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Agent 069

Chapitre 6 | Le Rio (2)

Extraits du journal personnel de Don Luccio. ( 25/ 07/2023 )

« Cher journal, hier j'ai perdu 1 million de $ mais j'ai surtout gagné un cul d'hétéro. Pas mal non, pour un vieux de soixante-dix ans?!...
Toi qui sait pour qui je travaille, ça ne manque pas de sel. Je ne peux m'empêcher de sourire, pardonne-moi!

Je l'ai cueilli au Rio, à Las Vegas, lors d'un tournoi privé organisé par l'ancien maire de la ville. Un fort bel homme, je t'assure. Dans la force de l'âge. 30/35 ans, grand, brun, regard de braise avec un physique agréable. Et une prestance...
La classe, quoi!!! Franchement, le genre d'homme, quand tu le vois, tu ne peux t'empêcher de bander. Et tu n'as qu'une envie, le ramener chez toi pour le culbuter toute la nuit.

Bon, c'est ce que j'ai fait, mais dans les toilettes du Casino.

Alors, je te raconte, comme si tu y étais... »

***

… Je le basculai en avant. Il avait les deux mains en appui sur le rebord du lavabo. Il a baissé la tête, prêt à l'emploi. Son pantalon et son boxer sur les chevilles. J'admirais au passage ses jambes nerveuses finement musclées. Pas de doutes, j'avais affaire à un pur-sang que je devais d'abord dresser.

Je flattai sa croupe offerte. Aux tremblements nerveux de son corps, je devinais un trouble réel. Des milliers de questions devaient défiler dans sa tête. Le rouge lui montait aux joues.

Sans doute un début d'excitation...

Je lui écartai les jambes, le poussant à me tendre son cul. Il se laissait faire, inquiet de ce qui allait suivre.

Je m'accroupis et lui léchai la raie avec agilité. Face à son manque de révolte, je m'engageai plus avant.
Au contact de ma langue, son petit trou humide palpita de surprise avant de répondre favorablement à mes caresses. Il commençait à se détendre, à prendre du plaisir.

Mes coups de langues se firent plus voraces. Il projeta ses hanches vers l'arrière dans un désir d'encore. Il côtoyait les bords d'un gouffre dont la chute semblait imminente. Je l'entendais de temps à autre gémir fortement alors que son bassin poussait contre ma bouche affamée. Face à tant d'envie, j'osai presser un doigt sur sa rosette qui céda sous la pression.

À aucun moment il n'avait cherché à repousser ma main. Il suivait scrupuleusement les clauses de notre accord. Il savait très bien ce qui se jouait dans ces toilettes désertes, et son corps, autant que son cerveau, l'acceptaient. Ce que je lui offrais c'était bien plus qu'un million de $, c'était des sensations inouïes pour un coureur de jupons jusque-là engoncé dans son carcan hétérosexuel. À force de volonté, je m'apprêtais à briser ses dernières résistances.

J'allais transformer ce macho irréductible en passif assoiffé de bites...

J'amplifiai la succion de son œillet. Sa respiration s'accéléra. Mon flot de caresses buccales le faisait basculer dans un univers inconnu de lui. Toutes ses barrières tombaient les unes après les autres comme autant de tabous.

Une étape venait d'être franchie. Je me relevai et glissai mes mains sous sa chemise. Mes doigts s'égarèrent dans son abondante toison avant d'emprisonner ses tétons. Le bougre paraissait très sensible de ce côté-là car ils pointaient comme de petits seins. Mon bourreau des cœurs appréciait ma caresse. Il soupirait doucement, n'osant pas encore se lâcher.
Un reste de culpabilité continuait à le tarauder.

- Ça vous plaît ce que je fais?

Il ne répondit pas tout de suite. Je dus réitérer ma question.

- … Oui, finit-il par lâcher dans un souffle.

- Vous en voulez plus?

Il grogna en guise de réponse.

Je pris cela pour argent comptant. J'avais obtenu ce que je recherchais, à savoir son acceptation de la découverte du plaisir entre hommes adultes et consentants. Et au bruit de ses feulements, je devinais qu'il en attendait un peu plus. Il était prêt à franchir le pas malgré ses dernières répulsions. La présence d'un vieil homme à ses côtés le rassurait. Son corps s'animait sous l'effet magique de mes doigts.

Tant de possibilités qui s'offraient soudain à lui...

Je flattai ses fesses et pointai mon gland à l'entrée de son trou.

- Tu vas souffrir. Je ne vais pas t'épargner, j'en veux pour mon argent. Mais après, tu en redemanderas. Tu ne seras plus jamais le même homme.

****

« Cher journal, une pause. Ce simple souvenir me fait bander comme un âne, il faut que je me calme.
Patience, tu n'as encore rien vu!!! »

****

(Suite, quelques instants plus tard...)

… Ma main agrippa ses reins. Un frémissement parcouru l'échine de mon beau soumis. Mon autre main guidait ma queue au centre de ses belles fesses. Mon gland déjà baveux cogna contre sa pastille. Il savait l'imminence proche, le basculement dans cet autre monde et il le désirait autant qu'il le redoutait.

Il se mit à geindre et se redressa un peu. Son corps voulait ma queue!

J'imprimai alors une très légère pression sur son œillet... et mon gland fut aspiré directement. Bordel, ce type avait faim. Il était resté trop longtemps sevré de queues. Après, pas sûr que mon pilon de vingt-deux centimètres soit un bon calibre pour une première défonce.

Mon nouvel enculé restait figé. Tétanisé par l'enjeu, complètement absent. Aucun muscle ne bougeait. Aucun son ne sortait de sa bouche. Je l'observais du coin de l'œil dans le miroir. Il était pâle et transpirait à grosses gouttes.

Il était loin de se douter de ce qui allait suivre...

Je m'enfonçai encore un peu plus. Il releva la tête, les yeux mi-clos tandis que ses doigts agrippaient l'émail de la vasque. Mon dard avait déjà été englouti par son sphincter avec une facilité déconcertante et je me sentais plutôt à l'aise dans ce fourreau d'ordinaire si étroit.

Je ne pus m'empêcher de le comparer à mon cheptel de beaux gosses qui remplissaient mon tableau de chasse. Sans doute l'une des meilleures prises. Gros potentiel de futur soumis qui s'embrochait au bout de ma queue.

- Ooooooooohhhh... oooooooooooohhh... feula mon jeune mâle lorsqu'il sentit pulser mon pieu contre ses parois anales.

- Tu aimes ça, hein, petite pute? lui demandai-je avec une vulgarité qu'il accepta de bonne grâce.

- J'aime çaaaa...ahhh!!!... répondit-il, le souffle court.

- Ce n'est qu'un début. Tu vas adorer, je t'assure... lui annonçais-je d'un ton badin.

Ça y est, je commençais à entrer sans sa tête. Mes mots, ma queue,... il m'acceptait petit à petit comme son maître et bientôt son cerveau se plierait aux moindres de mes désirs.
Son ADN intégrait soumission et obéissance à un vrai mâle.

Fier de mon premier succès, je repris ma marche en avant.

Ma queue était engagée. J'attrapai ses hanches à pleines mains et l'attirai vers moi. Je sentais mon sexe progresser à l'intérieur de ce corps juvénile de trente ans mon cadet. Mon avancée ne rencontrait aucun obstacle et, d'une poussée continue, je fus bientôt au contact de sa prostate. Il se raidit, surpris. Comme s'il recevait une décharge électrique.

- Oh Sainte Vierge, qu'est-ce qu'il m'arrive! C'est trop bon!!! beugla-t-il entre deux couinements.

- Tu n'es plus ni sainte ni vierge désormais mais juste un bon petit enculé qui va me supplier de poursuivre.

- Ouiiii!!! C'est trop bon... Continuez, OOOHH!!! Putain, oui,... J'en veux encooooore!!!

Je le voyais secouer la tête dans tous les sens, son beau visage écartelé entre douleur et plénitude.

- Tu sais que je suis rentré à moitié?

Il resta interloqué, roulant de gros yeux étonnés. Je ressortis de quelques centimètres et me préparai à porter l'estocade. Après avoir contemplé ce cul offert, je m'encastrai jusqu'aux couilles. D'une seule poussée.

Un passage en force qui le fit hurler de douleur. Un cri d'abandon qui scella sa destinée.

- Uuurrggghhhh!!!

- Voilà! Bienvenue au club.

Je stoppai net tout mouvement pour l'habituer à ma présence. Il me fixa à travers la glace. Il planait, même s'il ne comprenait pas trop ce qu'il foutait dans ces sanitaires à cinq heures du mat.

C'est lui qui me donna le signal de la reprise.

- Allez-y, je suis prêt.

Je sentais le soulagement dans sa voix grave et posée. Percevoir autant de désir, d'excitation et de luxure dans ce regard viril me fit presque décharger. Le bougre, Il savait déjà comment s'y prendre pour parvenir à ses fins. Une carrière prometteuse l'attendait. Je supposais avec une pointe d'amertume que j'inaugurais le début d'une longue liste. À entendre ses râles d'euphorie, il ne faisait aucun doute que son boule allait en voir défiler des kilomètres de queues dans un avenir proche.

Sans parler des litres de foutre...

Ses gestes maladroits prouvaient pourtant que c'était bien la première fois que son corps se faisait défoncer de la sorte. Et pour une première, c'est une banderille de choix: vingt-deux centimètres en pleine cible. Son rectum était chaud bouillant. Je le sentais palpiter autour de mon pieu. Il emprisonnait chaque centimètre de chair, se goinfrant de mon sucre d'orge sur toute sa longueur.

De tous les culs vierges que ma bite avait déflorés, celui-ci était le plus parfait. Le plus performant. Le plus doué. Un mélange de douceur et d'endurance. Assurément, le top de toute ma carrière de baiseur.

Et l'intérieur, un chef-d'œuvre!!! Bien droit, bien profond, chaud comme la braise. Un cocon à bonne température. Avec un peu d'entraînement, il pourrait bientôt être opérationnel.

Nous avions là, le prototype du cul à enculer sans modération. Des hanches minces, des fesses fermes et rebondies. Un vrai appel au viol.

Tout en lui bloquant les reins, je commençai mes va-et-vient en prenant bien soin de déculer pour ensuite replonger au plus profond. Mon bel amant restait muet, les yeux dans le vide, la tête en arrière et le souffle court. Ses doigts devenaient blancs à force de crisper le rebord du lavabo. Son corps d'athlète absorbait autant qu'il le pouvait la vague de plaisir qui le submergeait. J'arrivai au fond et il bougea de lui-même pour s'empaler encore plus profondément, à l'instinct.

« Je te l'ai dit, cher journal, ce gars en voulait. »

Je continuai alors mes mouvements de bassin, sortant lentement pour bien lui déplisser les parois. Je le ramonais en douceur puis de plus en plus fort. Je ressortais à plusieurs reprises pour le réembrocher aussitôt. Il commençait à aimer la queue, je te le dis. Il devenait accros et son corps le trahissait, réclamant sa dose de défonce. J'accélérai le rythme, sortant puis rentrant d'un coup sec à fond dans ce trou explosé.

- Oh, putain... Qu'est-ce qui m'arrive?!

Un éclair de lucidité traversa soudain son esprit.

- Je suis en train de t'enculer, bel étranger. Et aux cris que tu pousses, je peux dire que tu aimes ça...

Je lui mordillais l'oreille pour l'encourager tout autant que l'habituer à ce qui allait suivre.

Il avait passé le stade où se faire prendre était devenu pour lui comme une évidence.

- Ouuuhhh... ouiii... continueeeezzz!!!! répondit-il misérablement.

Son cerveau s'était remis en mode ''pause'' et son corps reprenait l'initiative.

- Je vais te baiser encore plus fort parce que pour un novice, tu encaisses plutôt bien, lui annonçai-je.

N'ayant aucune réaction de sa part, j'y vis une invitation à passer au niveau supérieur. Je commençai alors à accélérer dans son trou de balle bien lubrifié par ma mouille et m'acharnais à taper fort au fond de son cul. Des mouvements durs, amples, sans amours, juste un marteau pilon destiné à fracasser cette belle façade de macho orgueilleux, à petit rythme d'abord, puis à grands coups de parpaings. Le type subissait. Ses fesses se détendaient, m'offrant toute leur profondeur que je m'empressais d'envahir.

Une fois au fond, j'élargissais son conduit anal par de vigoureux mouvements de rotation qui le rendaient fou. Cette situation m'excitait. Non seulement j'étais en train de dresser un cul d'hétéro, mais en plus je le marquais au fer rouge pour bien lui signifier quelle serait sa nouvelle vie.

Celle d'un junkie assoiffé de bites, sans cesse à la recherche de sa dose.

Courbé au dessus de la vasque, mon beau trentenaire subissait mes assauts sans protester. Toujours plus forts, toujours plus violents. Il se laissait submerger par ses instincts primaires et y prenait un plaisir évident. Ce cul constituait une gaine parfaite pour mon engin. Quels que soient mes mouvements, j'avais l'impression qu'il le malaxait et faisait tout pour lui tirer son jus. Mais en cavalier expérimenté, je ne tombais pas dans son piège.

« Tu vois, cher journal, comment on dompte une jument. Par la queue. »

C'était maintenant de véritables coups de béliers que je lui assénais, poussées après poussées, chocs après chocs. J'étais en train de le saillir comme un étalon reproducteur. Je sentais au fur et à mesure le fond de son cul capituler et m'autoriser à explorer des profondeurs insoupçonnées. Il tendait sa nuque vers l'arrière pour reprendre sa respiration, tandis qu'une tempête d'une violence inouïe lui vrillait les reins. Je lui éclatais les entrailles autant que je le pouvais, mettant toute mon expérience, ma perversité et mon sadisme dans ce jeune trou rebelle qui comprenait désormais ce qu'il en coûtait de provoquer un pro du poker.

Le visage de ma pouliche était cramoisi, les joues rouge-vif et la sueur perlait de tous les pores de sa peau, tandis que je m'accrochais comme un forcené à sa croupe pour forcer son trou de la pire des façons. Hors de tout contrôle, j'assénais des coups de massue atroces à ce corps désarticulé que je tirais de toutes mes forces pour maximiser l'impact. Je griffais son dos, le ballottais comme une poupée de chiffon. Il tanguait tel un bateau ivre, emporté par un typhon qui le dévastait, à l'exception de son cul qui restait désespérément arrimé à mon mât pour éviter d'être emporté.

- AAARRRGGGHHH, NON, ÇA FAIT TROP MAAAAL... hurlait-il à plein poumons alors que je le transperçais sans ménagement.

J'étais en train de le démolir par la seule force de ma queue, sans aucune pitié pour sa première fois, me délectant de chaque centimètre parcouru par mon zob pour le détruire encore un peu plus. Mon bel Hidalgo reprenait pied. Il suait à grosses gouttes, sa chemise défaite lui collait à la peau. Il s'était remis à coulisser sur mon pieu. C'était un spectacle enivrant de voir cet homme si viril quémander ma queue. Un filet de bave s'échappait de ses lèvres et il haletait au rythme de son enculage.

Qu'il était beau, ainsi offert.

Je plaquai ma main sur sa bouche pour couper sa respiration, tout en continuant mon œuvre de destruction massive. Il se raidit, puis commença à trembler, le rythme imprimé à l'intérieur de ses intestins se poursuivant inlassablement. Il se contracta, eut des spasmes, chercha l'air en bougeant des bras mais je le maintins de force.

- Profite, c'est du plaisir tout ça, tu es une bonne pute comme je les aime, lui dis-je pour le tenir conscient.

Ma main prit son cou que je commençai à serrer, faisant apparaître ses veines, et ma queue douée d'une volonté propre accéléra encore pour faire bouillir ses entrailles. Cerné de toutes parts, saturé de sensations contradictoires, partagé entre plaisir et peur de mourir, il fut pris de convulsions lorsque je lui assénai un coup de reins des plus féroces. Il trembla comme une feuille morte, hurla à pleins poumons malgré sa strangulation, les yeux blancs,... vibra une dernière fois.

Puis expulsa des gerbes de sperme qui vinrent tâcher le miroir.

Je profitai de ce moment pour décharger à mon tour. Je le fécondais comme une jeune jument. Désormais, quoi qu'il fasse par la suite, quel que soit le nombre de braquemarts qui visiteraient son fondement, je serai à jamais le premier. Son corps se souviendrait de ma saillie. Il chercherait toujours à reproduire le même accouplement. Souvent, il serait déçu par ses amants mais parfois la même magie reviendrait. Alors, il s'abandonnerait en pensant à moi.

****

Il se rhabilla en silence, évitant soigneusement de croiser mon regard.

Avant de partir, je lui lançai.

- Si tu cherches une initiation plus cool, viens me retrouver demain au Caesar Palace. 17H, chambre 622. Tu récupéreras ton chèque, par la même occasion.

Ceven X

hellocevenx@gmail.com

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