Job d'été

Chapitre-2

Bonjour les amis, je vous merci beaucoup pour les mails d'encouragement que vous m'avez envoyés, donc comme raconté dans le précédent chapitre (cf. Job d'été) voici la suite de mon aventure avec Yacine.

Après que Yacine ait éjaculé à l'intérieur de mon fondement il s'écroula sur moi haletant et suant à grosse goutte, et nous nous sommes endormis un petit moment, sa bite encore fiché dans mon trou qui ne débande pas complètement, quand il s'est réveillé avec un sursaut, il m'a dit :

Yacine : putain je n'ai jamais pensé qu'un mec pouvait me faire jouir ainsi, c'est décidé tu vas rester tout les soir avec moi, je kiff ton cul.

Moi : j'ai encore mal au cul, surtout que ta queue est toujours dedans hahaha…

Yacine : ah oui c'est vrai je ne me suis pas rendu compte, ton cul est tellement tendre j'adore

Après que Yacine c'est retiré de moi, j'ai senti un vide, comme si mon cul est resté ouvert, et un flot de sperme qui coule sur mes cuisses, et à ma grande surprise j'ai jouis sans même m'en rendre compte, la chambre sent la baise et la sueur mêlé à l'odeur du sperme. Je me suis levé et suis allé me nettoyer, un peu plus tard nous avons repris le boulot jusque tard le soir.

Après le dîner, nous somme sortie à côté à un endroit derrière la maison, assis à côté de Yacine, j’inhale ses odeurs de sueur de travail et les odeurs de notre baise de l'après-midi (il ne s'était pas encore douché), lui fumant un cigarette en savourant la brise fraîche qui venait du nord, on ne disait rien tout est calme hormis cigales et quelques son nocturne.

Je restais là dans le noir à respirer ses odeurs en me remémorant l'après-midi et n'en pouvant plus je me suis rapproché de lui et j'ai rentré dans l'ouverture de sa salopette pour atteindre l'objet de mon plaisir, et quelle surprise, il ne portait pas de calson dessous, j'ai attrapé directement la verge encore flasque et j'ai commencé à jouer avec ainsi que ces grosses couilles poilus.

Yacine : hummmm, on dirait que tu es encore en chaleur ma petit kahba

Moi : ouiiiii j'ai encore envie

Tout en caressant sa bite dans la salopette il m'entoure de l'un de ses bras puissant et remontant ma tête de l'autre pour m'embrasser il me roule une pelle baveuse salivant abondamment dans ma bouche, je défis les attaches de sa salopette et commence à la lui retirer, pour qu'il se retrouve à poil devant moi en pleine nature je me suis mis entre ses cuisses écarté et j'ai commencé à descendre vers la barre de chaire palpitante qui était entre mes mains, un odeur de sueur de sperme et de pisse séché mélangé à l'odeur de mon cul se dégageait de ses parties me font frissonner.

J'ai léché le gland pour savourer le goût salé et j'ai continué à descendre tout au long de sa hampe et ses couilles, pour remonter jusqu'au frein et au gland et entamer une pipe, mais impossible de mettre toute cette bite dans ma bouche, à chaque fois qu'un tiers entre dans ma bouche j'ai le réflexe de vomir, Yacine essai de m'aider sans me forcer, c'est fou le contraste qu'il y'a entre son apparence macho et son côté doux comme un agneau, il était très attentionné et attentif à mon plaisir.

Voilà environs 20 minutes que j'étais entrain de le sucer jusqu'au moment où il me remonta vers lui pour m'embrasser moi assis à califourchon sur ses cuisses, il commença à me déshabiller, min tee-shirt puis mon short et pour enfin mon slip, pour nous retrouver enfin tous les deux en tenu d’Adam et de Eve lol.

Tout en m'embrassant il s'occupait assouplir mon trou avec ses doigt et sa salive, et jugeant que j'étais prêt, il plaça son gland humidifié à l'entrée de ma chatte barbouillé de salive et commença à pousser sur mes fesses par petites poussées, jusqu'à ce que je sente ses poils pubiens me chatouiller les fesses.

Yacine : waaah, quel cul, tu as une vraie chate de femme putain mmmmm serre ton cul sur ma queue, comme ça ohh ouéé putaiiiin

Moi : je sent bien ta queue elle est chaude et elle palpite hummmm

Yacine : vas-y commence à monter et à descendre doucement

Je commence alors à m'empaler sur sa queue au début doucement et ensuite de plus en plus vite, Yacine m'aidant en me maintenant sur mes hanches ou mes fesses, j'étais tellement excité que j'ondulais du cul sur sa bite qui suintait de ma mouille, jusqu'au moment où Yacine n'en pouvait plus et d'une poussée me bloqua de ses mains sur ses hanches créant une pression sur ma prostate engendrant ma jouissance, et multipliant celle de Yacine par les contraction de mon rectum, se déversant dans mes entrailles à ne plus s'arrêter.

Nous sommes restés comme ça un moment, sentant sa bite débander et sortir de mon tunnel suivie du sperme, cette nuit là nous l'avons passer à baiser jusqu'à l'aurore et plus il me baissait plus j'en redemandais, j'étais devenu accro à sa bite.