Job d'été

Bonjour,

Je me prénomme Elias et j’ai 35 ans, je suis blanc, je mesure 1m78 pour 75kg, je suis gay et uniquement passif avec un cul bien rond et gros, je suis algérien j’habite le centre. Voilà pour la présentation.

C’est la première fois que je décide de raconter un fragment de mon expérience sur ce cite, j’ai lu pas mal voir presque toutes vos histoires et depuis longtemps je voulais partager avec vous une de mes histoires, espérant que vous soyez indulgent, merci et bonne lecture.

Tout à commencé quand j’avais 14 ans, à cette époque, je ne savais pas ce que veut dire le mot homosexualité, et être attiré par un mec c’était une honte, surtout que je vivais au milieu d’une société avec une culture couverte de tabous et exclusivement masculine, l'accès aux filles est casiment impossible, ce qui fait que je n’ai jamais eu de rapport avec des filles, pas même un bisou, je me suis toujours sentie attiré par les mecs et plus ils sont viriles plus je mouille du cul lol.

Mes expériences d’adolescent se limitent au touche pipi avec des cousins ou d’autres garçons de mon âge lors des fêtes diverses, fallait attendre l’apparition d’internet et de la télévision par satellite pour que je comprenne que des mecs peuvent baiser et coucher ensemble et c’est là une révélation pour moi, qui venait tout juste d’atteindre ma majorité en cette période.

A mes 18ans, donc, j’étais étudiant dans un lycée pas très loin de chez moi et je fantasmais sur tout les mecs de ma classe sans pour autant faire le premier pas j’étais toujours puceau et vierge du cul, une jolie petite rosette toute serré, quand arriva l’été je voulais trouver un job pour me permettre un peu d’argent de poches, j’ai consulté mon père qui m’a mis en rapport avec son pote qui possède une ferme non loin des maquis de ma ville, une ferme de plusieurs hectares avec poulailler et bergerie et plusieurs plantations d’arbres fruitiers et oliviers, dont la gestion est assurée par son fils aîné Yacine, un beau gosse de 34 ans bâtie en muscle d’1m95, bronzé, cheveux frisé et poilus partout, mon kiff, ayant pris rendez-vous avec Yacine je me suis vite attelé à la tâche, arrosage, cueillette des œufs, nourrir les bêtes, nettoyage…. Etc.

Petit à petit je prenais mes repères et j’aime bien être avec Yacine, il était cool et était toujours attentionné, et ses odeurs de mec, mélange de testostérone et de sueur, m’enivre à chaque fois que je suis à côté de lui. Je commence le travail tout les jours à 5h du matin et à midi je rentre chez moi pour la sieste et je reprends à 18h quand les températures baissent un peu, pour enfin renter chez moi vers 21h ou 22h, c’était la routine, quand à lui il reste sur place, il possède un studio équipé ou il dort et fait sa cuisine.

J’ai travaillé à ce rythme pendant près d’un mois, par moment je l’accompagne au marché hebdomadaire avec son frère cadet Mahmoud âgé de 22 ans tout aussi beau que son frère ; un jour mes parents sont invité à une fête familiale au village natale et je me retrouve seule à la maison pour quelques jours j’en ai parlé à Yacine et m’a dit que je pouvais rester à la ferme et d’ajouter qu’il se sentirait moins seul, je trouvais que l’idée était géniale. Ce jour là, la matinée s’est passée très bien, j’étais occupé par mes tâches de tout les jours et à midi il me proposa de se baigner dans le grand bassin qui est destiné à l'irrigation, je lui ai dit que je ne savait pas nager pour me répondre qu’il m’apprendra, il se déshabilla (il portait uniquement une salopette et un caleçon qui n’a pas du être lavé depuis des siècles vu sa couleur que je soupçonne blanc à l’origine) moi, en slip me voilà prêt.
Il plongea dans l’eau froide et il nageait très bien, quand il a vu que j’ai peur de sauter il m’aida a entrer dans l’eau glacée, il m’a pris sous mes aisselles (je pesais le poids d’une feuille à l’époque) et jouait avec mon corps telle un canard en caoutchouc, à un moment donné j’ai dû glisser de ses mains et bu la tasse, je m’agrippe à son cou et j’ai sentie, alors, une barre sur mon ventre, pensant que c’était un détritus ou une bouteille, j’ai voulu l’enlever, quelle ne fut ma surprise de trouver une barre en chair géante qui déformait son caleçon, j’ai retiré ma main par surprise, et en se rendant compte il me dit :

Yacine : désolé, l’eau fraîche me fait toujours bander hahaha

Moi : t’inquiète pas, je comprends.

Yacine : surtout que j’ai pas baisé depuis des mois hahahaha.

Moi : ah bon ? Et comment tu fait alors ?

Yacine : t’es bête ou quoi ? , je me sert de ma main droite comme tout le monde.

Et là un fou rire s’en suit et après d’ajouter

Yacine : mais ce n’est pas pareil, une chate ou un cul et même une pipe c’est meilleur

Moi tout rouge de gêne je ne pu que lui avouer que je suis toujours vierge, pour me dire que ce n’est rien ça viendra avec le temps et nous sommes sortis de l’eau pour aller déjeuner.

Notre repas prit vient l’heure de la sieste, dans la chambre il n’y avait qu’un seul lit et nous, nous allongeâmes, lui en caleçon moi en slip, et une obsession m’a pris tout à coup de vouloir voir à quoi ressemble la barre que j’ai touché un peu plutôt, j’ai attendu pour m’assurer qu’il dort, et tout doucement j’ai relever son caleçon pour tomber nez à nez avec un buisson de poils pubiens, de surprise j’ai lâché l’élastique de son caleçon et ça l’a fait réveiller j’ai essayer de faire semblant mais c’était trop tard il m’a pris en flagrant délit lol, me demandant :

Yacine : tu fais quoi là ?
Moi : rien, rien désolé

Yacine : oh non, tu m’as réveillé et je veux que tu m’explique pourquoi

Moi : blême, rien je t’assure, j’ai juste… euh… Rien…. Y’avait…

Yacine : j’ai rien compris, tu voulais toucher ma bite c’est ça ?

Moi : non stp, laisse moi dormir

Yacine : d’accord, mais je veux que tu m’explique ce que tu voulais faire

Moi : rouge comme une tomate, je voulais, je voulais, rien, rien

Et là sans que je m’y attende le moins du monde, se lève et retire son caleçon devant moi, me regarda et me dit :

Yacine : voilà c’est comme ça que tu veux ?

Moi bouche bée, yeux exorbités, pas un son ne sort de ma bouche, il était magnifique, poilus de la têtes aux pieds d’un duvet noir avec un buisson frisé au pubis qui remonte vers sont nombril et une queue blanche d’au moins 14 cm circoncise, au repos recourbé vers la droite.

Yacine : elle te plaît

Moi : c’est gros

Yacine : oui, 22 cm sur 7 quand je bande

Moi : je peux la toucher ?

Yacine : surpris !, vas-y fait toi plaisir

Je m’approche timidement et la touche, elle était chaude et ses couilles sont semblables à deux pêches juteuses et très poilus, j’ai pris sa bite en main et j’ai commencé à jouer avec et l’anaconda commença à se déployer au fur et à mesure de mes caresses pour atteindre des proportion que je ne soupçonnais pas, une veine palpitante traverse sa queue tout au long et ma main n’arrive pas à en faire le tour et cette odeur qui m’enivre, mélange de pisse et de sueur et sans qu’il s’attend j’ai léché le gland ou perlait une goûte de precum, salé un délice, lui, surpris au début, il a l’air d’apprécier se laisse faire et j’ai commencé à lui faire une pipe du mieux que je pouvais, vu les proportions de sa bite, j’arrive à mettre un tiers dans ma bouche et comme il était excité et que la chaleur tapait fort il fallu quelques minutes pour qu’il me remplisse ma bouche, je me retire avec surprise je crachait ce qu’il y’avait dans ma bouche
pour continuer à le branler, une quantité énorme de sperme à inondé le parterre déjà sale.

Après qu’il eut vidé ses dernières giclés, j’appréhendais sa réaction, il me regarda et me dit :

Yacine : je ne savait pas que tu aimais les zobs

Moi : c’est la première fois que je suçais

Yacine : je m’en doutais, t’étais un peu mal adroit, t’a aimé ?

Moi : oui, c’était un peu bizarre mais ta bite est douce, et toi ça t’a plus

Yacine : bof, c’était cool, la aussi je vais t’apprendre à mieux sucer, dis moi tu aimerais essayer de te faire pénétrer ?

Moi : c’est gros, je ne pense pas que ça rentrera dans mon cul il est tout serré

Yacine : montre moi ça ?

Il me retourna et me baissa mon slip et écarta mes fesses pour découvrir une rosette toute serrée et imberbe,
Il m’allongea sur le ventre et il a commencé à jouer avec mon petit trou, il crache dessus et jouait avec ses doigt

Yacine : c’est vrai, tu as un cul très serré, mais pas pour très longtemps, et étant donné que tu aime la bite je vais faire de toi ma petite femme au lit.

C’était bizarre qu’il parle de moi au féminin, mais ça m'excitait beaucoup, il était doux contrairement à son apparence de macho.

Il était toujours entrain de jouer avec ma rondelle en m’insérant un, puis deux doigts, je poussais des petits gémissement et tortillais du cul tel une femelle en chaleur, et ça l’excitait également, puisque je sentais sa bite toute dure et brûlante sur ma cuisse, quand il jugea que j’étais prêt, il lubrifia sa barre de salive et cracha généreusement sur ma rondelle, il posa son gland à l’entrée de mon cul et il commença presser mais peine perdue, mon cul est très serré et sa bite est hors norme.
Il se lève d’un coup pour prendre un flacon d’huile de tournesol et revient à la charge, cette fois ça glisse mieux et j’arrive à sentir le gland passer, je souffrait et mordait le matelas pour ne pas crier, il se retire et enduit à nouveau mon cul et sa bite d’huile et recommence et la douleur semble diminué à fur et à mesure qu’il fait de légers va et vient avec le tiers que j’arrive a prendre, petit à petit et s’enfonçant de plus en plus jusqu’au moment où j’ai senti une sorte de déchirure à l’intérieur de mon rectum, j’ai hurlé et je voulais me dégager de lui mais il était plus balaise que moi et plus puissant et à ce stade il n’était rentré que de deux tiers j’étais comme partagé en deux et la douleur était insupportable, lui ne bougeait pas il attendait que je m’habitue à son gourdins pour ensuite progresser et quand j’ai senti son buisson me chatouiller les fesses j’ai su que il me possédait en entier, et cette idée me
fait éjaculer directement sans même bander ni me toucher, il a senti mes contractions et m’a murmuré à l’oreille :

Yacine : ton cul est très serré et très tendre

Moi : ça me fais encore mal

Yacine : calme toi et détend toi, tu en redemandera j’en suis sur tu vas adorer

Moi : vas-y doucement s’il te plaît

Yacine : t’inquiète, je ne vais pas faire de mal à ma femme chérie

En disant cela, il commença à bouger doucement, m’arrachant des couinements et des petits cris, à mesure que je me détende la douleur s’estompe et je prenais mon pied, j’ondulais mon cul et venais à la rencontre de sa bite, j’étais au ange, il me baissait, moi couché sur le ventre lui sur mon dos, sa bite fiché dans mon fondement et j’adorais et effectivement j’en redemandais il me bourrais le cul en alternant vitesse et lenteur et j’espérais qu’il ne s’arrêterait jamais, j’étais couvert de sa sueur et l’odeur de la baise a inondé toute la pièce, cela fait près de deux heures, qu’il me baise, il était très endurant et vu qu’il a éjaculé une fois il avait tout fait durer mais je sentais qu’il allait pas tenir très longtemps.

Yacine : putain j’adore ton cul je vais bientôt te remplir mmmmm

Moi : ooohhhh ouiii encore plus vite

Il accélère la cadence tapant son pubis sur mes fesses en sueur, jusqu’au moment où il s’est fiché à l’intérieur sans bouger.
J’ai sentis sa bite grossir un peu plus, et j’ai sentie les soubresauts de sa bite et de son d’éjaculation.
Pour s'effondrer sur mon dos haletant.
J'étais aux anges et fière d'être dépucelé.