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Voilà où nous en sommes, le " super hétéro " et moi, quand un mois plus tard il m'annonce donc son arrivée dans trois jours. J'ai un test négatif tout neuf : Yann et lui sont bien de parfaits nourriciers. Et Mat' est toujours célibataire, il va donc s'en donner à coeur-joie ! à couilles rabattues aussi, comme on dit. Le mois qui s'est écoulé a été bien pauvre pour moi : 2 pipes sans avaler, et une sodo en accéléré... Une semaine avec mon petit taureau blond va me faire à moi aussi le plus grand bien. Il pourra ensuite aller au festival en Espagne léger de partout.
Il arrive le vendredi soir, et comme je m'apprête à lui faire la bise (on ne sait jamais), il me fait une pelle langoureuse en me plaquant sur lui, qui met les choses au point. Il bande ferme à ce que je sens ! Au cas où j'aurais encore un doute, il me dit entre deux baisers : " j'ai les couilles qui brûlent, tu peux te servir direct, ça déborde ". Je retrouve donc toute sa poésie, et me dis qu'il a bien compris qu'il n'y avait pas à hésiter avec moi. Me voilà déjà à genoux, et il sort sa bite dure comme l'acier : belle, je n'avais pas oublié, et suis heureux de la retrouver. Retrouvailles rapides ! je suce une minute et il décharge " trois jours pleins " (précise-t-il après), et je suis à la fête de cette abondance, toujours délicieuse. Vidé et léché, il remballe et nous descendons chercher ses affaires. " Je marche mieux ", ajoute-t-il. Les retrouvailles sont complètes quand, dans la chambre où on pose son sac à dos, il me met en position de levrette, et m'encule au bord du lit, à peine nos shorts baissés. Extase de retrouver mon conduit, je l'entends bien ! et je le sens ! même rythme frénétique et brutal, et il m'annonce " une autre cartouche " qui part sans vraiment tarder. Il va à la douche, je me remets un peu de mes émotions, me vide aux chiottes et vais mettre la table. Petit repas tranquille et échange de nouvelles : son célibat continue, malheureusement (hem hem je dirais pas ça...), Yann m'embrasse à défaut d'autre chose, la suite des travaux... ET : Christophe va le rejoindre chez moi si je veux bien, lundi, pour partir avec lui au festival. Aucun problème, lui dis-je. Il me raconte alors un peu plus :
Christophe l'a appelé pour passer en fin d'été chez lui. Mat' a expliqué d'abord son projet de festival, auquel Christophe a tout de suite adhéré. En plus il serait content de me voir. Mais Mat' (j'en suis très surpris) a expliqué tout ce qui s'était passé. Peut-être pour montrer qu'il n'est pas aussi " coincé " et qu'il baise lui aussi : j'apprends ainsi que Christophe est une vraie bête de sexe, " un vrai bourrin " qui enchaîne les filles, lesquelles le quittent trop épuisées par ses besoins ; qu'ils ont fait entre eux des concours de branlettes et souvent parlé de cul et Mat' a compris que Christophe est prêt à " remplir n'importe quel trou qui passe ". Obsédé du cul, il a harcelé Mat' de questions sur moi et a voulu finalement un résumé complet de ma semaine. Apprenant mes besoins et mes capacités, il s'est maudit d'abord de ne pas en avoir profité lors de nos dernières rencontres, et tient absolument à rattraper son retard pendant les quatre jours qu'il passera avec nous. Je me rappelle alors qu'il y a bien eu, quelques années plus tôt, un moment de trouble entre lui et moi, où je m'étais demandé s'il n'allait pas me sauter : nous étions en balade et je l'admirais de loin en train de pisser ; je dis " admirais " car il y a de quoi : cet ogre blond imberbe charnu de partout (alors que Yann est plutôt musclé sec), qui fait une tête de plus que Mat', m'avait lancé un regard vert pervers, la langue sur les lèvres, en agitant sa bite pour les dernières gouttes. J'avais détourné la tête (à regret et gêné), ne sachant clairement ses intentions : moquerie ou envie ? En tout cas j'avais souvent constaté des provocations : il se prenait le paquet et le proposait à qui voulait, ou se frottait comme un chien à la cuisse de quelqu'un ; un macho très fier de sa bite, peu pudique. Bref. Mat' me dit que textuellement, " Christophe a bien envie de se vider les couilles un max ", " qu'il n'est pas surpris que je sois un fou de la queue et de la jute de mâle ", et " que je ne vais pas être déçu ". Je me dis que ce sont bien deux poètes tous les deux.
Après le repas, nous allons dans le canapé et Mathieu est, encore une surprise, étonnamment tendre : câlins, baisers, caresses, pendant longtemps. Je suis ravi de retrouver son corps, j'en parcours les muscles tandis qu'il se concentre de plus en plus sur mon cul ; je finis par lui demander le sien. Il se met à 4 pattes et recule jusqu'à le coller à ma bouche. Je m'en régale un bon moment. Je relève les cuisses à sa demande et il me doigte le mien ; échange de gémissements : ses doigts sont très longs et carrés, c'est le bonheur. Il décide qu'il est temps " de lui donner à bouffer aussi " (à mon cul). Nous partons dans la chambre. Je lui fais lire mon test sur la table de chevet, vu que je n'ai même pas eu le temps lors de la saillie d'arrivée, il m'embrasse après un grand sourire et je passe à la casserole : levrette frénétique de 5min, avant qu'il ne s'écroule sur moi, toujours planté et se vidant, puis il roule sur le côté, se fait nettoyer et s'endort sans tarder.
Le samedi commence par mon petit bonheur : sucer une bite au réveil et recevoir ma boisson préférée, d'autant que je n'ai pas à me fatiguer beaucoup : après s'être laissé un peu sucer allongé, Mathieu prend l'initiative, se met à genoux, me place à 4 pattes devant lui et me lime la bouche jusqu'à se purger. Toutes mes batteries sont rechargées par cet apport matinal : je lui prépare un petit déj que nous prenons bien détendus et nous filons à la plage. Il ne fait pas encore trop chaud. Mat' est comme un chien fou dans les vagues ! nous nous mettons de la crème en nous massant. Je suis décidément fan de son dos musclé. Il me dit qu'avec un massage comme ça je " lui remplis déjà le réservoir "... Nous mangeons au resto tout proche le midi et ne parlons que de cul : les souvenirs de mon passage chez lui, la double pipe derrière le mur avec Yann, et nos préférences respectives ; pour lui, quand il rentrait du taf et sortait sa bite, ce qui me faisait mettre à genoux, et qu'il n'avait plus qu'à me rentrer sa queue en bouche et à se purger en me tenant bien la tête. Bref, nous bandons à en avoir mal. Nous regagnons la voiture en cachant comme nous pouvons nos entrejambes, et à peine installés, il sort sa bite, droite comme un i, et me dit de le sucer : il n'en peut plus. Il m'étonne, oser se faire pomper en plein jour ! Je m'exécute bien sûr. Il se met un morceau planant au poste et se fait lentement mais efficacement tirer le jus. Nous rentrons (ah oui, c'est sa voiture, c'est " l'homme qui conduit "...). Douches, approfondie pour moi, et je me fais bien décalquer sur le lit ensuite ; je commence à avoir l'habitude et me mets direct en position 4 pattes. J'ai droit, en plus de compliments sur mon cul, à un paquet d'insultes le temps qu'il se déchaîne. Il pense, après m'avoir fécondé, devoir se les faire pardonner : je lui explique que c'est excitant et qu'il n'y a pas de problème. Il remplace alors sa bite par deux doigts, se place à mes côtés et me dis de me branler, puis murmure un flot de grossièretés à mon oreille... Ca, ses doigts, et en plus il me fait un téton... je crache très vite, dans la paume qu'il a eu le temps de placer. Je lèche tout, et ensuite les doigts qu'il a joints à sa paume. J'ai évidemment une petite fuite... Après avoir mis une serviette sur les traces de jus, je le rejoins, déjà prêt à dormir... Nous partons en fin d'aprem à la frontière où il a des trucs à acheter, comme de quoi rouler. La soirée se passe tranquillement chez moi, exactement comme la veille dans le canapé puis la chambre.
Dimanche, c'est la même " routine " (mais je ne me plains pas, attention !), jusqu'à la sieste-sodo, mais au réveil nous décidons d'une balade à côté, dans les bois, où il fera plus frais. Au bout d'une petite heure, Mat' annonce un " trop-plein " qui l'empêche de marcher. Je m'arrête, on s'embrasse, je palpe une belle raideur en effet : ça fait un quart d'heure " qu'il bloque sur mon cul "... On trouve un coin bien caché et un tronc effondré : je m'assieds dessus et il sort sa bite ; je le suce jusqu'à ce qu'il me dise qu'il " va me la mettre ". Changement de position : je lui tends mon cul, accoudé au tronc que je chevauche. A ma grande surprise je n'ai pas droit à l'habituelle sodo-lapin, mais il prend son temps, apprécie ma cambrure, joue sur les rythmes et la longueur, me fait bien gueuler à coups de reins brutaux mais espacés, et finalement ressort pour venir me donner sa queue à sucer. Il finit par me dire de me remettre à genoux à ses pieds et se branle sur ma gueule en expirant de bonheur. Pour ma part j'en jute par terre. Il ramasse sur mes joues le plus gros avec son gland et ses doigts et me donne tout à nettoyer. Son tee-shirt sert à la fin de serviette. Il est ravé (il a une mine de gamin le soir de Noël) de ce plan improvisé et de cette grosse faciale. Bien soulagés, nous marchons encore un peu avant de faire demi-tour. Une fois à l'appart, nous reprenons l'enchaînement : apéro, repas, massage, sodo, dodo.
mike
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