L'homme, Zagreb, est étendu sur le lit, en croix, les pieds et les mains liés par de fins cordons verts aux montants du lit. Seul son sous vêtement rouge contraste avec la couleur de sa peau mate. Zagreb sourit aux caresses, excitantes, douces, attentionnées de Zora qui l'a attiré dans cette chambre. Zagreb veut du sexe ; il sera servi mais pas comme il le souhaite. Zora, entièrement nue, excite son partenaire en palpant les couilles et frottant de sa paume droite la longue queue tendue et qui étire les fibres du tissu du slip.
Zagreb émet des sons étouffés face à cette délicieuse torture. Zora glisse ses doigts sous l'élastique du slip et entre en contact avec le gland soyeux de ce pieu de chair tendu, dont l'extrémité se mouille délicatement. Elle se lève, saisit un fin tissu noir, s'agenouille sur le corps de Zagreb, sa toison noire finement rasée à hauteur du nez de l'homme et lui bande les yeux de braise, brillants comme deux diamants.
Zora se lève, quitte la chambre, croise son jeune frère, Foucas, entièrement nu, son sexe tendu, décalotté. Il a assisté à la scène de séduction par un judas situé dans le mur d'une des parois de la chambre. Pendant plusieurs minutes, il s'est caressé à l'abri du regard de Zagreb, rêvant de posséder ce partenaire que sa soeur lui a amené cet après midi. Comme elle le fait régulièrement. Foucas poursuit les caresses là où sa soeur les a interrompues....Ses doigts, fins, dessinent sur la peau de Zagreb, des cercles autour des mamelons qui durcissent au contact de ses doigts, Puis poursuivent leur chemin sur ce ventre plat, légèrement velu, musclé jusqu'à rencontrer la frontière de l'élastique du sous vêtement. Zagreb gémit, sans se rendre compte de la supercherie jouée par Zora. Son sexe, prisonnier de ce tissu, se tend de plus en plus et mouille légèrement le tissu rouge. La bouche de Foucas se pose sur ce sexe caché, la langue lape ce tissu distendu.
Le regard acidulé de Foucas est empli de feux d'excitation, obnubilé par la turgescence occasionnée par cette grosse érection. Il s'assied en position de lotus entre les jambes écartées de Zagreb de part sa position, lui malaxe, à travers le tissu, les couilles de sa main gauche pendant qu'il se branle de la main droite, bouche grande ouverte comme un poisson en manque d'oxygène. Foucas voudrait tant jouir dans la bouche de son partenaire, mais ne veut pas éveiller la supercherie mise en place par sa soeur. Foucas tend son bras droit vers la table basse de chevet, ouvre un petit tiroir et en saisit une paire de ciseaux en argent. Toujours aucun mot de prononcé ni par l'un ni par l'autre. Seules deux respirations fortes, saccadées emplissent l'atmosphère de cette chambre.
Foucas tourne légèrement sa tête vers le mur, là où se trouve le judas caché dans les motifs muraux, se demandant si Zora est spectatrice de ce moment. De toute manière, elle fera son retour dans cette chambre dès que son frère aura pleinement profité de son jouet sexuel. Lentement, les deux lames des ciseaux, froides sur la peau hâlée de Zagreb, entaillent le tissu rouge sur chaque flanc, les prémices de la toison noire corbeau du pubis apparaissent. Le tissu cède. A ce moment précis, une colonne de chair gainée de veines bleues, longue, brune, épaisse, circoncise, émerge, jaillit, se tend, s'étire lourdement sur le ventre, droite, bien au delà du nombril. Plus de 25 centimètres sous ses yeux. Et deux grosses couilles qui s'agitent lourdement dans ce sac de peau légèrement velue.
La queue plus modeste de Foucas vibre fortement sous l'afflux sanguin occasionné par ce mandrin tendu, agitée tel un fétu de paille sous les caresses du vent. Foucas saisit alors ce lourd pieu de chair et constate qu'il ne peut l'enserrer entre ses doigts, tellement il est épais. Foucas mouille du cul. Assis devant Zagreb, jambes toujours écartées, Foucas salive son majeur gauche et le dirige vers l'auréole intime de Zagreb, se positionne à l'entrée légèrement velue et l'enfonce d'une poussée de toute sa longueur. Zagreb trésaille devant cette pénétration. En même temps, Foucas se penche vers le gland de soie marron, y dépose sa langue, lèche ce pieu tendu jusqu'aux couilles. Sa bouche en saisit l'extrémité qui emplit la cavité buccale, et ses lèvres gourmandes glissent sur cette colonne de chair.
Mais, soudain, Zagreb d'un coup de reins puissant, enfonce le plus loin possible dans la bouche sa queue qui cogne au fond de la gorge de Foucas qui manque d'étouffer. Des larmes jaillissent et Foucas se relève prestement. Il sent Zagreb au bord de la jouissance. Il prend un tube de lubrifiant, enduit le gland luisant de Zagreb, puis en appose tout autour de sa rondelle, glisse son doigt délicatement dans l'orifice par de petits va-et-vient très lents. Il enjambe ensuite Zagreb, sa main gauche retenant ses propres couilles afin qu'elles ne claquent pas sur la peau de Zagreb. Foucas relève son cul, saisit l'érection bien vigoureuse et place le gland à l'entrée de sa grotte intime. Respirant une bouffée d'air, il s'empale délicatement sur ce mandrin de chair, le gland étant aussi gros que la verge. Ses sphincters s'ouvrent, s'écartent, se distendent, le gland se fraie un chemin dans sa cavité intime, le lubrifiant aidant fortement la pénétration. Les yeux de Foucas se perlent face à ce supplice excitant.
La hampe de chair s'enfonce doucement en lui, centimètre par centimètre. Mais Zagreb, jusque là passif, d'un coup de reins puissant, enfonce sa monstrueuse colonne de chair jusque la garde dans le cul de Foucas qui émet un râle de douleur. 25 centimètres tapissent entièrement les parois anales de ce cul gourmand habitué à des queues plus fines.
Foucas, le cul fortement écarté, prend appui de sa main droite sur l'abdomen de son partenaire afin de ne pas être projeté sur le corps de Zagreb. Il devine cette grosse queue coulisser en lui, le plaisir remplaçant maintenant la douleur et souhaite que ce moment perdure encore quelques minutes. Mais des signes annonciateurs indiquent que la jouissance est proche. Effectivement, par des sons étouffés, Zagreb sent la verge fouineuse se contracter fortement, voire grossir en lui, et cracher ses nombreux jets de crème grasse . . . jusqu'à ce que Zagreb cesse ses mouvements du bassin.
Foucas extirpe cet obélisque de chair englué de sperme de son fondement, la semence coulant le long de ses cuisses. Il s'allonge près du corps musclé de Zagreb, couvert de sueur, la respiration rapide, saccadée.
Alors, Foucas se caresse, d'abord doucement, faisant courir ses doigts sur sa tige tendue, puis plus fermement, l'empoigne fortement. Devant l'imminence de la jouissance, Foucas saisit le slip rouge découpé de Zagreb, et quatre longs jets de semence blanc nacré jaillissent de son membre qui maculent ce tissu.... Zagreb, les yeux toujours bandés, tourne sa tête vers les râles de Foucas, se demandant sans aucun doute ce qu'il se passe.
Foucas se lève du lit, le sexe à demi bandé, luisant de semence et quitte la chambre. Zora croise son frère, l'embrasse sur la joue droite au passage, trempe quelques doigts dans le sperme se trouvant dans le slip rouge, et se dirige vers ce corps étendu. Elle ôte le bandeau noir des yeux de Zagreb et plonge les doigts souillés de semence dans la bouche de son partenaire qui les suce avec délectation.
Elle pense déjà à la prochaine proie qu'elle offrira à son frère tout en s'empalant sur cette énorme queue à nouveau tendue.
Wladimir
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