Moi c’est Sébastien, j’ai 52 ans, marié et père de famille. Mes potes et les copines de ma femme me trouvent charmant et aiment ma compagnie.
Moi j’aime le sexe depuis ma première érection. J’aime surtout le sexe des mecs et suis régulièrement volage, quand j’arrive à capter un jeune petit cul en dessous de la quarantaine.
J’ai des réguliers et des occasions ponctuelles, je suis sans tabous et j’aime partager les fantasmes de mes partenaires. Actifs, passifs, qu’importe tant que le sexe est une fête et que je me sens en contact, avec une peau soyeuse, sensuelle et un sexe bien en chair.
Mon histoire inattendue, a commencé il y a 6 mois. Je bosse comme jardinier pour la capitale, et il y a deux mois, Spyros, un beau jeune homme de 28 ans, d’origine Grecque, en réinsertion, a été embauché.
Mon chef d’équipe a eu la délicate attention de me le confier en binôme, afin de le former à nos méthodes de travail.
Un mec que je n'ai pas trouvé très intéressant au début, mais au fil des jours, on a sympathisé.
Nous apprécions de prendre nos pauses ensemble, on parle beaucoup de nous et chacun semble avoir découvert la sensibilité de l’autre.
Reste qu’un jour, à une pause déjeuner j’ai surpris Spyros, surfant sur un site gay. Certes ce bogoss m’attirait, mais loin de moi l’idée qu’un beau gars viril comme lui, puisse aimer les queues.
Un vendredi soir, après le boulot, je l'ai ramené chez lui, il m'a proposé de monter pour boire un verre, il en a bu beaucoup plus que moi et a même fumé plusieurs joints au cours de cet apéro improvisé.
Au fond de moi j’étais chaud bouillant et je le regardais avec envie mais sans espoir.
C’est là qu’il s'est approché de moi, et a posé sa main sur ma cuisse. Je ne bougeais pas d’un poil, tant des vapeurs de bonheur se sont emparées de moi.
Ses yeux bleus me fixaient quand il est remonté sur mon paquet et m'a dit : « J'ai envie de toi là ! ».
Ni une ni deux, toute timidité s’est envolée. Spyros m’a poussé jusqu’au lit dans sa chambre et il s’est emparé de mon sexe, mes 18 cm bien épais, étaient bandés à mort.
Sa langue était agile et tournoyait sans cesse autour de mon gland gonflé à bloc. Mon amant, désinhibé par les nombreux verres, se donnait à fond. Sa bave coulait le long de mon manche et ses gémissements montraient le plaisir qu’il y prenait.
J’étais statufié par ce bonheur, et mon sexe de marbre, s’est vite retrouvé glissé dans son anus pas très serré.
Au comble de mon excitation j’ai rapidement joui en lui, une quantité phénoménale.
Spyros râlait de plaisir et en voulait encore.
Il s’est vite retourné, a repris mon sexe en bouche, et, une fois bien dure, il s’est reposé sur ma bite pour rechercher l’extase.
L’orgasme, nous l’avons eu ensemble, une nouvelle fois mon jus bouillant s’est rajouté au précédent et mon amant tourné vers moi, m’a littéralement pulvérisé plusieurs rasade de son foutre bien blanc sur tout mon torse, se roulant sur moi pour tout étaler.
Spyros voulait une troisième tournée, mais j’étais attendu à la maison et c’est à regret que j’ai dû l’abandonner.
A partir de ce jour, on a pris l'habitude de baiser très souvent ensemble. Il me prenait, je le prenais, il n’y avait que du plaisir et du jus chaud. Spyros était comme moi très endurant et excellent baiseur. J'avoue obéir sans broncher à ses fantasmes et envies, je suis tellement honoré qu'un si beau jeune homme soit sous mon charme et tant excité par moi.
Malgré nos chemins différents, une certaine affection s’est même installée chez moi. Il aimait plaisanter en m’appelant « Papa », j’en riais avec lui, jusqu’à ce jour, où des dépenses de luxe ont attiré mon attention.
Je me suis interrogé sur la provenance de tout cet argent. Je lui en ai parlé, il m'a avoué, à demi-mots, qu'il se prostitue occasionnellement. Juste après cette confession, il a caressé ma queue qui était raide, il m'a souri et m'a dit : « Tu es excité là ! », il a avalé ma queue et m'a procuré une jouissance exceptionnelle.
Là, hier soir je reçois un SMS de lui : « Tu aimerais qu'on baise en mode papa/fiston devant des mecs qui se branlent et qui payent pour nous mater ? ».
J’ai hésité, pas très longtemps c’est vrai, et je lui ai répondu : « Ok ! ».
Voilà, nous sommes vendredi soir, et je marche dans la rue à quelques pas de son appartement, pour ce rendez-vous prévu dans un instant. Ma poitrine est oppressée, mais je me donne du courage, et monte les quelques marches qui mènent chez lui.
J’entends des voix dans la pièce et je sonne. Il vient m’ouvrir en jean ultra moulant et un tee-shirt trop court.
Un vrai look de salope, je ne l'avais jamais vu comme ça.
On s'était quitté quelques heures auparavant, il était looké « mec », cheveux un peu en bataille, barbe naissante.
Là, son visage est complètement glabre, les cheveux bien peignés avec une raie sur le côté. Ça lui donne un côté juvénile qui m'avait échappé.
Il a déjà bu, ses yeux vitreux le trahissent.
Dès qu'il me voit : « Salut papa ! », et se colle à moi et me plaque deux bises dont une très proche de ma bouche.
Quatre hommes sont là, assis, un verre de vodka à la main, ils se lèvent à mon arrivée avec un regard assez pervers.
Le plus jeune doit avoir une petite trentaine, deux autres dans la quarantaine, le quatrième est beaucoup plus âgé, autour de 65 ans je dirais.
Ce sont des mecs assez classe, genre bon père de famille, apparemment sans histoires, les mecs que tu croises un peu partout. Look jean pull ou pantalon en toile et chemise.
Je me joins à eux, et ils me servent un verre. Spyros est collé à moi sur le fauteuil, son bras autour de mon cou, et je pose ma main sur sa cuisse, les mecs ont vite remarqué ma sensualité de papa, et s’échangent quelques regards.
Les questions fusent assez rapidement : « C'est ton fils ? », « C'est toi qui l’as dépucelé ? », « A quel âge ? », « Tu le baises souvent ? », « C'est toi qui le baises ou vous inversez les rôles aussi ? », « Vous vous remplissez ou vous mettez une capote ? ».
C'est très cru, et je réponds en inventant parfois. Spyros fait comme moi et dresse un portrait très érotique et excitant de notre relation.
Ainsi j'ai appris ce soir-là, que quand il avait 16 ans, je l'ai surpris à mater des revues et vidéos gays.
Il raconte que ça m’a terriblement excité. Lui il avait trop envie d'essayer et il fantasmait sur moi. Il a alors touché mon paquet, et, je ne l'ai pas repoussé.
Il a sorti ma queue qui a immédiatement grossi et m'a fait une pipe. Dans le scénario de Spyros, j'ai joui dans sa bouche et tout a commencé cette fois-là.
Il m'a sucé quasiment tous les jours puis, au bout de deux semaines, je l'ai emmené dans mon lit pour le baiser. Ce n'est que plus tard que je lui ai donné mon cul.
Depuis, on ne s’est plus jamais arrêté.
Pendant ces récits fantasques, les verres se remplissent et se vident aussi vite, les mains commencent à se caresser les paquets, qui grossissent à vue d'œil.
A un moment, je ne sais plus lequel demande à nous voir faire. Spyros m'embrasse, et passe sa main sous mon pull. Il me caresse le torse, et je lui caresse son dos. Une de ses mains descend sur mon paquet, qu’il masse à travers mon pantalon. Enfin, il descend ma braguette et rentre sa main dedans en disant : « Humm papa, elle est bien grosse, j'ai faim ! ». Moi, je lui réponds : « Elle attend ta bouche mon fiston ! ».
Il sort mon sexe et descend doucement dessus. Il le lèche comme une glace, de bas en haut, et le fait claquer sur ses joues.
A ce moment-là, les mecs bandent bien dur déjà. Lui, il prend mon gland entre ses lèvres et fait tourner sa langue autour.
Les mecs sont de plus en plus chauds et poussent des : « Humm, c'est bon ça ! ».
C'est là que mon pseudo fils, se relève et va chercher une petite corbeille qu'il pose sur la table basse et il leur a dit : « Ok mais ce n’est pas gratuit les gars ! ». Les billets tombent dans la corbeille.
Du coup et pour leur en donner pour leur argent, Il commence à me faire une pipe de malade avec gorge profonde. A un moment, Il reprend son souffle et me dit : « Je l'aime ta queue papa ! », et moi, enfin totalement dans le jeu je lui lance : « Vas-y fiston, elle est à toi la grosse queue de ton père ! ».
Un mec vient de rajouter un billet et demande : « allez papa, suce ton fils ! ».
Aussitôt mon fils du soir se relève, et c'est moi qui saisi sa queue raide et qui le suce voluptueusement.
Pour le spectacle, je descends largement vers toute son anatomie. Je lèche sa hampe, tête son gland, aspire ses couilles et savoure le sexe de mon amant tout offert.
Mes mains caressent son torse, et descendent lentement vers son cul.
Ils veulent maintenant nous voir en 69, l'un sur l'autre, l'autre sur l'un, l'un à côté de l'autre, toutes les figures possibles y passent.
Pendant ce temps, la corbeille se remplis un peu plus. Ils en veulent plus et veulent nous voir jouir dans la bouche de l'autre et avaler nos jus.
Qu’il en soir ainsi, avec ferveur et gout à la tâche, nous nous exécutons.
Cette première séance se fait sur un temps long. Quand Spyros me jouit en dernier dans la bouche, je remarque que deux mecs ont joui en même temps que nous.
Les verres continuent de se remplir, et les discussions sont uniquement centrées sur nous et notre passion à partager le sexe entre père et fils.
Spyros fini par dire : « Pour venir me voir avec papa dans la chambre, faut être généreux ! ».
Là, plusieurs billets tombent dans la corbeille, Spyros là prend au passage et nous nous dirigeons vers la chambre.
Alors là, c’est une grande séance de déshabillage très sensuel. On s’embrasse avec mon amant, on se lèche des pieds à la tête. Rien n’échappe à nos langues, on se bouffe le trou mutuellement, on se doigte en répondant à tous leurs ordres. Finalement, ils veulent nous voir baiser devant eux.
C’est ce que nous faisons voluptueusement sans nous préoccuper du public. Toutes les positions y passent, tantôt sensuel, tantôt hard.
Spyros et moi jouissons chacun 3 fois. Pendant ce temps, les mecs s’astiquent et finissent par vider un rouleau de sopalin entier, ainsi que les bouteilles.
Je rentre chez moi Il est plus de 3h30. Jamais je n’avais vécu de telles sensations. Être maté par des voyeurs qui ordonnent les positions, a su décupler mes orgasmes. J’aimais voir mon bogoss se donner comme au cinéma. Je le sentais fier de moi en me libérant ainsi devant des spectateurs.
C'était terriblement excitant. Je pense que Spyros s'est fait un beau pactole, je n'ai même pas pensé à lui demander ma part.
Par contre il a déjà des réservations pour le Week end prochain avec de nouveaux clients, et je suis convié.
Merci à mon ami qui veut rester Anonyme. Il l’a vécu, et a posé la trame de cette aventure réelle. Il a beaucoup de chance.
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
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