L'été arrivant enfin un pote me propose de passer deux semaines de vacances chez lui, ses parents laissant leur villa dans le sud, d'où il est originaire, vide. J'avoue que l'idée de passer deux semaines au soleil, entre potes ne me déplait, et puis c'est un bon pote, j'accepte volontiers !
Le moment venu, on prend le train ensemble, 3h de train et un peu de voiture plus loin nous voici arrivés, je ne suis pas déçu, un mas provençal, avec une putain terrasse et une grande piscine !
Il me montre le chemin de sa chambre, pour éviter de déranger une autre chambre on partagera son lit, un grand lit double, on n'aura pas trop de problèmes.
Une petite présentation s'impose, moi c'est Maxime, 21 ans, 1m75 et 60kg, brun, barbu et plutôt poilu, assez athlétique, mais ma particularité se loge plus bas, avec un bon 22x7 dont je suis assez fier, gay et 100% actif jusqu'à maintenant.
Mon pote, c'est Adrien, 1m85, très bien gaulé, le con fait de la muscu depuis quelques années, brun aussi, avec des yeux vert, assez imberbe hormis une bonne ligne de poils partant de...en bas, hein, et remontant jusqu'au milieu de son torse, et un cul dans lequel j'adorerais planter mes dents. Un fantasme ambulant selon moi mais pas touche ! Depuis notre entrée à la fac on ne s'est plus quitté, on est comme chien et chat. Il est au courant pour moi, je l'ai vu quelques fois avec des meufs mais ai toujours entretenu quelques doutes à son sujet...
A peine les valises montées qu'on se fout en maillot, moi dans sa chambre, lui dans la salle de bain et hop, 5 minutes plus tard dans la floooote !!
A peine entré dans l'eau je le vois apparaitre, manquant la crise cardiaque de peu, il a un slip de bain bleu clair, un appel au viol, son cul bien mis en valeur, et l'avant n'est pas moins intéressant....je dois d'ailleurs me calmer pour le pas tendre mon short...
Il avance doucement, prétextant que l'eau était froide, il me rejoint, de l'eau jusqu'à la taille, dieu ce qu'il est beau ! Plus baraqué encore que la dernière fois que je l'ai vu torse poil, je meurs, définitivement.
Bon, quand monsieur eut fini de gouter l'eau, il a daigné se baigner avec moi, enfin on a passé notre temps à se couler et à s'arroser comme deux gosses, enfin, deux mecs quoi.
On sort de l'eau 2h plus tard, un peu mort, il est vers 16h30h, on se pose sur les transats, histoire de parfaire notre bronzage, vite je le voie se tartiner de crème solaire, pas con. Il s'allonge et me tend le tube, " tu te sens pas de m'en mettre dans le dos stp ? Je vais cramer sinon ". Pas de problème, je me mets à califourchon au-dessus de lui, mes mains passant dans son dos, putain ce qu'il est baraque, concentré sur son dos je sens un truc, en bas...le con se frotte le cul contre mon chibre, sans m'en rendre compte je colle mon bassin contre ses fesses, autant vous dire qu'il doit bien sentir le contenu de mon maillot mais vu les ondulations de bassin qu'il fait, ça a l'air de lui plaire. Je rejoigne mon transat vite fait, aussi pour cacher la gaule qui commence à déformer mon maillot, il me regarde avec un petit sourire en coin, le salaud sait ce qu'il a déclenché.
Ce n'était pas la première fois il me fait triquer en connaissance de cause, c'est son p'tit jeu. Moi je tente de me calmer et de faire redescendre la grosse barre qui se dresse entre mes jambes. Au bout de 10-15 minutes ça a refroidi et je commence même à somnoler
Je me réveille en sursaut, rien de bien grave, juste mon idiot de pote qui vient de faire une bombe dans la piscine, j'émerge et vais le rejoindre vite fais, le jour baisse doucement. On reste dans l'eau une petite heure, on commande une pizza, histoire de calmer la dalle qui nous tiraille. Le temps de se faire livrer, de bouffer, de descendre la bouteille de vin qu'Adrien a ramené qu'il est pas loin de 22h, il fait nuit.
_ " Ça te branche un p'tit bain de minuit ? "
_ " ouais enfin il n'est pas minuit... "
_ " Rhaa ça va tu m'as compris "
Il allume l'éclairage de la piscine, trop classe ! Il me rejoint vite fait dans l'eau qui parait encore plus chaude. Il s'approche de moi et en s'attaquant au noeud qui tient mon short il me sort
_ " tu sais, un bain de minuit, ça se prend à poil normalement "
_ " t'es sérieux ? "
_ " j'ai l'air de déconner ? " sur ces paroles je sens mon short glisser le long de mes jambes
Il prend mes mains et les pose sur ses hanches. Son slibard ne met longtemps à descendre. Sa bouche trouvant la mienne, un baiser sensuel mais passionné, comme deux amants se retrouvant après des mois de séparation. Mes mains toujours sur ses hanches, il s'avance, colle son corps au mien, une main sur mon épaule, l'autre dans mes cheveux. Il mène la danse, la langue se fait plus intrusive contre la mienne, plus affamée. Autant vous dire que ce qui est en train de se passer me chauffe à blanc, et ça ma queue ne met pas longtemps à le signaler à mon pote en venant se caler, bien raide, entre ses jambes, ce qui au vue des va et viens qu'il fait dessus, ne semble pas le déranger au contraire, je le sens triquer contre mes abdos, tout en continuant de m'embrasser. Le pied !
Il se décolle, me lance un regard que je ne lui connais pas et ça sent le cul ! Il laisse mon épaule et glisse sa main jusqu'à mes couilles, qu'il soupèse avec un sourire satisfait, il les fait bien rouler entre ses doigts, me faisant frissonner au passage, il les lâche pour passer ses doigts à la base de mon chibre, son regard se change en un mélange d'excitation et d'interrogation, il passe ses doigts tout le long jusqu'à arriver enfin à mon gland. Il me fixe, étonné et me lâche
_ " mec t'as un monstre "
_ " et maintenant vas falloir assurer ! " Je ne sais pas exactement ce qui me prends de lui dire ça mais à peine je finis ma phrase qu'il me fait asseoir sur le bord de la piscine, je sens l'air frais sur mon torse et mon gland humide. Il s'approche de moi, passe lentement ses mains sur mes cuisses tout en fixant ma queue du regard, il approche sa bouche et passe le bout de sa langue sur mes couilles, il joue bien avec, du bout de la langue ou en pleine bouche, il les fait rouler, les lèche, les gobe, pour mon plus grand plaisir, tout en tenant en main mon manche plus raide que jamais. Il remonte lentement le long de ma hampe jusque sur mon frein sur lequel il insiste, passant sa langue autour de mon gros gland avant de redescendre et de répéter son p'tit jeu 4-5 fois. Au bout de la 5ème fois je prends les choses en mains. Passant ma main dans ses cheveux, comme un geste d'encouragement, mais non. Lorsqu'il va pour redescendre ma main le retient par les cheveux, je lui bloque la tête contre ma cuisse, et lui tape mon chibre bien raide contre la joue
_ " Fini de s'amuser mon pote ! Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche ! "
Je ne me suis jamais vu lui dire ça mais là il m'excite grave et j'ai envie de profiter de lui. Je lui prends la tête et il ouvre grand pour me pomper avec une certaine avidité, il s'en sort même rudement bien, tentant de prendre ma queue entièrement mais sans succès.
Ça doit bien faire 20 minutes qu'il me fait reluire le manche et ça commence sérieusement à monter je décide donc d'alterner, il s'assoit à côté de moi, m'offrant sa queue, 17cm à vue de nez, assez épaisse, bien sympa, j'alterne branlette et pipe, il gémit pas mal le salaud. Je lui dis de se mettre à 4 pattes sur le bord. Je repasse dans l'eau, son cul musclé est pile à la hauteur de ma bouche, m'offrant sa raie poilue et ses deux bonnes boules, je vais me régaler ! Je lui inflige le même traitement, ma langue jouant avec ses couilles et remontant le long de sa raie, et venant embrasser, mordiller ce cul de ouf dont je vais enfin pouvoir profiter. Je darde ma langue et pars à la recherche de sa rondelle, je ne mets évidemment pas bien longtemps à la trouver et un grognement de sa part m'indique que je suis bien arrivé à destination. Je lui bouffe littéralement la rondelle alternant les rythme il se détend bien et je ne manque pas de lui enfoncer ma langue pour constater de son degrés d'ouverture. Ça se présente très bien... Bien lubrifié je glisse un doigt en lui, doigt qui est vite aspiré, le deuxième rencontre un peu plus les bords et c'est le troisième qui lui force l'entrée, je fais des petits vas et viens, jouant un peu avec sa prostate, il gueule comme un condamné à mort mais, c'était de plaisir. Il se relève, je sors de la flotte, il me prend par main, m'embrasse et m'entraine vers un transat, il prend une capote et un flacon de lub, le petit con a prévu son coup, il m'encapuchonne d'une main, m'enduit bien la queue de lub, s'en fout une bonne dose dans le fion et se met en levrette, le cul bien haut et cambré et me lance comme une plainte
_ " vas-y putain, j'en ai trop envie ! "
Ni une ni deux je place mon gland contre son trou, je n'ai absolument pas débandé depuis tout à l'heure, et m'enfonce doucement en lui, peu à peu, je sens son cul s'ouvrir, lentement je pousse mes couilles contre son cul, je le sens se relâcher à ce contact. J'y vais doucement le temps qu'il s'habitue, mais j'ai de plus en plus de mal à me contrôler, ses épaules larges, ses haches étroites, ses putain de biceps, il est massif, il est puissant mais il est à moi ! bien planté au fond de son cul étroit je vais le démonter à coup de mon chibre hors norme. L'idée me plait bien.
J'accélère le mouvement son cul enserre bien ma pine, un délice, je fais claquer mes couilles à chaque coup, j'y prends un malin plaisir, accélérant encore, plus je le démonte, le lime et plus il en redemande.
P'tit changement de position, lui sur le dos, ses jambes sur mes épaules, je me replante en lui, ça rentre comme dans du beurre, je vois ses gros pecs bouger au rythme de mes coups de butoir, qu'est ce qu'il est bandant sérieux ! Je me penche plusieurs fois pour l'embrasser, nos langues se cherchant, s'effleurant, s'enlaçant. Il passe sa main sur mon torse, titillant mes tétons, testant la dureté de mes pecs bombés, glissant ses mains dans mes poils, il a toujours bien kiffé mon torse poilu, il m'avait avoué plusieurs fois qu'il aurait bien voulu être poilu sur cette zone. Vas y fait toi plaiz mon pote touche, ce soir le mâle c'est moi, c'est moi qui vais te mettre la mine, tu la sens bien passer ma grosse tige pas vrai ! Et vu comment tu gueules pourras pas dire que tu la kiffes pas.
Je le remets en levrette, lui appuyant sur la tête, le cul bien haut, encore ouvert, je l'emmanche d'un coup, la gueule toujours coincée contre le transat et le bourrine comme jamais, je lui défonce le derche, bien profond, il me que je suis un batard mais qu'il en veut encore, que je suis un salaud mais que j'ai une bonne bite et plein délire. Et puis tout s'arrête, son cul comprime littéralement ma teub, il se met à trembler, sa rondelle palpite. Je vois une bonne dose de jute couler de sa bite et atterrir sur le transat. Il a joui, mais je suis sûr d'un truc, c'est qu'il a bien joui ! Je décule tout doucement (c'était quand même mon pote...), vire la capote et approche ma queue, à bloc, de son visage, il me suce et m'insiste bien sur le gland, ma jute monte vite, je sors mon gland dans sa bouche et lui largue 6 beaux jets de foutre bien épais, une partie par terre, une partie sur son torse et une bonne partie bien fichée dans les poils drus de sa barbe. Il me regarde avec un sourire jusqu'aux oreilles.
On remballe le matos et direct à la douche, histoire d'effacer les traces de jute et de sueur, on s'amuse à se savonner l'un l'autre et après ça au lit ! À 3h du matin et les couilles bien vidées...
Y'a une suite...
IlFornicatore
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