Suite à la soirée dans le bar, et à sa conclusion dégoulinante, je passe la journée du lendemain complètement obsédé à l'idée de me faire baiser. Je n'ai absolument aucune concentration sur ce que je fais au boulot, zone sur skype et différents sites web gay, consulte mon téléphone toutes les dix minutes dans l'attente de nouvelles du mec de la veille.
Quand enfin à 15h, je vois son numéro s'afficher sur mon portable, petite tension intestinale : ça me fait de l'effet ! J'ouvre et découvre le message qui accentue encore mon excitation :
"Rendez-vous chez moi, 22h, rien sous ton jean. Après la bouche hier, ce soir je m'occupe de ton trou et de faire de toi un vrai pédé. D'ailleurs, tu vas commencer de ton côté : rase toi la raie et le trou, et nettoie toi bien l'anus de l'intérieur. Débrouille-toi."
Je réponds que je suis impatient, curieux toujours, mais pas du tout effrayé. Quelques instants plus tard, une vibration fend l'air, nouveau sms :
"Tu devrais, je vais te faire devenir accro à la bite, tu vas tellement kiffer que tu pourras plus passer une journée sans rêver de te faire enculer de nouveau."
Je m'empresse de répondre que s'il j'aime comme la veille dans ma bouche, il y a des chances que oui, je devienne accro. J'adore l'aguicher, il n'a clairement pas la moindre idée du fait que je ne sois pas hétéro. Je suis étonné qu'il ne l'ait pas suspecté, étant donné mon application à le pomper fond de gorge la veille. Il était clairement trop obnubilé par le fait de "dévergonder" un hétéro peu farouche.
Après m'être donc préparé et avoir fait le trajet jusqu'à chez lui, je me retrouve devant la porte, quelques minutes avant 22h. Tandis que je patiente, je me demande si je lui annoncerai ou non que je suis "un vrai pédé", et si oui, quand je lui dirai. Je me tire de mes réflexions en me disant que j'aurai l'occasion de sentir le bon moment ou pas. Je sonne à l'heure convenue et le voici l'instant d'après devant moi, torse nu, avec un short de sport légèrement échancré sur les côtés qui lui moule le paquet tout en mettant en évidence son beau cul, que je n'avais pas remarqué jusqu'ici.
Il me fait entrer, la porte est à peine fermée qu'il me roule un patin viril et baveux, plein d'intensité. Je me laisse guider : il m'enlève pull et tee-shirt, défait ma ceinture, me demande d'enlever chaussures et chaussettes. J'emmène mes affaires dans le salon, les pose sur un fauteuil, met les chaussettes en boule lorsqu'il se colle derrière moi pour me faire sentir son barreau. Tout en me prenant par le menton avec une main pour que je tourne la tête vers lui et laisse ma bouche se faire fouiller par sa langue, son autre main presse mon bassin contre sa teub, tendue à faire exploser son short.
"Tu vas faire comme hier, encaisser bien à fond, sans te plaindre, mais dans le cul cette fois". Sans perdre une seconde, il me fait basculer sur le fauteuil, genoux dessus et coudes sur le dossier et entreprend de descendre mon jean. D'un geste preste, il vire son short et attrape une capote sur la table basse, qu'il ouvre et enfile avec habileté. Sans préparation autre qu'un peu de lubrifiant autour de son gland, il commence à exercer une pression sur mon trou, qui résiste, faute d'avoir été au minimum léché ou touché. Alors que d'une main j'essaie de le freiner doucement en appuyant sur sa cuisse, il me la plaque soudainement dans le dos. Alors que je commence à me plaindre, il saisit mes chaussettes en boule et me les fourre dans la bouche. "Pas de plainte, j'ai dis. Je veux t'entendre couiner, comme une salope."
C'est le moment que choisissent mes sphincters pour lâcher devant la pression et c'est dans un énorme râle plaintif et étouffé de ma part que je sens son gros gland me forer les entrailles. Après quelques mouvements, et la douleur passée, je sens sa bite pousser toujours plus loin. Régulièrement, il la ressort entièrement avant de la faire entrer de nouveau, pour continuer de m'ouvrir le cul avec son gland épais. Bientôt, je sens battre ses couilles sur mes fesses. "Je te l'avais dit que tu allais l'avoir jusqu'aux couilles, non ? Dis moi que tu kiffes !"
J'essayais tant bien que mal de parler avec mon bâillon improvisé, mais sans grand succès. On entendait juste mes gémissements et des cris étouffés à chaque claque qu'il déposait avec force sur mes fesses au gré de cette enculade. Après un certain temps de ce régime, j'avais le trou bien ouvert et les fesses rougies, ce qu'il l'enchantait. Il me déplaça jusqu'au sol où je me positionnais à 4 pattes, lui se plaçant derrière moi et me pénétrant aussitôt. Là encore, les fessées ont plu sur mon arrière-train déjà malmené par son gland. Il se gargarisait de plus en plus, au fil de mes gémissements de plaisir, de sa performance, pas seulement pour la performance en elle-même, mais également en lien avec le fait qu'il croyais qu'il allait avoir raison, qu'il allait rendre un petit hétéro accro à la bite comme une salope.
Quelques minutes plus tard, il se lâcha, ravi au fond de sa capote, en m'enculant bien à fond. Alors qu'il se retirait, il m'enleva les chaussettes de la bouche et entama la discussion.
- Alors, content ?
- Oui, ravi, lui lâchai-je dans un souffle.
- C'est que le début !
- Comment ça ?
- Bah clairement, je vois que j'avais raison : t'adore la bite. On dirait que t'as attendu toute ta vie que quelqu'un t'en foute une dans la bouche, dans le cul...à voir comment tu tortillais du cul et comment tu gémissais, je voyais clairement que tu prenais ton pied. Je me trompe ?
Décidant de rester dans mon rôle et mon personnage, je baissais les yeux, à la fois timide et honteux :
- Tu as raison, j'ai adoré...et puis le bâillon, le bras dans le dos...je ne m'y attendais pas, mais j'ai trouvé ça excitant.
- Je m'en doutais, vu comment tu as gobé ma queue hier dans les chiottes, je me suis dit que tu avais du potentiel pour encaisser. Tu sais ce que ça veut dire ?
- Non ?
- Que tu feras une très très bonne salope, tu as encore beaucoup de trucs à apprendre, mais vu comment tu kiffes, tu vas aller loin dans cette direction.
- Des trucs à apprendre ?
- Oui, des expériences à vivre : t'as sucé pour la première fois hier, tu t'es fais enculer jusqu'aux couilles aujourd'hui, et tu adores. C'est bien mais on va aller plus loin, j'ai plein d'idées et t'as pas froid aux yeux. Je suis sûr que dans quelques temps, tu renonceras totalement aux meufs tellement tu prendras ton pied à faire la salope avec les mecs.
Baissant une nouvelle fois les yeux, je comprenais qu'il n'était pas du tout intéressant pour moi de dévoiler la supercherie. Je décidais donc de prolonger ce petit jeu encore un peu. C'est donc en lui léchant les pieds, un nouvel "apprentissage", lui assis comme un pacha dans son canapé, que la soirée s'est terminée tranquillement, pour finir dans son lit, sans sexe, du moins jusqu'à mon réveil...
Max
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