablo avait d’autres plans. Il s’agenouilla derrière moi et commença à me bouffer le cul à travers mon short. Il avait passé une main devant et me tripotait la bite en même temps. Au bout d’un moment il n’y tint plus et m’arracha presque le short, je me retrouvai cul nu, et il se posa quelques secondes pour m’écarter le cul et admirer mon trou.
« Tu me rends dingue mon beau. Ton trou est juste parfait. Comment ça se fait que personne t’ait encore enculé ? C’est un appel au viol. Quand tu te penches et que ton jogging moule ton cul, je vois tous les regards qui se posent dessus. Toi tu te rends même pas compte à quel point t’es bandant. Je suis sûr qu’il y en a plus d’un dans la classe qui doivent rêver de te defoncer. Mais t’es à moi mec. C’est moi qui vais t’ouvrir la chatte. » il commença à me lécher la rondelle, et c’était un pur délice.
« Tu le sais hein que je vais te baiser ce soir ? Tu la veux ma teub dans ta chatte mon mec ? »
« Putain ouais mon beau ! J’ai trop envie que tu me le fasses. Faut que tu te venges de hier soir. Ce soir c’est moi qui fais la femme. Je suis ta pute. Tu bandes bien mec ? Tu la veux ma chatte de pucelle ? »
Je me reconnaissais pas, à parler comme ça. Mais ça me venait naturellement. Il m’inspirait, m’encourageait à devenir la bête de sexe que j’étais destiné à devenir depuis toujours.
Il me prît par la main et m’emmena jusqu’à mon lit. Il s’allongea dessus et me demanda de lui mettre mon trou sur la bouche.
« Assieds-toi sur ma gueule mon beau. Je vais te baiser avec la langue en premier »
Je comprenais maintenant pourquoi il avait autant apprécié hier avant de m’offrir son cul. La sensation était délicieuse.
Il sortit les doses de beurre qu’il avait piqué à la cantine, et je compris enfin leur utilité. Il commença à me tartiner le trou avec. À m’enfoncer ses doigts qui glissaient à la perfection grâce au graissage.
« Putain je te fous trois doigts mec !!! T’es sûr que t’es puceau ?? »
« Carrément sur mec, carrément sûr. Et aussi certain que je te veux dedans »
Il me retourna et m’allongea sur le dos, en plaçant un coussin sous mon cul.
« J’ai envie de te voir pendant que je te fourre »
Il présenta sa queue à l’entrée, et commença à pousser. Le gland entra en moi, et je connu une douleur intense, qui me coupa la respiration. Il s’arrêta, me regarda, inquiet, et me demanda si ça allait.
« Ça fait mal. T’as vraiment une grosse queue. Mais ça va passer. Je te veux. Vas y doucement juste, stp. »
Il fit comme moi la veille et prît mille précautions pour éviter de me faire souffrir, s’enfonçant tout doucement. Putain mais comment avait-il pu encaisser ça hier ? Bien sûr j’étais un peu moins bien monté que lui, mais lui n’avait été lubrifié qu’avec de la salive !!!
Au bout d’un moment qui me parut une éternité, je sentis qu’il était enfoncé complètement, ses couilles étaient sur mon cul. Il se pencha et m’embrassa , me félicita d’avoir tout pris.
« Tu vas voir, tu vas t’habituer. Je te promets, après c’est vraiment le pied. Je sais que t’as mal là, mais crois moi ça vaut le coup. T’es le meilleur bébé . Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime » me disait-il entre deux pelles. J’étais plié en deux. Sous lui. Sa queue dans mon trou et sa langue dans ma bouche. Complètement soumis à mon mec qui me pénétrait par les deux entrées. J’avais encore un peu mal, mais beaucoup moins. Et j’adorais être offert à lui. Ma volonté ne vacillait pas une seconde, et je comptais toujours lui offrir mon cul pour le faire jouir. J’avais débandé un peu, mais ça n’était pas grave. À ce moment-là, seul comptait le plaisir de mon mâle actif. Cette idée d’ailleurs me fit rebander aussitôt. Je lui fis signe de commencer à me piner. La douleur passait, et effectivement ça devenait vraiment bon. Son gland me massait la prostate, et son ventre dur comme du béton me frottait la queue au rythme de ses coups de bite lents et sensuels.
Quand je repense à sa manière de me baiser à ce moment-là, des années plus tard, je compare toujours ça à des chansons de Barry white. Lent, sensuel, pornographique.
« Putain je suis en train de te fourrer mon beau ! Je baise le mec que j’aime. J’ai jamais baisé quelqu’un que j’aimais. Tu le sais ça ? Que j’ai jamais fait l’amour avant toi ? »
« Moi aussi je t’aime. Je me donne à toi. Ma chatte de mec t’appartient maintenant. Tu pourras la prendre quand tu voudras. Je veux que tu marques ton territoire avec ton jus. Je veux avoir ton foutre dans moi. Fais moi un bébé mon beau »
Il râla en lâchant sa semence au fond de mon cul. Poussant sa bite le plus loin qu’il pouvait. Je la sentais battre au rythme de ses giclées, et su que j’étais complètement rempli.
« Putain c’est bon !!!! Je t’aime ! »
Je l’attirai à moi, et l’embrassai,
« Merci Pablo. C’était magnifique sérieux. Tu sais pas comment t’es beau quand tu baises »
« Quand je fais l’amour bébé. »
Il sortit de mon cul, et descendit vers ma queue, qu’il avala en me fourrant deux doigts dans le cul. Il me fit jouir en me massant la prostate et avala mon sperme comme un affamé.
Je dus m’endormir à un moment, tellement j’étais bien et détendu, car je me réveillai tard dans la nuit, avec Pablo endormi, la joue collée à ma bite . Il était beau. Je l’aimais de tout mon cœur, et nous avions l’année devant nous pour continuer à baiser comme des malades.
Fin ( ou pas)
Teddy
Gnacrafrac@gmail.com
