1er Épisode | Épisode précédent
Préparatifs de fin d'année - Jalil
Cette année je suis sur place et de tous je suis celui qui dispose du plus de temps pour le faire. Et puis c'est Ma fête fétiche.
Je m'y prends tôt pour inviter mes militaires des deux côtés de l'atlantique.
Je confirme mon invitation à Don, Chad et Bradley. Par retour de mail, ils me disent qu'ils avaient anticipé et qu'ils seraient en permission la semaine 52 et la première de l'année 2017. Ils me demandent si Jona et François seront là et si j'ai réussi à avoir " mes " chasseurs alpins.
Quand j'appelle à leur base, j'apprends que mon lieutenant est passé Commandant tout comme son collègue. Quand j'arrive à l'avoir il me rassure et me dit qu'il avait fait le nécessaire pour que tous ceux qui nous avaient encadrés puissent venir à ma petite fête. Il avait organisé les tableaux de service en fonctions car il s'était rappelé ma petite déception de n'avoir eu qu'eux trois l'an passé.
Je tempère cette soit disant mauvaise impression en insistant sur le fait qu'ils s'étaient dépensés pour 10. Rires à 1000Km de là, il m'assure que sauf impératifs de dernières minutes ils seront tous les 10 présents. Je les préviens qu'ils auront du " lourd " en face d'eux avec les 3 Navy seal et Jona plus François qui se sont encore améliorés.
Toutes les invitations partent début novembre. Les réponses arrivent quasiment par retour de courrier. J'ai comme l'impression qu'ils s'étaient déjà tous réservés cette date. Mes nouveaux escorts ne pensaient que ce genre de plan n'existait que dans les films pornos. Ils se sont fait détromper par leurs collègues plus anciens dans ma boite.
Marian m'appelle à réception de la sienne. Il me demande si je ne me suis pas trompé avec son frère car après tout il n'a pas encore beaucoup " travaillé " pour moi. Avec moi, pas de discrimination, qu'on ait, beaucoup ou peu, travaillé pour moi c'est pareil. Par contre je le préviens que ce sera ce qu'il a connu jusque-là mais à la puissance 10. Donc je comprendrais si son coté " hétéro " l'empêchait d'être des nôtres. Cris d'Orfraie et assurance qu'il saura faire face avec dignité aux challenges qui se présenteront à lui. Il avait eu Florian (son frère) qui lui avait expliqué que non seulement c'était la touze à ne pas manquer mais que d'y être invité était un privilège et qu'il serait le dernier des cons à ne pas y venir.
Je demande à Kev de convaincre son pote de muscu hyper-membré d'accepter de venir cette année. Il m'appelle 15 jours plus tard pour me dire que c'était bon pour lui aussi.
Ça va être la touze non de l'année mais du siècle si personne ne se dédie.
Sous prétexte d'équiper la maison en taille de gants à fist, je récupère les dimensions nécessaires à la création des bracelets souvenirs.
Encore une bonne occasion pour voir mon vendeur attitré. Rendez-vous pris, alors que je vais pour y aller Jalil me demande de l'emmener.
Temps sec = moto, arrivée place Vendome, rapidement nous quittons nos casques afin de ne pas être pris pour des casseurs, moto noire mat, cuirs noirs et casque noirs...ça peut porter à confusion!
Je passe commande des 99 bracelets en or gris cette année et toujours marqué en face interne de l'année soit " Blockhaus 2017 " pour cette fois. Je confie à mon interlocuteur la liste des noms avec les diamètres nécessaire. Je connais leur discrétion et leur demande de garder cette liste dans mon dossier. Jalil se réveille alors et me dit qu'il comptait participer aussi et demande s'il serait possible d'incruster en face interne (discrétion aussi) une pierre précieuse de la taille correspondant au diamètre du jonc. Il croit se rappeler que dans les pierres non serties il y avait bon nombre de petits diamants qui feraient l'affaire.
Je ne gâche pas de salive à essayer de le dissuader, ce serait peine perdue, il est parfois aussi fantasque et buté que moi !
Le vendeur fait venir alors un de leur maitre joailler pour étudier le projet. Il arrive avec les pierres de jalil, enfin les diamants seulement.
Pour lui c'est tout à fait faisable et dessine rapidement deux projets. Un où la pierre est totalement invisible mais du coup elle sera plus petite que le jonc qui la porte et un autre ou seule la tranche du diamant provoquera une rupture visuelle dans la continuité du jonc, la pierre étant alors parfaitement du même diamètre.
Je laisse Jalil choisir c'est son idée. Il opte pour la deuxième proposition et charge l'homme de l'art de trouver dans tout ça (en montrant le tas de diamant sur le bureau) les pierres les plus qualitatives et de si besoin d'en adapter leurs tailles.
Il demande juste que pour ses amours, la pierre soit assortie aux boucles d'oreille précédemment réalisées soit : le plus pur des diamants blancs pour Enguerrand, un rubis pour Max, une émeraude pour Nathan et un saphir pour Duke. Je suggère alors que s'il y avait un 2ème diamant noir dans sa " collection ", ce serait bien que le sien de bracelet arbore cette pierre. Puis après réflexion, il demande que celui de Côme comporte deux diamants. Je creuserais plus tard !
L'aspect technique de notre venue sur Paris étant réglé, on passe aux choses sérieuses, en l'occurrence de ramonage en règle de la rondelle du vendeur par nos deux bites successivement et en doublé ! C'est la première fois que je fais une double sodo avec Jalil et j'aime. Sa grosse bite bronzée de 22x6 comprime bien ma 20x5, même dans le trou rodé de notre vendeur attitré. Jalil apprécie le fait d'avoir sa queue collée à la mienne et comme je suis dessous, c'est plus lui qui assure le mouvement. Je suis planté au fond et ce sont les passages répétés de son gland d'avant en arrière du mien qui assure l'excitation. C'est tellement efficace que je suis le premier à juter.
On en est à refermer nos cuir que le directeur nous rejoint. Je subodore un système de vidéosurveillance des salons particuliers !!
Jalil lui dit que, dans la mesure du possible il souhaite que mon vendeur s'occupe aussi de lui puisque, dit-il en me regardant, nous avons les même " exigences ". Le directeur comprend et nous assure que nous n'aurions pas mieux avec ses autres collaborateurs.
A sa demande nous le suivons dans son bureau. Il veut m'entretenir sur une demande particulière. Une, et il souligne l'article, de ses très bonnes clientes suisse aurait besoin d'un escort de grand standing pour le WE prochain. Elle le souhaite aussi très " entreprenant " et " puissant " selon ses propres mots.
Je n'y vais pas par 4 chemins et pose les données du problème plus brutalement. Elle désire un grand et musclé jeune homme avec de la classe et un slip bien garni. Et, à ce propos, pense-t-il qu'une queue de 20x 6 serait à même de la satisfaire ? Je verrais bien mon Côme sur le coup.
Il me dit que si en plus il est de type caucasien ce serait l'idéal. Non par discrimination mais en réception il est plus facile de faire illusion si le neveu est de même origine. Quand je décris Côme, mon interlocuteur pense qu'il fera l'affaire. J'appelle direct mon escort et discutons en live entre le prestataire du client et nous-même. Côme est Ok de son côté et il pourra être disponible pour la durée qu'elle souhaite, soit du samedi matin au dimanche soir.
Je discute alors seul du coût de la prestation. Alors que nous sommes déjà sur un montant à 4 chiffres (limite des 5), le directeur me reprend et me dit que pour ses clients, il faut penser grand et qu'à moins de 5 chiffres, ils auront l'impression de se faire une racaille que n'importe quel portier d'hôtel peut leur trouver. Alors que Jalil s'occupe à la lecture de magazines de luxe, nous établissons une grille spéciale " Vendôme ". Le directeur me dit de faire simple et de multiplier par 10 mes tarifs actuels. Quand je fais remarquer que du coup certaines prestations passent la barre des 6 chiffres, il s'amuse de ma réaction. Je m'aperçois que là c'est le niveau encore au-dessus de mes capitaines d'industries. Ses clients laissent, enfin certains chaque année pour plusieurs 100aine de K€ jusqu'à plusieurs millions. C'est sûr qu'un WE à 80K€ c'est une broutille pour eux.
Le directeur me confie que sa cliente lui avait déjà commandé une montre à complication et un torque en or blanc. Ce dernier devant lui être livré si la prestation en valait la peine. Il ajoute que la valeur des deux objets dépasse du double celle de la prestation en elle-même.
Je suis content d'avoir choisi Côme avant de savoir cela.
Quand je discute plus tard avec Jalil et que je lui demande la raison de l'ajout d'un " caillou " à mon cadeau personnel, il me dit qu'il ne voit pas l'intérêt sauf pour les pièces historiques, de garder tout " ça " dans des tiroirs. Et surtout il voulait par ce geste remercier tous mes amis et escorts qui l'ont intégré sans poser de questions. Il ne s'était jamais senti aussi bien dans sa peau que depuis qu'il vit avec nous et parmi eux tous.
Là, Ok, je comprends la démarche.
Il me parle des contrats " Vendôme ". Comme moi, il est content pour Côme. Je suis étonné, je ne pensais pas qu'il en était aussi proche.
Il rougit conscient de s'être coupé. Je l'attrape dans mes bras, lui roule un méga patin et l'assure que ça me fait plaisir s'ils se rapprochent tous les deux. Comme je m'étonne car il n'est pas dans le " physique " de Jona ou François, il m'assure que le courant passe bien entre eux mais que ce n'est pas au point d'abandonner la triplette. C'est juste un partenaire privilégié auprès duquel il trouve, comme avec moi, une totale détente, c'est le " super grand frère + " qu'il aurait aimé avoir !
Je lui dis de rester discret concernant ce qu'il a entendu dans le bureau du joailler.
Côme : retour de prestation
Après le coup de fil de Sasha, je me pose quelques questions. C'est la première fois qu'il m'appelle avant de décider d'une prestation. Quand je le revois il me précise juste d'être nickel et de me rappeler la bonne éducation que j'ai reçue. Il supervise mon dressing et je remarque qu'il ne me fait emporter que le top. Costumes sur mesure, chemise blanches et cravates bleues, smoking et même un spencer que je ré- enfile avant de partir, n'ayant jamais eu à le porter.
Sans mentir, j'ai une fière allure dedans !! Il souligne mes épaules larges et mon bassin étroit. J'espère que la cliente me préférera avec plutôt qu'en smoking !
Le trajet pour Paris en train 1ère classe me permet de bosser mes cours sur mon portable. A l'arrivée je prends un taxi comme me l'a recommandé Sasha (tous les frais sont à la charge du client). Quand je décline mon identité à l'accueil du palace, je suis immédiatement pris en charge et conduit à la suite de ma " parente ". Le groom (1m80, la vingtaine bo-gosse) me fait pénétrer dans ma chambre par une entrée directe. Alors qu'il défait mon bagage. Il m'explique les différentes portes. Celle de ma salle de bain particulière, aussi grande que ma chambre chez mes parents !!, avec baignoire grande pour 2 et douche dimensionnée pareillement. Il m'ouvre un des tiroirs et me montre le choix de préservatifs et de gels. Retour dans la chambre, le lit doit bien faire dans les 2m au carré et il m'indique une double porte comme celle donnant dans le salon de la suite.
Il part en me disant d'attendre que ma....parente ouvre elle-même ma porte et en emmenant mes chemises blanches pour les défroisser.
Ça me donne l'idée de me rafraichir aussi et passe sous la douche. Je suis en train de laisser couler l'eau sur mon corps quand la porte s'ouvre et que je suis rejoint par, je pense, ma cliente.
Description : femme blonde de 40-50ans très entretenu et très refaite surement !! Dans les 1m65 gros seins qui tiennent tout seuls (d'où l'idée de " refaite ") et cul rebondit sans être callipyge. Dans l'ensemble aucune vulgarité même si elle m'apparait nue et loin d'être dans son premier jour !
Elle entre sous le faisceau d'eau et laisse cette dernière mouiller ses cheveux mi-longs.
Je n'hésite pas, après tout si elle m'a rejoint ce n'est pas pour que je reste de marbre. Je pose mes mains sur son corps. Je suis surpris de trouver du muscle ferme sous cette peau retendue. Je m'occupe de passer mes mains sur toute sa peau pour la savonner. Elle est épilée totale ! Ma main épouse le contour de son sexe et j'enfile mon majeur dedans. Elle frissonne alors que nous sommes inondés d'eau chaude. Soudain elle retourne la situation et commence à s'occuper de mon corps. Le fait que je me mette à bander doit lui plaire ! Elle doit utiliser ses deux mains pour entourer ma bite. J'en suis à deux doigts dans sa chatte tout en maintenant la pression sur son clito. J'avance mon autre main côté pile. Elle ne m'arrête pas dans ma progression entre ses fesses. Le savon me sert de lubrifiant et d'autorité j'enfile 2 doigts dans cet autre antre du plaisir.
J'obtiens enfin une réaction visible. Un halètement me signale que mon " travail " commence à porter ses fruits. Je me redresse et soulève ma cliente. Je l'ai littéralement dans les mains ! Mes doigts la pénètrent plus, ou plutôt la pesanteur fait que ses trous s'ouvrent plus à l'intromission de mes doigts.
Je change de position pour pouvoir attraper un préso. Bras gauche passé entre ses jambes, 3 doigts de cette main plantée dans son anus, je la porte (elle ne doit pas dépasser 50Kg !) pour pouvoir atteindre les " emballages ". D'une main je me kpote et quand je lui demande où je la lui enfile, elle me surprend en me proposant sa rondelle en premier.
Je m'adosse au meuble lavabo et la soulève au-dessus de ma queue pour pouvoir la planter. Elle vient poser ses pieds de part et d'autre de mon bassin et se sert de ce support pour, ses bras accrochés à mon cou, se limer le cul sur mon 20x6.
Je vois que ce n'est pas une pucelle de ce trou par la facilité avec laquelle ma queue est arrivée jusqu'au fond de son boyau. Il n'empêche que le petit coup de rein histoire de m'assurer que tout est rentré, lui arrache un gémissement supplémentaire. Je la laisse s'habituer à mes dimensions puis je prends la direction des opérations.
Je me décolle du meuble. Ses jambes viennent me ceinturer la taille et je peux nous déplacer jusqu'au bureau de ma chambre. Je la pose sur le plateau et, mes mains accrochées à ses cuisses, je lui laboure la rondelle façon " garçon d'écurie ". Je lui fais sentir chaque mm de ma grosse bite prenant même plaisir à sortir complètement pour mieux lui défoncer l'oignon. Plusieurs fois j'attends même qu'elle me supplie pour rentre à nouveau ma queue en elle. Quand je me sens prêt à jouir, je lui enfonce mes deux pouces dans le vagin et l'envoi délirer en haute altitude (le 7ème ciel).
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!