Je me présente Julien 28 ans, 75kg, brun cheveux courts, barbe de 3 jours, plutôt bien fait, poilu du torse mais entretenu avec une bite de 17 cm. Plutôt passif. Aujourd’hui est mon 1er jour au sein du staff de l’équipe nationale masculine de biathlon. J’intègre le staff comme accompagnateur mental des biathlètes et en parallèle psy du groupe.
Je dois les rejoindre pour leur semaine de stage à Bessans. J’arrive par le train, c’est Simon Fourcade le coach de l’équipe qui est venu me chercher en voiture.
Il m’aperçoit et me fait une accolade de bienvenue. Il était très tactile.
Simon : ah Julien te voilà, ton voyage n’a pas été trop long pour venir jusqu’ici ?
Moi : non cava, le paysage était sympa et j’ai bossé sur mes exos.
Simon : c’est bien ça déjà le travail en tête ! Je vais être honnête avec toi, je suis content de t’avoir parmi nous, il va y avoir pas mal de taff, les mecs sont bons techniquement mais le mental pour certains c’est compliqué. Tu vas aussi devoir travailler avec le caractère de chacun faudra que tu t’adaptes à eux.
Moi : ne t’inquiète pas j’ai plusieurs cordes à mon arc et je sais m’adapter et tout donner pour qu’ils puissent être les plus performants possible et qu’ils évitent de craquer lors de la dernière balle.
Nous rejoignons sa voiture pour qu’il m’emmène au camp. Il marche devant moi, j’ai le temps de le mater. Simon a 39 ans ancien biathlète très bien conservé, 1m74, 70kg, brun, barbu, il porte une casquette, un teeshirt de sport et un short qui moule son cul. Un très bel homme.
Nous avons environ 45 minutes de route pour arriver au camp. Le feeling entre nous est bon, nous échangeons facilement de nos vies persos et du travail. Nous discutons des prochains entrainements et des exercices individuels ou collectifs que j’aimerais mettre en place. Cela doit faire 20 minutes qu’il conduit, il s’arrête dans un renfoncement d’une route de terre.
Simon : désolé, faut que je m’arrête, j’ai besoin de pisser.
Moi : pas de soucis, fais ton affaire.
Simon sorti de la voiture et alla pisser contre un arbre. A cause du vent qui était dans le mauvais sens, je le vis se mettre de profil pour éviter de se pisser dessus. Je pus donc apercevoir en parti sa queue au repos, il avait l’air d’avoir un bon morceau. Il n’avait pas menti, il avait grave envie de pisser, je pouvais voir son puissant jet frapper le tronc de l’arbre, je commençais à bander. Une fois fini, il replace sa queue dans son boxer puis son short. Il finit par me rejoindre dans la voiture, je fais genre de mater mon téléphone alors que je n’avais loupé aucune miette de ce spectacle.
Simon : putain de vent, j’ai failli me pisser dessus. Les gars m’auraient bien chambré à mon retour. Tu verras, ils aiment déconner. C’est un bon groupe soudé et qui partage beaucoup de choses.
Moi : en même temps vaut mieux que le groupe s’entende quand tu vis quasiment 4 mois ensemble dans l’année.
Simon : en effet. Je pense que tu auras aucun mal à t’intégrer avec les athlètes et le staff.
Nous reprenons notre route et arrivons à destination. Simon me montre ma chambre que je partage avec le kiné.
Nous allons ensuite dans le grand salon salle à manger pour me présenter au reste du staff et évidement aux athlètes
Simon : je vous présente Julien votre nouveau référent pour améliorer votre mental pour éviter de vous foirer et il sera également là pour vous écouter au besoin.
Simon me laisse la parole, je fais mon petit speech et parle des objectifs et de ma façon de travailler.
Moi : en bref je suis la pour vous aider dans vos objectifs et si vous avez besoin de parler de quoique ce soit, je suis disponible à toute heure.
Ils étaient 6 athlètes, on pouvait sentir la testostérone dans ce salon. Ils avaient entre 22 et 34 ans tous canons.
Emilien J : tu nous as ramené un psy, c’est de la nouveauté ça, on va bien rire.
Simon : c’est du sérieux Emile, vous verrez que ces entrainements et entretiens vous aidera à éviter de tétaniser comme une statue lorsque tu es tout prêt de la victoire.
Emilien J : on verra ça.
J’ai senti que j’allais avoir fort à faire avec certains d’entre eux qui avaient l’air sceptique mais je leur montrerais mes compétences et les résultats.
Nous sommes allés mangé tous ensemble. J’ai pu discuté avec certains d’entre eux notamment Quentin, Emilien C et Fabien qui étaient ravis d’essayer de nouvelles méthodes. La nuit tomba vite et tout le monde fila dns sa chambre. Simon m’envoya un sms car il voulait mon ressenti sur cette première journée, je suis parti le rejoindre dehors pour discuter de tout ca. Nous nous retrouvions un peu à l’écart du chalet à côté d’une grange. Il m’attendait..
Simon : alors cette première journée ?
Moi : au top, le staff est génial. On a vraiment des athlètes différents. Je sens certains plus réceptifs que d’autres. Je n’ai pas encore eu le temps d’analyser leur comportement mais je vois très bien ce que je peux faire pour les aider.
Simon : oui Emile a du mal avec ca alors qu’il fait parti des gars qui en ont le plus besoin. Ne faut pas le braquer sinon c’est mort.
Moi : je vais prendre le temps avec lui, pas de soucis. Ca va être intéressant. Je pense commencer mes entretiens individuels demain matin si tu es ok.
Simon : pas de soucis, plus tôt tu commence et plus tôt les résultats se verront sur le papier. J’ai bu trop bière ce soir, faut encore que je pisse, je suis désolé.
Moi : t’inquiète vas-y.
Il ne chercha même pas à aller très loin, il avait fait à peine 2 mètres et baissa son short, il sorti sa queue et se mit a pisser. Je n’osais pas regarder, je pouvais entendre son jet atterrir dans l’herbe. J’ai profité pour jeter un regard furtif, la tentation était trop grande. Je pu apercevoir une queue bien longue et un gros gland alors qu’il ne bandait pas, j’étais sur le cul. En voulant détacher mon regard de sa queue, je fini par croiser son regard… Cramé…. Je n’étais absolument pas discret. Je fais semblant de regarder les étoiles. Simon finit de pisser et remis sa queue en place.
Simon : ca fait du bien de se soulager, je me sens plus léger.
Moi : le ciel est bien clair cette nuit, on voit très bien les étoiles.
Simon : ne change pas de sujet, je t’ai vu me mater.
Moi : non ce n’est pas ce que tu crois.
Simon : ne t’inquiète pas. Il y a beaucoup de testostérones ici et les hormones travaillent pas mal ici.
Il s’était assis a coté de moi, sa cuisse touchait ma jambe. Il avait les jambes écartées.
Simon : je t’ai vu aussi ce matin quand je suis allé pissé pendant notre trajet.
Moi : j’ai été surpris par le morceau que j’ai vu de loin.
Simon : et de proche encore plus c’est ça.
Moi : oui
Simon posa sa main sur mon épaule.
Simon : je peux te la montrer encore de plus proche.
Moi : non cava aller. Je vais rentrer me coucher la journée de demain va être longue.
Simon : attend deux minutes, je sais que tu as envie de la voir.
Simon descendit son short jusqu’à ses genoux et je vis sa queue me pointer du gland bien droite.
Simon : tu me fais de l’effet, tu vois, ça fait déjà 3 jours qu’on est ici je ne me suis pas branlé et j’ai les couilles pleines et ca me ferait bien plaisir.
Moi : elle est énorme.
Simon : 22 cm, une bonne queue de montagnard.
Il se rapprocha de moi, et me roula une grosse pelle bien baveuse
Simon : on est un collectif on doit bien s’entraider quand un collègue a besoin d’aide.
Je me suis mis à genou devant son imposant morceau.
J’ai commencé par lui lécher le gland, un premier gout de pisse mais après le gout n’était plus là. Je pouvais entendre un râle de plaisir. Puis j’ai commencé à prendre son gland en bouche tout en lui léchant. Je lui malaxais les couilles avec ma main droite et lui branlait sa verge de la droite. Ses couilles étaient poilues, je pouvais sentir son odeur de transpiration et de male mais que c’était bon. Je finis par avaler un bout de sa queue centimètre par centimètre car en plus d’être longue elle était large.
Simon : vas y doucement, que c’est bon, tu sais t’y prendre continu.
Simon commença les vas et viens mais je sentais qu’il n’allait pas encore à fond. Cela dura envira 5 minutes puis il ressorti sa queue, puis me releva.
Simon : tu suces vraiment bien, je pense que ta période d’essai sera validée sans problème.
On s’embrassa à nouveau, je continuais de le branler en même temps. Simon fut aventureux car il me mit la main a l’intérieur de mon boxer sur mes fesses.
Moi : je ne veux pas me faire prendre Simon, te sucer ok mais pas plus.
Simon : pas de soucis, tu me vidanges tellement bien mais je peux te bouffer ton cul, il a l’air bien bon.
Je me mis à 4 pattes sur le banc. Simon m’enleva mon boxer et il siffla.
Simon : tu as vraiment un beau cul, ca va être dur de pas te la mettre, mais je vais respecter ton choix.
Il me mit une fessé qui a bien raisonné dans la nuit de la montagne. Il prit ses 2 mains pour écarter mon cul et bien voir mon trou. J’ai senti sa langue s’introduire en moi, que c’était bon, je pouvais sentir ses poils de barbes me rentrer dans le cul. Il allait avec sa langue au plus profond qu’il pouvait. Je gémissais tellement de plaisir. Il me bouffa le cul pendant 5 minutes puis sorti sa langue de mon cul.
Simon : je pourrais te le bouffer toute la soirée.
Moi : ta langue était parfaite Simon.
Je bandais comme un taureau mes 17 cm était au garde à vous.
Simon : Je vois ça, ta queue est bien raide.
Il descendit vers ma queue et me suça avec envie. Je mis mes mains dans sa tignasse brune pour lui imposer le rythme et lui faire des gorges profondes. Il finit par me bouffer mes couilles tout en mettant 2 doigts dans mon cul. Je le laissa faire. 5 minutes plus tard il s’arrêta.
Simon : tu es sur de pas vouloir te faire prendre ?
Moi : oui, je ne suis pas prêt pour ta queue ce soir même si tu es très désirable.
Simon : je retiens que tu n’es pas fermé. Faut qu’on rentre, alors viens me sucer pour que je me finisse. Prépare-toi je vais aller un peu plus fort.
Je me mis en position et ouvra la bouche. En effet, Simon ne me fit pas de cadeau, il enfonça direct sa bite, j’ai failli de m’étouffer la 1ere fois mais je pris son rythme et tout ce passait bien. Il appuyait sur ma tête. Il allait de plus en pus vite, j’ai senti sa bite se contracter mais à ma grande surprise il ne m’enfonça pas sa queue au fond de ma gorge et la retira. 7 gros jets bien épais sur ma gueule.
Simon : oh putain que ca fait du bien. Désolé je t’ai bien repeint le visage.
Il me lécha tout le visage pour me nettoyer.
Simon : voila tout propre pour le chalet. Mais avant je vais te finir, c’est donnant donnant ici.
Moi : ok vas-y je ne vais pas tarder non plus tu m’as bien excité.
Simon se mit a genou et me suça pour me finir.
Moi : aaaah, je vais jouir tu peux te retirer.
Mais Simon resta la bouche sur ma queue et prit mes 4 jets de sperme au fond de la gorge et l’avala.
Simon : on ne va pas faire perdre des protéines, on voit que tu n’es pas un athlète de haut niveau. Alors cette 1ere journée comment tu l’as trouvé.
Moi : je dirais surprenante, je ne m’attendais pas à cela.
Simon : faut que tu comprennes que les hormones travaillent beaucoup ici et donc se faire plaisir ne fait pas de mal.
Moi : tant que ca reste entre nous.
Simon : oui, en t’en fait pas. Après les gars sont ouverts ici et très tolérants. Bon je me sens léger, je vais bien dormir en pensant à ton cul.
Moi : ahah. Bonne nuit à demain.
Et voila ce fut ma 1ère journée au travail. J’avais hâte de voir ce que me réserverais les prochaines semaines.1ère saison au sein de l’équipe nationale de biathlon
Je me présente Julien 28 ans, 75kg, brun cheveux courts, barbe de 3 jours, plutôt bien fait, poilu du torse mais entretenu avec une bite de 17 cm. Plutôt passif. Aujourd’hui est mon 1er jour au sein du staff de l’équipe nationale masculine de biathlon. J’intègre le staff comme accompagnateur mental des biathlètes et en parallèle psy du groupe.
Je dois les rejoindre pour leur semaine de stage à Bessans. J’arrive par le train, c’est Simon Fourcade le coach de l’équipe qui est venu me chercher en voiture.
Il m’aperçoit et me fait une accolade de bienvenue. Il était très tactile.
Simon : ah Julien te voilà, ton voyage n’a pas été trop long pour venir jusqu’ici ?
Moi : non cava, le paysage était sympa et j’ai bossé sur mes exos.
Simon : c’est bien ça déjà le travail en tête ! Je vais être honnête avec toi, je suis content de t’avoir parmi nous, il va y avoir pas mal de taff, les mecs sont bons techniquement mais le mental pour certains c’est compliqué. Tu vas aussi devoir travailler avec le caractère de chacun faudra que tu t’adaptes à eux.
Moi : ne t’inquiète pas j’ai plusieurs cordes à mon arc et je sais m’adapter et tout donner pour qu’ils puissent être les plus performants possible et qu’ils évitent de craquer lors de la dernière balle.
Nous rejoignons sa voiture pour qu’il m’emmène au camp. Il marche devant moi, j’ai le temps de le mater. Simon a 39 ans ancien biathlète très bien conservé, 1m74, 70kg, brun, barbu, il porte une casquette, un teeshirt de sport et un short qui moule son cul. Un très bel homme.
Nous avons environ 45 minutes de route pour arriver au camp. Le feeling entre nous est bon, nous échangeons facilement de nos vies persos et du travail. Nous discutons des prochains entrainements et des exercices individuels ou collectifs que j’aimerais mettre en place. Cela doit faire 20 minutes qu’il conduit, il s’arrête dans un renfoncement d’une route de terre.
Simon : désolé, faut que je m’arrête, j’ai besoin de pisser.
Moi : pas de soucis, fais ton affaire.
Simon sorti de la voiture et alla pisser contre un arbre. A cause du vent qui était dans le mauvais sens, je le vis se mettre de profil pour éviter de se pisser dessus. Je pus donc apercevoir en parti sa queue au repos, il avait l’air d’avoir un bon morceau. Il n’avait pas menti, il avait grave envie de pisser, je pouvais voir son puissant jet frapper le tronc de l’arbre, je commençais à bander. Une fois fini, il replace sa queue dans son boxer puis son short. Il finit par me rejoindre dans la voiture, je fais genre de mater mon téléphone alors que je n’avais loupé aucune miette de ce spectacle.
Simon : putain de vent, j’ai failli me pisser dessus. Les gars m’auraient bien chambré à mon retour. Tu verras, ils aiment déconner. C’est un bon groupe soudé et qui partage beaucoup de choses.
Moi : en même temps vaut mieux que le groupe s’entende quand tu vis quasiment 4 mois ensemble dans l’année.
Simon : en effet. Je pense que tu auras aucun mal à t’intégrer avec les athlètes et le staff.
Nous reprenons notre route et arrivons à destination. Simon me montre ma chambre que je partage avec le kiné.
Nous allons ensuite dans le grand salon salle à manger pour me présenter au reste du staff et évidement aux athlètes
Simon : je vous présente Julien votre nouveau référent pour améliorer votre mental pour éviter de vous foirer et il sera également là pour vous écouter au besoin.
Simon me laisse la parole, je fais mon petit speech et parle des objectifs et de ma façon de travailler.
Moi : en bref je suis la pour vous aider dans vos objectifs et si vous avez besoin de parler de quoique ce soit, je suis disponible à toute heure.
Ils étaient 6 athlètes, on pouvait sentir la testostérone dans ce salon. Ils avaient entre 22 et 34 ans tous canons.
Emilien J : tu nous as ramené un psy, c’est de la nouveauté ça, on va bien rire.
Simon : c’est du sérieux Emile, vous verrez que ces entrainements et entretiens vous aidera à éviter de tétaniser comme une statue lorsque tu es tout prêt de la victoire.
Emilien J : on verra ça.
J’ai senti que j’allais avoir fort à faire avec certains d’entre eux qui avaient l’air sceptique mais je leur montrerais mes compétences et les résultats.
Nous sommes allés mangé tous ensemble. J’ai pu discuté avec certains d’entre eux notamment Quentin, Emilien C et Fabien qui étaient ravis d’essayer de nouvelles méthodes. La nuit tomba vite et tout le monde fila dns sa chambre. Simon m’envoya un sms car il voulait mon ressenti sur cette première journée, je suis parti le rejoindre dehors pour discuter de tout ca. Nous nous retrouvions un peu à l’écart du chalet à côté d’une grange. Il m’attendait..
Simon : alors cette première journée ?
Moi : au top, le staff est génial. On a vraiment des athlètes différents. Je sens certains plus réceptifs que d’autres. Je n’ai pas encore eu le temps d’analyser leur comportement mais je vois très bien ce que je peux faire pour les aider.
Simon : oui Emile a du mal avec ca alors qu’il fait parti des gars qui en ont le plus besoin. Ne faut pas le braquer sinon c’est mort.
Moi : je vais prendre le temps avec lui, pas de soucis. Ca va être intéressant. Je pense commencer mes entretiens individuels demain matin si tu es ok.
Simon : pas de soucis, plus tôt tu commence et plus tôt les résultats se verront sur le papier. J’ai bu trop bière ce soir, faut encore que je pisse, je suis désolé.
Moi : t’inquiète vas-y.
Il ne chercha même pas à aller très loin, il avait fait à peine 2 mètres et baissa son short, il sorti sa queue et se mit a pisser. Je n’osais pas regarder, je pouvais entendre son jet atterrir dans l’herbe. J’ai profité pour jeter un regard furtif, la tentation était trop grande. Je pu apercevoir une queue bien longue et un gros gland alors qu’il ne bandait pas, j’étais sur le cul. En voulant détacher mon regard de sa queue, je fini par croiser son regard… Cramé…. Je n’étais absolument pas discret. Je fais semblant de regarder les étoiles. Simon finit de pisser et remis sa queue en place.
Simon : ca fait du bien de se soulager, je me sens plus léger.
Moi : le ciel est bien clair cette nuit, on voit très bien les étoiles.
Simon : ne change pas de sujet, je t’ai vu me mater.
Moi : non ce n’est pas ce que tu crois.
Simon : ne t’inquiète pas. Il y a beaucoup de testostérones ici et les hormones travaillent pas mal ici.
Il s’était assis a coté de moi, sa cuisse touchait ma jambe. Il avait les jambes écartées.
Simon : je t’ai vu aussi ce matin quand je suis allé pissé pendant notre trajet.
Moi : j’ai été surpris par le morceau que j’ai vu de loin.
Simon : et de proche encore plus c’est ça.
Moi : oui
Simon posa sa main sur mon épaule.
Simon : je peux te la montrer encore de plus proche.
Moi : non cava aller. Je vais rentrer me coucher la journée de demain va être longue.
Simon : attend deux minutes, je sais que tu as envie de la voir.
Simon descendit son short jusqu’à ses genoux et je vis sa queue me pointer du gland bien droite.
Simon : tu me fais de l’effet, tu vois, ça fait déjà 3 jours qu’on est ici je ne me suis pas branlé et j’ai les couilles pleines et ca me ferait bien plaisir.
Moi : elle est énorme.
Simon : 22 cm, une bonne queue de montagnard.
Il se rapprocha de moi, et me roula une grosse pelle bien baveuse
Simon : on est un collectif on doit bien s’entraider quand un collègue a besoin d’aide.
Je me suis mis à genou devant son imposant morceau.
J’ai commencé par lui lécher le gland, un premier gout de pisse mais après le gout n’était plus là. Je pouvais entendre un râle de plaisir. Puis j’ai commencé à prendre son gland en bouche tout en lui léchant. Je lui malaxais les couilles avec ma main droite et lui branlait sa verge de la droite. Ses couilles étaient poilues, je pouvais sentir son odeur de transpiration et de male mais que c’était bon. Je finis par avaler un bout de sa queue centimètre par centimètre car en plus d’être longue elle était large.
Simon : vas y doucement, que c’est bon, tu sais t’y prendre continu.
Simon commença les vas et viens mais je sentais qu’il n’allait pas encore à fond. Cela dura envira 5 minutes puis il ressorti sa queue, puis me releva.
Simon : tu suces vraiment bien, je pense que ta période d’essai sera validée sans problème.
On s’embrassa à nouveau, je continuais de le branler en même temps. Simon fut aventureux car il me mit la main a l’intérieur de mon boxer sur mes fesses.
Moi : je ne veux pas me faire prendre Simon, te sucer ok mais pas plus.
Simon : pas de soucis, tu me vidanges tellement bien mais je peux te bouffer ton cul, il a l’air bien bon.
Je me mis à 4 pattes sur le banc. Simon m’enleva mon boxer et il siffla.
Simon : tu as vraiment un beau cul, ca va être dur de pas te la mettre, mais je vais respecter ton choix.
Il me mit une fessé qui a bien raisonné dans la nuit de la montagne. Il prit ses 2 mains pour écarter mon cul et bien voir mon trou. J’ai senti sa langue s’introduire en moi, que c’était bon, je pouvais sentir ses poils de barbes me rentrer dans le cul. Il allait avec sa langue au plus profond qu’il pouvait. Je gémissais tellement de plaisir. Il me bouffa le cul pendant 5 minutes puis sorti sa langue de mon cul.
Simon : je pourrais te le bouffer toute la soirée.
Moi : ta langue était parfaite Simon.
Je bandais comme un taureau mes 17 cm était au garde à vous.
Simon : Je vois ça, ta queue est bien raide.
Il descendit vers ma queue et me suça avec envie. Je mis mes mains dans sa tignasse brune pour lui imposer le rythme et lui faire des gorges profondes. Il finit par me bouffer mes couilles tout en mettant 2 doigts dans mon cul. Je le laissa faire. 5 minutes plus tard il s’arrêta.
Simon : tu es sur de pas vouloir te faire prendre ?
Moi : oui, je ne suis pas prêt pour ta queue ce soir même si tu es très désirable.
Simon : je retiens que tu n’es pas fermé. Faut qu’on rentre, alors viens me sucer pour que je me finisse. Prépare-toi je vais aller un peu plus fort.
Je me mis en position et ouvra la bouche. En effet, Simon ne me fit pas de cadeau, il enfonça direct sa bite, j’ai failli de m’étouffer la 1ere fois mais je pris son rythme et tout ce passait bien. Il appuyait sur ma tête. Il allait de plus en pus vite, j’ai senti sa bite se contracter mais à ma grande surprise il ne m’enfonça pas sa queue au fond de ma gorge et la retira. 7 gros jets bien épais sur ma gueule.
Simon : oh putain que ca fait du bien. Désolé je t’ai bien repeint le visage.
Il me lécha tout le visage pour me nettoyer.
Simon : voila tout propre pour le chalet. Mais avant je vais te finir, c’est donnant donnant ici.
Moi : ok vas-y je ne vais pas tarder non plus tu m’as bien excité.
Simon se mit a genou et me suça pour me finir.
Moi : aaaah, je vais jouir tu peux te retirer.
Mais Simon resta la bouche sur ma queue et prit mes 4 jets de sperme au fond de la gorge et l’avala.
Simon : on ne va pas faire perdre des protéines, on voit que tu n’es pas un athlète de haut niveau. Alors cette 1ere journée comment tu l’as trouvé.
Moi : je dirais surprenante, je ne m’attendais pas à cela.
Simon : faut que tu comprennes que les hormones travaillent beaucoup ici et donc se faire plaisir ne fait pas de mal.
Moi : tant que ca reste entre nous.
Simon : oui, en t’en fait pas. Après les gars sont ouverts ici et très tolérants. Bon je me sens léger, je vais bien dormir en pensant à ton cul.
Moi : ahah. Bonne nuit à demain.
Et voila ce fut ma 1ère journée au travail. J’avais hâte de voir ce que me réserverais les prochaines semaines.
ChaudH24
slupty25@yahoo.com
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