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HISTOIRE

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Premier épisode

Cristian et Paul

2 | NOTRE VIE COMMUNE

Les jours, les semaines passaient comme par enchantement et, au moins un week-end sur deux, nous partions à la découverte des régions pour casser le rythme régulier de nos vies désormais totalement liées et bien réglées et profiter de nous aimer sous d’autres cieux.

Cristian ne connaissait ni la Bretagne ni la Bourgogne, et moi, pas du tout les Hauts de France et très peu l’Alsace et, dans chaque ville où nous dormions, nous nous aimions tout aussi intensément et amoureusement que notre premier soir et notre premier week-end.
Les samedis où nous restions à Paris, nous faisions l’après-midi ou le soir, tantôt des restaurants gastronomiques, tantôt des troquets dans les petites guinguettes sur les bords de Marne ou ailleurs et notre amour grandissait sans cesse !

Le vendredi 31 mars au soir, je demandais à mon chéri s’il avait déjà porté un jock-strap.

Il me répondit que, si cela me faisait plaisir, il voulait bien essayer ce qui me rendait toujours plus fou de lui et nous décidâmes d’aller, dès le lendemain après-midi, dans le Marais, faire les vitrines.

Nous espérions que, dans ces magasins, nous aurions la possibilité de faire des essais en cabine.

Ce samedi 1er avril après-midi, il faisait beau et quelqu’un au regard acéré aurait très bien pu discerner que Cristian ne portait rien sous son pantalon beige clair … mais pour une fois, j’étais d’accord de prendre ce risque car la vue de son magnifique postérieur me rendait toujours plus fou de lui.

Quoi qu’il en soit, je le collais de très près, je "veillais au grain" que personne ne s’approche de lui ou même le frôle et encore moins le touche.

Dans le quartier du Marais, et pour montrer qu’il n’était pas libre et que nous ne faisions qu’un, lui et moi, je glissais souvent ma main droite dans la poche arrière de son pantalon.

Ainsi, j’adorais (et j’adore toujours autant) caresser ses fesses en marchant et lui aussi.

De mon côté, j’avais mis un boxer sous mon jean pour maintenir des érections qui auraient pu se déclencher spontanément et que celui-ci aurait pu quelque peu comprimer la "chose" pour éviter que les déformations de ma braguette ne soient trop visibles.

Nous ne dévoilerons pas l’adresse et le nom du magasin mais, en déambulant, nous vîmes plusieurs modèles dans différentes vitrines, dont certains lui plaisaient et nous demandions à chaque fois si nous pouvions les essayer en cabine … ou pas.

Nous entrâmes dans un de ces magasins et après avoir été reçu très aimablement, Cristian choisit quatre jocks-straps.

Nous demandâmes au vendeur (qui fixait outrageusement la cambrure et le galbe des fesses de Cristian) s’il vendait aussi des tubes de gel intime et si, en plus, nous pouvions avoir quelques feuilles de papier absorbant car je voyais bien, à travers la respiration et les regards que mon chéri me jetaient, qu’il était en grave besoin et pourtant, comme chaque fois que nous sortions, je l’avais amoureusement vidé dans ma bouche une heure avant.

Le vendeur, extrêmement compréhensif, me fit un clin d’œil et me demandant si c’était pour utiliser sur place et, lui ayant répondu positivement, il posa tout sur son comptoir et nous indiqua une cabine isolée, au fond du magasin, où nous pourrions essayer ces quatre jocks-straps en toute tranquillité.

A peine arrivé dans cette cabine Cristian me révéla (ce que j’avais deviné déjà) qu’il avait à nouveau une furieuse envie de moi en lui et, se déshabillant totalement, il essaya, sous mes yeux émerveillés, les quatre jocks-straps les uns après les autres.

Le dernier, couleur arc-en-ciel l’inspira tellement (et moi aussi), qu’il voulut le garder et, de ses beaux yeux suppliants il me fit comprendre qu’il ne pouvait plus attendre.

Il détacha la ceinture de mon pantalon, puis le fit glisser au sol ainsi que mon boxer et il constata avec bonheur et impatience que j’étais dans l’état où il le souhaitait.

En se penchant un peu en avant et se cambrant un peu il me présenta ses magnifiques fesses, et me demandant à déposer du gel au fond de lui il saisit mon sexe totalement dressé, étala dessus une bonne dose de gel et le fit rentrer au fond de lui en me disant :

« C : Chéri d’amour, féconde moi maintenant, j’en ai tellement besoin !»

Il m’avait tellement excité qu’en moins de cinq mn, je poussais un cri en libérant directement au fond de lui plus de 7 jets de mon sperme.

A chaque spasme, il ressentait cette merveilleuse brûlure en lui et à chaque fois, il poussait un fort gémissement qui était la manifestation de son intense plaisir.

Avec le sopalin, j’essuyais mon sexe puis tout ce qui ressortait de la porte secrète de mon amour jusqu’à qu’il soit sec.

Enfin, constatant que nos sexes avaient repris une taille presque normale, Cristian garda le jock-strap, puis nous nous rhabillâmes et nous sortîmes de la cabine pour tomber nez à nez avec le vendeur qui était à deux mètres de la cabine, qui n’avait rien vu mais avait tout entendu.

Il nous demanda si tout allait bien et si nous étions satisfaits, ce à quoi nous répondîmes que nous étions heureux, satisfaits … et vidés.

Nous demandâmes s’il avait une poubelle pour le papier sopalin usagé.

En plus de quatre jocks-straps, nous rajoutâmes quatre shorts très courts pour l’été, deux en toile de parachute et deux autres : un blanc quasiment transparent et un jaune clair puis quatre T-shirts moulant bien nos torses et nos pectoraux : deux pour Cristian et deux pour moi.

Nous payâmes le tout et il nous serra les mains en les gardant un peu trop longtemps à notre goût, tant il était clair qu’il aurait bien voulu nous garder pour la soirée, voire plus pour des connaissances plus approfondies …

Nous le remerciâmes bien vivement et, discrètement je lui dis que je ne partageais et que je ne partagerai jamais mon fiancé.

Et Cristian lui confirma qu’il était ni à prêter, ni à louer, ni à vendre mais il lui précisa que nous reviendrions un de ces jours pour voir ses nouveautés et que nous ne manquerions pas de les essayer dans la cabine du fond, si elle était toujours libre.

Le vendeur nous raccompagnant vers la sortie nous dit :

« Eh bien, pour vous elle sera toujours libre, et à bientôt, j’espère. »

Nous le remerciâmes vivement en lui précisant que nous étions très sensible à son accueil et après avoir échangé un baiser très langoureux, Cristian et moi, sur le palier de la porte de son magasin, nous lui souhaitâmes une excellente journée.

Le vendredi soir suivant 7 avril, veille du long week-end de Pâques, après avoir mangé et nous préparant aux préliminaires habituels avant de dormir, je vis Cristian assis nu sur le bord du lit et songeur comme jamais et je lui demandai :

« P : Mon Ange, il y a quelque chose qui ne va pas, un souci peut-être ?

Il m’embrassa avec fougue et, avec son grand sourire franc aux dents blanches, il me révéla ceci :

« C : Tu sais mon Chéri d’Amour, je vois les sommes importantes que »
« nous sortons du budget commun en balades en France, pour les hôtels » « notamment, et je me disais qu’on pourrait faire un crédit pour » « s’acheter, par exemple, un Combi VW, l’aménager en camping-car et » « avec ce que nous payons en hôtels, cela rembourserait largement les » « mensualités du crédit. »

Je fus émerveillé par son idée, d’autant que les premières belles journées de printemps défilaient les unes après les autres.

Le samedi 15 avril suivant, nous nous mîmes en recherche active de cette perle rare.
Sur internet, nous avions vu les prix des bonnes occasions et nous nous étions arrêtés à un prix approximatif

Puis, dès le mardi matin 18 avril, je contactai mon Conseiller Commercial de ma banque et je lui expliquais que nous avions besoin d’un crédit à nos deux noms, car nous envisagions l’achat d’un Combi VW d’environ "xxxxx €" remboursables sur 48 mensualités.

Notre Conseiller me donna la liste des pièces à fournir que nous déposâmes le lendemain matin dans la boite aux lettres de la banque, à son intention.

Comme je connaissais très bien ce Conseiller, car c’est lui qui avait constitué le dossier de crédit immobilier pour l’achat de mon (notre) F3 dans le 7ème arrondissement de Paris, nous convînmes d’un rdv dans un bar proche de chez nous le jeudi 20 avril vers 18 h. 30.

C’est précisément ce soir là que, sur la ligne 6 du métro, un sinistre individu s’était permis de tripoter les fesses de Cristian et à qui, sans un seul mot de ma part et les yeux brillants de colère, je lui avais flanqué en retour un magistral coup de poing dans la figure et qu’ensuite, il s’était enfui dans la station "Raspail" jusqu’à disparaître.

Comme promis, tout était prêt et après avoir tout lu, approuvé et signé, quatorze jours après l’argent était sur notre compte commun.

En effet, dès février 2023, pour des raisons pratiques de gestion de budget entre nous, nous avions ouvert un compte bancaire à nos deux noms, Cristian et moi, pour les dépenses communes et chacun, de notre côté, nous l’alimentions le 5 de chaque mois par des virements de nos comptes individuels.
Dès que nous trouverions ce véhicule, nous nous étions engagés à lui fournir facture d’achat, contrôle technique de moins de 6 mois, attestation d’assurance et carte grise afin de compléter notre dossier de prêt.

Le mardi 2 mai, vers 15 h, un garage que nous avions contacté précédemment, par téléphone, m’appela sur ma ligne au bureau pour m’informer qu’il venait de recevoir une occasion exceptionnelle : un Combi VW de 5 ans environ, très peu servi (moins de 25.000 km), qu’un couple âgé avait acheté en 2018 mais, ne se sentant plus la force de parcourir les routes de France, ils préféraient désormais les hôtels … bref, tout le contraire de nous.

Je demandai au garagiste s’il pouvait nous attendre ce soir même jusqu’à 19 h. et il nous répondit qu’il n’y avait pas de problème puisqu’il fermait ses portes à 20 h.30 et parfois 21 h.

J’appelai Cristian pour qu’il vienne dans mon bureau et l’informer qu’un garage avait appelé pour nous proposer une occasion quasi parfaite.

Je lui demandai de partir du travail ce même soir quarante cinq minutes plus tôt, d’aller jusqu’à notre garage et ramener ma voiture (une petite Audi A3 dont nous n‘avions pas encore pris le temps de faire changer la carte grise pour la mettre à nos deux noms) et l’amener juste sous le bureau et attendre ma sortie de 18 h.

Cristian était tellement excité qu’il se jeta presque sur moi pour m’embrasser et en profita pour me caresser l’entrejambe car il savait que je bandais en quelques secondes … et j’en profitais pour constater qu’il était dans le même état que moi !

Tout fut fait suivant mes instructions et Cristian était en bas de l’immeuble avant 18 h. et m’attendait.
Il était environ 19 h. 15 quand nous nous arrivâmes au garage et le patron nous présenta ce Combi VW, diesel, de couleur crème.

Dans le garage, je tenais (ou plutôt je maintenais) la main gauche de Cristian dans la mienne.
Il était si excité comme un pou que je le voyais danser d’un pied sur l’autre, signe d’une grande excitation.

Ce qui nous décida très rapidement, c’est qu’il y avait un carnet d’entretien qui démontrait le suivi sérieux de ce véhicule, que le moteur tournait parfaitement, que les pneus étaient quasi neufs et que tout l’intérieur avait été judicieusement transformé avec un lit rabattant laissant la place à un espace de vie étroit mais bien étudié dans les moindres détails.

Nous demandâmes d’essayer ce véhicule pendant un quart d’heure environ puis, étant rassurés, nous versâmes un acompte, par chèque, de 10.000 € et, pour le complément à la livraison du véhicule, il nous demanda un chèque de banque.

Pour notre sécurité, nous demandâmes que soient rajouté à chacune des deux portes avant, sur la porte latérale et sur hayon, un système de sécurité mécanique ouvrant et fermant uniquement de l’intérieur ainsi que des boulons antivols sur les jantes des roues.

Le mardi 16 mai le garagiste m’appela au bureau pour nous dire que le Combi serait prêt pour le lendemain soir.

Ce même soir, nous avions préparé deux sacs de voyage avec des vêtements chauds et d’autres légers, deux vêtements de pluie, des lunettes de soleil, un bouteille de crème solaire, deux jerrycans de vingt litres d’eau potable, deux casseroles, un deux-feux camping-car, du café soluble, du sel, du sucre, des cuillères, fourchettes, couteaux, un briquet, bols, verres, du papier toilette, sopalin … ainsi que la poire de lavement, de l’eau de rose et un tube de crème car, après mes pénétrations, sa porte intime était souvent irritée et avait très souvent besoin d’un baume apaisant.

Le mercredi 17 mai à 19 h.30, veille du long "pont" de l’Ascension, mon père, connaissant bien notre projet, nous amena avec sa voiture au garage où nous prîmes possession de notre nouvel achat.
Ce véhicule avait été totalement lavé, intérieur intégralement nettoyé, vérifié, contrôlé, appareillé de fermetures intérieures supplémentaires, de boulons de sécurité aux roues et immatriculé à nos deux noms et déclaré à notre assurance.

A 20 h. nous partîmes avec notre Combi VW direction la Normandie (pour un petit coin isolé en bord de la Manche, petit coin de nature que je connaissais depuis longtemps) où nous y arrivâmes un peu avant minuit.

Nous passerions ici, quatre jours de long week-end de l’Ascension.

La nuit de l’arrivée sur ces lieux, nous étions tellement épuisés que, d’un commun accord, de longs baisers nous suffirent à nous assoupir l’un contre l’autre, nus et collés l’un à l’autre sous une bonne couette, et Cristian s’endormit le premier et moi, quelques minutes plus tard.
Dès notre retour, nous déposerions à la banque les papiers manquants à notre dossier de crédit, à l’intention de notre Conseiller.

Pour faire nos courses et pour manger à midi, nous irions avec notre Combi dans une ville proche, et le soir, nous nous ferions chauffer un potage ou des pâtes à la sauce tomate et parmesan, etc … et des fruits avant de nous retrouver dans notre petit nid d’amour.

La Manche (The Channel) n’était pas très loin du pré où nous arrêtâmes notre véhicule fut l’endroit rêvé et quasiment désert où nous pûmes dormir profondément, bercés par le son des vagues et des marées.
Un de nos jerrycans était destiné à la boisson et pour préparer les petits-déjeuners et faire cuire quelques aliments et le second était pour notre hygiène intime et les lavements de Cristian que nous effectuions dehors, en plein air, en veillant toujours qu’il n’y avait personne aux alentours.

Ce fut quatre jours de tendresse absolue et de sexe intense générant en nous, des bonheurs incommensurables.

La nuit, nous verrouillions toutes les issues en ne laissant que l’aérateur de toi ouvert.

Comme d’habitude, après nos moments de merveilleuses fusions Cristian se lovait contre moi, apaisé, et nous endormions serrés l’un contre l’autre, dans notre cocon d’amour.

Les temps de bonheur et d’amour passent toujours trop vite …

Le dimanche 21 mai, au soir, en rentrant chez nous après cinq heures de route, nous n’avions envie que d’une bonne douche et de notre grand lit pour reprendre des forces pour le lundi matin.

Comme pour l’aller, quatre jours plus tôt, nous ne nous bûmes pas nos nectars tant le week-end avait été "chaud" et, après notre douche commune, Cristian me dit qu’il avait besoin de mon corps, de mes lèvres et de mes bras pour s’endormir et … sans orgasme ce soir là !

Chaque année, pour mes grandes vacances, j’avais l’habitude de voyager avant les grands rushes de Juillet et d’Août et, je convainquis Cristian de partir cet été ensemble à l’étranger … mais où ?

Nous en discutâmes deux soirs en rentrant du travail et nous optâmes enfin pour la Grèce : Athènes et l’ile de Santorin (Thira en grec).

Le lendemain, nous prévînmes mon père que nous souhaitions partir en vacances la dernière semaine de juin et la première semaine de juillet.

Il se gratta le menton et nous demanda un moment avant de nous donner réponse.

Il attendit et c’est uniquement le lendemain, dans son bureau, qu’il nous dit que si ses deux éléments essentiels pour le Commercial (donc, nous) allaient être en vacances en même temps, cela allait le gêner mais que pour rien au monde, il ne s’opposerait jamais à notre amour et que nous pourrions partir nous aimer sous d’autres cieux et qu’il assurerait nos deux remplacements lui-même, et donc, c’était OK pour nous !

Juste après, maman vint nous voir dans mon bureau et Cristian nous y rejoint, pour nous nous dire qu’elle ne nous avait jamais trouvé aussi beaux que depuis que nous vivions notre amour à l’air libre et qu’elle était folle de joie de savoir que nous partions le mois prochain en amoureux.

Les parents de Cristian, Stéphane et Marie G., après la première surprise d’apprendre que leur fils était gay, m’avaient adopté comme leur deuxième fils et comme me disait Cristian : « je crois bien que ma mère est folle-dingue de toi ! »

Je lui répondis en riant :

« P : Pas autant que toi mon Amour ! »

Cette nuit là, avant de nous endormir, Cristian me dit qu’il rêvait que je lui fasse l’amour là-bas, à minuit, le corps dans la mer, dans la mer.

Sur un site internet bien connu nous réservâmes les trois premières nuits d’hôtel à Athènes plus neuf nuits supplémentaires sur l’île de Santorin, avec deux dernières nuits à Athènes avant le retour en France, ainsi que deux places sur les vols Paris – Athènes – Paris et deux vols intérieurs Athènes – Santorin - Athènes.

Je voulais lui offrir nos premières vacances et surtout lui faire la surprise.

Un soir de début juin, au moment de nous mettre à table pour le diner, je déposais une lettre cadeau sur son assiette, lettre que j’avais confectionnée dans le secret au travail et contenant les bons Voucher de notre futur voyage et de nombreux pétales de rose rouge-vif, symbole de notre amour-passion.

Quand il ouvrit la lettre et qu’il y découvrit le contenu, ses yeux se mirent à scintiller de joie et d’émotion comme ceux d’un enfant devant son cadeau de Noël.

Il sauta à mon cou et me couvrit de baisers !

Cette nuit qui suivit, il se donna intensément à moi et je me vidai en lui, avec des spasmes violents qui l’inondèrent puis, je le suçais jusqu’à qu’il atteigne son orgasme volcanique et que je boive avec une intense gourmandise et nos deux plaisirs nous laissèrent anéantis de bonheur.

Le lendemain, il me dit qu’il n’avait pas de maillot de bain convenable et que le mien ne lui plaisait vraiment pas, tant par sa forme que par sa couleur et qu’il ne aimerait que je le jette … ce qui fut fait dans la minute suivante.

Le samedi suivant 10 juin, nous reprîmes le chemin du magasin au Marais où nous avions acheté T-shirts et jocks-straps et le vendeur nous reconnut de suite.

En nous serrant les mains, il nous demanda ce que nous recherchions et si nous voulions utiliser la cabine au fond du magasin pour nos essayages.

Nous lui répondîmes que oui et que nous souhaitions des maillots de bains sexy et taille basse et strictement identiques … mais ni gel, ni papier absorbant (ce coup là !)

Il sortit une douzaine de maillots de bain qu’il étala sur son comptoir et nous partîmes en essayer trois chacun.

Quelques minutes après nous étions nus tous les deux dans la cabine en essayant chacun notre tour les maillots ce qui ne fut pas très facile car nos sexes totalement dressés sortaient intempestivement …
Et comme nous étions surexcités tous les deux, chacun, à tour de rôle, nous nous miment à genoux et dégustâmes une cascade de jus crémeux qui sortaient généreusement de nos sexes brûlants.

Nous nous fichions pas mal que nos gémissements et nos cris s’entendirent jusqu’au fond du magasin puisque, comme disait Cristian, nous ne faisions de mal à personne.

Quand nous fûmes désaltérés l’un de l’autre, nous choisîmes deux mini maillots identiques, noir à bande oblique rouge, car comme m’affirma Cristian, ils nous faisaient un "magnifique petit cul " chacun.

Nous payâmes à nouveau et en sortant, le vendeur nous révéla que nos cris avaient été tellement sonores que deux clients de passage avaient aimé ce qu’ils avaient appelé la "musique d’ambiance" du magasin.

En pouffant de rire, le vendeur, nous précisa qu’il n’avait pas révélé à ces clients que cette musique était un live mais leur laissa croire que c’était la bande son d’un film très hot !

Tous les trois, nous nous mîmes à nous plier en deux et hurler de rire comme des fous !

La troisième semaine de juin, Cristian était encore plus impatient et excité et, chaque nuit au moment de nous coucher, j’eus beaucoup de mal à le calmer, même après mes longues fellations et ses jouissances explosives dans ma bouche.

Ses sommeils étaient agités et pour ma part, vu que le moindre tressaillement de son corps me réveillait, je ne dormis pendant une semaine qu’en pointillés …

Souvent, je lui demandai d’être patient et pour seule réponse, je recevais ses lèvres et sa langue en pleine bouche ce qui, entraînait des séances d’amour toujours plus torrides les unes que les autres.
Puis, la date d’envol vers Athènes tant espérée arriva.

La veille, nous avions déposé notre Combi VW chez mes parents dans leur résidence secondaire à l’extérieur de Paris puis ils nous avaient ramené chez nous en nous souhaitant de merveilleuses vacances et tout le bonheur du monde.

Notre vol décolla de Paris C. de Gaulle le vendredi 23 juin en début d’après-midi pour Athènes.
L’avion n’était pas plein et les sièges étaient loin d’être tous occupés.

Dès que nous pûmes dégrafer les ceintures, il releva l’accoudoir nous séparant et s’étant allongé en chien de fusil il posa sa tête entre mes jambes et, caressant mon sexe tendrement, il me dit :

« C : Chéri, j’ai besoin de sentir ton sexe dur et brûlant sur ma joue ! »

Pour éviter des problèmes, je jetai négligemment un gilet en coton sur ma braguette et je lui chuchotai à l’oreille :

« P : Bébé, je ne pourrai plus me lever car j’ai une bosse énorme ! »
« En en plus, tu as réussi à faire tout sortir de mon jean ! »
« Et comment vais-je faire pour sortir de l’avion ? »
« Stp, chéri arrête car je ne veux pas jouir comme ça, ni même »
« dans ta main dans l’avion … tu auras tout cette nuit ! »

Il me répondit en riant :

« C : Je sais mon Amour, je le sais et j’ai tout ton sexe dans la main » « et tu sais bien que j’adore de te sentir tout brûlant. »
« Mon cœur, je suis fou d’amour pour toi et j’ai un besoin vital »
« de ton sperme et là … j’en ai une énoooooorme envie ! »

En lui répondant à mon tour :

« P : Je sais mon Ange, mais là, arrête stp, je suis à la limite de jouir. »
« Cette nuit, je vais te brûler de l’intérieur et tu sais combien je t’aime. »
« Et puis, dis moi, si un jour, nous devions faire 10, 15 ou 20 heures »
« d’avion, comment ferais tu pour tenir sans t’occuper de mon sexe ? »

Avec son naturel et sa candeur habituelle, il me répondit :

« C : Je te sucerai sur le siège et, si ce n’était pas possible, tu me »
« féconderais dans les toilettes de l’avion ! »

Quoi répondre à ce genre d’argument ?

Rien, car pour Cristian, tout était simple et ne pouvait se résoudre que par l’amour.

Et se redressant un peu, se tournant vers moi et déposant un petit baiser sur mes lèvres, il me dit :

« C : En ce moment précis, si tu savais combien j’ai besoin de te sentir »
« en moi et que tu me remplisses ! »

Je clos la discussion par cette phrase et un nouveau baiser :

« P : Je sais, mon Bébé d’Amour ! »

La première nuit à Athènes et les jours et les nuits suivantes furent intenses, à tous les sens du terme.
Les journées, nous visitions les sites antiques, l’Acropole, le musée d’archéologie et le soir de petites tavernes du vieil Athènes, notamment de la "Plaka" ou de "Monastiraki" où nous mangions de délicieuses spécialités grecques arrosées de vins comme le "retsina" au goût étrangement résiné.

Quand arrivait 22 h.30 / 23 h. je voyais ses yeux suppliants, je posais une main sur sa braguette et je constatais à coup sûr qu’il bandait.

Il me chuchotait alors à l’oreille :

« C : J’ai tellement besoin de toi qu’il faut que nous rentions à notre hôtel. »

Arrivés dans notre chambres et comme notre libido était au maximum, après les douches et lavements intimes, c’était gémissements, râles et cris d’orgasmes mutuels qui nous laissaient pour la nuit, épuisés et heureux.

Le lundi 26 juin, ce fut un petit vol d’Athènes – Santorin puis un taxi jusqu’à notre hôtel.

Il était situé sur la côte sud de l’île près d’une plage de sable blanc appelée "Vlychada Beach" avec notre hôtel tout près.

Dès notre arrivée, et après les papiers habituels, nous avions réceptionné notre chambre, nous mîmes nos maillots de bain.

C’est vrai qu’ils étaient ultra-courts et ne supportaient pas la moindre érection et donc, deux minutes après les avoir enfilés, nous dûmes en urgence les enlever car nos sexes dépassaient outrageusement.

A chacun de ses "problèmes", il n'y avait qu’une solution et nous la connaissions comment les "résoudre".

Un bon moment après nous être apaisés, nous nous installâmes sur cette plage magnifique et quelques minutes après, j’entraînais Cristian dans la mer pour une bonne baignade rafraîchissante car j’avais peur qu’un nouveau réveil de notre libido nous pose un autre "problème", ce coup là insoluble sur la plage …

Avec lui, tout était matière à jouer et à chahuter et, à un moment, après nous être embrassés aux moins dix fois … sans doute bien plus … dans l’eau devant tout le monde à environ 50 mètres de la plage, il plongea sous moi et sans que j’eus le temps de réagir, il me poussa en
arrière, arracha mon maillot de bain et je le vis sortir triomphant, mon maillot entre ses dents !

J’avais un gage et ce gage, c’était de le sucer sous l’eau.

J’acceptai le gage et après plusieurs apnées, quel bonheur de le sucer sous l’eau, car c’était une expérience que nous vivions la première fois.

Avant de retrouver le droit de remettre mon maillot, il exigea de connaitre le même nouveau bonheur que moi et il me suça avec gourmandise jusqu’à ce qu’il soit essoufflé par toutes ses apnées.

Nous étions comme des ados, joyeux et heureux de vivre notre amour et après avoir nagé et attendu que nous ayons totalement débandé, nous regagnâmes la plage pour nous reposer un peu.

Notre hôtel n’était un Grand Luxe, mais c’était très propre, très confortable, très calme et avec vue sur la mer Egée.

Chaque nuit, après avoir diné, nous marchions environ une heure, main dans la main, en direction d’une plage naturiste (de jour) et ensuite, nous rentrions nous coucher.

Nous avions convenu que notre nudité ne s’étalerait jamais aux yeux des gens et qu’elle faisait partie de notre jardin secret et donc, que nous ne fréquenterions jamais ce coin naturiste.

Le deuxième jour, dans l’après-midi, nous allâmes jusqu’à l’entrée de cette zone naturiste pour repérer les lieux, mais nous ne franchîmes pas la limite où il était conseillé de faire tomber le maillot.

Le troisième jour, nous louâmes une petite voiture de marque Toyota car nous voulions visiter cette île car nous avions vu, sur un dépliant, qu’il fallait absolument assister au coucher de soleil à "Oia", une petite ville blanches aux toits plats, sur lesquels on pouvait monter, du moins pour certains.

Nous y arrivâmes vers 19 h. 30 là où autres touristes avaient déjà pris place çà et là et nous avisâmes un toit plat où il y avait quasiment personne.

Je m’assis par terre et Cristian vint s’assoir entre mes jambes et en attendant ce moment, nous ne nous arrêtâmes pas de nous caresser les bras, nous câliner et nous embrasser.

Puis, la lumière décrut sur la mer et ce coucher de soleil apparut, flamboyant.

Nous prîmes quelques photos fascinés par les couleurs rougeoyantes et changeantes.

La nuit tombée, nous étions toujours là, mes bras autour de sa taille et de sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration et ma tête reposant sur son épaule droite que je couvrais sans cesse de baisers.

Nous nous sentions seul au monde, même si d’autres touristes assis à une vingtaine de mètres de nous étaient encore sous le charme de cette fin de journée, Cristian, se tournant pour m’offrir ses lèvres me dit :

« C : Mon Amour, je t’aime tellement fort ! »

Je dégrafai la ceinture de son pantalon puis passant la main à l’intérieur de son boxer, je constatai que son érection était magnifique et lorsque caressais son gland brûlant, ses gémissements étaient plus intenses et plus sonores.

Ses grands bonheurs se manifestaient toujours ainsi et pour moi, c’était un bonheur aussi et une fierté de lui donner ces plaisirs que personne d’autre au monde n’aurait pu lui procurer.

Jamais, de toute ma vie d’adulte, je n’avais ressenti un tel amour pour celui qui serait un jour mon mari et qui était mon amant de tous les jours et de toutes les nuits.

Nous rentrâmes à l’hôtel vers 22 h. 30 et, après une douche bienfaisante, comme toujours à deux, il me demanda de le serrer dans ses bras, puis le sécher tout en douceur.

Je lui demandai de mettre ses bras autour de mon cou puis je le soulevai, je le déposai tendrement dans notre lit et le couchai comme enfant … ou plutôt comme MON bien-aimé.

Cette nuit là, nous ne fîmes pas l’amour car il s’effondra de bonheur en me couvrant de baisers et il s’endormit avant même que je finisse de le caler contre moi et passer mon bras autour de sa taille.

Le quatrième jour, nous prîmes un petit bateau pour aller sur "Nea Kameni", un restant du volcan effondré dans l’Antiquité.

Cet ilot volcanique se situe à moins d’un kilomètre de l’île principale et, de là nous ramenâmes un petit caillou basaltique de couleur noire que nous voulons faire graver avec nos deux noms et les dates de nos premières vacances.

Le quatrième jour, après une journée de détente et de tendresse, et après avoir pris le diner et dormi près de deux heures, vers 23 h. 30, nous enfilâmes les shorts que nous avions acheté au Marais, un T-shirt, puis dans un sac à dos de plage, une grande bouteille d’eau fraîche, deux grands draps de bain et deux plus petites serviettes puis nous partîmes, main dans la main en espérant ne rencontrer personne qui aurait pu nous déranger dans ce qui allait être la réalisation du rêve de Cristian (également devenu le mien) : faire l’amour dans la mer.

Je lui avais demandé de mettre son short transparent afin que tout le trajet, j’admire ses fesses tant ses formes parfaites m’excitaient.

Heureusement qu’à l’accueil le veilleur de minuit faisait des jeux avec sa tablette, car avec une lumière rasante, il pouvait le voir totalement nu.

Tout le long de notre balade nocturne, nous ne rencontrâmes personne.

Il nous fallu un très long moment pour parcourir ces 500 mètres car des pauses tendresse-bisous nous furent nécessaires tous les 2 minutes.

Nous arrivâmes enfin dans un coin qui nous sembla propice à la réalisation de notre rêve, nous étalâmes notre drap de bain sur la plage et je déshabillai Cristian et lui, me déshabilla.

Nous étions nus, nos sexes dressés vers le ciel, juste éclairés par un quart de lune croissante et, main dans la main, nous partîmes nous baigner à cinq mètres maximum du rivage, histoire de ne pas prendre de risques.

L’eau nous rafraîchit soudainement les corps, mais cette température ne nous fit pas débander l’un et l’autre car nous savions que dans quelques instants, nous allions nous fusionner sur le bord de la plage, nos corps mouillés sans cesse par les petites vagues déferlant sur nous.

Au bout de quelques minutes, nous décidâmes de sortir partiellement et nous coucher dans l’eau là où le sable mouillé résiste à la pression des corps.

Dès que l’eau nous arriva à mi-mollets, Cristian se coucha sur le dos et me dit :

« C : Je suis prêt mon Amour, toi aussi ? »

Je lui répondis :

« P : Oui, mon Ange, tu veux réaliser mon rêve, ton rêve, notre rêve, cette nuit et maintenant ? »

Je ne lui laissais pas le temps de me répondre ou de me poser une question supplémentaire.

Je commençai à diriger mon sexe dans sa bouche et il me fit une fellation incroyable qui me fit gémir intensément.

Avant qu’il me fasse jouir, je descendis le long de son corps embrassant, léchant et suçant le moindre cm2 de sa peau, puis relevant ses jambes et les plaçant autour de mon torse, nous nous mîmes en position du "missionnaire" tandis que je plongeais mon regard dans le sien.

« P : Bébé, tu es prêt ? »

Ses yeux brillant furent sa seule réponse, tant il avait rêvé et imaginé ce moment !

Mon sexe trouva de lui-même son chemin vers son ouverture.

Nous avions oublié le gel intime mais, après des dizaines et des dizaines de fusions, j’avais remarqué que Cristian s’ouvrait et m’acceptait désormais assez vite et totalement en lui en moins de 2 mn.

Avec quand même d’infinies précautions, je me poussai en lui, surveillant sa respiration et tantôt sa crispation et tantôt son côté extatique de son visage pour adapter ma vitesse de progression dans son temple de l’amour.

Une fois bien calé au fond de lui et que sa respiration eut pris un rythme intense mais correct, il me cria presque :

« C : Stp mon Amour, maintenant, accélère et féconde moi. »

J’accélérai de plus en plus vite et rapidement comme un beau diable en lui.

Cette nuit là, sur cette plage nocturne et totalement déserte, nous touchâmes l’extase et parfois nous frôlâmes l’évanouissement tant nos plaisirs déchaînés nous firent râler et crier comme jamais, puis, au bout d’une dizaine de minutes, je lui criai :

« P : Là, Bébéééééééééé, je viennnnnnnnnnnnnssssss !!! »

Nous nous cambrâmes et nous hurlâmes en même temps.

Je remplissais son corps pendant qu’il me dévorait la bouche, les lèvres et mangeait ma langue.
Moins de quinze secondes après j’entendis un cri suraigu.

Un orgasme anal se déclencha en lui d’une extrême violence comme je ne l’avais jamais vu, ni chez lui, ni même chez d’anciens amants.

Je continuais à lui faire du bien en réalisant notre rêve.

Comme un dément, et pendant que je continuais à le maintenir sous moi et ses jambes autour de ma taille, il fut pris de soubresauts impressionnants et ses cris furent presque surhumains montants et descendants comme des sirènes de pompier.

Mon sexe ne débandait pas car voir l’être le plus cher et le plus précieux à mon âme et à mon cœur ressentir un tel orgasme maintenait mon érection à un point incroyable.

J’eus toutes les peines du monde à le maintenir tant ses énergies étaient décuplées par son orgasme et me menacèrent de me faire éjecter à côté de lui.

Puis, entre deux respirations saccadées, il me dit :

« C : Chéri d’Amour, j’ai tellement envie de jouir … »

Je sortis de son corps le plus lentement et le plus délicatement possible, puis je pris son sexe en bouche et lorsqu’il se vida totalement dans ma bouche, ses soubresauts et ses cris furent alors d’une intensité jamais entendue jusque là.

Je bus avec délices ce jus béni et quand sa fontaine de jus crémeux s’arrêta, je continuai à le sucer et l’aspirer pour récupérer les derniers atomes de son nectar.

Je changeai de position puis je me mis assis en tailleur derrière lui et ayant posé sa tête sur ma cuisse gauche, en tournant sa tête, il prit mon sexe en bouche mais il n’eut plus la force de me sucer et cette sensation lui suffisait maintenant.

Il lui fallu un temps inouï à retrouver sa conscience pleine et entière.

Toujours à moitié dans l’eau, je changeais de position et de côté et je me recouchai près de lui.

Reprenant son sexe dans ma main droite pour profiter encore de son côté brûlant, nos lèvres et nos langues se mêlèrent dans un ballet divin dont aucun chorégraphe n’aurait pu définir les mouvements.

Inondé par tous ces plaisirs et de ces bonheurs indicibles, lorsqu’il voulut enfin de se relever, je dus le soutenir car il n’avait plus de forces et pendant un moment, je me demandai comment nous allions revenir à l’hôtel.

En passant mon bras et ma main sous son aisselle droite, je le ramenai dans un peu plus d’eau puis je me lavai et ensuite je lui lavai les fesses du surplus de sperme qui s’écoulait comme une fontaine d’amour.

Puis, nous sortîmes et je le déposai avec d’infinies douceurs sur notre grand drap de bain.

Je pris le deuxième drap, le posai comme une couverture sur nos deux corps épuisés et le prenant dans mes bras, nous nous assoupîmes un moment, lui sur ma poitrine et moi, la joue contre sa tête.

J’avais l’Ange de l’Amour dans mes bras, contre moi, et nous nous étions tout donnés !

Quand la fraîcheur de la nuit nous réveilla, la lune avait bien changé de place et comme nous n’avions pas pris nos montres, je signalai à Cristian que beaucoup de temps avait dû passer et pour toute réponse, nos lèvres se rejoignirent amoureusement puis, il me dit :

« C : Oh mon Amour Infini, au fur et à mesure que tu me remplissais, » « j’avais l’impression que mon orgasme me faisait perdre conscience »
« et ton sexe qui continuait à s’agiter en moi me ramenait à la vie »
« et le plaisir indescriptible que tu continuais à me procurer sans cesse »
« me ramenait vers les étoiles et c’est ton amour qui m’a maintenu sur » « terre, en vie, car je ne vis que pour toi. »

Je lui répondis :

« P : Mon Ange, tu as vécu un moment rare et puissant, celui d’un orgasme anal qui bouleverse tout» «le corps et l’esprit, et si tu savais combien je suis heureux et fier de te l’avoir procuré et surtout que» « tu aies pu enfin connaître ceci avec moi, pendant nos vacances d’amour ! »

Cristian, se serra contre moi et sous la lumière blafarde de notre astre de nuit, je vis couler deux grosses larmes que je m’empressai d’avaler.

Il me dit :

« C : Peut-être que je n’éprouverai plus jamais cet orgasme avec une » « telle intensité, mais cela » « restera gravé toute ma vie dans mon cœur, mon âme et mon esprit ! »
puis il rajouta, épuisé :

« C : Mon Amour d’Amour, peux tu nous ramener à l’hôtel ? »

« P : Oui, mon Cœur d’Amour ! »

Nous étions resté nus et je l’aidais à se rhabiller puis je me rhabillais ensuite et, constatant qu’il tremblait de froid, je lui mis les deux serviettes de bain sur les épaules, je lui pris fermement la main et nous commençâmes le chemin du retour.

Heureusement que nous ne croisâmes personne sur la plage mouillée du retour car Cristian avait remis son short transparent qui ne cachait absolument rien de son intimité et qui dévoilait en permanence ses trésors.

En rentrant à l’hôtel vers 4 h. 45 de la nuit, nous aperçûmes que nous avions dormi environ deux heures sur notre lit de sable improvisé.

Le veilleur de nuit dormait sur sa chaise relax et nous filâmes bien vite dans notre chambre sans un bruit, puis sous la douche pour enlever toutes traces de sel et de sable et je dus à nouveau le soutenir pour le sécher et l’emmener dans notre lit.

Ses belles jambes galbées ne le soutenaient plus.

Quelques baisers passionnés nous entrainèrent très vite dans les bras de Morphée, mais juste avant que Cristian s’endorme totalement, je lui glissais à l’oreille :

« P : Mon Bébé d’Amour, un jour ou une nuit, tu connaîtras à nouveau cet orgasme volcanique, ne »
« serait ce que la nuit de notre mariage et j’espère beaucoup de fois encore ! »
« Je te le jure ! »

Je n’entendis un petit « mmmm » et le doux bruit de sa respiration calmée puis il s’endormit immédiatement et profondément dans mes bras.

Je couvris son corps de notre léger drap et après avoir caressé ses fesses, douceur de soie, et déposé un nombre incalculable de baisers dans son dos et sur son épaule droite, je le collais contre mon bas ventre et je m’endormis, mes lèvres contre sa peau.

Le seul souvenir dont je me rappelle avant de m’endormir est d’avoir eu la pensée de remercier le Ciel de nous avoir permis de vivre un tel moment unique d’amour et d’intensité !

Le lendemain, vers 9 h. nous nous réveillâmes à quelques minutes d’intervalle et, Cristian, me regardant avec ses yeux d’ange, m’embrassa tendrement et amoureusement en me souhaitant une très belle journée.

Comme d’habitude, ma main droite glissa vers son bas ventre et je saisis son sexe qui était à nouveau dur comme de l’acier et brûlant comme de la braise et en lui rendant son baiser passionnément, il me dit :

« C : Chéri, tu sais que j’ai encore envie de jouir ? »

« P : Moi aussi », lui répondis je.

Notre premier acte de la matinée, fut un 69 d’anthologie qui nous amena à jouir dans nos bouches respectives quasi simultanément.

Cette symphonie d’amour, de sexe et de tendresse, résonna dans notre chambre en stéréophonie !

Plus nous faisions l’amour, plus je le trouvais beau et désirable et plus je le trouvais beau et désirable, plus j’avais envie de faire l’amour avec l’amour de ma vie … et lui aussi.

Et cinq mois après, ça continue encore et toujours !

Quand je lui dis, il se met à rire ce qui le rend encore plus beau et il me répond :

« C : Chéri, je pense exactement la même chose que toi, et sans arrêt, j’ai envie de fusionner »
« nos corps ! »

Au matin pour le petit-déjeuner et soir pour le diner, nous descendions main dans la main dans la salle de restaurant.

Le petit déjeuner du matin est sacré pour nous deux car il nous permet de recharger nos batteries et être toujours en forme et, spécialement en été, pour nous donner du bonheur et du plaisir dans la journée.

Beaucoup de couples qui voyaient notre tendresse et notre complicité nous faisaient un petit sourire, un clin d’œil de bienvenue et/ou un petit mot gentil de bonjour.

Pendant la grosse semaine passée dans ce lieu idyllique, très peu de touristes ont détourné la tête pour éviter de nous dire bonjour, tant un amour différent peut déranger des esprits fermés.

Nos vacances passèrent rapidement, nous rendîmes notre petite voiture et il fallu bientôt préparer nos valises pour rentrer à Athènes d’abord puis à Paris deux jours après.

Il y a peu de temps, et en voyant un petit carnet gris sur une étagère de notre chambre que Cristian tient, depuis le 28 janvier dernier, un journal secret (enfin pas si secret que ça car il ne me l’a jamais caché) qu’il m’a fait voir et lire il y a une semaine à peine et sur jour il note tout.

Quand je lui ai demandé ce que signifiaient ces lettres, comme P/F, S, double S et B, il s’est mis à rigoler et m’a précisé que cela avait un rapport avec notre vie très intime.
J’ai réfléchi et d’un seul coup j’ai trouvé.

P/F, c’est pénétration/fécondation, S, c’est suce, double S, c’est 69 et B, c’est boire.

Je lui ai demandé s’il avait fait les cumuls et il m’a répondu qu’il le ferait en fin d’année et, au 1er janvier de chaque année, il me communiquerait les chiffres !

Le jeudi 6 juillet, dans la matinée, nous embarquâmes dans un avion à hélices, un ATR42, pour Athènes.
Nous arrivâmes dans la capitale grecque en début d’après midi et, avec un taxi, nous prîmes le même hôtel qu’à l’aller.

Dans ces prochains jours, nous avions encore quelques achats à faire mais nous nous accordâmes deux heures de repos dans notre lit et, juste après avoir enlevé nos chaussures, Cristian s’allongea près de moi et s’endormit profondément, la tête contre ma poitrine, après un seul baiser … et moi aussi.

Vers 16 h.30, je le réveillai tout doucement et lui demanda s’il avait envie de sortir, ce à quoi il me répondit :

« C : Seul non, mais avec toi j’irai au bout du monde ! »

Un petit coup d’eau sur nos visages, un brossage des cheveux et deux longs baisers, et nous étions dans le hall de l’accueil.

J’avais une demande précise à faire au gérant qui parlait un peu français :

« P : Monsieur, svp, savez vous où nous pourrions acheter un bouzouki de bonne qualité, un bouzouki fabriqué en Grèce et non pas importé de Chine !? »

Il nous sortit un plan du centre-ville d’Athènes sur une feuille format A4 et, faisant une croix à un endroit précis, il nous écrivit le nom de la rue, le nom du magasin et la station de métro la plus proche.
Cristian ne savait pas ce qu’était un bouzouki et en riant, je lui dis :

« C : Bouzouki, c’est cadeau, mon Amour ! »

Il me répondit :

« C : C’est le mot grec de cadeau ? »

Je riais de plus belle et je lui affirmai :

« P : Oui, mon Amour ! »

Dans le centre ville, nous achetâmes les cadeaux classiques des touristes : T-shirt pour nos parents et pour nous, deux bermudas que je lui interdit de demander d’essayer en cabine … sachant très bien comment cela aurait fini, puis deux foulards de soie pour nos mamans.

Dans un autre magasin, nous achetâmes trois demi-litres d’ouzo (boisson apéritive fortement anisée), près d’un kilo de biscuits secs et autres petites sucreries.

A chaque fois Cristian me demandait :

« C : Bouzouki ? »

Et je répondais en riant :

« P : Oui mon Ange, bouzouki ! »

Nous demandâmes à la commerçante qui nous avait vendu l’alcool et les gâteaux la direction du magasin de bouzoukis.

Sans le savoir, nous étions à 50 m. de ce magasin.

D’un seul coup, le visage de Cristian s’éclaira et il éclata de rire quand il comprit, en voyant la vitrine que bouzouki ne voulait pas dire cadeau mais un instrument de musique typique grec et qu’un l’un d’eux serait, sans doute, un cadeau pour lui.

Nous entrâmes dans ce magasin et, après avoir entendu un "Kalispera" (bonsoir, en grec) auquel nous lui répondirent le même mot, un monsieur d’une soixantaine d’années se présenta comme "Démétrios" et nous demanda en anglais d’où nous venions.

Quand il apprit nous étions français, il vint vers nous et nous, totalement interloqués, il nous serra dans ses bras en criant "français, français" ainsi que deux autres phrases dont on ne sut pas trop s’il en comprenait le sens : "Je t’aime" puis "Voulez vous coucher avec moi ? "

Cristian et moi, nous étions morts de rire et sans l’avoir calculé, je le serrai par la taille et il me déposa un doux baiser sur les lèvres devant ce grec qui se mit à se joindre les mains et nous faire une bénédiction.

Nous passions de surprises en surprises.

Il demanda à une jeune femme d’apporter quatre sièges et nous pria, avec des signes, de nous assoir et enfin, il nous demanda en anglais ce que nous souhaitions.

Cristian qui ne pouvait plus tenir son fou rire répondit :

« C : Bouzouki ! »

Une vive discussion d’engagea en anglais et, pour qu’il comprenne enfin quelle qualité nous souhaitions Cristian répondit :

« C : Please, good quality, but no made in China ! »

Démétrios fit décrocher 4 bouzoukis par cette jeune femme et un instrument après l’autre, il nous joua des mélodies grecques.

Cristian désigna un des quatre, et lui dit :

« C : This one, please. »

Le vendeur répliqua :

« Are you a music professional ? »
« This bouzouki is the best and made for me by an greek artisan. »

Cristian lui répondit qu’il avait une excellente oreille musicale et qu’il jouait de la guitare sans partition.

Le vendeur nous demanda 1.500 € pour cet instrument et, à force de marchander, nous l’achetâmes pour 1.000 € que nous payâmes avec nos deux Cartes bancaires Internationales à hauteur de 500 € chacune.

Nous avions explosé tout notre budget pour les quinze jours, mais le bonheur qui nous envahissait n’avait aucun prix autre que l’amour.

Pour fêter la vente, son employée nous apporta du café grec brûlant (c’est-à-dire avec le marc flottant dedans) que nous attendîmes patiemment de reposer avant de le boire avec le vendeur et nous apprîmes que cette employée était tout simplement sa fille.

Avant de partir et de rentrer à l’hôtel, nos bras chargés de nos achats, le vendeur nous demanda d’écouter son interprétation de "La vie en Rose", d’Edith Piaf au bouzouki et avec des accords grecs, et nous priant de nous lever, il nous invita à danser dans son magasin sur ses accords de musique.

Son interprétation inédite, exceptionnellement belle et émouvante entraîna Cristian à se coller contre moi et nos lèvres soudées l’unes aux autres, nous commençâmes la plus belle danse de notre vie.

Nos sexes étaient tendus à l’extrême et nos pantalons déformés montraient notre désir et notre amour profond et, pour une fois, nous ne cherchions pas à nous cacher.

Et puis, il fallu partir avec le "cadeau bouzouki".

Nous avions les larmes aux yeux quand Démétrios nous serra à nouveau dans ses bras et nous savions que, probablement nous ne nous reverrions jamais plus dans cette vie et cela nous mit un coup de blues.

Nous étions tellement chargés de nos achats que nous rentrâmes à l’hôtel en taxi et, dans notre chambre, couchés sur le lit Cristian me dit :

« C : Mon Amour, ce Démétrios est un être exceptionnel, un sourire merveilleux et une âme pure ! »
« Je ne te remercierai jamais assez pour cet amour que tu déverses jours et nuits sur moi et en moi et»
« pour tous ces cadeaux que, jamais avant de te connaître, j’aurais pu imaginer ou espérer d’un amant»
« et d’un futur mari, MON futur mari ! »

Voyant qu’il était fortement ému, je le serrai très fort dans mes bras et nos lèvres se soudèrent à nouveau dans des baisers passionnés et ce qui devait arriver arriva.

Il me demanda :

« C : Chéri, tu veux me faire l’amour ? »

Une heure après, nous étions rassasiés et épuisés de cette passion qui nous étreignait et nous entraînait vers des spirales de tendresse, de sexe et de jouissances exceptionnelles, à chaque fois.

Après avoir repris un peu nos esprits, Cristian me demanda :

« C : Ce soir, dernier soir en Grèce, on va se faire un superbe restaurant ! »
« Tu veux sortir en amoureux ? »

Nous déambulâmes, main dans la main dans le vieux Athènes et, durant la soirée, je ne vis que la beauté de mon amour, ses yeux, son sourire, ses lèvres et un besoin incroyable de nous fusionner à nouveau dans la nuit.

Après un bon repas de crudités et de poulpes, arrosé de retsina, nous rentrâmes nous coucher et, bien entendu, nous atteignîmes un nouveau 7ème ciel très sonore avant qu’un grand silence enveloppe notre lit d’amour dans notre sommeil.

Le vendredi 7 juillet, nous étions dans l’avion Athènes – Paris C. de Gaulle et nous avions obtenu l’autorisation de mettre le bouzouki en bagage à main et l’avions calé avec la ceinture de sécurité, sur un siège libre de l’avion.

Cristian se blottit contre moi, je mis mon bras droit autour de son cou et il s’endormit profondément contre mon épaule pendant je passais la main sur son visage et dans ses cheveux.

Je constatais alors qu’ils étaient décolorés, cassants et ternes et les miens ne valaient guère mieux.

Nous prendrions un rdv chez notre coiffeur pour une bonne coupe et un soin intense de nos cheveux.

Pour rentrer chez nous, nous ne prîmes pas le RER mais un taxi.

Chez nous, le téléphone fixe avait reçu des appels et des messages de Florence, la secrétaire, puis des messages de nos parents respectifs.

Maman avait décidé qu’il était temps d’inviter Marc et Isabelle, les parents de Cristian, et nous étions invités, nous aussi, à un bon repas ce dimanche 9 juillet.

Vers 20 h.30, avant de nous coucher, nous téléphonâmes à nos parents pour les informer de notre retour et les rassurer que tout allait parfaitement bien, et que nous nous verrions après-demain, dimanche midi.

Nos organismes étaient un peu fatigués de cet ouragan d’amour, de bonheurs, de plaisirs et d’orgasmes et nous avions réellement besoin de nous reposer de nos vacances.

Pendant notre absence, mes parents, qui avaient le double des clés de chez nous, avaient rempli notre frigo de toutes sortes de nourritures et nous mangeâmes très rapidement puis, après notre douche, nous plongeâmes dans notre lit d’amour.

Il était environ 21 h. quand Cristian vint se serrer très fort contre moi, sa jambe gauche insérée entre mes jambes et je sentis de suite l'adorable brûlure que m’infligeait son sexe tendu à l’extrême posée sur ma cuisse.

Ses lèvres déposaient une succession ininterrompue de baisers sur les miennes et entre deux, il me dit :

« C : Mon Chéri d’Amour, j’ai vécu ce voyage en Grèce comme un moment continu d’amour et de » « tendresse essentiels à ma vie ! »
« Merci infiniment pour tout mon futur mari, tu es mon Paradis »
« permanent et sans toi, je suis sûr que je mourrais ! »
« Je t’aime infiniment et éternellement ! »

Après de longues minutes de baisers passionnés, je lui répondis :

« P : Mon Ange, j’ai vécu des moments intenses et merveilleux durant ces quinze jours de Paradis avec» « toi et grâce à toi. »
« Je suis totalement fou d’amour pour toi, mon cœur brûle pour toi en permanence et si tu me quittais,» « mon Bébé, je n’en survivrais pas ! »
« Désormais nous baignons dans la fusion de nos cellules et la magie de notre tendresse et de notre » « amour !»
« Moi aussi, je t’aime d’un amour infini et éternel et oui, je veux t’épouser ! »

Il me sembla que nos érections étaient de la même intensité que dans la nuit où nous réalisâmes notre rêve dans la Mer Egée.

Les yeux de Cristian parlaient plus intensément qu’un long discours.

Sans un mot, je le pris par la main, je le fis se relever puis nous passâmes de nouveau sous la douche, et connectant la canule, je procédais un premier lavement puis, après qu’il ait tout évacué dans les toilettes, un deuxième avec la poire et de l’eau de rose qu’il évacua rapidement.

Nous n’avions pas prononcé un autre mot.

Une fois séché, nous repartîmes une seconde fois en direction de notre lit.

Il prit lui-même le tube de gel, il s’en induisit sa porte intime, et s’empala puis ses râles et ses gémissements emplirent l’atmosphère de notre chambre.

Quand il se calma un peu, il était toujours empalé et mon sexe vibrait intensément en lui et il me répéta uniquement ces trois mots :

« C : Je t’aime, je t’aime, je t’aime … »

Il le répéta encore et jusqu’à ce que j’explose en lui et là, nous criâmes ensemble :

« C et P : Je t’aime, je t’aime, je t’aime … »

Puis, se redressant et pointant son sexe dans ma bouche, je le suçai jusqu’à ce que, à son tour, il vida en moi une cataracte de jus parfumé.

Sans même s’essuyer, il prit ma tête entre ses mains et entre des dizaines de baisers, il me répéta encore et encore, et sans cesse :

« C : Je t’aime, je t’aime, je t’aime … »

Puis, il prit sa place habituelle en cuillère contre moi, je le serrai encore plus fort que d’habitude et j’entendis :

« C : Je suis plein de toi et je t’aime d’une façon que je ne peux même pas t’exprimer, mon Chéri, »
« car il n’existe pas de mots assez forts pour te le dire. »

Puis, plus rien que le doux son de sa respiration apaisée.

Il dormait.

Je collais mes lèvres contre son épaule et tout proche de m’endormir, j’eus la force de penser qu’il n’y avait pas de mots plus beaux que ces trois là et je sombrais dans le sommeil avec ces « Je t’aime » dans ma tête.

Vers 9 h. du matin, Cristian bougea et ouvrant mes yeux, je vis ses lèvres à un centimètre des miennes qui prononçaient silencieusement ces trois mots magiques « Je t’aime » et la journée de ce samedi commença ainsi, dans une tendresse infinie puis, après notre petit déjeuner, voyant son sexe bandé presque à la verticale, je le bus avidement.

La journée passa ainsi, nous ne mangions que très peu à cause de la chaleur car notre amour seul nous remplissait et deux fois encore, dans la journée, nous nous bûmes, car cet acte magique était devenu un besoin essentiel, voire vital.

C’est lors de ce samedi soir où nous fixâmes la date de notre mariage.

Comme nous n’avions aucune date préférée, je mis un bandeau sur les yeux de Cristian et, en lui donnant un stylo et lui présentant le calendrier du 1er semestre 2024, il pointa à l’aveugle la bille du stylo sur une date proche du 4 mai.

J’enlevais le bandeau de ses yeux et je lui annonçais fièrement que nous marierons le samedi 4 mai 2024 et que je lui promettais une cérémonie, un repas et une nuit de noces exceptionnelle et que nous ferions l’amour à nouveau comme des fous.

Il me demanda :

« C : Mon Chéri, comme la nuit sur la plage à Santorin ? »

Je lui promis :

« P : Oui mon Bébé d’Amour, ce sera encore mieux, encore plus intensément, encore plus »
« amoureusement, encore plus follement, encore plus, plus, plus, toujours plus ! »

Nous ne rentrerons pas dans les détails de notre samedi soir et dimanche matin, mais sans doute pourrez vous deviner les détails.

Le dimanche matin, après notre douche, Cristian s’assis sur mes genoux et nous prîmes notre petit-déjeuner en partageant tout et en buvant dans le même bol.

Vers 11 h. Cristian choisit pour nous deux, deux tenues pantalons couleur bleu ciel et deux chemises d’été à manches courtes, blanches immaculées ainsi que des sandales d’été que nous avions achetées à Athènes.

Nous ressemblions à des jumeaux car nos tenues étaient rigoureusement identiques, mais en fait de jumeaux, nous étions des amants affamés de nos corps en permanence.

Nos tenues claires faisait ressortir extraordinairement bien notre bronzage, et plus que jamais, j’avais envie de ses lèvres et de son corps.

A peine avait il fermé la ceinture de son pantalon que je le pris dans mes bras et je lui dis :

« P : Mon Ange tant aimé, j’ai une soif extraordinaire de toi ! »

Il me déposa un tendre baiser sur les lèvres et me répondit :

« C : Mon aussi, Amour de ma vie ! »

Ce qui devait arriver arriva et nos gorgées nous remplirent non seulement de nos nectars mais d’un bonheur extraordinaire.

Nous vivions dans un état de félicité totale, jours et nuits !

Nous nous rhabillâmes l’un et l’autre et comme mon cœur n’arrêtait pas de déborder d’amour et, juste avant de refermer sa ceinture, je plongeais la main sous son boxer et lui disant :

« P : Chéri, j’avais besoin de vérifier que tout était bien en place. »

Il se mit à éclater de rire et pour la peine, je fus condamné à réajuster tout le matos qui avait regonflé à nouveau et qui menaçait de ne plus rentrer dans son sous-vêtement.

Il était 11 h. 30 du matin et nous étions assis dans notre voiture dans le garage et, avant de démarrer, Cristian fut poussé par une formidable pulsion de tendresse.

Il se jeta sur moi et me dévora le visage, le nez, les lèvres et la langue et quand, enfin rassasié d’amour pour un moment, il reprit sa place, il me dit avec une candeur incroyable :

« C : Mon Amour, c’est bon maintenant, nous pouvons y aller ! »

Je riais de bon cœur de voir cette boule d’amour m’aimer à ce point là et, dans nos relations intimes, il restait naturel, pur et tendre en allant jusqu’au bout de ses pulsions.

Je pris un mouchoir pour m’essuyer le visage qu’il m’avait quasiment lavé avec sa langue puis, avant de mettre le moteur en route, pour vérifier son état, je caressais sa braguette et je lui dis :

« P : Mon Bébé, durant le trajet, il va falloir que tu débandes ! »

Lui, caressant ma main qui lui caressait la déformation au niveau de son entrejambe, il me répondit :

« C : Ca va être difficile, car j’ai toujours autant envie de te boire et que tu me fasses l’amour ! »
« Mais si tu continues à me caresser à cet endroit précis que tu affectionnes, tu sais bien que je ne » « pourrais pas débander. »

Nos lèvres se rejoignirent dans un bref mais intense baiser et nous partîmes chez nos parents.

Nous arrivâmes quinze à vingt minutes en retard sur l’heure prévue et, nous en excusant, maman nous fit un petit clin d’œil qui signifiait qu’elle avait bien compris la raison de notre retard.

Tout le monde était là, impatient de nous revoir bronzés et nos parents nous embrassèrent en nous serrant sur leurs cœurs et nous leur offrîmes nos petits cadeaux.

Nous fûmes bombardés de questions.

Ils voulaient tout savoir ce que nous avions fait, ce que nous avions visité, comment nous avions trouvé les grecs, si les paysages, les sites archéologiques nous avaient plu, si la mer était bonne, etc …

Cristian finit par leur dire :

« C : Pour nos premières vacances en amoureux, j’ai été heureux et comblé des millions de fois »
« et plus je pouvais l’espérer, et notre tendresse et nos actes incessants d’amour et nos fusions »
« nous ont amenés plus d’une fois jusqu’en plein Paradis ! »

Et, se tournant vers moi et prenant mon visage dans ses mains, tout fort, il me dit :

« C : Amour de ma vie, veux tu m’épouser ? »

Sans attendre un quart de seconde, je lui répondis sur le même ton :

« P : Toi aussi mon Ange tu m’as comblé des plus belles joies, des plus grands plaisirs et bonheurs »
« les plus divins ! »
« Oui, mon bel Ange, je veux t’épouser car il n’y a que toi, toi mon unique et éternel Amour ! »

Nous nous embrassâmes passionnément sous les applaudissements de nos parents et, tout de suite après, nous vîmes les yeux de nos mamans embués de larmes de joie.

Ces larmes qui signifiaient qu’elles acceptaient notre union et nous les prîmes, chacun à notre tour, nous les serrâmes dans nos bras en leur disant : MERCI !

De voir toute notre famille réunie nous chavirait le cœur, non seulement parce que nos familles et belles-familles acceptaient notre union homosexuelle mais aussi parce que nos futurs beaux parents demandèrent à leurs futurs gendres de les appeler, d’un côté Maman Isabelle et Papa Marc et de l’autre côté, Maman Laura et Papa Francis et de nous tutoyer toutes et tous.

Nous deux, nous ne pouvions nous arrêter d’échanger des baisers passionnés ce qui ravissait le cœur de nos parents.

En cadeau, nous leur annoncèrent notre date de mariage : le samedi 4 mai 2024 !

Ce fut, à nouveau, une effusion de tendresses et d’amours filiaux.

Cette journée avec nos parents fut magnifique et heureuse et nous rentrâmes chez nous vers 23 h. et, après de longs et profonds baisers, Cristian pris sa position habituelle et nous plongeâmes ensemble dans les bras de Morphée très rapidement.

Le lendemain, à 8 h. nous étions au travail …

A plus, les amis.

A suivre (en octobre)

Cristian et Paul

cren4989rofr@laposte.net

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