C’était un dimanche après-midi maussade. Le ciel grondait sa colère et déversait ses larmes sur les habitants de la ville. N’ayant autre chose à faire de bon, Marc proposa à sa femme Hélène et leur jumeau de se rendre au centre commercial afin de tuer le temps et de faire quelques emplettes par la même occasion.
Tous acceptèrent la proposition de Marc et allèrent se préparer pour le départ. Même si l’endroit était non loin de la maison, il lui fallait une certaine logistique mise en place lors de leurs déplacements. En effet, sa femme et ses deux enfants avaient leurs caprices et devaient apporter un tas de trucs inutiles au cas où quelque chose arriverait durant le trajet.
Une fois arriver sur place, Marc constata qu’il n’était pas le seul à avoir eu l’idée de sortir. En effet, le parking était bondé de voitures. Il dut faire le tour durant cinq bonnes minutes avant de trouver une place libre.
À peine arrivés, les deux gamins se montrèrent déjà impatients.
— Nous voulons aller voir les jeux vidéo, maintenant !
Leur mère désapprouva instantanément.
— Nous irons plus tard. Nous devons d’abord vous acheter de nouvelles chaussures.
Les deux garçons furent déçus et soupirèrent leur mécontentement à l’unisson.
Après avoir déambulé près d’une heure de boutique en boutique, ils finirent par arriver près de l’aire de restauration. À ce moment, Marc réalisa qu’une petite envie se faisait sentir.
— Chérie, je dois me rendre aux toilettes. Pourquoi ne pas nous commander de quoi manger durant mon absence ? Nous pourrons ensuite aller acheter des chaussures et visiter la boutique de jeux vidéo.
Sa femme acquiesça et les deux gamins semblaient satisfaits du plan proposé.
Alors que Marc s’éloignait de sa famille, l’envie devint un peu plus pressante et il se mit à marcher plus rapidement. Lorsqu’il aperçut la salle de bain réservé aux hommes, il entra. Il remarqua bien les urinoirs, mais opta plutôt pour une cabine. L’endroit semblait complètement désert malgré la foule de clients.
S’affairant à faire ce qu’il devait faire, il entendit un bruit provenant d’à côté. C’est en retournant la tête vers la droite qu’il aperçut le trou creusé dans le panneau séparant la cabine de celle voisine. En examinant la chose, il vit une ombre bouger de l’autre côté. Il n’était pas seul après tout.
Une fois terminé, il activa la chasse d’eau et se prépara à quitter, mais le trou piqua sa curiosité. Pour une raison qu’il ignorait, il eut l’idée de discrètement regarder à travers du trou. Alors qu’il se préparait à se pencher doucement, un œil à l’iris bleu apparut de l’autre côté. Rapidement, il se figea et fit mine de continuer sa toilette. C’est à ce moment que l’individu de l’autre côté lui adressa la parole.
— Hey, mec, j’ai un truc à te montrer. Ça te dit de voir ?
Surpris par la question, il répondit en hésitant.
— Euh, qu’est-ce que c’est ?
— Regarde !
Se demandant de quoi il pouvait bien s’agir, quelque chose sortit du trou. Un pénis d’une taille considérable fit son apparition, dressé devant lui en pleine érection.
Confus, Marc voulut dire quelque chose, mais ne sut quoi, ébahit par ce qui se produisait.
— Putain, mais qu’est-ce que…
Confus, Marc voulut dire quelque chose, mais ne sut quoi.
— Putain, mais qu’est-ce que…
L’homme de l’autre côté se mit à ricaner.
— Est-ce que ça te plaît ? Vas-y, touche ! Personne ne le saura jamais.
Normalement, Marc aurait été outré par la situation. Cependant, la vue de ce gros gourdin avait déclenché une certaine curiosité en lui. Il se demandait s’il devrait oser. Doucement, il approcha la main droite et empoigna le sexe de l’homme. Le membre était chaud et dure.
L’étranger de l’autre côté laissa échapper un gémissement de satisfaction.
— Alors, tu aimes ? Tu peux y goûter si ça te dit.
Marc n’était pas homosexuel et il aimait sa femme par-dessus tout. Cependant, Hélène n’était pas tellement friande de sexe alors que lui, il aurait baisé tous les jours. Pour une raison qu’il ignorait, il était pleinement excité par ce qu’il se produisait et il voulut continuer.
Ainsi, il fit quelques mouvements de vas et viens avec le gros membre de l’étranger. Celui-ci se mit à gémir davantage.
De plus en plus échauffé, Marc se sentit prêt à aller plus loin. Alors qu’il approchait la tête du gland rose s’offrant à lui, il ouvrit la bouche et referma les lèvres sur ce gros champignon. Il sentit instantanément les pulsations du membre grossissant dans sa gueule.
L’étranger encouragea Marc à continuer.
— Oui, vas-y, suce-la !
Marc se mit donc à bouger la tête, faisant glisser la verge dans sa bouche. Il pouvait entendre l’étranger prendre son pied de l’autre côté.
— Ah, oui, c’est bon !
Marc n’avait jamais expérimenté avec un homme auparavant et encore moins avec quelqu’un qu’il n’avait jamais vu de sa vie. C’était peut-être pour cette raison qu’il avait franchi le pas. Il n’y aurait personne pour le juger alors qu’il prenait du plaisir dans l’anonymat. Il dut s’avouer à lui-même qu’il aimait beaucoup. Il se surprit à accélérer la cadence, au grand plaisir de l’étranger.
De plus en plus bruyant, l’homme de l’autre côté se mit à geindre.
— Ah, attention, je vais, aahhh !
C’est à ce moment que la bouche de Marc s’emplit d’un liquide chaud et salé. L’étranger venait d’éjaculer plusieurs grosses goulées de sperme dans sa gueule maintenant exténué. Il avala goulûment la semence de cet homme qu’il ne connaissait pas.
Satisfait, l’étranger retira sa teub du trou et Marc l’entendit refermer la fermeture éclair de son pantalon.
— Merci, mec !
L’étranger sortit de sa cabine et Marc entendit la porte de la salle de bain se refermer. Il était maintenant seul à nouveau, lui qui venait de faire jouir un pur inconnu dans sa tronche.
Il était plus excité que jamais. Il devait se ressaisir avant d’aller rejoindre sa femme et ses deux gosses.
Il sortit finalement de la salle de bain après quelques minutes de respirations profondes. Il aperçut de loin sa famille attablée avec le repas qui l’attendait.
Sa femme l’aperçut et lui envoya la main afin de lui montrer le chemin.
Une fois qu'il arriva à table, sa femme le regarda avec surprise.
— Tu en as mis du temps ! As-tu acheté à manger toi aussi ?
Confus, il se demandait de quoi elle parlait.
— Non, pourquoi me demandes-tu ça ?
— Tu as la bouche couverte de quelque chose.
FIN
Videcouilles1984
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