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Stage Commando 2
Le lendemain matin, je fus réveillée par une musique militaire, diffusée par des haut-parleurs. J'avais bien récupéré de ma « visite médicale » ainsi que de ma soirée avec Rocco, même si je ressentais encore une légère irritation au niveau de mon anus, et je me demandais, avec une certaine excitation, quelles surprises me réservait cette journée, avec tous les autres, nous avons revêtu nos tenues militaires, pour ma part mes cheveux longs coiffés en chignon comme me l’a demandé Sharon; On se retrouva dans le réfectoire pour le petit déjeuner sous les sourires des militaires présents qui devaient avoir eu connaissance de nos exploits de la veille, nos nouveaux amis Rocco et ses potes étaient prêts à partir en exercices, on se croisa devant le self.
- Bonjour ma Barbie, t’as récupéré de notre petite partie de cette nuit ?
Me dit il doucement avec un clin d’oeil complice, je lui répondis avec mon plus beau sourire charmeur.
- Bonjour mon Rocco, je suis en pleine forme, et puis tu sais c’est pas notre petite séance qui pouvait m’épuisé, il m’en faut beaucoup plus…
- Ah ah ah ah, petite impertinente tu perds rien pour attendre, gardes des forces pour ce soir tu en auras besoin, et au fait je te kiffe avec ce petit chignon, très excitant, ne changes rien je me ferais un plaisir de le défaire avant de détruire ta petite chatte.
- Huuummm des promesses, j’ai hâte d’être à ce soir.
Il partit rejoindre son groupe avec son sourire en coin de mâle sur de sa force et de sa virilité et moi retrouver mes amis avec mon plateau.
Cette 1ère journée nous a mis dans le vif du sujet, une vraie préparation militaire à courir, ramper, crapahuter, très et trop physique pour nous, à la fin de journée on était rincé et surtout dans un état de saleté incroyable, couvert de terre et de boue, la douche nous a fait un bien fou avant la soirée au cercle.
Je décidais d’affoler les mâles et surtout un, bien sur, en mettant un jean slim moulant mon petit cul, un tee-shirt rose pâle avec un coeur rouge très girly et comme me l’a demandé mon homme je me suis coiffé avec un chignon haut dégageant mon cou gracile, ma tenue sexy n’a pas échappé à Liane qui me fit la remarque.
- Eh bin Barbie, ne viens pas te plaindre si tu te fais violé ce soir par toute la caserne.
- hi hi hi, c’est pas toute la caserne que je veux, seul un militaire m’intéresse et j’ai bien l’intention de le faire bander juste en me voyant.
- T’inquiètes ma belle, comme tu es là, tu ferais bander un moine, la seule question que je me pose c’est combien de temps il va tenir avant de te sauter dessus.
Tout le monde se mis à rire et il y a eu un début de pari sur le temps que je resterais avec eux avant qu’il ne m’enlève, les scores allaient de 10 mn à 30 mn, qui allait gagner ?
Quand nous arrivâmes au cercle, il y avait déjà beaucoup d’ambiance, le juke box crachait de la musique, les soldats buvaient et discutaient fort, bien sur notre présence fut remarquée, au fond il y avait un billard ou un groupe jouait, je reconnu mon mâle avec des potes à lui, qui m’ayant vu me fit comprendre d’un signe de la main de venir le rejoindre, arrivé près de lui, il me pris par la taille.
- Huuumm tu es superbe ce soir, vraiment à croquer, t’es en train de faire bander tout les mecs qui te matent.
- Tu es très sexy toi aussi, ton t-shirt fait ressortir ta musculature et ton jean ne peut cacher ta virilité, tu sais ça m’est égale de faire bander tout ses mecs, c’est pour un seul que je suis comme ça, que j’ai envie de faire bander.
- Ah bon et qui est l’heureux élu ?
- Bah tu dois bien être le seul à pas le savoir, c’est dommage chéri.
- Ah ah ah ah, t’inquiètes ma petite salope, tu vas bientôt la sentir bander.
- Eh Rocco, tu pourrais au moins nous présenter cette beauté ?
Le soldat qui venait de parler était un grand gaillard style rugbyman, le crâne rasé, qui si je m’était retrouvé seule face à lui m’aurait fait très peur avec son regard noir et son sourire carnassier.
- Ok les gars, je vous présente Barbie, qui est là avec ces amis en stage pour une semaine chez nous, Barbie je te présente des potes de régiment.
D’un air timide toujours enlacée par mon homme, je leur fit un signe de salut.
- Elle a l’air timide la petite, tu veux faire une partie de billard avec nous ?
- Non merci c’est gentil, mais je suis nul à ce jeux.
- c’est facile, une queue, des boules, un trou, je suis sur que tu dois bien te débrouiller, n’est ce pas Rocco ?
Tout les mecs se sont mis à rire à cette blague toute nulle, vieille comme le monde et moi bien sur j’étais tout rouge sous les regards de ces beaufs qui se croyaient drôles et interessants, heureusement que Rocco est venu à mon secours.
- Bon ok les gars, on laisse tranquille ma Barbie, on fait une pause et on continu la partie.
- Viens bébé, je t’offre un verre.
On alla tout les deux vers le bar pour commander nos boissons, le barman était un vieux genre 50 ans bedonnant et dégarni, pas vraiment le genre Tom Cruse
- Bonjour les jeunes, qu’est ce la demoiselle veut boire ?
- Eh Michel, arrêtes tes vannes à 2 balles, tu sais trés bien que c’est pas une fille.
- Laisses Rocco, c’est pas grave, je suis pas offusquée, si Michel veut bien, la demoiselle va prendre une tequila sunrise, et je sais que vous allez me dire que c’est une boisson de fille, je l’assume.
- Ah ah ah ah, elle a de l’humour la petite, en plus d’être très belle, j’aime ça et toi Rocco une bonne bière comme dab.
- Bravo ma puce tu l’as bien mouché ce vieux con.
- Oh tu sais c’est l’habitude, je pourrais faire un livre sur tout ce que j’ai entendu dans ma courte vie, alors je sais répondre aux mecs.
- Dans ton livre, il y aura un chapitre sur le sexe ahahahah.
- Oh non, pas qu’un seul hihihihi.
Sur ces belles paroles, nos boissons à la main, on retournait vers le coin billard. J’étais assis dans un fauteuil sirotant mon verre tout en regardant amoureusement mon Rocco jouer avec ses potes. Cela faisait 15 mn que je le regardais jouer, j’étais impatient que la partie finisse pour que je me retrouve dans les bras virils de mon homme. La partie allait se terminer, l’équipe de Rocco allait perdre quand le grand gaillard qui m’avait parlé au tout début dit à Rocco.
- Je crois que tu as perdu mon pote, vous nous devez notre pognon, mais on va être cool cette fois, on vous propose un quitte ou double, la prochaine partie si vous gagnez on est quitte et si on gagne tu nous laisses un moment nous amuser avec ta poule.
En entendant ça, j’ai failli m’étouffer, j’allais répondre à ce gros con quand je vis Rocco rouge de colère se précipiter vers cette montagne de muscles pour se battre, heureusement des soldats se sont interposés.
- Espèce de connard, comment oses tu me parler comme ça, tu m’as pris pour un mac et lui pour une pute ?
- Bah j’irais pas jusque là mais la petite en veut de la bite ça se voit et moi je lui veut que du bien ahahahah et en plus c’est pas ta meuf à ce que je crois , tu fais juste que la sauter alors pourquoi j’en profiterais pas ?
Rocco était encore plus furieux et prêt à se battre.
- Tes vraiment trop nul, même pas en rêve tu te la feras avec ta gueule de gorille, regardes la et va te branler dans les chiottes, c’est tout ce que tu pourras faire.
Pour le coup c’est le « gorille » qui pète les plombs, il faut bien 4 mecs pour le retenir, Rocco furax m’a pris par la main et on partit du cercle sous les cris et les paroles de menace du mec.
- C’est ça barres toi, t’as peur de te faire défoncer la gueule devant ta princesse, mais tu perds rien pour te la prendre ta branlée, je t’aurais et elle je la baiserais avant la fin de semaine.
Sans un mot, très en colère, Rocco me traina carrément derrière lui tellement il pressa le pas vers le local ou il m’avait baisé la veille. Une fois dedans il me jeta sans ménagement sur le lit.
- Eh doucement, calme-toi, tu m’as fais mal, je t’ai rien fais moi, c’est pas parce que t’es énervé après le mec que tu dois passer tes nerfs sur moi.
Je me relève hors de moi pour partir, il a réussi à m’énerver et j’ai pas à supporter son comportement de coq macho. Il m’attrapa le bras et me mis une gifle qui me fit retourner sur le lit, étendue, sonnée les larmes aux yeux et surpris par sa réaction.
- Ou tu vas petite salope ? Tu es venue pour te faire baiser et je peux t’assurer que tu vas prendre cher, surtout après que je me sois embrouillé avec le mec le plus dangereux du régiment à cause de toi pétasse.
Je me suis arrêtée net, bloquée, avais-je bien entendu ? J’avais les larmes aux yeux et mon cœur s’est accéléré d’un coup.
- Tu crois que je n’ai pas compris ton petit jeu au cercle avec Boris ? J’ai vu vos regards complices à tout les 2, tu l’as bien allumé c’est pour ça qu’il a proposé de te baiser, tu es avide d’avoir une grosse queue en bouche et dans ton petit cul ma belle, si tu veux vraiment t’en aller, je ne te retiens pas, mais j’ai le sentiment que tu vas rester, je sais ce que tu veux, alors tais-toi arrêtes de pleurer comme une fille et suce.
Je ne sais trop pourquoi les termes crus et humiliants qu’il venait de me hurler dessus m’ont tout de suite fait mouiller, ma nature de femelle soumise a été plus forte que ma volonté de me sauver, il a descendu son jean faisant apparaitre sa belle bite, perdant toute dignité je me suis mis à quatre pattes et je me suis empressée d’aller la sucer, sa queue était bien dure et bien raide, pour me montrer qui était mon mâle dominant il m’a saisie par mon chignon pour me la faire avaler tout entière en basculant son bassin d’avant en arrière à un rythme fou, j’étais au bord de l’évanouissement proche de m’étouffer avec sa queue.
- Tu vas trop loin, tu me fais mal, ta queue est trop grosse.
- Si t’as mal avec juste ma queue dans ta bouche qu’est ce que ça va être quand je vais te défoncer le cul petite pute.
Sur ces paroles, toujours accroché à mon chignon qui ne ressemblait plus à rien, Rocco utilisa sa puissance d’homme pour me retourner sur le lit, m’enlever mon jean, voyant que je ne portais pas de culotte, mes petites fesses nues cambrées devant lui le rendirent encore plus fou.
- Oh putain, t’es vraiment une salope toi, prête à l’emploi, t’es une chaudasse, je vais grave te faire pleurer et crier.
- Prépares moi avant, s’il te plait tu vas me déchirer et me casser le ….. Haaaaahaaannn… Naaaannn…
Rocco venait de me pénétrer sauvagement sans me laisser finir ma phrase, une sensation de brûlure atroce venait d'envahir mon intimité, je frémis sous le coup de massue, mon cri de surprise se termina en cri de douleur, il venait littéralement de me faite taire avec un coup de bite, je poursuivis mes halètements et couinements alors que Rocco se mettait à me labourer sans se retenir. Il me tirait les cheveux qui étaient complètement défait à intervalles réguliers, faisant basculer ma tête blonde en arrière, j’étais en feu tellement Rocco se montrait dominant, je criais quand je le pouvais, c'est-à-dire quand la main de mon amant ne venait pas se serrer autour de ma gorge, un étouffement faisait frémir tout mon corps, Rocco fort de son expérience de mâle dominant relâcha son emprise, je repris alors mon souffle difficilement, d'autant plus que la bite monumentale continuait d'étirer les parois de mon anus. Il me plaqua brutalement contre le lit, mes petits seins rebondis s'écrasèrent contre celui-ci, je me sentais aplatie, prise en tenaille, mon premier instinct fut de m’extraire de cette situation mais mon excitation était plus forte et je me soumis dans un gémissement plaintif.
A ma grande surprise, mon plaisir en fut décuplé et je sentis l'orgasme anal approcher à grands pas, quelques passages de plus en plus rapide de l'engin gigantesque dans mon anus et je laissais échapper un cri strident de femelle alors que la jouissance me submergeait, mes jambes tremblaient convulsivement, ce qui eut pour effet de m’empaler encore plus profondément sur l'obélisque sur dimensionné de Rocco, celui-ci était enthousiasmé et excité par le spectacle magnifique que je lui offrais.
- Vas-y salope, vas-y, jouis sur ma bite, espèce de cochonne, tiens prends ça.
Grogna-t-il en assénant des coups de boutoir de plus en plus puissants.
- Oooohhh, tu vas me faire jouir salope, Aaaaaaahhhhh.
L'orgasme frappa Rocco et il éjacula en grande quantité alors que je n'en finissais pas de trembler de tout mon corps, je m’écroulais sous le poids de mon mâle, le moment avait été particulièrement intense. Après avoir repris mes esprits, j’avais eu peur, pendant un instant, que Rocco me fasse du mal, il m’avait pénétrée sans prévenir, il m’avait étranglée, me dominant de tout son corps musclé, cependant, j’avais joui comme rarement j’avais joui auparavant et je me doutais que ma soumission devant ce bel étalon y était pour quelque chose.
- Putain t’es trop bonne petite salope, mais j’en ai pas finis avec ta petite chatte de chienne en chaleur et maintenant que j’ai joui une 1ere fois tu vas la sentir passer et longtemps.
En effet, toujours allongé sur mon dos, planté en moi, sa queue reprit de sa puissance, longue et dure, il me remis à quatre pattes pour me reprendre en levrette d’un coup violent et jusqu’au bout.
- Aaaaaaiiiiiiiiihhhhhh.
Je poussais un cri de douleur si strident que les murs en tremblèrent, j’étais en train de tordre les draps dans mes poings alors que Rocco me défonçait avec ses coups de rein, ce dernier avait une vision biblique de mon petit cul martyrisé, qui tremblait au rythme de la baise. Il sentait sa bite bien enserrée au fond de ma chatte bouillante et dégoulinante de son sperme. J’étais en état d'extase absolue, je me faisais prendre par derrière par un Rocco plus en forme que jamais, la bestialité de notre accouplement atteignait des sommets, j’hurlais de toutes mes forces.
- Aaaaaaahhhhh, arrêtes mais arrêtes, tu vas me tuer.
Je n'aurais pas pu décrire la douleur perçante que je ressentais dans son anus, il me ramonait sans ménagement, je voulu crier de nouveau mais Rocco me tenait la gorge, l’homme avait laissé place à l'animal, il a perdu la tête, affaiblie, sans défense, sans même pouvoir lui communiquer quoi que ce soit, je n'avais d'autre choix que de me laisser faire. Cela dura un moment qui m’a paru sans fin, sous les coups de massue, je tentais de penser à autre chose, à quelque chose de moins horrible, mais je ne le pouvais pas, j’étais prise au piège, je me mis à pleurer. Pour une raison que
j’ignorais, mon anus se mettait cependant à ressentir du plaisir malgré la détresse psychologique que je subissais jusqu’à éprouver soudainement un second orgasme anal d'une puissance inouïe, mon cul se resserrait autour de la grosse bite qui me perforait. Rocco, toujours pris dans sa folie sexuelle, avait relâché son emprise autour de mon cou pour me tirer ma longue chevelure blonde, mais je ne pouvais toujours pas prononcer le moindre mot tant j’étais victime d'émotions et de sensations toutes plus contradictoires les unes que les autres. Pourquoi venais-je de jouir alors que je me faisais exploser le cul contre mon gré ? Rocco de son côté, finit enfin par éjaculer tout le sperme qu'il avait, au fin fond de mon cul dévasté.
Il resta ainsi quelques secondes qui semblèrent une éternité, il était aplati contre mon dos, avant de me libérer. Immédiatement, je me levais, me rhabillais en trombe tout en sanglotant, claquais la porte et partis en courant. Lorsque je rentrais au dortoir, je ne vis personne et après avoir pris une douche, j’allais directement me coucher en pleurant à chaudes larmes.
Le lendemain matin , je racontais ma mésaventure aux autres qui me conseillèrent bien sur d’aller porter plainte contre Rocco mais j’en n’ai rien fais, qui va me croire ? Tout le monde est au courant de ma liaison avec lui et dans ce cas c’est parole contre parole et vu ma réputation dans la caserne … J’ai préférer en rester là. Au petit déjeuner Rocco est venu me voir pour s’excuser de son attitude d’hier soir, il avait l’air d’un petit garçon quémandant le pardon, je l’ai laissé parler et à la fin je lui ai demandé froidement de ne plus m’adresser la parole, que je ne pouvais pas lui pardonner et que notre relation était finie tout simplement. La semaine se poursuivit normalement entre cours et entrainement physique, la seule différence c’est que je n’ai plus remis les pieds au cercle le soir, certains militaires s’en étonnèrent auprès de mes camarades de stage, les rumeurs sur les raisons de mon absence allaient bon train, mais je m’en fichais pas mal.
La veille de notre départ, pour fêter la fin du stage, Sharon nous a préparé une petite soirée au cercle ou nous étions tous conviés, je ne pouvais malheureusement pas y échapper et donc je devais faire face aux regards de Rocco, ses potes et tout les autres militaires. Après les mondanités de la cérémonie qui valide notre stage militaire, on a eu droit à des petits fours et champagne, on discutais avec les chefs, nous demandant nos impressions de la vie militaire en caserne pendant cette semaine, après un quart d’heure à faire des sourires à tout ces gradés, je me dirigeais vers la salle de billard ou j’avais aperçu de loin le fameux Boris qui m’avait branché et avec qui Rocco a failli se battre, j’avoue que 5 jours passé au milieu de tout ces mâles virils sans pouvoir en profiter m’a transformé en chienne en chaleur, c’est donc en mode allumeuse tortillant des fesses, jouant avec ma longue chevelure blonde libre tombant dans mon dos, que je m’approchais sourire aux lèvres de Boris qui jouait avec un de ses potes, il me vit arrivé vers eux, s’approche de moi tel un fauve face à une gazelle.
- Eh mais c’est notre petite Barbie Blonde, tu nous a manqué, tu viens prendre un cours de billard ?
- Hihihi, non pas vraiment, la dernière fois je suis resté sur ma faim je suis venu voir si tu es si bon que ça à ce jeu et si tu gagnes toujours.
- Tu vas pas être déçu alors ma belle, assis toi et regardes le pro.
Je me suis alors assis sur un fauteuil comme une groupie le regardant jouer. J’en profitais pour admirer son physique, grand , très grand même, une carrure de géant avec des muscles saillants, des cheveux blond coupe militaire règlementaire en brosse, un sourire carnassier de mâle dominant, des yeux bleus d’acier, il doit être d’origine des pays de l’est et en bonne femelle en manque je remarquais bien sur l’énorme bosse que formait son sexe serré dans son jean, je n’arrêtais pas de le regarder, j’avais vraiment envi de lui et il ne pouvait ignorer mon attirance pour lui. Une fois que son tour de jouer soit passé, il se dirigea vers moi me pris par la main pour me lever du fauteuil, s’assis et me tenant par les hanches me fit assoir sur ses genoux, dans cette position j’ai pu sentir son gros sexe gonflé, j’accentuais la sensation en me frottant comme une chatte mes petites fesses contre son engin, discrètement je lui susurrais à l’oreille.
- Ça tient toujours ta proposition de la dernière fois ?
- Laquelle bébé ?
- Tu sais très bien.
- Dis le moi ma belle.
- Etre la récompense des vainqueurs.
- Bien sur petite.
- Alors si toi et ton pote gagne cette partie, j’accepte d’être votre trophée.
- Huuummm intéressant, gourmande, tu crois que tu pourras assurer avec nous deux.
- Gagne et tu pourras en juger.
- Ahahahah, prépares ton petit cul de pédale alors, je ne perd jamais et encore plus quand il y a un enjeu…comme toi.
La partie se déroula pendant encore une demi heure, pour finir bien sur, par la victoire de Boris et de son pote. Je me levais pour aller le félicité, il me pris par la taille, me présenta son pote Igor qui aurait pu être son frère tellement ils se ressemblaient, il m’emmena ainsi collé à lui vers la sortie suivi de Igor, on est passé devant Rocco qui devait être fou de rage de me voir partir dans les bras de Boris, je le regardais avec un sourire narquois, j’allais passer un bon moment de sexe et en plus je me vengeais de lui, c’est faire d’une pierre 2 coups, c’est le cas de le dire avec mes 2 mâles qui allaient me prendre et j’en mouillais d’avance.
Arrivés dans leur chambrée, ils ne perdirent pas de temps, me demandant de me mettre nu, ils furent bien sur étonné par mon anatomie et le fait que j’ai pas de testicules, ça les a rendu encore plus excités et Boris fut le premier à découvrir sa queue, que je trouvais vraiment à mon goût, longue, dure, énorme, bien raide... Comme une affamée je me dirigeais vers lui, m'agenouillais et pris délicatement l'engin dans ma main, elle était tellement grosse que je ne pouvais pas en faire le tour, je le branlais doucement, le fis languir un peu, avant de commencer à lécher le gland, en l'agaçant de petits coups de langue. Il appréciait visiblement, les yeux mi-clos, la tête renversée en arrière, poussant des grognements de satisfaction, j’étais concentrée sur la fellation que je lui prodiguais, lorsque mon regard tomba sur le membre dressé de Igor nu, ooooh mon dieu, je sursautais de surprise, c'était une des bites les plus grandioses que j'avais jamais vues, Me prenant par les cheveux Boris m’ordonna.
- Occupe-toi un peu de mon pote, il le mérite aussi, c'est aussi grâce à lui si on a gagné et que tu es là.
Je me penchais vers Igor pour prendre sa verge dans ma bouche, le gland à lui seul la remplissait presque totalement, je me dis qu’avec ces 2 mâles j’allais pas m’ennuyer, mais je n'eus pas le temps de réfléchir davantage, Boris se rappela à mon bon souvenir en s’agrippant à mes cheveux, je me retrouvais entre les deux mâles et surtout entre leurs deux tiges dardées, j’étais de plus en plus excitée, je sentais le désir monter en moi, impérieux, et je me mis à lécher, sucer, pomper les deux mats dressés devant moi. J'avais à faire à des partenaires expérimentés et endurants, d’autres auraient éjaculé depuis longtemps sous les caresses buccales et manuelles que je leur prodiguais, j’aspirais leurs glands et les titillais avec ma langue, je malaxais leurs couilles, je mordillais leurs longues tiges, mais pour eux ce n'était que des préliminaires. Lorsqu'ils trouvèrent que ceux-ci avaient assez duré, ils me mirent sur le lit à quatre pattes et m'écartèrent les cuisses pour bien dégager mon petit trou, Igor lança à Boris.
- A toi l'honneur mon pote.
- Tu la veux dans ta petite chatte de pédale ?
- Oh oui vas-y, bien profond, je veux sentir ta grosse queue me pénétrer.
J'étais comme hypnotisée par la superbe verge, immobile à l'entrée de ma chatte, chaque seconde d'attente me paraissait interminable. Boris ne demandait pas mieux que de combler mes attentes, lentement il s'enfonça en moi de plus en plus loin dans ma grotte humide, j'avais la chatte en feu, je criais comme une folle à chaque coup de reins de Boris.
- Je vais changer de position, je vais la prendre sur le dos comme une meuf et tu vas te faire sucer pendant que je la baise, elle va aimer ça, on va la faire gueuler comme une salope.
Boris m’installa sur le lit sur le dos, me fit ouvrir les cuisses toutes grandes, il n'eut pas besoin de me forcer, j'avais trop envie de me faire pilonner la chatte par son énorme bite, je m'empalais sur lui en criant et lorsque mes fesses touchèrent son ventre, Igor s'attaqua à ma bouche, je savourais sa longue tige avec délice en le regardant dans les yeux, j’avais la chatte en feu, je criais comme une folle à chaque coup de reins de Boris, le gland d’Igor s'échappait régulièrement de ma bouche, tant j'étais secouée par les assauts virils de mon mâle en moi. Tout mon corps était tétanisé, mes petits seins étaient devenus durs comme du bois et leurs pointes se dressaient fièrement, une vraie femelle emmanchée brutalement par le dard qui me perforait le fondement et étouffée par la bite qui me baisait la bouche profondément, je ne pus résister plus longtemps un violent orgasme anal me faisant crier comme une fille.
- A mon tour de la faire jouir maintenant.
Boris, beau joueur, alors qu’il n’avait pas éjaculé mesurant son endurance, me prit par les hanches pour se retirer et laisser la place à son ami, j’allais devoir mieux me contrôler aussi pour tenir à ce rythme avec ces 2 incroyables mâles. Igor s'installa face à moi sur le lit, il empoigna mes fesses pour me guider, son gland se fraya facilement un chemin dans mon antre et Boris me présenta sa bite pour que je la suce. Ma chevauchée reprit, à un rythme endiablé, m'arrachant au bout de quelques instants des couinements et des gémissements de plaisir et retrouver sur la tige de Boris les effluves de ma petite chatte, ajoutait au piquant de la situation. Igor ne ménageait pas ses efforts, faisant grimper mes cris dans les aigus, mais je ne m'abandonnais pas à l'orgasme que je sentais prêt à venir, Boris demanda à Igor d’une façon ironique.
- Tu ne sais pas la faire jouir Igor, ahahahah.
- Je suis certain que cette petite tapette est sur le point de prendre son pied, mais elle se retient cette salope, je sais comment une pute doit être baisé.
Igor me fit mettre à genoux, je me cambrais au maximum pour lui présenter mes fesses et il entreprit de me défoncer la rondelle.
- Putain, elle n'attend que çà, d’être prise comme une chienne, tu veux ma queue dans ton petit cul?
- Oooooohhh oui vas-y, je suis ta chienne.
- Dis-le plus fort.
- Oui, oui, je la veux, j'ai envie de la sentir s'enfoncer dans mon petit trou, vas-y.... Ouiii, vas-y.
Il ne fit pas les choses à moitié, il monta sur le lit, me chevauchant comme un chien sur sa femelle pour planter son dard dans mon anus amoureusement préparé. Il plongea sa tige en moi, avec un mélange de force et de douceur, j’avais repris dans ma bouche la verge dressée de Boris, qui étouffait mes plaintes. Mes cris étaient suffisamment révélateurs de mon plaisir et Igor accéléra le mouvement, dans cette position il pouvait pilonner mon cul tout en puissance, s'enfonçant jusqu'aux couilles entre mes fesses et je remuais mes hanches pour l'exciter et mieux goûter cette pénétration animale. Au bout de quelques minutes, je ne pus me retenir davantage de jouir en hurlant, pour ma plus grande satisfaction Igor éjacula presque en même temps inondant mon petit trou et giclant sur mes reins et mes fesses en se retirant. A peine m'avait-il abandonné, que Boris réclamait sa part, j’avoue que malgré ce deuxième orgasme anal, je n'étais pas rassasiée et je me demandais, pendant une fraction de seconde, si je n'étais pas devenu nymphomane. Mon nouveau partenaire ne me laissa guère de temps pour ces réflexions philosophiques, il souleva ma cuisse pour libérer l'accès à mon petit orifice encore tout dilaté et son énorme gland s'y engagea sans la moindre difficulté. Igor me présenta sa queue immaculée de son sperme et de ma mouille anale.
- Suce-moi petite pédale, tu n'en as pas fini avec moi.
Sentir ces deux mecs bien montés me pénétrer par tous mes orifices, j’en arrivais à me féliciter d’être une salope. Boris me sodomisait plus brutalement qu’Igor, à grands coups de reins utilisant son physique de géant pour maltraiter mon petit corps de fille, mais il estimait qu'il ne me défonçait pas encore assez fort à son goût et il me fit à nouveau changer de position. Allongée sur le dos, il me força à remonter complètement mes jambes contre ma poitrine, dans cette posture mes fesses étaient écartées au maximum et il pouvait s'enfoncer encore plus profondément dans mon ventre. Là, ce fut un festival, son énorme pieu entrait et ressortait presqu'entièrement de mon petit trou à un rythme fou, je feulais, couinais, criais, l'intensité de mes sensations faisant même couler quelques larmes sur mes joues, mais je parvenais encore à refouler l'orgasme qui montait en moi.
Boris savait comment vaincre cette résistance, il s'allongea et me fit venir sur lui, mes pieds en appui sur ses cuisses je m'assis et je m'emmanchais sur son mât. Dans un premier temps il me laissa imprimer mon propre rythme à sa pénétration, ce fut moi qui me déchaînais, je me lançais dans une chevauchée furieuse, jouant à exacerber mon désir. Boris ne me laissa pas atteindre le point de non-retour.
- Igor, baise-là en même temps, elle va s'en rappeler de son passage chez nous cette tapette.
- Nooonnn pas ça, svp, vous avez des queues trop grosses, vous allez me déchirez.
Igor, qui bandait de nouveau, sans s’occuper de mes plaintes et mes larmes, vint se placer contre mon dos entre mes fesses, pour investir mon petit trou, j’ai criée et pleurée à la limite de l’évanouissement, Boris se trouvait immobilisé sous mon corps secoué par les coups de boutoirs d’Igor, je sentais leurs tiges coulisser dans mon étroit fourreau à la cadence des allées et venues de plus en plus rapide labourant ma fente. Malgré la douleur que j’éprouvais, je le savais, l'orgasme n'était pas loin et il m'emporta dans un tourbillon de sensations.
- Ouiiii, ouiiiii, ça vient. Oooooh mon dieu c'est troooop bon, je jouis. Oh, quel pied. Ouiiiii.
Je n'en finissais pas de hurler, mes cris décuplaient l'ardeur de mes partenaires, s’enfonçant encore plus profondément dans ma rondelle explosé, je ne fus plus qu'un jouet dans leurs bras musclés, femelle soumise, impuissante, j'étais ballotée au gré de leurs mouvements, mon orifice coulissant sur les engins qui le perforaient, c’était un moment d'érotisme pur, brut, animal, bestial, j'éprouvais des sensations indescriptibles et je goûtais cet instant en feulant. Mes deux amants, quant à eux, atteignaient enfin le septième ciel, je sentis les deux tiges se gonfler, se contracter, trembler, et enfin de longs jets de foutre vinrent inonder ma caverne d’amour ouverte.
- Oh putain qu’est ce qu’on t’as mis dans la chatte ma salope.
- Tu m’étonnes mon pote, on lui a explosé la chatte, elle va pas pouvoir marcher normalement avant un bon moment.
Encore tout fiers de leur performance, ils se retirèrent de moi en même temps, me laissant toute pantelante allongée sur le lit, mon trou ouvert d’ou s’écoulait une rivière de sperme, mon dieu, ils m’ont carrément inondé de leur jus de mâle. Boris me prit par les cheveux et me présenta sa queue.
- T’as pas encore fini ma belle, tu vas nettoyer nos queues qu’elles soient toutes propres.
Ce que je fis nettoyant une à une leurs bites à peine débandées maculées de sperme, une fois sa queue nettoyée par ma salive, Igor eu une idée, m’empoignant ma longue chevelure, il l’utilisa pour s’essuyer la queue avec.
- Depuis la 1ère fois que je l’ai vu avec ces longs cheveux blonds, je rêvais de faire ça ahahahah.
- T’as raison mec, c’est super kiffant de se branler la bite avec ses cheveux de princesse.
Je restais un moment allongée sur le lit souillée de sperme avant de me relever difficilement, fatiguée, tellement mon cul me faisait mal et mes jambes me portant à peine, je m’habillais et Boris me raccompagna vers mon dortoir après m’avoir roulé une pelle et me dire qu’ils m’ont trouvé super bonne à baiser et que si je voulais le revoir il me laisse son 06. Ah ces mecs tous les mêmes, ils se pensent irrésistibles et indispensables après nous avoir montrer leur puissance de mâle viril, s’ils savaient que pour nous les femelles, une queue aussi belle soit elle est remplaçable sans aucun problème.
Le lendemain matin l’heure du départ arriva, ma semaine militaire a été pleine de sensations différentes, moi qui pensait perdre mon temps ici, entre ces 2 femmes qui m’ont prise comme une lesbienne avec des godes ceintures, un mec monté comme un âne qui m’a défoncer la chatte comme une bête en m’humiliant et enfin hier soir me comportant comme une salope nympho me faisant prendre en double sodo par ces 2 mâles puissants et virils, quelques jours de repos me feront le plus grand bien à moi et à mon petit cul, avec les « copines » on se dit au revoir et chacune retrouvait son chez soi et prêtes à accomplir de nouvelles missions…
GwenBlondinet
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