Assis à travailler chez moi, sur mon bureau depuis des heures, je suis fatigué. Il est tard mais je dois terminer. Je me maudis d’avoir accepté cette mission, mais trop tard, j’ai accepté. Alors je prends mon mal en patience, je regarde l’horloge qui indique minuit passé, et je continue à travailler.
Du coin de l’œil, je vois la porte d’ouvrir. Puis j’entends mon mari :
- Mon cœur, ça fait plusieurs heures que tu bosses, fini demain ou prends une pause
Je me frotte les yeux, exténué.
- J’aimerais bien, mais je dois absolument terminer ce dossier pour demain. Je pense terminer d’ici une heure ou deux.
Je tourne la tête vers lui. Il est beau. Brun, cheveux courts, musclé comme un rugbyman. Il porte un simple tee shirt et un boxer. C’est un homme magnifique. J’en profite pour le mater sans discrétion, et je regarde son paquet qui moule son sous vêtement. Il me sourit, s’approche, prend mon visage dans ses mains et viens m’m’embrasser.
- J’insiste, me dit-il, tu as besoin d’une pause. Et j’ai un excellent moyen de te détendre.
Son sourire est carnassier, et sa main palpe sans discrétion son entrejambe. Son sexe déforme déjà son boxer. Je sais que je dois travailler, mais je n’arrive pas à résister. Mes mains sont attirées par son corps, et, tout en restant assis, je caresse son ventre, ses cuisses. J’évite de caresser ce qui m’intéresse le plus. Je vois son boxer toujours plus déformé, jusqu’à ce que son gland sorte à peine. Je lève les yeux, et lui demande
- Oh, tu m’as apporté un cadeau ?
- Bien sûr, je n’allais pas venir les mains vides
Je le titille, et je veux l’exciter doucement. Alors je pose 1 seul doigt sur son sexe à travers le tissu, et je le caresse lentement. Je pars de la base, et je remonte jusqu’au gland, puis je redescends. Il pousse un soupir d’aise. Un 2e doigt s’y met.
Mon homme enlève son boxer. Visiblement il en veut plus, et rapidement. Je peux alors contempler sa verge, juste en face de mon visage. Impressionnante et large, je ne me lasse pas de l’admirer. Un peu de liquide perle du gland. Cet homme me désire, et j’adore ça.
- Wow, je lui dis, toujours aussi bien gaulé.
Il me sourit et approche son bassin. Je cède totalement, je me mets à genoux, puis je lèche ses cuisses et remonte vers ses couilles pendantes. Une légère odeur de transpiration m’envahit, il sent l’homme en rut. Je lèche du bout de la langue ses couilles. Elles sont lourdes, pleines et réagissent à mes caresses. Puis je m’approche de sa verge. Ma langue se pose sur la base, puis remonte peu à peu. J’arrive au gland, j’ouvre la bouche et je suçote le liquide qui perle. Un léger goût amer et salé, délicieux. Puis j’avale son gland tout entier, et mon homme pousse un soupir. Je reste sur son gland, et joue avec ma langue sur sa couronne et son frein. Mais mon homme en veut décidément plus, et pose ses 2 mains sur ma tête. Il me force à le sucer plus profondément. Sa queue est grosse, et j’ai toujours du mal à la prendre en entier. Mais il ne s’arrête pas et sa queue se force un passage, mon nez se retrouve écrasé dans sa toison pubienne. Ma bouche est remplie, j’étouffe, mais il est sans pitié et me maintien. Puis il sort d’un seul coup sa queue, en me laissant pantelant, me regarde en me souriant, et me dit:
- Ce soir, je vais te prendre comme un homme prend sa femelle. Tu vas couiner de plaisir, je te le jure. Déshabille-toi maintenant.
Effrayé, mais en même temps terriblement excité, je me relève, me déshabille entièrement, mon sexe également bandé au maximum et, nu devant lui, j’acquiesce :
- Oui mon homme. Je t’appartiens totalement.
Il se rapproche et m’embrasse violemment. Sa langue est sans pitié, et je sens sa bestialité dans son baiser. Ses mains me palpent, et sillonnent mon corps puis mes fesses. De mon côté je profite pour caresser son dos muscler, ses pectoraux. Il humidifie un doigt, puis me ré embrasse, et, sa langue toujours dans ma bouche, il pose son doigt humide sur mon anus, et presse doucement. Je suis tétanisé, de peur, de surprise, d’excitation. Je me contracte instinctivement. Son doigt lutte contre ma résistance, il tourne autour de mon anus, revient à la charge plusieurs fois. Puis je fini par céder. Je pousse un gémissement, il m’écarte doucement. Son doigt s’enfonce, et vient caresser ma prostate. Il me dit alors :
- Ce doigt n’est qu’un amuse-bouche. Ma queue t’attend, et elle est déchainée ce soir. Alors prépare toi bien avant de satisfaire ton mâle.
Je tremble. Son doigt me fait déjà du bien, et j’ai terriblement envie de plus. Il mouille un 2e doigt, et le rentre doucement. Je me dilate davantage. Il fait de petits va et viens.
Puis j’essaie de retirer ses doigts, mais il est bien plus fort que moi, et je n’y arrive pas. Il les enfonce plus profondément, me regarde méchamment
- Que crois-tu faire ? C’est moi qui contrôle ce soir. Toi tu subis, tu prends ton pied comme une chienne et tu me satisfais, compris ?
Surpris par son ton presque belliqueux, je me sens sans aucune autre possibilité que céder à toutes les exigences.
- Oui, bien sûr, je t’obéis au doigt et à l’œil, dis-je d’un ton apeuré.
Il ne dit rien, me force à me baisser et je suis à nouveau devant son entrejambe. L’odeur d’homme est forte et enivrante. Je salive devant cet homme, et devant son sexe.
- Au travail. Montre comment tu vénères ma queue.
Vénérer, c’est le mot. Je ne me fais pas prier et je me jette sur son gland pour l’enfourner. Je descends de plus en plus, mais j’ai toujours du mal. Sans prévenir, il coince ma tête et entame une pénétration de ma bouche. La pénétration est lente et ininterrompue, et une fois arrivé à fond où je m’étouffe, il rigole et lance
- Oui c’est bien. Tu vois que tu peux satisfaire ton homme correctement. Tu es fait pour ça, il faut juste que tu l’admettes.
Puis il recule, et se ré enfonce lentement. Et il accélère peu à peu. Il baise ma bouche. Je salive beaucoup, j’essaie de le sucer et de faire jouer ma langue autour de son pieu, mais la cadence est de plus en plus élevée. Ses couilles claquent contre mon menton. Je lève les yeux, mon homme a la tête renversée en arrière, il prend son pied. Du précum sort de son gland, et je ne peux rien faire d’autre que l’avaler. Je subi cette baise. En même temps, mon sexe est dure et confirme que j’aime me soumettre ainsi.
Enfin, il sort totalement de ma bouche, sa queue luisante, dégoulinante de salive. D’un air approbateur et satisfait, il me dit
- Hum voilà une bonne lubrification. En montrant mon sexe du doigt, il ajoute : Je vois d’ailleurs que tu mouilles. C’est bien, ça veut dire que ton corps m’appelle. Tu es prêt.
Il passe ses bras sous les miens et me relève. Puis il me soulève totalement, mes pieds ne touchent plus le sol. Je suis une plume dans ses bras. Il me ramène alors dans la chambre, et me pose sur le lit, allongé sur le dos. Il finit de se déshabiller entièrement, puis il me caresse, m’embrasse doucement, puis il s’allonge sur moi et embrasse mon cou. Il est extrêmement tendre. Je sais que cette tendresse ne va pas durer, et que la bête en lui va se réveiller d’un instant à l’autre.
Son bassin se colle au mien. Son sexe dur se pose entre mes fesses. Il est encore lubrifié de ma salive, tout humide. Il pousse son sexe, et je sens son excitation. Il m’embrasse un peu plus fougueusement, sa bouche écrase un peu plus la mienne.
Je n’y tiens plus, j’ai envie qu’il me prenne. Je pose une main sur son sexe, je profite une dernière fois pour tâter sa grosseur, et le dirige vers l’entrée. Son gland est maintenant posé sur mon anus. Il continue sa poussée. Je plonge mes yeux dans les siens. Je veux me donner pleinement à cet homme si fort, et m’abandonner à son pieu. Mon anneau résiste une seconde, puis, je sens son gland passer. Je pousse un cri. Mon homme s’arrête, inquiet
- Tu vas bien ?
Son inquiétude me rassure, il sera peut être violent mais ne me fera pas mal.
- Oui, je réponds. Continue, j’ai envie de t’appartenir.
Mais il ressort, mets 2 puis 3 doigts, puis remets à nouveau son gland. Cette fois, son gland passe sans problème. Je souffle de plaisir. Mon homme entame une pénétration lente. Je sens chaque cm de son pieu. Il s’arrête et me dit:
- On en est à la moitié.
Je le regarde, impressionné comme toujours, et lâche un « Oh mon Dieu… »
Il recule de quelques cm, puis reprend son avancée. Mon anus cède de plus en plus. Nos corps se rapprochent. Je suis tiraillée par la grosseur de son large sexe, de plus en plus loin. Enfin, mon homme donne une dernière impulsion
- Tout est rentré.
Je me sens écartelé. Je dois gérer la sensation d’être empalé, mêlant plaisir appréhension. Il fait quelques va et vient pour m’habituer à la présence du monstre en moi, qui commence à coulisser plus facilement.
- Hum tu t’habitues vite. Regarde, je suis sûr que je peux sortir entièrement en re rentrer complètement !
Joignant le geste à la parole, il décule et me ré encule d’un coup. Je crie, de plaisir et de peur. Sa queue a touché ma prostate, et un filet de pré cum a jailli, et coule de mon sexe.
Fier de sa performance et de toucher mon point sensible si facilement, il me regarde dans les yeux, et son regard a changé. La tendresse a disparu, et son visage n’exprime que l’envie de s’assouvir. Sa queue entièrement fichée en moi, il commence les va et viens. Profonds, amples. Il me donne chaque cm de son énorme sexe. Je crispe mes mains sur ses épaules, je ferme les yeux de plaisir.
Son sexe tape ma prostate. Chaque coup de bite me fait vibrer. Chaque coup de bite me rappelle que cet homme me baise comme sa femelle. Je gémis en cadence. Il me lance:
- Oui c’est ça, montre à ton mâle qu’avoir une queue te comble. Montre-moi que tu souhaites que je t’imprègne de mon sperme.
Ma tête tourne
- Ton pieu me fait tellement de bien, je ne peux pas m’en passer. Je me sens vraiment complet quand tu t’enfonces en moi.
- Tu veux que je m’enfonce ? Tu n’as rien vu, ma chienne.
Il sort sa queue. Je me sens vide, et je lui dis.
Il se met au milieu du lit, il s’assoie, son sexe dressé entre ses jambes puis il m’invite :
- Ne t’inquiète pas, viens t’empaler ici.
Je me mets au-dessus de lui, face à lui, puis je m’assoie lentement, pour la position du lotus. Son sexe a naturellement trouvé l’entrée de mon anus, et je contrôle la pénétration en descendant peu à peu. Je me mordille la lèvre de plaisir, puis j’arrive au bout. Nous sommes totalement imbriqués. Face-à-face, en position du lotus, sans bouger nous nous embrassons. Puis j’ondule doucement du bassin. Les va et viens sont lents, je maîtrise la pénétration, mon mari m’encourageant d’un « va y, baise-toi un peu ». Je contrôle momentanément le plaisir de mon homme. Mais évidemment ça ne dure pas. Il passe ses bras sous les miens, puis reprend le contrôle en me faisant sautiller. Je ne contrôle plus rien, et je ne peux que m’accrocher à ses épaules tandis qu’il continue son travail de perforation intensive. Mon sexe est collé entre nos bas ventre, et mon gland mouille abondamment, humidifiant nos poils. La pénétration est sensuelle, et j’ai du mal à me retenir de gémir de plus en plus fort. Mon homme souffle entre 2 coups de butoirs:
- Dans cette position, j’ai moins l’impression de baiser une chienne.
Un autre coup de butoir:
- Mais on sait tous les deux que tu en es une ce soir.
Un autre coup:
- Alors je vais remettre les choses au clair.
Il me repousse violemment, me mets debout et me plaque le ventre contre le mur. A côté, le miroir de notre chambre renvoi notre image, et je vois sa masse qui écrase la mienne. Je vois un pieu de chair s’insinuer entre mes fesses et disparaitre totalement quand il s’enfonce totalement en moi, en criant:
- Tiens, prends ça
Je gémis pour toute réponse, puis je l’encourage
- Je me sens si fragile quand tu me baises. Ta queue est un délice
- Tu es à moi.
- Je suis vaincu par ta queue.
Il me plaque plus fort contre le mur. Je suis écrasé. J’entends sa respiration dans mon cou, je sens la chaleur de son sexe brulant en moi. Mon sexe frotte contre le mur au rythme de nos mouvements. Puis sa main empoigne mon sexe, et me branle. Le plaisir monte encore. Je contracte mes fesses, j’ai du mal à rester debout.
Dans le miroir, l’image d’un homme qui se fait monter par un autre. Mon homme me regarde dans le miroir, et me dit
- Tu vas jouir pour moi. Je veux que tu jouisses alors que ma queue est en toi. Pendant que je te soumets
Il me branle de plus en plus vite. Ses coups de bite sont forts et tapent ma prostate. Je gémis. Mon homme souffle fort, comme un buffle puissant. Mes jambes se contractent, je sens que je ne résisterai pas longtemps. Puis mes fesses se contractent comme pour empêcher sa queue de sortir, et je sens une vague de plaisir jaillir de mon anus, augmenté à chaque coup de butoir. L’orgasme est imminent. Je crie à mon homme :
- Tu es trop bon, ta queue me fait jouir… !!!!
L’orgasme explose. Une vague m’envahit, et je me sens faible. Je lâche plusieurs jets de sperme sur le mur. J’ai envie de m’affaler, mais je suis encore retenu par son sexe. Il accélère le rythme, et grogne
- Ta jouissance va me faire venir, je vais te souiller comme le mérite une chienne !
Il grogne de plus en plus. Je suis secoué par ses mouvements, je ne peux rien faire. Le lit tremble sous la puissance de ses coups. Puis dans un râle, il m’enfonce sa queue tout au fond et y reste fichée et souffle un :
- Prends ça salooooope…
La libération en moi est explosive. Nous nous affalons, sa queue glisse et sors, et un peu de sperme coule de mon orifice dilaté.
On se retrouve côte à côte, essoufflés. J’ai totalement oublié mon travail, et ça n’a pas d’importance. On ne dit rien. On se sourit, heureux. Nos sexes débandent peu à peu. Cette partie de jambe en l’air nous a laissés repus. Puis d’un commun accord, je me blotti contre lui, et nous sombrons peu à peu dans le sommeil.
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J'espère que cette histoire vous aura plu et surtout excité. Si vous avez aimez, vous pouvez m'envoyer un mail, ça me fera plaisir :)
Valentin388
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