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Premier épisode | Épisode précédent

Agent Spécial Gwenael | 8

Stage Commando 1

Aujourd’hui je suis convoqué au bureau par grand mère, je débute des vacances scolaires qui vont durées 2 semaines et je comptais bien en profiter en mode farniente et soirée, mais malheureusement la convocation du service ne présage rien de bon pour moi, je m’attend à une nouvelle mission délicate, surtout pour mon petit cul !!!

Dés mon entrée dans le bureau de la boss, je suis étonné car on est que tout les deux.

- Assis toi ma belle, comment se passe ta vie en ce moment ?

- très bien merci, tout se passe bien.

- Tu as récupéré de ta dernière mission ?

- Oui ça va, je commence à m’habituer à cette vie.

- Bon arrivons directement au fait et pourquoi tu es là, tu es parmi nous depuis maintenant 2 ans et on c’est rendu compte que tu n’a pas encore été en formation chez les commandos, comme tu es en vacances scolaires, on a pensé que c’était le bon moment pour cette formation spécifique.

- Formation commando ? Mais grand mère pourquoi j’aurais besoin d’une telle formation et en plus avec mon physique je vais pas tenir.

- T’inquiètes pas princesse, la formation se passe dans une base de commandos mais elle consiste surtout à te former aux techniques basiques de survie dans la nature, camouflage, self défense et différentes autres techniques qui pourront te servir en mission. En plus tu seras pas la seule minette, vous serez en tout 5 agents du service LGBT.

- Ah là c’est cool, je pourrais enfin rencontrer des « collègues » lol et le stage commence quand ?

- Demain matin tu reviens ici et on vous emmène toutes à la caserne, attention princesse, c’est pas une colonie de vacances pour ados, tu vas en baver pendant une semaine et ne penses pas que parce que tu ressemble à Miss France, tu auras des faveurs, au contraire personne ne te fera de cadeau, alors t’as intérêt à assurer et à être sérieuse.

- Oui je sais, ça ne m’emballe pas du tout mais je suppose que j’ai pas le choix.

- Exactement, la seule chose positive pour toi, c’est que tu vas côtoyer les plus beaux mâles de notre armée.

- Bah c’est pas vraiment pour me rassurer, ce genre de gros machos super lourds, c’est pas vraiment mon genre.

- Ahahahah c’est sur que tu vas y avoir droit, mais bon t’as pas qu’à être aussi belle et sexy. Bon allez tu peux disposer, je te souhaite une bonne semaine et ne me déçoit pas ma belle.

Je sortie du bureau complètement dépité, une semaine à jouer le soldat habillé en treillis et crapahutant dans la boue, c’est déprimant.

Le lendemain matin, on se retrouve dans la salle de réunion, mes 4 collègues et une femme en uniforme de l’armée qui pris la parole.

- Jeunes gens, je me présente, Capitaine Sharon, je serais pendant cette semaine votre instructrice en chef, pendant votre séjour chez nous, on m’a demandé de vous inculquer des notions militaires qui vont vous servir dans vos futures missions, en contre partie je vous demanderais de la discipline, de l’obéissance et de la rigueur, je serais intransigeante sur ces domaines et si c’est pas le cas je vous ferais vivre les pires moments de votre vie.

Oups !!! ça commence bien comme entrée en matière, elle a pas l’air de rigoler et tout ça avec un regard froid qu’on a pas envie de contredire.

- J’ai regardé vos dossiers et vos profils, comme vous allez vivre au milieu des hommes commandos de la caserne et pour garder l’anonymat qui prévaut dans vos fonctions, je vous ai attribué des pseudos qui me semble être le plus proche de votre personnalité ou votre physique, vous le garderez tout au long de votre formation, ah au fait une dernière chose, pour moi vous n’avez rien de commun avec des hommes, vous êtes des femelles, alors je m’adresserais à vous comme à de jeunes filles.

On était tous interloqués et surpris, attendant le pseudo qu’elle allait nous affubler. Elle s’avança vers le premier, il était grand, fin, élancé, les cheveux courts façon garçonne, avec de magnifiques yeux verts, une allure de mannequin féminin.

- Toi, comme tu es grande et fine, tu seras Liane.

Le second, un petit blond mécheux, très frêle.

- Pour toi petite tu me rappelles un chanteur à minette, tu seras Justine.

Le troisième, un asiatique au visage de poupée.

- Toi vu tes origines, je me suis pas cassé la tête, ce sera Asia.

Le quatrième un magnifique black au corps félin de danseur.

- J’ai vu dans ton dossier que tu aimais les chats ma petite chatte, alors tu seras Caty.

Elle arriva vers moi, plongea son regard d’acier sur moi, touchant mes cheveux.

- Quand à toi, tu ressemble tellement à une fille et avec ta longue chevelure blonde, j’ai pas hésité un instant, tu seras Barbie, petite poupée.

Voila comment elle me voit, comme une poupée barbie, ça promet pour le séjour, surtout à la façon de me regarder.

- Allez les filles, en route vers la caserne.

2 heures plus tard on arriva à la base des commandos, ou on va passer une semaine à jouer aux soldats, à propos de soldats, un groupe de jeunes militaires se trouvent là devant le bâtiment ou notre véhicule s’arrête, à notre descente, nous avons eu droit à quelques remarques sexistes grivoises et à des sifflets, malgré cette attitude machiste et vulgaire, je dois bien avoué que certains étaient pas mal du tout, la capitaine Sharon plomba l’atmosphère en les regardant d’un air sévère en s’adressant à eux.

- On se calme les enfants, vous vous croyez ou ? En plus ces demoiselles sont des tapettes alors ranger vos hormones et rejoignez votre unité, plus vite que ça…

Les mecs tout penauds, se pressèrent et allèrent courir vers le gymnase, un garçon en particulier me regarda intensément et me fit un clin d’oeil en souriant.

- Et vous les filles, en avant , on a pas toute la journée, on a du boulot.

On a commencé par une pièce ou on nous donna notre paquetage, comportant nos habits, nos bottes et certains matériels militaires. Ensuite on nous emmena dans notre dortoir, chacun d’entre nous devant notre lit, on déballa nos affaires et on s’apprêtait à se mettre en tenue, quand capitaine Sharon m’interpella.

- Eh Barbie, toi tu viens avec moi, tu vas commencer par passer la visite d'incorporation dans le commando, ensuite tu rejoindras ton unité dans le dortoir pour te changer, les autres, en attendant que votre copine revienne vous avez temps libre pour vous préparer.

- Mais pourquoi moi ?

- Tu es une nouvelle recrue, les autres ont déjà passé la visite lors de leur dernier stage, et puis arrêtes de poser des questions, j’ai pas de temps à perdre.

C'est à peine si mes collègues me prêtèrent attention, Sharon me prit par Le bras et m'entraîna rapidement dehors vers le bâtiment médical. Je commençai à flipper, mais Sharon ne me laissa pas le temps de réfléchir, elle me poussa vers une pièce dans laquelle un bureau était aménagé.

- Lieutenant, je t'amène Barbie, une nouvelle recrue.

Une femme en uniforme, l'air peu avenant me dévisagea de la tête aux pieds, Sharon me mis une claque sur les fesses en rigolant et s'éclipsa aussitôt.

- Montre-moi tes papiers ma belle je dois vérifier que tu es majeure.

Elle examina mon passeport sous toutes les coutures, avant de m'ordonner.

- Déshabille-toi entièrement, tu dois te soumettre à un examen physique et à un test, avant d'être intégrée au commando, et d'être autorisée à participer aux exercices.

Malgré mon malaise et ma surprise des premiers instants, je trouvais finalement la situation amusante, je rentrais dans le jeu, et je commençais à me dévêtir.

Marie, mon examinatrice m'observait avec un regard froid, comme un médecin, mais je sentais, dans ses yeux, une lueur plus érotique, surtout lorsque j'enlevai ma culotte, dévoilant mon pubis épilé ou pendait ma petite vergette sans testicules.

- Très étonnant, mets-toi debout, que je puisse voir ça de plus près.

Elle se leva elle aussi, et commença à me palper, cherchant à évaluer la fermeté de mon corps et de mes muscles, elle insistait adroitement sur des zones érogènes, mon pubis, mes fesses et ma petite poitrine de fillette.

- Tes seins sont naturellement fermes, mais j'ai l'impression que ça t'excite de te faire toucher, tes pointes se dressent et sont tout durs.

Je me gardai de répondre, et elle poursuivit son examen.

- Allonge-toi maintenant.

Me sentir dirigée ainsi faisait naître en moi une excitation nouvelle, et effectivement les pointes de mes seins saillaient encore plus.

- Écarte les cuisses, que je vérifie si ton petit trou est bon pour le service, c’est l'arme principale d'une combattante de ton genre.

Je posai mes pieds sur le bord de la table d'examen, et j'écartai mes petites fesses, je sentis ses mains découvrir ma fente.

- Bien, maintenant, nous allons procéder au test, mets-toi à genoux, je vais faire venir mon assistante.

Pendant que je m'installais, Marie ouvrit une porte donnant sur un autre bureau, et appela.

- Sergent ! Viens par ici, on a une nouvelle recrue à évaluer.

Une brune, aux cheveux longs, attaché en chignon entra dans la pièce, et salua sa supérieure, elle était en uniforme, mais je remarquai tout de suite sa veste ouverte sur ses seins nus.

- Regarde, tu as vu ce cul ? J'ai l'impression qu'elle sait s'en servir, mais tu vas vérifier qu'elle est suffisamment résistante pour faire face aux assauts de nos adversaires en mission.

Tout en parlant, elle écartait mes fesses, pour montrer mes fesses et mon petit trou, mais que vont elles me faire.

- Tu vas voir poupée, notre sergent est passée maître dans l'art de se servir d'un gode ceinture, elle va te baiser le plus longtemps possible, jusqu'à ce que tu demandes grâce, sache que, si tu es faite prisonnière par des hommes, tu devras t'attendre à passer à la casserole, surtout foutue comme tu es ma poulette.

Nous étions entrées dans une autre pièce, dans laquelle se trouvait un lit et un canapé, pendant qu'elle me parlait, la sergent qui se prénommait Katia se mettait nue, avec un sourire gourmand, manifestement, elle prenait du plaisir à remplir sa mission avec moi. Je regardais, incrédule, le gode qu'elle fixait autour de sa taille, c’était un engin impressionnant, d'une longueur incroyable.

- Ca t'excite ma puce, de prendre ça dans ta chatte de tarlouze.

- Je me demande surtout si je vais pouvoir l'accueillir sans avoir mal.

Je m'allongeais sur le lit, en empoignant la longue tige, fabriquée dans une sorte de résine à la fois souple sous mes doigts, et très rigide. Je m'appliquais à enduire de salive l'extrémité du gode, mais Katia vint à mon secours.

- Allons je ne suis pas une sauvage comme même, je ne vais pas te pénétrer sans préparation, je n'ai pas envie de faire souffrir une princesse aussi belle que toi, allonge-toi.

Je compris tout de suite ce qu'elle avait en tête, je m'allongeai sur le ventre en écartant les jambes, elle plongea sa tête entre mes cuisses, je sentis aussitôt sa bouche et ses doigts s'emparer de mon trou, l'explorer, l'exciter, elle écartelait mes petites fesses, pour lécher mon petit oeillet rose et accéder à ma fente.

- C'est qu'elle doit aimer ça, elle est déjà toute trempée et ne demande qu'à s'ouvrir.

Marie installée sur une chaise, déclencha un chronomètre.

- Parfait, maintenant, vas-y ! On va voir combien de temps elle tient la Barbie.

Katia me releva, me mettant à 4 pattes, les reins bien cambrés, pour mieux accéder à ma fente, je vis le gode avancer entre mes fesses, et je le sentis pousser entre mes petites lèvres pour les écarter.

Je me mordais les doigts pour ne pas crier, quand il s'enfonça en moi, il était vraiment énorme, mais ces préliminaires m'avaient excitée.

- Waouh ! elle doit vraiment aimer la baise, j’ai rarement pu pénétrer aussi facilement une pédale avec ce truc... Et regardez lieutenant, elle commence déjà à gémir de plaisir.

En effet, je ne cherchais même pas à m'en cacher, me faire pilonner le trou par Katia et son superbe gode me procurait des sensations indicibles, pendant que Katia continuait de défoncer mon minou, et que j'astiquais ma petite vergette. Malgré mon état d'excitation, je pris conscience que j'étais évaluée sur ma résistance, il fallait donc que je me contrôle, et que je fasse durer le plaisir le plus longtemps possible, un peu comme l'aurait fait un mec lorsqu'il se retient d'éjaculer, j'essayais de penser à autre chose lorsque je sentais l'orgasme anal monter.

Marie surveillait son chrono, surprise de ma résistance, et Katia changea de position, elle s'assit, et me fit venir sur elle, elle n'eut même pas à me guider, de moi-même, je vins m'empaler sur le gode dressé comme un mât. Je poussai un cri aigüe lorsque l'engin s'enfonça au plus profond de mon ventre, c’était trop bon, je m'abandonnai à la vague qui montait doucement au creux de mon ventre, et je me mis à me soulever et me laisser retomber, frénétiquement, sur l'énorme olisbos, je ne pensais plus qu'à mon plaisir, et la jouissance me tétanisa, m'arrachant un long cri de femelle comblée.

- Tu en as assez ?

- Oh non, j'ai encore envie de sentir ce gros truc dans ma petite chatte.

- Compte sur moi, petite salope.

Katia m'empoigna comme une poupée et me colla contre le mur, je compris immédiatement ce qu'elle avait en tête et je me cambrai, elle s'enfonça de nouveau en moi, d'un grand coup de reins. Mon premier orgasme m'avait un peu calmée et j'avais repris le contrôle de mon plaisir, sous les coups de boutoir de ma partenaire, je le laissai monter de nouveau, ponctuant mes sensations de couinements plus ou moins sauvages, mais je parvenais à me retenir.

- Elle se retient de jouir, ça se voit, essaie de changer de position et sois plus violente, on verra bien comment elle réagit cette salope.

Katia me jeta littéralement sur le lit en position de levrette, à genoux derrière moi, elle commença à forcer l'entrée de mon petit cul, j’écartais mes petites fesses pour faciliter la pénétration.

- Ele est prête, vas-y, défonce la.

Katia exécuta aussitôt l'ordre de sa supérieure, avec zèle, elle se plaça derrière moi, et enfonça la longue tige épaisse dans mon anus, avec force. Je poussai un long hurlement, qui laissait planer le doute, était-ce une plainte, ou un cri de plaisir ? Katia n'en avait plus rien à faire, et commençait à aller et venir au plus profond de mon ventre, chaque mouvement provoquant une sorte de décharge électrique dans l'entrée de mon étroit fourreau. Bientôt, mes gémissements ne laissèrent plus de place au doute, j’étais en train de prendre un pied d'enfer.

- Elle ne va jamais se calmer, cette pute, il va falloir que l'on s'y mette à deux.

En levant la tête, je vis qu'elle était en train de se déshabiller. Elle avait un corps vraiment superbe musclé à souhait, sa vue et imaginer ce qui m'attendait, m’excitaient tant qu'un orgasme violent, imprévisible, me surprit. J'étais là, haletant, tandis que Katia continuait de défoncer mon anus. Pendant ce temps, Marie avait installé autour de sa taille un autre gode ceinture, d'un diamètre impressionnant, me montrant la tige sombre dressée sur son bas ventre.

- Tu as envie de goûter à celui-ci ?

- Oh oui…je ne suis pas encore rassasiée.

- Laisse-la moi un moment, Katia et récupère un peu, on la finira toutes les deux ensemble.

Katia était, elle aussi, essoufflée et commençait à être fatiguée de dépenser tant d'énergie pour me faire jouir, elle m'abandonna et Marie me plaqua sur le dos contre le matelas, elle m'embrassa à pleine bouche, sauvagement et souleva une de mes cuisses, mes fesses calées dans ses bras, elle plia un peu les genoux et me pénétra en se relevant. Elle me fit l'amour longtemps, dans cette position, heureusement, j'avais un peu repris mes esprits et je me contrôlais de nouveau. Marie me procurait des sensations délicieuses que je savourais tout en me retenant pour ne pas jouir, ma résistance exacerbait son désir et je sentis le gode perforer encore plus ma fente dégoulinante pendant que ses lèvres s'écrasaient sur les miennes. Elle aimait manifestement m'embrasser et s'y prenait très bien, sa langue jouait avec la mienne sa salive parfumée coulait doucement entre mes lèvres.

- Tu aimes ce qu'on te fait, hein, petite salope ?

- Attends, on va changer de position.

Elle s'allongea sur le lit et me fit venir sur elle, écartant mes fesses tout en suçant les pointes dardées de mes petits seins et elle n'eut même pas à me guider pour que je vienne m'emmancher sur son gode. Je m'empalais franchement en couinant, jusqu'à ce je sente la ceinture en cuir toucher mon trou boursouflé, je commençais à me soulever en appui sur mes bras et sur mes jambes, pour faire coulisser ma chatte sur le faux pénis. Je me laissais retomber lourdement pour mieux recommencer, mais au bout de quelques instants des mains se posèrent sur mon petit cul. C'était Katia qui, en pleine forme, revenait à l'assaut, ses intentions étaient évidentes et je me cambrais, alors je sentis l'extrémité de son gode glisser dans la raie de mes fesses pour s'introduire aussi dans ma rondelle. A partir de ce moment, je ne sais plus exactement ce qui s'est passé, les deux femmes se sont déchainées et je n'étais plus qu'un jouet entre leurs mains. Si je m'étais déjà fait prendre en sandwich par des hommes, je découvrais un nouveau plaisir, de nouvelles sensations sous les assauts de Marie et de Katia, la dureté et la résistance des godes dépassaient tout ce que deux mecs, même endurants, m'avaient apporté jusqu'à présent. Je me souviens d'avoir eu plusieurs orgasmes, criant et pleurant sous l'intensité de la jouissance.

- Je vous en prie... Je n'en peux plus.

Mon orifice brûlant était maintenant douloureux, Katia eut pitié de moi, mais Marie me sodomisa encore un moment, jusqu'à ce qu'elle jouisse aussi, enfin, elle se retira et je me redressai un peu, courbaturée, épuisée.

- Pouvez-vous me dire si mon test est concluant ?

- Bien sur ma belle, cela fait longtemps que je n'ai pas vu une recrue de ton niveau.

Marie me ramena dans ma chambrée, me demandant d’aller prendre une douche et de nous préparer pour aller au réfectoire pour déjeuner et rejoindre Sharon, avant de quitter la pièce.

Liane, ma voisine de lit, me lança avec un petit sourire en coin.

- Si j'en juge par tes yeux cernés et ta démarche, tu viens de subir le test d'incorporation, t’as du prendre cher ma chérie.

- Oh oui, ce n'était pas du tout désagréable, mais j’avoue que j’ai le trou explosé comme jamais.

- Tu dois avoir le cul en feu, ma pauvre, la douche va te faire du bien c’est sur.

Une fois tout propre, je m’habillais en tenue militaire comme les autres et nous allions ensemble vers la cantine.

Notre entrée dans le réfectoire n’est pas passé inaperçu, une vingtaine de militaire était présent, dont le petit groupe de jeunes qui nous avaient accueillis à leur manière ce matin. Un silence se fit à notre arrivée avant que Sharon assise à une table qui visiblement nous attendait, nous appela.

- Eh les minettes, venez ici je vous ai réservé une table.

Evidemment, nous faire appeler « minettes » a eu l’effet de faire rire tout ses machos en uniforme, ainsi que certaines remarques grivoises. En passant devant la table des jeunes, celui qui m’avait fait des clins d’oeil, me matait avec insistance avec son sourire de mâle dominant sur de son charme, c’est vrai que sur ce que je pouvait en voir, il était pas mal du tout, alors moi aussi j’ai soutenu son regard avec mon sourire d’allumeuse et ma démarche de chatte tout en jouant avec ma longue chevelure blonde. Mon attitude a été remarqué par Sharon qui quand je me suis assis m’a fait remarqué que je n’étais pas dans un défilé de mode et qu’elle ne voulait plus me voir les cheveux détachés, que je devais me coiffer avec un chignon. Après une explication sur notre programme de l’après midi, Sharon nous laissa déjeuner seuls à notre table avec tout ces regards braqués sur nous comme si on était des bêtes de foires pour ces messieurs. C’est vrai qu’on ne peut pas trouver plus homophobes dans l’âme que des militaires dont la virilité masculine est la base même de leurs valeurs, alors imaginez, voir arriver dans leur antre, 5 petites tapettes comme ils disent, certains sont amusés et même parfois excités et d’autres au contraire nous voient comme des anomalies de la nature et leurs regards sont au mieux méprisant et au pire méchant et haineux. Quand à nous on profitait de ce déjeuner pour se présenter et faire connaissance, chacun parla de soi de ce qu’il faisait dans la vie tout en gardant une certaine distance pour ne pas trop en dévoiler. J’étais le plus jeune avec mes 20 ans, le plus vieux était Liane qui avait 33 ans, les autres avaient 25, 27 et 28 ans et avaient déjà effectué un stage commando et donc avaient du subir l’examen médical bien particulier, ils comprenaient, en se moquant un peu de moi, mes difficultés à marcher normalement et à m’assoir sans grimacer. Une chose en moi les intriguait c’est mon physique 100 % féminin, j’étais donc obligé une fois de plus de raconter mon histoire. Une fois le déjeuner finis, on rangea chacun son tour nos plateaux repas, on allait pour sortir quand le groupe de jeunes vint nous accoster, le BG qui m’avait mater pris la parole.

- Bonjour, avant qu’on retourne tous à nos activités, on c’est dit avec les potes qu’on pourrait se voir ce soir au cercle militaire, pour vous souhaiter la bienvenue et qu’on puisse faire connaissance autour d’une bonne bière, la musique et l’ambiance sont cool vous verrez, si on dit vers 9 heures ça vous va ?

Liane étant le plus âgé et aussi un peu le chef auto désigné de notre groupe lui répondit.

- Bah pourquoi pas ça pourrait être sympa de s’intégrer dans votre caserne, vu qu’on est là pour une semaine, on va en discuter et on se reparle au diner ok ?

- Cool ça nous va, bon j’espère que vous direz oui, bon aprèm les « filles » et à ce soir.

« Les filles » ? malgré son charme et son charisme naturel, sa voix et son physique d’athlète, il se comporte en vrai macho et nous considère comme des femelles, mais j’avoue qu’il me fait un effet fou et si là maintenant devant tout le monde il m’emmenait dans un coin pour me sauter, je ne m’y opposerait aucunement, hihihi, je sais mon coté salope revient au galop mais que voulez vous on ne se refait pas.

L’après midi a été très studieux, en classe consacré à l’histoire et au technique d’espionnage en France, interessant mais parfois trop scolaire et pas assez concret, je sais par ma petite expérience que sur le terrain les choses ne sont pas comme dans les livres… On a eu droit à une pause de 15mn entre les cours, on a été prendre l’air et on a pu voir les garçons qui nous ont abordé en pleine action physique sur le stade, à faire des exercices qui mettaient en valeurs leurs musculatures, un vrai plaisir pour les yeux.

Après une journée longue et fatigante, on était tous d’accord pour aller nous amuser un peu et accepter l’invitation pour se rendre au cercle.

Sharon, après avoir donner la consigne de rentrer dans notre dortoir avant le couvre feu de 23 h, nous a prévenu des intentions des mâles de la caserne qui étaient prêt à s’occuper de nos petits culs de tapettes comme elle disait, on se regardait tous avec un petit sourire complice, cette perspective ne nous inquiétait pas bien au contraire.

Notre apparition entraina de la surprise, de l’étonnement, quelques commentaires et même des insultes plus ou moins élégantes, du genre « Ah voila les tapettes », « on peut même plus être tranquille entres hommes », « remarquez les gars, moi ça fait 15 jours que j’ai pas baisé et un cul et un cul alors je me taperais bien un de ces pédés, surtout les 2 petites blondes », cette dernière remarque était destiné à Justine et à moi, on était vraiment mal à l’aise quand le garçon qui nous avait invité vint à notre rencontre.

- Ah vous êtes la, content de vous voir, je ne pensais pas que vous acceptiez de venir, les copains se foutaient de moi en prétendant que vous alliez nous poser un lapin.

Liane prit la parole.

-Non, pas du tout, on a un peu de retard, tu sais comment on est nous autres, on a toujours besoin de nous faire une beauté avant de sortir.

Il nous proposa de rejoindre son groupe et de nous offrir un verre, avant de nous présenter à toute sa bande, c’était des jeunes recrues futurs commandos des forces spéciales, l’élite de notre armée, ils avaient eux aussi des pseudos pendant leur formation, dont IceMan un géant blond style viking, Baobab un noir plein de muscles, Bull un véritable petit taureau… et bien sur le bg du groupe grand brun yeux verts un look de mannequin physique de rugbyman qui a pour pseudo Rocco.

J’étais assis à coté de Rocco qui engagea la conversation avec moi, on parla de tout et de rien, dans ses regards, ses commentaires sur ma beauté féminine, mes beaux yeux bleus, ma belle chevelure blonde et ses gestes câlins sur mes mains, mon bras et ma cuisse, il n’y avait pas d’ambiguïté, il me draguait carrément et sans le cacher, sûr de son charme, le genre de mec qui a l’habitude qu’on lui résiste pas.

- Dis moi Barbie, je peux te poser une question indiscrète.

- Vas y, je verrais si je peux y répondre.

- Il y a des rumeurs qui disent que tu ne serais pas un vrai mec, qu’en fait tu n’as pas de testicules, c’est vrai ?

- Je suppose que cette rumeur vient des infirmières, je n’ai rien à cacher, je te confirme que je suis un garçon avec un sexe de garçon et oui à cause d’un accident je n’ai plus de testicules, alors oui tu as raison je ne suis pas un mâle, mais ça tu l’as remarqué non ?

- Ah ah ah ah, non seulement tu es très « belle » mais je vois que tu as beaucoup d’humour.

- Puisqu’on est dans les confidences, je peux te demander pourquoi on t’as donné le pseudo de Rocco ?

- Ah ah ah, à ton avis ? Tu connais l’acteur porno Rocco Sifredi ?

- Euh oui, enfin de réputation.

- Ben voilà, tu as ta réponse ma belle.

- Prétentieux, tous les mêmes ces mecs hihihi.

Il se rapproche doucement de mon oreille, un sourire de mâle alpha au lèvres et me dit tout bas.

- Il ne tient qu’à toi de vérifier si ma réputation est vrai.

Sans attendre ma réponse, il me prend par la main, me lève de ma chaise et dit aux autres.

- Désolé de vous quitter les amis, mais j’ai promis à Barbie de lui faire visiter nos installations.

Nous quittâmes la table sous les sourires complices de ces potes et sous les regards envieux de mes « copines », Liane en bonne chef de groupe dit à Rocco.

- N’oublies pas de nous la ramener au dortoir avant le couvre feu.

On traversa la salle ensemble avec des remarques plus directes des autres militaires du genre : « Eh Rocco, vas y doucement avec la petite blonde, vas pas la casser le 1er jour », ou encore « avec un petit cul comme le sien, elle va prendre cher la tapette, on va l’entendre crier dans toute la caserne », évidemment ça faisait rire tout ces beaufs de militaires…De mon coté face à ces réactions machistes, je me faisais provocant roulant encore plus mon cul bien moulé dans mon jean slip et faisant voler ma longue chevelure pour les exciter encore plus ces gros nuls.

Dehors il me prit par la taille et en silence il m’emmena vers le fond du parc devant un petit bâtiment, il sortit une clef de sa poche, ouvrit la porte et dans un geste chevaleresque.

- Si mademoiselle veut bien se donner la peine.

Je rentrais dans le local ou était entreposé du matériel radio, il me conduit vers une salle au fond, c’était une petite chambre avec un lit et un coin douche, toujours derrière moi il ferma la porte.

- Ok, c’est là que tu emmènes tes conquêtes ? Très romantique.

Il me retourne face à lui, il me tient par les hanches, se colle à moi, nos visages tout proche.

- Seulement celles que je respecte, elles ne sont pas nombreuses, les autres je les baise dans des coins à la sauvette, mais toi tu es une princesse Barbie.

Sur ces mots qui pourraient paraître sortis du dictionnaire du parfait play-boy de base et qui en tant normal et avec un autre que lui, m’auraient fait rire, là je me laissais ploter les fesses, avant qu’il ne prenne ma bouche dans un baiser tendre et fougueux à la fois, premier bon point pour lui il embrasse divinement bien, enfonçant sa langue, prenant possession de ma bouche, je devais être rouge tellement ce long baiser m’a coupé le souffle. Il lâcha son étreinte buccale, me caressa le visage et les cheveux, son regard perçant dans le mien, me dit d’un ton direct du mâle dominant sa femelle.

- On passe à la vérification bébé.

Il me poussa sur le lit, me retrouvant assis face à la partie de son anatomie qui me faisait tant fantasmé. Doucement, timidement comme une petite pucelle lors de sa 1ere relation, je sais c’est étonnant vu ce que vous savez de moi…Mais là, j’avoue que le mec m’impressionne énormément et je suis super curieux de ce que je vais découvrir. Allez je me lance, je commence à défaire son pantalon qui tombe sur ces chevilles, apparait alors une bosse monstrueuse moulé dans son boxer, qui ne demande qu’à jaillir. Avant de libérer la bête, je commence à la branler avec mes petites mains, sentir au touché sa longueur, sa largeur et sa dureté, je suis pas déçu, pas encore totalement en érection, elle atteignait déjà une dimension ahurissante, au repos elle était la plus longue et la plus épaisse que celle de la plupart des mecs avec qui j’ai couché, en tout cas chez les blancs, je n’en avait jamais vu comme celle là. Une fois avoir libérer le monstre, je restais là, sans bouger, comme hypnotisé, juste à regarder de longues secondes cet énorme sexe qui grossissait à vue d'œil, se dressant de plus en plus haut, mon visage à quelques centimètres de ce gland qui semblait m’appeler.

- Waoooo, elle est énorme, tu ne m’avais pas menti, elle fait combien ?

- Ben en pleine érection elle fais plus de 30cm de long et 6 de diamètre.

- Oulala, mais c’est une bite de black que tu as là.

- Ah ah ah ah vas-y ma belle, fais toi plaisir, je vois bien que tu en meurs d'envie.

J’effleurais d'abord le pénis du bout des doigts, puis m’approchais encore, je m’agrippais à ses cuisses et donnais quelques timides coups de langue sur le gland, m’enhardissant, je léchais ensuite cette grande tige sur toute sa longueur, Rocco était aux anges, il grognait de plaisir.

- Huuumm, oui continu Barbie, j’ai bandé sur toi dès que je t’ai vu, j’ai dis aux potes que je te mettrais dans mon lit mais je pensais pas te séduire aussi facilement et rapidement.

Mes lèvres entouraient maintenant sa bite, je suçais l'engin avec gourmandise, par moment, ma main droite lâchait sa cuisse pour venir lui malaxer les couilles tandis que l'autre lui caressait la jambe, le goût salé de sa queue me faisait perdre tout repère. Rocco jusque là passif repris, en bon mâle dominant, la situation en mains ou plutôt mes longs cheveux pour enfoncer son chibre plus loin dans ma gorge et imprimant un va et vient plus dynamique, me baisant presque la bouche, me déformant la mâchoire et m’étouffant à me faire tousser et saliver comme une chienne, il m’était impossible d'avaler son sexe en entier tellement il est long et large.

- Oh putain qu’est ce que tu suces bien pour une tapette, ta bouche est trop bonne, si tu continues comme ça je vais pas tarder à te remplir la bouche de mon jus, bébé.

Je continuais à sucer comme je le pouvais ce gourdin de chair, jusqu’au moment ou je sentis Rocco me tenir encore plus fortement les cheveux afin que je ne me retire pas quand il va décharger, je sentais sa queue gonfler avant que l’épaisse semence tapissa ma gorge alors que mon mâle poussait un râle animal viril, face aux nombreux jets de sperme brulant, je ne put tout avaler et en régurgita une partie qui coula sur mon menton jusqu’à mon chemisier, pour ne pas m’étouffer tellement sa production a été abondante.

- Putain qu’est ce que t’es bonne suceuse, ça se voit que t’as l’habitude de faire des pipes ma salope, ne gâches pas mon jus précieux, avec tes doigts récupère et avale le et après tu vas me nettoyer la queue.

Je reprends alors sa belle bite toute gluante de sperme et la lui nettoie en lapant par petits coups de langue, principalement sur le gland. Il frémit, je m’active à le resucer, lui redonnant sa raideur et sa puissance virile, ses mains se sont saisies de nouveau de ma chevelure pour m’imposer son rythme, il pousse un gémissement, il aime. Au bout d’un petit moment sa queue lui semblant prête à honorer sa femelle, se retira de ma bouche me laissant pantelant, dégoulinant de salive, il me saisit par la taille et me souleva, j’entourais mes bras autour de son cou puis il m’embrassa avec fougue et puissance. Aussi demandeurs l'un que l'autre nous savions que cette fellation ne suffirait pas à apaiser notre désir. Rocco me porta alors dans ses bras musclés et il me jeta brutalement sur le lit.

- A poil poupée, montres moi ton corps de Barbie.

Une fois tout mes habits enlevés, me retrouvant nue, allongé sur le dos, écartant les cuisses offrant mon intimité, dans une position soumise, réclamant en moi cet énorme gourdin, je regardais dans les yeux mon beau militaire lui aussi nu, une musculature de fou et surtout une queue énorme en forme maximale et prête à me pourfendre.

- Wahooo quelle beauté !!! Même si je suis au courant de ta particularité, je suis sous le choc, quel corps de déesse, je vais pas pouvoir me retenir, tu vas prendre cher ma belle.

Je m’attendais à ce qu’il me saute dessus direct, mais contre toute attente, il me retourna sur le ventre, me mit à quatre pattes, se positionna au-dessus de moi, offerte à lui en position de levrette, sans hésitation d’un seul coup violent il m’embrocha comme une poulette de l’année. Je me mis à hurler de douleur et à pleurer comme une fillette au bord de l’évanouissement, il venait de me mettre son énorme engin au fond de mon anus perforé, il resta un moment immobile en moi, me laissant le temps de m’habituer à la présence de ses 30 cm dans ma petite chatte étroite.

- Désolé bébé, mais j’ai pas pu me retenir, tu m’as trop excité, calme toi ma puce, ça va aller détends toi, tu verras que tu vas kiffer comme jamais quand je t’aurais baisé et tu en redemandera encore plus.

- Tu m’as fais mal, ta queue est trop grosse pour mon petit trou, tu m’as déchiré, je suis sur que je saigne, la douleur est horrible, retires toi stp, je suis trop serré.

- Mais non ma belle, crois en mon expérience des petits culs de pédale comme toi, ta chatte va s’habituer à mon calibre et tu vas prendre du plaisir, en plus c’est trop tard je suis en toi et j’ai bien l’intention de te limer à fond et de te défoncer comme une chienne, alors arrêtes de chialer comme une gonzesse et encaisses, tu vas gueuler je peux te le garantir, t'aura beau crier je ne compte pas m'arrêter et quand je t'aurai bien explosé ton petit cul j'aurai fait de ta rosette de blonde un cratère béant.

Agrippé à mes hanches, il commença alors à me travailler le cul doucement, patiemment, s'amusant à presque sortir sa bite de mon trou et de me la remettre d'un coup sec m’arrachant des cris aigües de femelle, ce petit jeu de va et vient me rendit totalement folle, je me laissais aller vers le plaisir que je sentais venir, je m’abandonnais complètement, il le sentit et c’est ce qu’il voulait, me soumettre à sa force virile, je glissais de plus en plus vers la félicité et finissais par couiner puis crier pour l’encourager à me prendre plus fort encore.

- Ooooohhh oui, vas-y, défonce-moi bien, ta bite est bonne.

- Je vais te baiser maintenant petite salope, toute la caserne dit que t’es super bonne et c’est moi qui ai la chance de t’exploser.

- Ouiiiii, baise-moi, enfonce toi encore plus loin et plus fort.

Rocco n’attendait que ça pour me baiser sauvagement, allant de plus en plus loin dans ma cavité jusqu’à toucher la paroi anale, je gémissais, criais, me tordais comme une acharnée balloté comme une poupée de chiffon sous les coups de boutoir de ce mâle dominant et si viril.

- Huuummm, c’est trop bon continue, ne t’arrêtes pas, Ouiiiiiii, c’est bon, ramone-moi bien à fond.

Rocco pense maintenant à son plaisir animal de mâle défonçant sa femelle, il me bourre énergiquement, presque violemment, ses coups de queue se font plus puissants et rapide, me faisant hurler à chaque pénétration, il me tire les hanches, me prend en levrette comme une chienne et j’aime ça.

- Prends ça, petite femelle blonde et encore ça ma salope… Tu aimes ça, te faire prendre virilement par un mâle bien monté, n’est ce pas ?

- Ouiiiii Rocco, démonte-moi le cul, je suis ta salope et j’aime ta bite.

- Alors tu vas en avoir, petite tapette, tu vas prendre des kilomètres de bites dans le cul et tu vas avaler des litres de foutre.

- Ouiiiii, encore je suis toute à toi, vas y défonce moi avec ta grosse bite.

Ces mots crus et ce langage n’étaient pas pour me déplaire et nous excitaient fortement, tout les deux. Rocco redoubla d'efforts, je me reposais sur mes coudes pour ne pas flancher sous ses coups de massue. Soudain il se saisit de mes cheveux et les tira en arrière, la douleur provoqua chez moi une surexcitation, j’étais au bord de l'orgasme anal, encore quelques coups de ce gourdin sur-dimensionné et les portes du paradis allaient s'ouvrir à moi, Rocco aussi semblait à la limite de l'orgasme, il grognait bruyamment, je sentais la queue de mon mâle se raidir de plus en plus, il est au bord de l’explosion dans mon cul.

- Prends ça, salope je vais t’engrosser.

Un dernier violent coup de rein et l’orgasme nous frappa en même temps, il me déchargea cinq longues giclées de foutre dans le ventre, m’inonda le boyau, tous mes membres se mirent à trembler convulsivement, mes yeux partirent en arrière et mon corps tout entier était occupé par la jouissance, Rocco serrait les dents alors que son membre viril crachait tout ce qu'il avait retenu jusque-là, il s’écroule sur moi de tout son poids, il m’écrase, il me domine, je suis comblé dans tous les sens du terme. Nous restâmes ainsi de longues minutes, haletant, nos orgasmes simultanés mirent du temps à se calmer.

- Merci Rocco, tu avais raison, tu m’as rendu très heureuse, tu m’as fait jouir comme jamais.

- Je t’adore, ma petite Barbie, c’est pour moi un grand plaisir que de te faire jouir, tu es si belle dans le plaisir.

- Merci, mon chéri, merci.

- Tu es absolument surprenante ma belle, tu jouis plus fort qu’une fille, je suis si fier de posséder une femelle comme toi.

Il se retira doucement de moi, me laissant un vide immense au niveau de mon trou béant, une grande quantité de sperme s’échappa de ma chatte, sous le sourire du mâle vainqueur qui vient de féconder sa femelle, il me mis une petite claque sur mes fesses avant de se mettre debout.

- Aller petite, lèves-toi il se fait tard, j’ai promis de te ramener avant le couvre feu.

Mon homme me raccompagna jusqu’à la porte de mon dortoir, un dernier baiser sur la bouche, une petite tape sur mes fesses et il me laissa rejoindre mes collègues, en me promettant d’autres moments sexe à venir, mais quel macho ce mec !!!

Dans le dortoir, je retrouvais mes autres camarades de stage, on c’est raconté notre soirée respective, Justine et Liane ont passé un moment sexe avec respectivement Baobab et Iceman dans le dortoir des mecs qui leur a laissé un bon souvenir, Asia et Caty eux se sont contentés de passer la soirée avec les autres mecs à boire, jouer au billard, à danser tout en se faisant ploter et même embrasser par certains, après une bonne douche qui nous a permis de nettoyer nos corps des affres de la soirée, on c’est couché complètement épuisés mais pour ma part totalement heureuse et prête à de nouvelles aventures avec mon étalon.

GwenBlondinet

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