J’habite en coloc avec mon ami et tout se passe très bien depuis un moment.
Je m’appelle Yannis, j’ai 22 ans et je suis installé en banlieue parisienne depuis 1mois déjà. Précisément à Aubervilliers.
Je suis moyennement grand (179 pour 76 kg musclés secs et j’essaie de prendre soin de mon corps.
Mon coloc, Hervé a le même âge que moi, c’est un très bon ami, on se connaît depuis nos années lycée à Montpellier. Il a toujours été plus dévergondé que moi et a commencé les relations sexuelles avec les mecs bien plus tôt que moi.
Déjà au lycée il me racontait qu’il se tapait le surveillant d’élèves dans les toilettes pendant les heures de cours.
Mon pote est très branché homme maghrébin, kurde et méditerranéen. Je comprends mieux pourquoi il s’est installé dans ce quartier qui à une forte population d’homme étranger venu du moyen orient Sui aime bien s’attrouper dehors toute la journée.
Souvent quand on va faire les courses avec Hervé, je le vois draguer ces mecs avec des regards, des mordillements de lèvres suis parfois passe inaperçu voir pas intéressé, mais ol n’est pas rare que je retrouve une de ces conquêtes en caleçon a la maison avec la bite demi-molle comme s’il venait de baiser.
Moi je n’ai pas encore eu le courage d’aborder un homme du quartier. Depuis que je suis arrivé, je fréquente un homme rencontré sur le net. Il s’appelle Julio, un argentin plutôt pas mal. Tout se passe bien au lit, mais je ressens depuis quelque temps une envie particulière.
Mon mec, enfin celui que je fréquente, car on a une relation ouverte a 25 ans plutôt grand et belle gueule. Il a une belle bite naturelle et c’est bien s’en servir. pN va dire que c’est plutôt un mec doux.
Depuis peu, dans la cour intérieure de notre immeuble, nous avons des travaux rénovation, ça qui est un peu pénible pour le dérangement et le veuit, mais qui à la fin donnera un bon résultat je suis sûr.
Sur le chantier travaillent deux hommes. Un qui est très grand et l’autre plus petit. Environ 30 ans les deux. Ça m’arrive de passer et de les mater discrètement en imaginant des scènes torrides avec ces deux-là même s’ils ne sont pas trop mon style.
Les deux parlent entre eux une langue, je crois que c’est du turc me dis Herver qui les avait repérés depuis !!
« Ce sont des Turcs, je reconnais la langue et cet air super sexy d’homme macho, je m’en ferai bien un », me dit Herve dans l’ascenseur.
Herver est un peu efféminé et j’ai senti le regard de ces mecs quand on est passé qui sont amusés par les avances et le comportement d’Hervé.
Un midi a ma pause, en rentrant du travail et en passant par la cour en travaux je tombe nez à nez avec un nouvel ouvrier. Je ne l’avais pas vu en avançant et j’ai failli lui rentrer dedans.
L’homme m’a dit amicalement de faire attention et de regarder devant moi.
Quel charisme ! L’ouvrier est un homme d’une quarantaine d’années, 1m75 très trapu et ventru, sa voix est très grave avec un fort accent qui m’a résonné dans la tête. Il porte un vieux jean une veste orange de chantier et un casque de protection blanc.
Je ne pus m’empêcher de regarder entre ses jambes son paquet qu’o m’avais l’air bien garni.
Je décide de continuer mon chemin émoustillé de ma rencontre et je monte a l’appart quand j’entends des bruits de rire a l’intérieur. J’ouvre et je vois les deux ouvriers turcs assis dans le salon avec Hervé.
Je les salue et me présente, l’un s’appelle Émir [le plus grand] et l’autre Halil Sui est beaucoup plus jeune.
Hervé me prend à part pour m’expliquer qui il a parler les ouvriers et leur a proposé de monter prendre un café comme c’est leur pause déjeuner.
« j’ai envie de me les faire, regarde comment ils sont t sexy et virile », me chuchote Hervé.
J’avoue qu’ils sont sexy assis comme ça.
« allez salope ramène ton petit cul » lance Halil le plus jeune et le plus dévergondée.
« viens me sucer la bite elle t’attend », réplique l’autre plus grand et déjà la main au paquet.
Hervé s’exécute et se dirige vers les deux ouvriers assis l’un à côté de l’autre. Il se met à genoux et commence a déboutonner l’un puis l’autre. En sort de leur pantalon deux bites longues fine et très dure, circoncis avec un bon gland. Leur bite tendue vers la bouche de Hervé est dure comme le bois.
Il se met a sucer chacun leur tour quand Émir se lève et se met derrière Hervé pour le prendre. Il baisse son pantalon et se retrouver direct au trou de mon ami.
« mets du gel pour que ça rentre bien », dit Hervé difficilement avec la bote qui l’empêche de parler.
Après avoir mis le gel, Amir enfonça et pénétra Hervé d’une vitesse.
Quel spectacle !!
Hervé est en train de se faire pilonner quand un téléphone sonne. C’est celui d’Émir qui arrête directement ses va et biens en voyant le nom de l’appel sur son appareil.
« C’est le patron. Merde ! On n’a pas vu l’heure filer, c’est à cause de toi ça salaud » dit Halil en giflant Hervé avec sa bite comme pour le punir.
« On doit y aller le patron est là aujourd’hui »
J’entends leur conversation au loin et pendant qu’il se rhabille, j’interpelle les deux fuyards.
« Votre est l’homme que j’ai vu en bas ? » leur demandais-je
« oui c’est lui pourquoi il t’intéresse ma jolie ? » dit Émir
« ça se voit qu’il ta taper dans l’œil », dit l’autre
« On lui glissera un mot pour toi et Hervé a la prochaine pour nous vider les couilles »
Je reste là sans rien dire comme pour confirmer leur suspicion.
Hervé se relève et part dans sa chambre avec son air satisfait, mais frustré en même temps
« ils n’ont même pas joui, mais c’était booonnnn ! » dit-il en partant.
3 jours plus tard.
Je passe en rentrant du travail quand je vois les 3 ouvriers de l’immeuble, Émir, Halil et leur patron. Je passe devant quand Émir m’appelle.
« hey Yannis vient voir s’il te plaît ! »
J’avance vers lui
« est-ce qu’on peut charger ses appareils chez vous ? La prise extérieure ne marche pas. » me dit-il
« oui, venez » je réponds
Les 3 hommes me suivent et on prend l’ascenseur. Émir me présente son patron.
Il s’appelle Arkan et visiblement il est turc aussi.
Arrivé a l’appart les hommes s’installent, mais je remarque qu’ils n’ont pas pris de machine avec eux, je comprends leurs jeux et je leur propose un café.
Hervé nous a entendus et vient nous rejoindre au salon.
« Ah voilà notre ami » dit Émir et Halil presque en même temps
« Viens on doit te parler » emmenant Hervé dans la chambre
Je me retrouve seul dans le salon avec cet homme très calme, pas très bavard, mais impressionnant de charisme.
Je lui dis :
« Le thé est bon ? »
« oui parfait merci, ça fais du bien de se poser avec le boulot qu’on fait »
Je confirme ce qui il dire en hochant la tête
« Il n’est pas rare que je rentre épuisé ne voulant qu’une chose c’est un bon massage et une bonne bière », me dit-il en me regardant dans les yeux
« ça tombe bien j’en ai des bien fraîches au frigo »
« Va me la chercher ! » me dit-il d’un ton ferme et autoritaire.
Je m’exécute et je lui ramène sa bière. Il la prend sans un remerciement.
« Avec ça un bon massage et on est bien ! Allez masse moi ! »
Je me mets derrière lui et la masse les épaules. Ses ordres m’excitent, Arkan est si sexy, je m’applique en massant ce dos dur et noué.
Au fur et à mesure du massage, Arkan s’agite, je le vois caresser son entrejambe comme si le massage avait un effet aphrodisiaque. Je regarde la scène et ne peux m’empêcher de lui dire s’il a besoin d’aide.
« Viens ici ! » dit-il
« A genoux »
J’exécute. Je me retrouve à genoux devant lui et instinctivement je commence a le caresser et vouloir déboutonner se pantalon déformer par une bosse qui a l’aire bien épaisse. Arkan me caresse les lèvres et met son doigt ds ma bouche a sucé. Ces mains et ses doigts sont énormes. Comme boursouflée.
Je continue à défaire ce pantalon et sors du caleçon une queue large pas très grande, mais très épaisse. Un peu comme une canette.
Poile et odorante de transpiration vu la journée de travail sue celui a passé. Ça m’excite tellement que je me jette sur sa queue et lui lèche le gland et prend sa belle grosse bite de mâle dans la bouche.
Lui est assis là comme un pacha en sirotant sa bière.
Je caresse son gros ventre tout en tétant sa queue bien dure.
Le cul bien en l’aire pour lui montrer que je l’appartiens.
Arkan a l’air d’apprécier et lâche des gémissements comparables à un lion.
« Suce-moi salope, fais plaisir a ton homme, tu vas te la prendre dans le cul », dit-il
Moi la bouche pleine de cet organe large je dis oui avec la tête
D’un coup Arkan se lève en me bousculant presque et me retourne brutalement et violemment.
Il crache sur sa queue et vient me la mettre direct sans préparer mon cul.
Je sens ce gros sexe rentrer d’un coup et peux m’empêcher de crier de douleur, mais ça ne l’empêche pas de continuer ses vas et viens de plus belle. De gros coups de bourrin viennent percuter mes fesses et SOS’ ventre poilu qui claque contre moi. Toute cette énergie me fascine et je commence à mouiller du cul.
C’est comme ci je subissais les assauts d’un taureau en rut.
Il baisa comme ça une bonne vingtaine de minutes tout en me mettant des fesses et en me traitant de pute, salope, etc. avec son accent turc.
Sa bite est trop bonne, je me sens remplie et posséder. Je sens ses gouttes de transpiration couler sur moi quand le rythme s’accélère…
Il attrape mes hanches avec ses grosses palourdes, me serre fort et commence de gros coups de reins saccadés.
« Je vais jouer ma salope, je vais te remplir avec mes bébés », dit-il en gémissant
Il pousse un gros cri grave comparable à un ogre et je le sens déverser une grande quantité de sperme chaud crémeux et épais.
La frénésie redescend, il sort de mon cul d’un coup et me giflent les fesses. Il se lève se rhabille et part sans dire un mot, me laissant là béant avec le cul qui coule de son sperme chaud.
Les autres sortent de la chambre et me demande ou est Arkan.
Je leur dis qu’il est partit et parte eux aussi sans dire un mot.
Depuis, quand je le croise dans le hall. Il ne m’adresse même pas la parole ni même un regard. Cette attitude me rend fou. J’ai envie de me mettre à genoux et lécher son entrejambe !
Heureusement que les travaux sont bientôt finis. Je n’aurais plus à supporter l’ignorance de ce mâle turc qui m’obsède.
Liliya