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Premier épisode | Épisode précédent

L'ami Mathieu -5

Il m'enfonce d'abord son pouce en confirmant que j'ai visiblement très envie, puis son gros gland passe et il enfonce son pieu lentement, inexorablement, jusqu'aux couilles. Il ramone en longueur pendant deux-trois minutes, je suis déjà trempé, et nous gémissons ensemble. Puis il accélère et pistonne maintenant bien énergiquement, je prends un pied d'enfer, et sonore ! Mes mains écartent toujours le plus possible, et souvent il admire ce qu'il me fait. Après cinq minutes de piston entier, il s'amuse à entrer et sortir uniquement le gland, ce qui me rend complètement cinglé et mes supplications le font craquer : un long râle monte, puis il immobilise son gland juste derrière l'entrée, et gueule à chaque giclée qu'il expulse ; j'imagine le tapissage ! Fécondation massive. Il finit en ramonant de nouveau lentement sur la longueur totale, mais je suis quand même bien secoué par ses spasmes. Il se penche jusqu'à murmurer dans mon oreille que " ça fait du bien ", et m'embrasse. Nous reprenons le rituel de la douche, où en plus je me régale de son torse suant. Mon cul et nos vessies vidés, nos corps savonnés, nous montons à la chambre où je passe encore une  demi-heure en levrette où sa langue et ses doigts se régalent de mon trou ; je passe ensuite un long moment à lui bouffer le sien, et il me récompense par une abondante décharge. Après un peu de repos, il me prend en missionnaire, longuement, alternant tendresse, bestialité, bisous, insultes. Pour l'apothéose, j'ai la nuque cassée en deux contre la tête de lit, avec un genou tout près, les cuisses en équerre, et lui a le torse presque vertical : son bassin s'y donne à coeur-joie. J'ai l'impression d'avoir le cul en charpie quand il finit par s'y vider. Le temps qu'il se purge je saisis ma bite et il ne me faut pas 20 secondes pour m'arroser, du nombril au visage, un vrai déluge qui le fait sourire, mais qui me plie en deux si ce n'était pas déjà fait. Il reste planté en moi dans un missionnaire plus confortable, et je le surprends à m'embrasser malgré mon sperme, et à me lécher pour me le rendre. Il ne sort de mon cul que quand il est bien ramolli, et vient me donner sa bite lourde à téter. " Elle a bien bossé, mais purée, toi aussi ! ". Je l'accompagne à la salle de bain, le regarde se rhabiller, assis sur la baignoire ; je suis crevé mais qu'il est beau ! Il me parle du programme du lendemain ; je lui rappelle que ce sera ma dernière journée. Il nous invite alors Mathieu et moi à manger avec Sylvie ce soir. Il file, je me douche, pour me réveiller surtout, remet un peu le lit en ordre et quand je descends, j'entends la voiture de Sylvie et presque aussitôt celle de Mathieu. Celui-ci, dès qu'il me rejoint au salon, se penche pour me rouler une pelle, plaque ma main sur sa bite très dure à travers son bermuda, et ne cesse de répéter qu'il va " me la mettre ", " m'enculer ", " me défoncer "... Il se fout à poil, en chaussures, me dit de me mettre à 4 pattes (tiens, tiens, ça me rappelle quelque chose), et là, comme une bête en rut, un mec qui a pas baisé depuis des mois, il frotte brutalement sa queue entre mes fesses, en grognant ; puis je l'entends cracher, j'écarte mes fesses avec mes mains (tiens, tiens...), et il enfonce son gland aussitôt ; je crie, lui aussi ; puis il me met le reste plus lentement et à fond. Immobilisation, le temps d'un long " ahhhhhh ", et là il m'encule comme un lapin, maladroit mais déterminé ; heureusement que je suis bien ouvert... Il s'exprime sans arrêt, des cris aux soupirs, des insultes en cascades, des " c'est boooon ! " de plus en plus sonores ; je lui tends d'autant plus mon cul, ce qu'il constate et apprécie ! Il me remplit moins que Yann mais le limage reste très efficace et l'état de mon hétéro 100% m'excite grave... Tandis qu'il me martèle, il semble presque surpris par la force de l'orgasme qui monte (la saillie aura duré environ 3 minutes...), et sa voix se transforme ; il part dans les aigus, presque affolé ; il se plante à fond et se vide, ce ne sont plus les mêmes secousses, ça lui arrache des cris de mourant. Peut-être même qu'il tremble sur ses jambes : il sort de mon cul et s'assied juste à côté de moi, sonné, répétant " oh putain ! " ; je reste le cul en buse mais pivote et gobe sa bite luisante. C'est vrai que tout son corps tremble... Il gémit encore sous ma langue, chope ma tête et fait mine de me limer encore. Sa respiration tarde à se calmer... Je quitte sa bite et comme j'allais le regarder, il me prend la tête et me roule une pelle terrible - mais j'ai eu le temps de voir des yeux très très humides... Ses tremblements et gémissements se prolongent même jusque dans ma  bouche, dévorée et explorée par la sienne. Il part soudainement à la douche, moi aux toilettes. Repas bien sympa avec les voisins en terrasse ; Sylvie nous régale - en sa présence, moins de dijos et de joints. Les deux gars sont quand même des pros de la discrétion ! Sitôt rentrés, Mathieu me refait la même : il m'attrape par la taille, m'embrasse, baisse mon short et son caleçon : ah oui, il bande déjà sévère ! Il me retourne, et je prends appui sur le plan de travail, en angle droit ; je l'entends cracher et sa queue trouve son chemin. Deuxième saillie très ressemblante à la première, plus brutale encore et plus virile jusqu'au bout cette fois : il a retrouvé sa voix, et c'est un vrai mâle, il tient à me le prouver ! 5 min plus tard, il me féconde pour la deuxième fois (mais c'est ma 4ème... !). Je me retourne et m'agenouille pour le sucer ; je ne peux m'empêcher de libérer de mon cul une bonne dose sur le carrelage. Ca le fera bien rire, avant que nous ne montions nous coucher. Impossible de dormir pour moi, je ne débande pas : Mathieu me donne gentiment son cul à bouffer le temps que je me branle, et récolte mon jus dans sa main, que je vide " comme une cochonne " dit-il. Et dans la nuit, je subis son troisième assaut : il ne fait pas de manières, ne me parle pas même : ses jurons et ses insultes sortent comme à mi-voix, comme prononcés dans un rêve ; ça ressemble à une branlette via mon cul ; saillie de 5min encore, et bien vidé et se rallonge et se rendort aussitôt qu'il a repris son souffle. Je garde son jus au fond toute la nuit.

Je me réveille vraiment fatigué et seul ; rien entendu. Sur la table, je trouve un mot : " Je pense déjà à ton ptit cul gourmand, monte pas à midi, je vais prendre mon aprem. Une petite balade ? et je te mettrai qq coups hein ? C'est con que tu partes ce soir...A tte ". Je déjeune en terrasse. Yann sort et comme hier vient m'embrasser et me parler de la " session " de l'aprem. Je lui explique les plans de Mathieu. Il comprend qu'on va pas se revoir pour baiser.
- Tu me fais une pipe de suite alors ?
- Hein ? mais Sylvie est là...
- Elle se douche ; vite fait, que je te donne encore une fois mon jus...
- Mais je vais pas te pomper là... ?
- On rentre... allez, la pipe du courageux travailleur...

Il m'a déjà tiré par un poignet, et nous entrons chez Mathieu. Il s'adosse au mur, je m'agenouille et regarde ses doigts déboutonner son bermuda : il sort sa belle bite, mi-dure déjà, et je l'engouffre aussitôt, la lèche attentivement (c'est la dernière fois), tète le gland, la prend entière en fond de gorge, bref je me démène. A force de le pomper comme une vraie trayeuse, je sens bien le plaisir monter, et il saisit ma tête pour limer ma gorge jusqu'à se finir - aussi discrètement que possible, mais la quantité y est ! incroyable ! Je savoure en déglutissant ce bon jus viril pour cette dernière occasion, et nous entendons la porte d'à côté. Il remballe aussitôt sa bite et je me relève. Il sort et je l'entends dire à Sylvie qu'il m'a dit au revoir ; quand elle demande s'il m'a embrassé pour elle, il ajoute, le coquin qui sait que j'entends, qu'il m'en a " fait pour deux ". Quand ils sont partis, je retourne en terrasse, finis mon ptit déj, en repensant à tout ce que j'ai fait avec Yann, puis à ce qui m'attend avec Mathieu : ses sodos " lapin " m'excitent beaucoup ; je relis son mot, me branle et passe le reste de la matinée à me préparer et à faire la bouffe. Sans surprise il vient se frotter au petit slip provocant que j'ai mis dès qu'il arrive, et il bande déjà : il m'encule direct, aussi bestial et effréné, au moment endroit que la veille au soir. Pas besoin de 5mn, et il me remplit " d'une double dose " selon lui, que je regrette un peu de ne pas avoir eu en bouche. Pour éviter la même fuite je file aux toilettes et il me suit : il se marre (" je te l'avais bien dit ") en entendant ce que j'expulse, pendant que je lui lèche la bite, assis sur les chiottes. Nous passons à table ensuite. Nous discutons assez longtemps de cette semaine...

- Ca m'a vraiment bien détendu, je me suis jamais senti aussi léger...
- Je te crois, réponds-je en riant.
- Dans la tête aussi ! répond-il ; et j'aurais dû te prendre le cul dès ton arrivée. C'est tellement bon !
- C'est comme ça, Mat', l'essentiel c'est que tu aies fini par essayer.
- Ouais, c'est con que tu partes, j'aurais rattrapé mon retard... Et t'aimes tellement la bite !
- Oui... Mais maintenant tu sais que quand on se reverra t'auras pas à hésiter, on refera ce que tu veux.
- Nan mais faut que je me trouve une meuf, c'est toujours le même problème...
- Ca n'empêche pas : tu penses que tu pourras baiser autant ?
- Je pense pas, mais mon but c'est quand même d'être en couple, d'avoir des ptits...
- Et si je reviens et que tu es en couple, il se passera plus rien alors ?
- Ben non, désolé.

Bon, eh bien c'est clair. Un ange passe... Le temps aussi : ça fait tard pour partir en balade, ce que je lui fais remarquer. Je propose de rester et de siester, entre autres. Il est ok et part à la douche. Je débarrasse et monte au lit. Nous baisons au moins une heure : pas question de partir sans avoir refait la totale et réexploré son corps ; j'arrive même à le faire me sauter en missionnaire, et à faire durer. Nous remettons ça au réveil, et sur mon invitation il commence par me doigter et me lécher les tétons ; je pars en vrille, pour son plus grand plaisir, et c'est une vraie salope bouillante qu'il enfile en levrette ensuite : concert de cris, d'ordres, de suppliques... Je finis par juter sur les draps, tandis qu'il se vide encore au fond de moi. On s'allonge, lui sur moi, jusqu'à ce que mon cul l'éjecte, avec une bonne partie de ses doses. Il passe à l'avant se faire nettoyer et me comble d'éloges, sur ma bouche, sur ma façon de donner mon cul, sur mon amour du foutre. Il enlève les draps pendant que je pars à la douche, puis je fais mon sac. Il me prépare des produits locaux, on délire un moment sur la production locale justement, et sur la spécificité du lait de taureau... Petit café pour m'aider à faire la route, et après une longue, longue pelle et plein de mercis, me voilà parti. Je bande une bonne partie des 7h en passant en revue différentes images, et en m'amusant à contracter mon anus bien sollicité. Il est pas loin de minuit quand je rentre, et dans la somme de mails que je découvre il y a celui de Mathieu :

" Salut, Miky,
J'espère que t'as fait bonne route. Je veux encore te dire merci pour tout : ta compagnie, ton écoute, le mur, et bien sûr nos parties baise. J'étais tellement mal avant que t'arrives, et là je me sens tellement zen ! C'est clair que j'ai jamais autant niqué en une semaine, et au niveau production laitière, tu peux pas dire que j'ai économisé !

J'espère aussi que tu comprends ce que j'ai dit : quand j'aurai une copine, pas question de remettre ça, désolé. Je suis pas aussi libre que Yann, je crois ; on vient d'en reparler (je peux te dire que tu lui plais et que lui se gênera pas pour profiter encore de ta bouche !), et il a beau me dire que ça n'a rien à voir, baiser sa meuf et tirer quelque coups à côté pour se faire du bien, moi je vois pas les choses comme ça. Coincé peut-être, mais j'assume. Bref.
Evidemment tu reviens quand tu veux en sachant tout ça. Je t'embrasse bien fort, et Popol est au garde à vous là ! Fais chier de devoir reprendre l'habitude de m'essuyer avec mes caleçons ! Je déconne, allez, bises. "
J'ai répondu dans la foulée :
" Mon cher Mat',

Pour moi aussi ça va être dur de revenir à mes habitudes : avoir l'impression des jours durant de mourir de faim ! Je veux te remercier aussi, et au moins autant, cette semaine a été aussi surprenante que merveilleuse - et nourrissante ! Je respecte ton point de vue : je souhaite quand même que tu rencontres une fille et que tu fasses bientôt des bébés (tu es largement équipé pour !). Si ça ne s'est pas produit quand je reviendrai, au moins tu sais que tu n'auras pas à te gêner avec moi. Sauf que je ne me vois pas revenir avant l'été prochain...Toi, si tu as l'occasion, passe quelques jours... je sais bichonner un mâle, non ?

Bon je vais au dodo... Pas de lait de Mat' au réveil, bizarre... Moi aussi je t'embrasse fort ! porte-toi bien. "

Voilà, voilà.

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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