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Depuis trois jours, je n'avais pas eu de nouvelles des trois blacks. Avec Pascal, on avait fait le tour très rapide de nos finances et nous nous sommes rendu compte qu'il nous était impossible de trouver 8 000 euros pour rembourser la dette à Mourad. Pas question de taper les parents, ils flaireraient l'arnaque et nous compliqueraient l'existence.
J'ai interrogé Pascal pour savoir comment il avait pu se foutre dans un pétrin pareil. Il m'a expliqué qu'il avait joué, gagné un peu au début puis perdu énormément par la suite.
Mourad lui a proposé de dealer pour lui mais il a refusé, c'est pour ça qu'il m'a enlevé, il voulait le faire céder. Il s'en voulait d'avoir résisté car, du coup, j'allais devoir me prostituer. Je n'osais pas lui dire que j'en avais envie, j'avais trop kiffé le plan avec les trois mecs, j'attendais la prochaine fois.
Le lendemain, mon téléphone a sonné, c'était Mourad :
- " T'es en bas de chez toi dans un quart d'heure, tu mets rien sous ton jeans ! "
Il a raccroché avant que j'aie le temps de réagir. Je me suis préparé, je suis descendu et j'ai attendu. Une vieille camionnette blanche est arrivée, elle s'est arrêtée à ma hauteur, la porte latérale s'est ouverte, j'ai vu Mohammed au volant qui m'a fait signe de monter. Il a redémarré avant que j'aie eu le temps de complètement fermer la porte, j'ai perdu l'équilibre, je suis tombé sur le dos sur un vieux matelas, Mohammed riait et m'a dit :
- " Ben voilà, t'as déjà tout compris, c'est ta place ! Fous-toi à poil."
On a roulé une petite demi-heure, puis il s'est garé, il est descendu puis a ouvert la porte latérale, il avait déjà la bite à la main et m'a dit :
- " Couche-toi sur le ventre, Mourad m'a dit de te préparer, de t'ouvrir mais pas de te remplir. "
Il m'a craché sur le trou, s'est couché sur moi et m'a pénétré d'un coup, j'ai un peu gueulé de douleur puis j'ai commencé à kiffer et à gémir :
- " C'est bien, t'encaisse bien, faudrait que tu gémisses un peu plus fort pour montrer que tu prends ton pied et que t'es une vraie salope. "
J'ai obéi, il m'a baisé en me donnant des grands coups de reins et en s'enfonçant très profondément en moi, c'était super bon. Au bout de 10 minutes, il s'est retiré, m'a attrapé par les cheveux, a dirigé ma bouche vers sa bite, j'ai gobé le gland dur, mouillé et bouillant, il a craché 6 gros jets que j'ai avalé avant de lui nettoyer le matos. Il m'a félicité, a remonté son pantalon, a repris le volant et on a continué à rouler quelques minutes.
Il s'est garé derrière un chantier, au pied de grands immeubles. La porte s'est ouverte, Mourad est apparu :
- " Salut ma gagneuse. Ta vidéo a fait kiffer pas mal de mecs, j'en ai convoqué une dizaine pour te baiser. Ils sont tous biens chauds et très bien montés, tu vas leur donner du plaisir avec ta bouche et ta chatte. "
Tout en disant ça, avec Mohammed, il installait des draps sur les parois de la camionnette, un pack d'eau et des serviettes et des petites cam bien dissimulées.
Pour la première fois, je me suis vraiment senti pute. Les mecs entraient, ils baissaient leur pantalon ou me demandaient de le faire, certains ne me parlaient même pas et se contentaient juste d'ouvrir leur braguette pour sortir leur engin. J'ai sucé toutes les bites, j'ai gobé des couilles, mon cul a été fessé, écarté, doigté, bouffé, mon trou a été léché, a reçu des crachats, a été limé avec deux, trois ou quatre doigts. J'ai été pris couché sur le ventre, sur le dos, sur un côté ou sur un autre, en levrette, à quatre pattes, debout, dos à la cloison et les jambes relevées. J'ai dû m'empaler sur des queues grosses, longues et bien raides. J'ai été pris en double pénétration par deux beurs puis par deux blacks. Enfin, j'ai été rempli et souillé par des litres de sperme, j'en avais plein la chatte, ça dégoulinait sur mes cuisses, j'en ai avalé, j'ai été arrosé partout, j'en avais des cheveux jusqu'aux cuisses, sur le ventre et le dos.
J'ai presque honte de le dire mais j'ai adoré ! J'ai eu un grand nombre d'orgasmes, les clients kiffaient à chaque fois et l'exprimaient en me traitant de salope, de cave à jus, tous semblaient dire qu'ils en avaient pour leur fric... Plus ils m'humiliaient, plus je kiffais !
J'ai fini par perdre la notion du temps mais j'ai compté 26 passes. J'avais commencé vers 18h, Mourad m'a ramené chez moi à deux heures du mat.
Il m'a félicité en me disant que j'avais bien commencé à rembourser la dette de Pascal. Il m'a demandé de le sucer, j'étais crevé mais je lui ai quand même fait une pipe démente jusqu'à ce qu'il me crache tout son jus dans la bouche. Il m'a dit, qu'avec ses potes, ils allaient parler de moi et que j'allais vite devenir la plus grosse salope de la cité. Dans l'état où j'étais, j'ai pris ça comme un compliment !
Arrivé à l'appart, j'ai voulu courir dans la douche avant que Pascal me voit, raté, il m'attendait et, à sa tête, j'ai compris que je n'étais pas beau à voir. Je me suis rué dans la salle de bains, je me suis regardé dans la glace, une horreur ! Les cheveux collés par le sperme, j'en avais partout qui avait séché sur le visage, mon t-shirt avait des auréoles sur le torse et le ventre. J'ai enlevé mon jeans, il avait une grosse tâche aux fesses. Je n'ai jamais pris une douche aussi longue ! N'empêche, je me remémorais la soirée et je bandais et je me suis branlé, j'avais vraiment aimé ça, quelque part, ça me terrifiait mais c'était plus fort que moi !
Quelques jours après, j'ai reçu un mail de Mourad : " Salut ma gagneuse. Depuis l'autre soir, on se branle fort dans la cité en parlant de tes exploits. T'es la meilleure ! Je veux te faire faire une suite et, si elle est aussi bonne, je te fous la paix !"
Mourad m'a rappelé le surlendemain pour la soirée. Mohammed est venu me chercher en bas de chez moi, on est remonté dans la voiture, Mourad voulait me voir. Arrivés chez lui, il m'a fait assoir sur le canapé et m'a payé un verre et m'a parlé :
- " T'es la meilleure pute que j'aie fait travailler depuis longtemps. La vidéo de l'autre soir a fait un malheur ! Avec ça, t'as remboursé la dette de ton connard de frère. Tu peux maintenant temps de penser un peu à toi. Je peux t'aider si tu veux ! "
- " Je sais pas trop Mourad, c'est compliqué comme situation. "
- " Arrête ! t'aime te faire baiser, ça se voit. Tu peux te faire un max de fric avec ton cul, pourquoi t'hésites ? "
- " C'est quoi ton plan ? "
- " Je t'installe dans un de mes appart, je t'envoie des clients, tu leur vides les couilles et on partage le fric. Bon, bien sûr, ton bâtard de frère peut venir te baiser quand il veut. C'est pareil pour nous trois et voilà, tout le monde est content. T'en dis quoi ? "
Là, j'ai pris peur, je ne me voyais pas devenir la pute de Mourad, il est connu pour pleins de trafics, il est parfois mis en garde à vue et a fait un peu de taule, ça m'a paru trop risqué. Je lui ai dit que je n'étais pas intéressé, j'ai vu que Mourad n'appréciait pas. Il s'est adressé à Djibril :
- " Dégage-le d'ici, il me fait chier et perdre mon temps avec ses manières de gonzesse. Les putes, faut pas leur parler, faut juste les remplir."
Il s'est tourné vers moi et, d'un ton sec, m'a lancé :
- " Crois pas que t'en aies fini avec moi, si je t'appelle, t'as pas le choix, tu te ramènes et tu me tends ton cul de pute. Là, tu la joues rebelle mais je suis sûr que dans un mois au plus, tu me contacteras pour goûter à mon zob et à ceux de mes potes, t'es accro et c'est pas ton frangin qui, tout seul, va te suffire."
Je suis reparti sans rien dire mais j'étais complètement déstabilisé par ce que Mourad venait de me dire. Pascal m'a accueilli, je lui ai tout expliqué, il était vraiment vénère mais que pouvait-on faire ?
Pendant les semaines qui ont suivi, j'ai tremblé dès que mon téléphone sonnait et puis je suis passé à autre chose. La vie a repris son cours normal Mourad et ses potes sont sortis de nos vies. Je suis redevenu simplement l'amant de mon frère. J'en étais heureux mais, bien vite, comme Mourad me l'avait prédit, sa grosse bite et les plans trashs me manquaient de plus en plus...
J'ai tenu un peu plus d'un an. J'ai appris que la police avait fait une descente dans la cité de Mourad, je me suis servi de ça pour l'appeler et prendre de ses nouvelles. Bien sûr, il s'est foutu de ma gueule en me disant qu'il savait très bien pourquoi j'appelais, que même à travers le téléphone, il pouvait sentir mon odeur de salope en manque. Il m'a ensuite demandé combien de bites je voulais me prendre. Comme il m'avait bien gavé avec ses remarques, j'ai répondu : " Pourquoi, t'as peur de plus savoir faire tout seul ? Faut que tes potes te la tiennent ? ". Il a raccroché, j'ai aussitôt regretté cette remarque !
Un quart d'heure après, il défonçait ma porte, il m'a arraché mes fringues, m'a collé deux baffes qui m'ont fait voler sur la table de la cuisine et là, m'a baisé de toutes ses forces avec ses 21 par 6. J'ai morflé mais quel kiff, il m'a dosé la gueule et la chatte puis s'est rhabillé. En partant, il m'a dit :
- " Tu me manques encore une fois de respect, je rameute tous les clébards de la cité pour que la chienne que t'es les purge. Sinon, t'es toujours aussi bonne et chaude. On se rappelle, moi quand je veux me vider et toi quand tu veux te faire remplir. "
Depuis, on se voit de temps en temps, mais ça, Pascal ne le sait pas...
Dylan
Autres histoires de l'auteur : La pute de mon frère