Cette rencontre m'est arrivée il y a plusieurs années. J'avais environ 35 ans.
J'étais dans le métro devant la porte et j'attendais ma station Opéra. Le soir pendant les heures de pointe nous sommes toujours un peu serrés. Sans vraiment y porter attention, j'ai senti une pression sur une fesse. Les chaos du trajet aidant, cette pression s'est déplacée entre mes fesses et a augmentée. Plus de doute possible, je sentais alors une bosse bien dure. Sans rien faire paraître à l'entourage, j'ai moi aussi tendu mon cul pour mieux percevoir cette envie qui naissait en moi : celle de se faire sauter. Arrivé à la station Pyramides juste avant Opéra, toujours devant la porte, je laisse monter deux personnes et pour se faire je recule un peu. La bosse en profite pour bien se glisser entre mes fesses et se rappeler à mon souvenir. Je bande dans mon costume de minet et j'écarte légèrement les jambes faisant comprendre que j'appréciais le contact. Le message est bien reçu ; je sens alors sa mains qui s'enfile dans ma poche gauche du pantalon et saisis ma trique.
"Salope tu aimes on dirait ;tu descends quand je te le dis " me glisse-t-il à l'oreille et il garde sa main sur ma queue dure prête à dégorger.
"Ne jouis pas tu vas tacher ton pantalon".
Ma station arrive et je fais le mouvement de m'avancer pour descendre. Il me sert alors la queue en ajoutant :"je t'ai dit de descendre quand je le dirais salope ". Mes velléités s'évanouissent aussi vite.
"C'est bien d'être une obéissante salope soit patiente tu vas aimer et tu en redemanderas".
Je suis à sa merci soumis à son désir. Je sens que sa main baisse mon slip par le coté gauche puis alors qu'il laisse ma poche libre, il prend possession de la poche droite et fini de baisser le slip. J'ai la queue et le cul libre avec lesquels il peut jouer. Il ressort enfin sa main mais accentue sa pression sur ma raie. Comme une bonne salope je me cambre pour mieux le recevoir.
Plusieurs fois il relâche la pression ; "salope tu vas me faire jouir si je continue". Enfin nous arrivons à sa station Poissonnière. "Sans te retourner tu descends je vais te guider." Je fais donc ce qu'il me dit ; à droite ,a gauche tout droit et autres ordres de direction jusqu'au moment tant attendu : "stoppe on est arrivé "; il compose un code sur une porte cochère et me pousse à l'intérieur d'un hall d'immeuble. "L'escalier à gauche descends ; déboucle ta ceinture dans l'escalier et ouvre ta braguette" ; soumis je m'exécute sans broncher. Dans le couloir des caves, il vérifie l'exécution de ses ordre et me claque le cul. "Toi tu vas faire une bonne pute on dirait" dit-il en me saisissant par ma bite raide. Il m'arrête devant une porte qui ouvre me fait entrer d'une poussée "à poil salope à poil"
Comme je ne réagis pas à l'instant il me chope par la nuque et me claque le cul énergiquement "t'as pas compris, à poil maintenant et si tu fait ta mijaurée je risque de déchirer tes fringues alors fissa à poil".
J'ai voulu me retourner mais il m'en a empêcher. "Te retourne pas t'a pas besoin de savoir qui te baise". Je me suis mis à poil et il ajoute : "à genoux tu me suces avant mouille bien j'ai pas de gel j'ai pas non plus de capote mais je suis propre ".(le sida n'existait pas encore) Il passe devant moi et m'enfourne sa que sans plus de chichis.
Il me baise la bouche en douceur mais s'enfonce régulièrement jusqu’à ce que j'ai sa queue bien enfoncée avec le nez dans son pubis. Il râle et je gémis. La pipe dure une dizaine de minutes avant que je reçoive son jus. Je dois tout avaler. "C'est bien salope on sent que tu aimes la bite."Il rentre sa queue en me disant "bouges pas je reviens".
Il sort j'entends le son de ses pas diminuer. Je me relève et constate avec effroi qu'il est parti en emportant mes affaires. Je suis à poil dans une cave non fermée sans pouvoir en sortir.
En panique,je m'assoie dos au mur et j'attends son retour.
Cela n'a pas duré trop longtemps. Il revient et avant d'entrer dans la cave m'ordonne de me mettre à quatre pattes cul offert vers la porte.
"Bien salope re-suce moi fait durcir celui qui va te défoncer le trou."
D'une demi molle j'ai fait un beau bâton bien humide ; il s'est retiré de a bouche, est venu derrière moi , a glissé sa tige dans ma raie et a positionné son gland devant mon trou qui bien que palpitant n'en était pas moins inquiet de la suite.
Une première poussée et mon ouverture s'est élargie sans être encore prise.
"hum tu t'ouvres bien tu aimes ça" dit-il en poussant fortement pour faire entrer entièrement ses 19 cm.
J'ai commencé à gueuler mais il m'a bâillonner avec sa main ; "ta gueule salope tu aimes alors profites"
Pour profiter j'ai profité car il m'a limé durant au moins 25 mn en alternant coups rapide, à fond,
lents jusqu'à son explosion et sa vidange dans mes entrailles.
Il se retire en disant "tiens voila tes fringues j'ai gardé ton slip alors sert bien ton trou pour bien garder mon jus sinon tu vas tacher ton froc salope. On va se revoir nous deux. Pour sortir c'est à droite pas possible de te perdre".
Et il est parti. Je n'ai pas vu son visage mais comme il l'a dit nous nous sommes revu quelques jours plus tard dans le métro "Salut salope, tu connais le chemin" ; j'ai fait signe oui de la tête.. Cette liaison a durée environ 6 ans pendant laquelle je me faisais prendre deux voir trois fois dans le semaine toujours sans jamais voir son visage. Un soir après m'avoir bien sauté il m'annonce qu'il doit déménager et que l'on ne se reverra plus.
Longtemps j'ai espéré le revoir en vain.
Scotch
tobermory78@hotmail.fr
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