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3 | PAIRE DE JUMELLES
Chapitre-4
Je me réveille à la tombée d’une nouvelle nuit. Helena est blottie contre moi. Sa peau est chaude. Je la couvre de petits bisous qui la font sortir de son sommeil profond. Elle me sourit, me caresse la joue et attarde un doigt caressant sur mes lèvres.
« _Bonjour mon prince charmant », me dit-elle.
« _Ma douce Helena est-elle bien reposée ? », lui dis-je.
A peine ces quelque mots prononcés, la porte s’ouvre en grand et nos deux voisins de chambre apparaissent aussi nus que la veille.
« _ Bonjour les amoureux », s’exclament simultanément Bruce et Laura.
Ils portent un grand plateau ou déborde une multitude de viennoiserie et 4 grandes tasses qui sentent bon le café chaud. Le plateau posé sur la coiffeuse, Bruce et Laura se ruent sur notre lit.
Chacun essaye de voir une petite lumière dans les yeux de l’autre. Bruce s’installe tout conte moi et me couvre de bisous sur le torse, son engin ayant à nouveau repris toute sa vigueur. Je pose ma tête langoureusement sur son épaule et contemple Helena qui en fait de même avec sa sœur.
Je retrouve mon frère, mon confident, plus que mon homme. Du moins j’aime bien me l’entendre dire. Ma bistouquette n’est pas de cet avis, et semble elle aussi très heureuse de retrouver sa copine « la trompe ».
Le café et les croissants partagés, nous retrouvons nos places dans le grand lit d’Elena qui me fait un énorme bisou. Nous rions tous de sa spontanéité.
Mais elle n’en reste pas là, et soudainement commence à enrouler sa langue autour de celle de sa sœur. Bruce et moi nous retrouvons au sommet d’une excitation légitime. A son tour, il m’enlace la tête et glisse puissamment sa langue dans ma bouche ébahie. Sa langue tourne et s’entortille à la mienne
Bruce poursuit son long baisé mouillé et entreprend de caresser et titiller mes tétons. Les filles s’embrassent et se caressent. Leurs mains viennent parfois rejoindre les nôtres, glissant sur nos deux sexes au passage.
Une invitation à les rejoindre sans aucun doute.
Nous nous glissons Bruce et moi sur le dos et accueillons ces charmantes princesses dans nos bras. Chacun sa chacune, mais les « chacune » poursuivent leur mélange de langues au-dessus de nous. Elles se sont en même temps emparée de nos sexes respectifs, c’est la fête à « noeudnoeud » ici au domaine.
Bruce poursuit puissamment son étreinte sur moi, un peu pour me montrer son manque de nous deux pendant la nuit, et pour fêter aussi sans aucun doute, la paix qui nous habite.
Il descend sa main sous mon fessier quand alors les filles décident d’une fellation collective de leur amant. Elles s’agrippent en chœur à nos testicules, tout en faisant rouler nos glands autour de leurs langues. Seuls leurs échanges réguliers de baiser langoureux, viennent interrompre leur succion.
Bruce, toujours une bouche féminine sur son sexe et ma langue dans sa bouche, vient enfoncer son index dans mon petit trou. Mon Bruce est toujours pervers pour ma plus grande joie. Un deuxième doigt s’enfile dans mon boyau. Ils viennent à nouveau visiter ma forme et mon état prostatique.
Les filles se jettent en pagaille sur nous et nous demandent humblement de bien vouloir les saillir. De vrais phénomènes ces jumelles.
Bruce et moi les mettons une première fois sur le dos et les enfilons toutes deux en missionnaire.
Emettant toute une série de petits cris, elles reprennent leurs baisers de filles et étouffent leurs voix, dans le sublime mélange de leurs langues.
Ma bouche appelle celle de mon Bruce qui me rejoint en penchant sa tête. Nous les faisons vibrer ainsi de nos sexes pendant quelques minutes, puis les retournons en même temps.
Un spectacle ravissant de fessiers féminins de toute beauté. Impatientes, elles tressautent et nous les reprenons en levrette, bien profond en synchronisation parfaite avec Bruce.
Les filles se caressent leur appendice clitoridien tout en émettant une série de nouveaux petits cris, pendant que nos verges les transportent. Embarqués dans ce petit train de la débauche, je m’accroche aux lèvres de Bruce et lui avale littéralement sa langue. Le bon gout sucré de mon homme est là.
Les filles en décident autrement. Elles se détachent de nos sexes s’allonge voluptueusement dans le lit, nous caressent les cuisses et se rejoignent toutes les deux. Le manque semble encore plus fort chez elles.
Elles s’enroulent en 69, et commencent un léchage clitoridien très humide. Je m’allonge sur le ventre tout contre elles. Je caresse le corps d’Helena, certainement pour en attendre un assentiment. Elle me caresse à son tour le visage et lâchant le sexe de sa sœur me dit : « _Vas y David, fais toi du bien ».
Toutes les traditions de bienséance semblent définitivement perdues, dans notre aventure inédite.
Je remonte mon fessier, me tenant presque à 4 pattes. Je l’agite en arc de cercle afin d’attirer mon mâle. Il s’approche rapidement, son immense gourdin est fièrement dressé, humide et tressautant. Mon géant se penche à la hauteur de ma raie. Ses mains entourent mes globes et il commence un travail en profondeur dans le chaud de mon boyau. Sa langue salive et s’infiltre profondément. Cette langue m’avait manqué.
Sa barbe, écorche l’enveloppe de mes deux boules, déclenchant la frénésie qui me va si bien. Je mouille littéralement de ma petite rondelle qui demande son dû.
Bruce se relève et positionne son pieu à l’entrée de mon anus frétillant. Il crache sur le bout de son sexe. Son envie semble immense tant son gland est gonflé et palpitant. Sans plus de cérémonial il prend la décision d’entamer sa pénétration.
Quel bonheur de le sentir en moi, et à moi. Il s’agite d’abord frénétiquement dans tous les sens, il y cherche sa place afin de déployer toute sa vigueur dans mon fondement. Il me tient bien fort par les deux fessiers. Il m’embrasse la bouche, m’embrasse le dos, et lentement applique sont menton râpeux tout le long de ma colonne.
Mon homme m’honore de toute sa splendeur et de toute la vigueur de son sexe. Les filles ont interrompu leur coït vaginal et nous observent en se caressant les seins mutuellement.
Bruce me défonce maintenant par grosses vagues. Son sexe vient mourir au bord de mes sphincters pour coulisser à nouveau au plus profond de moi. Ma prostate est sous le charme et menace de tout envoyer. Bruce le ressent. Il prend à nouveau de l’ampleur dans son geste et soudain, dans un cri puissant, inonde mon rectum de sa précieuse liqueur. Je suis envahi par une source chaude de liquide. Je n’en peux plus de ce traitement de faveur. Ma prostate explose littéralement et déclenche un geyser de foutre blanc et chaud qui semble ne jamais prendre fin.
Nos amantes respectives, nous assèchent de caresses et de lubriques attentions.
Pendant que Bruce se retire, Helena vient happer mon sexe de sa bouche et se délecte du liquide encore présent. Bruce me donne un gros baiser, bien appuyé et prend Laura dans ses bras. Les filles après quelques doux câlins avec leurs hommes, se rallongent et reprennent leur passage de langue mutuel. Chacun encourage sa chacune.
Et soudain, simultanément, Helena et Laura, se mettent à monter dans les tours. Leurs langues s’agitent toujours plus fort sur le clitoris de l’autre. Et c’est le cri qui déchire tout, que poussent ensemble les frangines.
Elles ondulent en symbiose, puis se calment lentement. Je caresse Helena, passe ma main sur son sexe bouillant qui tétanise encore, et lui donne un très long baiser.
Le weekend s’est terminé aussi bien qu’il avait commencé. Nos visites se sont poursuivies, pendant plusieurs semaines. Notre passion pour cette nouvelle famille à 4, ne s’est jamais affaibli. Elle s’est renforcée toujours plus fort, d’autant qu’aux troisième mois nos visites ont pris fin, car c’est en futurs papas que nous nous sommes installés au domaine.
Nos jumelles sont tombées toutes les deux enceintes dès notre première visite. De parfaites coquines pourrais-t-on penser.
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
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