Je m'éveille péniblement, le corps courbaturé, la bouche pâteuse au goût de sperme et jette un œil au réveil qui se trouve à ma droite : 11 heures 30. J'étire mes bras et constate que je suis seul dans ce grand lit, nu, les draps froissés à mes pieds.
Je me redresse, constate que mes vêtements et ceux de mon compagnon d'un soir sont éparpillés au pied du lit, nos pantalons, slips, chaussettes jonchent le sol carrelé, comme de multiples petits tapis.
Aucun bruit dans cet appartement que je ne connais pas. Je me lève et me dirige vers la cuisine attenante à la chambre et découvre un petit carton rose posé délicatement contre un vase qui trône au milieu de la table et dans lequel dépérit un bouquet de roses.
Je saisis ce carton et lit les quelques lignes écrites au feutre rouge
"Salut beau gosse, ces quelques lignes pour te dire que je suis parti à mon bureau. Dès que tu es prêt, libère l'appartement car mon compagnon arrivera cet après midi et je ne souhaite pas qu'il te trouve ici, tu comprends ! J'ai passé un bon moment avec toi cette nuit, mais sache que ce n'était qu'une aventure d'un soir, une simple baise.
Je souris en lisant la dernière phrase, puis je me lève et quitte l'appartement après avoir pris une douche salutaire.
A midi, je quittai donc cet appartement et un heure plus tard arrivais chez Asloun, mon ami de baise comme on dit. A chaque fois, il m'accueille avec un grand sourire et m'embrasse tendrement, sans omettre de me caresser partout surtout les fesses qu'il adore.
Il glisse ses doigts sous la ceinture de mon pantalon, les palpe et insère un doigt dans mon intimité.
- Tu étais où hier, je t'ai cherché partout dans la boite. J'avais envie de toi, tu sais !" me dit il d'un ton autoritaire. Tu sais que tu es à moi et à moi seul.
Son regard de braise me foudroie car je n'ose pas imaginer ce qui m'arriverait s'il apprenait que j'ai passé la nuit avec un inconnu quinquagénaire.
Je viens de fêter mes 18 ans et ai un besoin de vivre, de m'épanouir, de jouir de tous les moments présents, pas de rester la chienne à vie de Asloun.
Je lui tourne le dos et je me dévêts en ondulant le bas des reins comme il me l'a toujours appris depuis plusieurs mois.
Une fois nu, je lui fais face, mon sexe légèrement bandé, mon prépuce s'enroulant lentement sur lui même.. A son tour, il ôte ses vêtements prestement, baisse son slip blanc et libère son sexe long qui se tend, s'étire, s'allonge. Il est courbé comme un cimeterre, bien dur. Sans attendre un ordre de sa part, je m'agenouille face à ce totem de chair, prend la grosse verge gainée de veines apparentes dans mes mains et me mets à couvrir le gland soyeux de baisers. Je sais qu'Asloun n'est pas insensible à ces caresses. Son sexe vibre sous les afflux sanguins qui gorgent sa colonne. Et là, je me glisse sous son sexe érigé comme un obélisque et entreprends maintenant de lui lécher ses deux grosses couilles rasées, tel deux abricots, mes mains bien plaquées sur ses fesses musclées.
Asloun gémit, respire fort et je le sens maintenant fortement excité. Toujours sur les genoux, je me redresse et commence à porter des petits coups légers de langue sur son sexe brun circoncis, le gland gorgé de sang.
Je continue ma séance de baisers, de léchage sur cette queue qui m'excite à un point que je réalise que mon sexe est aussi dur et tendu que le sien. Je le lèche de haut en bas, pendant que je lui malaxe les testicules.
Estimant que je lui avais assez lubrifié le sexe, Asloun m'ouvre la bouche à l'aide de ses doigts et enfourne son mandrin au plus profond de ma gorge. Je suffoque ! ! !
Mais lui entreprend sa danse du bassin et va et vient dans ma bouche, ses mains dans mes cheveux. Ma bouche est gourmande, et les lèvres enserrent ce pieu de chair, glissent sur sa hampe pendant que ma langue s'enroule autour. Mais Asloun n'en peut plus de ce supplice. Je le devine au bord de l'implosion. Ses deux mains attrapent mes oreilles et il rythme ses mouvements en utilisant ma bouche comme un cul. Je perçois un cri venu du plus profond de son être, plaque mon visage contre son pubis noir corbeau et explose dans ma bouche, de longs jets de foutre tiède et gluant qui s'écoulent dans ma gorge, ne pouvant pas retirer son sexe. Je ne peux qu 'avaler sa liqueur avec délice pendant qu'il se retire de mon centre buccal.
- Avale tout et ne recrache rien, compris !!
Je constate que son sexe est toujours aussi dur, bandé et suis fasciné par son endurance à me baiser. Je devine maintenant que son sexe va sous peu me pénétrer . . . par derrière.
Asloun me prend dans ses bras musclés et me jette sur le lit défait. Il m'ordonne de m'agenouiller dans la position de la chienne qui ne demande qu'à être fécondée. Puis il prend mes jambes, les plie sous mon corps fin de telle sorte que je me retrouve le fessier en l'air, reposant sur les coudes, la tête sur un oreiller.
Mon bel arabe se positionne derrière moi, écartant à l'aide de ses deux pouces mes dunes de chair et enfonce sans douceur un doigt dans mon intimité, puis un deuxième, écartant mes sphincters de manière douloureuse. Je gémis !
Il pose son sexe dur entre mes fesses et le fait coulisser de haut en bas sans me pénétrer, caresse qui l'excite et qui électrise mon corps dans son ensemble. Mon sexe est toujours aussi dur et réalise que je mouille le drap de mon précum. Le désir monte en moi. Il retire ses doigts de mon anus dilaté, s'agenouille face à mon cul et pose délicatement ses lèvres sur mon auréole, me lèche, sa langue râpeuse pleine de désirs.
Au bout de quelques instants, alors que je gémis sous ses attouchements buccaux, Asloun positionne la tête de son sexe sur ma corolle dilatée, qui écarte encore plus les chairs de mon sphincter. Je ne peux retenir un hurlement de souffrance qui jaillit du fond de ma gorge, car j'ai l'impression qu'il m'ouvre en deux. Un coup de rein, et ses 25 centimètres entrent en moi, centimètre par centimètre jusqu'à ce que je sente ses poils pubiens chatouiller mes fesses. Je plonge ma tête dans l'oreiller pour y éponger mes larmes naissantes.
Asloun ne bouge pas, nos corps étant soudés. Nous ne faisons plus qu'un. Il s'immobilise pour sans doute que je puisse m'habituer à la monstrueuse queue qui obstrue ma grotte intime, puis entreprend maintenant ses va et vient d'abord lentement comme pour m'assouplir la rondelle.
A chaque fois que le sexe sort et entre dans mes entrailles, je ne peux qu'étouffer un cri de douleur jusqu'à ce que mon corps se détende. Et pourtant depuis des mois que je suis sa chienne et qu'il me baise toujours dans cette même position, je devrais avoir un cul habitué. Je repense à la queue du quinqua qui m'a sodomisé toute la nuit et qui était plus fine et plus courte.
Je tourne légèrement la tête pour entrevoir mon amant pendant qu'il entre à nouveau en moi d'un coup de reins puissant qui pousse mon corps contre le montant du lit.
Asloun se penche sur mon dos et plaque ses mains sur mes épaules. Et là, maintenant, il me démontre qu'il est la maître et moi sa chienne, sa femelle, sa fatma, sa soumise, sa chose, son garage à bite comme il dit .
Il se met à me besogner lentement, avec des coups de boutoir répétés, réguliers, maîtrisés. Alors je sens enfin mon anus céder complètement face à cette pénétration.
Sa lance de chair maintenant coulisse facilement sans aucune gène dans mon étroit tunnel humide et chacune de ses poussées me fait gémir. Mais Asloun m'interdit de me plaindre car une femelle ne se plaint pas, me répète t il toujours ! !
Alors je me cambre pour mieux lui offrir la partie de mon corps qu'il affectionne, qu'il désire, tout comme j'aime cette monstrueuse queue qui m'honore plusieurs fois par jour.
Tout comme une chatte en chaleur, je ronronne enfin de bonheur à chaque fois que son membre turgescent se plante au plus profond de mes entrailles. Son rythme maintenant devient régulier et rapide et Asloun me tringle de toute la longueur de son sexe qui entre et ressors avec facilité.
Je me joins à sa cadence en roulant mes hanches en cadence.
J'ai les fesses en feu et soumis, chienne, je me mets à râler sous ses puissants coups de boutoir.
Soudain une boule de chaleur se forme au creux de mon ventre et sens que les vannes de mes écluses internes s'ouvrent car des picotements envahissent ma queue, mes couillent montent et descendent à une vitesse vertigineuse dans leur poche de chair et un spasme foudroyant me paralyse. Je me redresse au maximum, me cambre pour m'offrir totalement à mon amant . . . un hurlement de jouissance pulse de ma gorge.
De longs jets de foutre jaillissent avec violence de mon sexe, puis quelques uns moins intense qui maculent le drap, l'oreiller.
Je porte une main à mon sexe encore dur et me masturbe en fin de course pendant qu'Asloun est toujours en train de me sodomiser, ses couilles pleines claquant contre mes fesses.
Je ferme les yeux et imagine mes entrailles comme une forêt en feu ne demandant que la semence d'Asloun pour éteindre l'incendie qui me ravage intérieurement.
Soudain Asloun se retire de mon fondement, me retourne rapidement pour me mettre sur le dos, positionne mes jambes sur ses épaules musclées et, d'un violent coup de reins, s'enfonce en moi en prenant appui sur mes mollets.
Je vois son visage couvert d'un filet de sueur, son torse finement dessiné, sa peau brune qui me fait bander à chaque fois qu'il est nu. Je réalise tout en regardant son faciès méditerranéen que je vis grâce à lui, à ses pénétrations, à ses coups de boutoir, à la vie de chienne que je mène depuis que je l'ai rencontré.
Je réalise aussi que jamais, il ne m'a sucé, caressé, masturbé. Je me suis toujours caressé lors de ses pénétrations mais là, mon sexe se raidit à nouveau, se tend et durcit et quelques minutes plus tard, pendant que je subis toujours ses assauts, je sens une nouvelle vague de plaisir m'envahir, jaillir de mon volcan de chair et ma lave inonde mon ventre, mon pubis. .
Un cri, des gémissements et il explose en feulant comme un félin, je sens son sexe gonfler en moi et imagine son foutre crémeux et tiède tapisser mes entrailles.
Je tends mieux ma croupe vers la source naturelle qui continue d'inonder mon moi et couler entre mes fesses. Asloun retire son membre luisant de sperme, mes jambes retombent sur le rebord du lit, il enjambe mon corps et s'accroupit face à ma bouche pour y plonger son sexe spermée de crème.
Ma bouche gloutonne l'enfourne et ma langue lèche, suce son mandrin.
Quelques minutes plus tard, épuisés, repus, fatigués, nos corps couverts d'une fine pellicule de sueur, nos pubis maculés de sperme, Asloun et moi restons étendus côte à côte. Il me sourit et me dit "C'est chaque fois meilleur avec toi.
- Merci, c'est vrai ce fut super bon, je suis heureux d'être ta chienne mais je voudrais aussi pouvoir baiser autrement : te sucer mais te pénétrer également ! ! !
- J'y compte bien car j'ai très envie aussi mais pour le moment. . . vis à vis de mes copains, nous les maghrébins, on ne touche pas à notre cul.
Wladimir
wladimirtsar@orange.fr