L'année dernière, suite à un désistement de dernière minute, des amis m'ont proposé de les remplacer pour une semaine de vacances à la campagne dans un gîte rural.
Lors d'une promenade par les petites routes, je me suis retrouvé avec un problème sur mon vélo. Un agriculteur qui sortait de son champ, sur son tracteur, s'est arrêté pour m'aider. Il fallait une clé de 10 et il a proposé d'aller à la ferme.
Un bel homme bien charpenté, vigoureux, agréable, pas timide du tout, le genre de type qui me plait. Avant de remonter sur son tracteur, pour pisser, il s'est à peine tourné et j'ai vu sa queue. Le salaud, il en avait une belle. Ca m'a excité. Je pense qu'il s'en est rendu compte.
La réparation du vélo faite, nous avons sympathisé et il m'a proposé de visiter son exploitation tout en continuant son travail. Nous nous sommes dirigés vers son élevage de porcs à proximité de la ferme.
Rentrés dans le logement agricole, il est allé chercher le verrat pour la saillie d'une truie. J'avais hâte de voir ça.
Lorsque le verrat a grimpé dessus, l'agriculteur lui a saisi la tige pour l'introduire dans la fente en feu de la truie (pour gagner du temps, m'a-t-il dit).
J'ai bandé immédiatement en voyant tout ça. Il s'en est rendu compte. Il les a laissés faire leur affaire et s'est collé à moi en riant, m'a tâté la braguette en me disant:
" Ca te fait de l'effet, t'as vu la longueur qu'il lui a mis. Et elle aime ça "
" La paire de couilles qu'il a, le mâle. Il doit bien juter." lui ai-je répondu
" Les mecs aiment bien aussi en avoir une bonne longueur dans le cul ?"
Trop excité, je lui ai répondu, pour voir s'il allait accrocher:
" J'ai déjà essayé avec un copain, c'est excellent"
Ravi de ma réponse, il s'est collé derrière moi, a passé sa main sur mon short pour me tâter les fesses.
" Tu sais que t'as un beau p'tit cul"
Trop content de sa réaction, j'ai baissé mon short pour lui enlever le moindre doute, j'avais trop envie. Il ne s'est pas fait prier, a défait sa braguette, sorti sa bite déjà raide et a craché dessus pour la lubrifier.
J'ai craché moi aussi pour pouvoir me doigter le petit trou.
Il s'est positionné pour me caler son gland face à mon petit trou...
Mais j'avais le cul trop serré, il a vite compris que ça ne passerait pas. Il ne s'est pas démonté, m'a saisi la bite pour me branler et m'a dit:
" Laisses moi faire, je vais te juter sur le trou"
et a commencé à coulisser sa queue raide comme du bois entre mes fesses. Ah, le salaud, il était monté comme les mecs des revues porno.
Son gland forçait quand même ma rondelle de temps en temps. Trop excité par ce qui se passait devant moi et le fait de sentir sa queue essayer de me pénétrer, j'ai vite jouis et j'ai senti à mon tour plusieurs décharges de sperme éclater sur mon trou et qui ont coulé ensuite sur mes cuisses.
" Ah, putain, ça fait du bien. Tu m'as donné la trique, je pouvais plus tenir" m'a-t-il dit
" Dommage que t'as pas pu m'enculer, j'aurais bien aimé. "
" J'ai vu que ça passerais pas."
" C'est con, si j'avais eu du gel ...."
" Reviens demain à la même heure, j'aurai sans doute une autre saillie à faire. Mais prépare ton cul car demain, je t'encules."
" D'accord".
On a rigolé tous les deux.
On a remmené le verrat dans sa case. Toutes les odeurs m'importaient peu.
On est ressorti du bâtiment agricole, je rebandais déjà. Et j'ai l'impression que lui aussi....
Le lendemain, je me suis bien doigté le cul et j'ai mis du gel. J'étais là, comme prévu, un peu en avance. Il a conduit le verrat vers une autre truie en chaleur. Il me dit en même temps:
" T'es prêt. J'ai une de ces trique."
Il les a laissés copuler et m'a rejoint, s'est mis derrière moi, a baissé cette fois ci son pantalon.
Avec le gel que j'avais mis, son sexe archi raide et épais a vite glissé vers mon trou. Il m'a ouvert la rondelle en peu de temps et j'ai senti sa tige rentrer en moi. J'ai commencé à gémir et il m'a dit, fier de m'avoir introduit son sexe en peu de temps:
" T'en avais trop envie toi aussi "
Je n'ai pas répondu, je profitais trop. J'ai tendu mon cul pour qu'il me baise bien.
Il a continué à glisser en moi pour me la mettre en entier. Heureusement que je m'étais doigté avant. C'était un autre gabarit que la bite de mon copain. J'ai senti ses couilles arriver en butée. Mais qu'est ce que c'était bon.
En moins de deux, comme par enchantement, il me l'avait logée dans le cul et il me coulissait. J'avais la bite raide, à la limite de jouir.
" C'est trop bon, baise moi à fond, ta bite est trop bonne "
" T'es un chaud du cul, toi "
Je me suis accroché aux planches des cloisons de la porcherie pendant qu'il me tringlait à fond.
Ca a duré tant que le verrat a sailli la truie. Quand il a vu que le verrat allait se retirer, il m'a donné 3 ou 4 coups de bite un peu plus forts et m'a juté dans le cul. J'ai jouis en même temps que lui.
Quand il s'est retiré, il avait encore une goutte de sperme à sortir. Il a remis son pantalon et est retourné vite fait rentrer son verrat dans sa case.
Du sperme sortait de mon trou bien ouvert. Je me suis essuyé. Je ne m'étais jamais fait démonter le cul par une queue de cette taille. J'étais même étonné que mon cul s'était dilaté à ce point là.
Avant de sortir de la porcherie, il a passé sa main sur mes cuisses pour enlever du sperme qui avait coulé.
" Alors, t'as bien aimé ma saillie ?"
" La meilleure de mes vacances "
Lorsque je suis remonté sur mon vélo, j'avais le cul un peu en compote mais j'étais heureux.
Je suis revenu le voir presque tous les jours. Nous n'avions plus besoin de prétexte. Il y même un jour ou il m'a baisé le matin et je suis revenu l'après midi.
Si mon histoire vous a plus, vous pouvez m'écrire, Merci
Caramel
caramel35@orange.fr
Autres histoires de l'auteur : Les petits pains au chocolat | Bar bien chaud | Soirée torride | Aire de repos | Petite visite au sauna | Arrêt imprévu | Camping cariste | Vacances à la campagne | En attendant mon train | Fin de stage | Le ciné du lundi | Panne de voiture | Une visite au club près des halles