Pour faire plaisir à Mike, un lecteur de Cyrillo, je raconte l'histoire "côté actif "
J'ai eu une semaine bien chargée. Même pas eu le temps de baiser. D'habitude, pour me soulager, je vais dans un bar gay et j'arrive toujours à chauffer un petit mec en manque de bite. J'avais un rencard en début d'aprèm pas loin de la gare et le mec n'est pas venu. Encore un mytho. Maintenant, j'ai envie. En arrivant chez moi, je vais être obligé d'aller sur un site pour m'en faire un ce soir.
Je m'appelle Fabien, suis assez bien gaulé, allure de rugbyman, 1.80m, un peu plus de 90 kilos de muscles, assez poilu, bien doté par la nature niveau sexe. En dehors de mon boulot assez prenant, je fais régulièrement de la musculation. Généralement, je n'ai pas beaucoup de mal à me trouver un petit cul bien chaud. Au boulot, personne ne sait que je farci des petits culs de mecs. J'ai le parfait profil du mec hétéro, très mâle, bien viril.
Me voilà ce vendredi soir là dans le train départ Paris direction Rennes. Tout le monde a presque fini de s'installer et le train va partir dans quelques instants. Enfin assis. Je regarde autour de moi et j'ai cru voir un petit jeune à deux rangs devant moi, qui me fait face, fixer les yeux sur moi...hum. Attendons pour être sûr.
Je lis un journal gratuit que j'ai récupéré dans le métro et, d'un coup, regarde dans sa direction. C'est sûr, il me mate. Il a détourné les yeux mais trop tard, j'ai vu son manège. Il est un peu gêné et se replonge vite fait sur son portable, un peu en panique. Il ne sait pas si je vais répondre à ses envies en bien ou en mal. Peut être se rince t'il l'oeil, tout simplement. Je regarde autour de moi, tout le monde est occupé, attendons pour valider ma première impression. .
Il est pas mal foutu, presque 20 ans sans doute, assez mignon, a sûrement un beau petit cul lisse. Putain, il me fait bander, ce petit con. J'en ai déjà tringlé un comme lui il y a peu et il a bien couiné quand je lui ai élargi la rondelle et aussi quand je l'ai sodomisé bien à fond. Ce genre de petits jeunes, quand ils débutent leurs premières relations sexuelles, ont vraiment le feu au cul.
Je suis habillé avec des fringues d'un dépôt d'armée, c'est ça qui doit l'exciter. A moins que ce soit mon style bears ou rugbyman qui l'intéresse. Je reprends mon journal et..... Oui, oui, c'est ça , il me mate.
Je vais le chauffer un peu. Je me lève pour chercher un truc dans mon sac, je ne sais pas quoi, mais il va voir que mon pantalon kaki me moule bien le paquet, que j'ai du matos entre les jambes. Avant de m'asseoir, j'en profite pour me tâter la braguette pour le faire baver. Je passe discrètement ma main sous mon tee shirt pour me pincer un téton et découvrir un peu mon ventre poilu...
Le mec, il n'a rien perdu du spectacle et maintenant il me mate direct, béat, chaud bouillant. As t'il compris que je rentrais dans son petit jeu? Reste à entrer en contact avec lui. Comment faire?
J'espère qu'il ne va pas me chauffer et descendre du train avant moi.
J'écris mon numéro de portable sur mon journal gratuit et je pars vers les toilettes. Pas de chance, il y a plusieurs personnes à téléphoner entre les wagons et ça va être difficile de parler discrètement avec tout ce bruit ambiant.
C'est ce que j'avais pensé, le petit s'est levé pour venir aux toilettes ou faire mine de téléphoner. Il chasse le mâle. Avec moi, il est bien tombé, il va être servi. J'ai trop envie de ramoner un cul ce soir. Ca m'évitera d'aller sur un site de drague et perdre mon temps.
En le croisant, je le regarde bien en face et je lui file mon journal:
" Je te le donne, j'ai fini de le lire. Tu le veux."
En état d'hypnose, il a juste répondu " Merci".
C'est vrai qu'il est un peu frêle face à moi, avec ma carrure de vigile. Je pense qu'il n'était pas sûr.... qu'il se demandait comment j'allais prendre sa drague, si j'étais open pour la suite.
Je suis revenu à ma place et le jeune, qui a capté le truc et vu le numéro, m'envoie déjà un texto:
" Salut, moi c'est Laurent
" Salut, moi c'est Fabien....
Et là, pour raconter l'histoire, vu le genre de sms échangés, il faudrait que je la mette en langage "Larousse" . Même ma mère, avec une formation accélérée, n'arriverais pas à comprendre.
Bref, je résume, Laurent (c'est son prénom) va à Rennes et moi , Fabien, à Laval (donc je descends avant lui)...Il a envie grave, est majeur, s'est déjà fait sodomiser, aime bien sucer, se faire traiter en salope et est dispo pour me suivre.
" Descends à Laval, je vais te faire visiter
" OK
Il revient à sa place, me regarde mais je ne bouge pas et je fais mine de rien. Personne n'a rien remarqué. Pour la visite, c'est pas les monuments historiques qui l'intéresse, et moi non plus.
Dans quelques instant, arrêt Le Mans. Plusieurs personnes descendent, ce qui libère de nombreuses places sur toute une partie du wagon. Je décide de changer de place. J'invite le jeune à en faire autant. Il comprends vite et viens me rejoindre. Nous voilà côte à côte, sans voisin. Pour la première fois nous échangeons un regard complice, il me sourit.
J'ai posé mon blouson sur mes jambes, il fait de même et, sans perdre de temps, sa main rejoint la mienne. Je la dirige vers mon paquet pour qu'il me tâte. Je suis chaud, la bite raide.
Dommage que l'endroit manque de discrétion et que l'on manque aussi de temps sinon le petit aurait eu droit à une friandise à sucer. Bon....je me calme. Je le dirige vers mes cuisses musclées, sa main est douce....Putain, j'ai envie....Vivement qu'on arrive...
Arrivée Laval dans quelques minutes, je me lève et prends mon sac, Laurent se prépare aussi à descendre. Entre les wagons, en attendant de descendre, je lui tapote le dos avec ma main, il est mûr pour m'offrir son petit cul , prêt à se faire féconder.
Le petit chéri, je suis en forme et les couilles bien pleines, il va pas regretter son arrêt.
" Tu me suis, je suis à 5 minutes. .
" Y'a d'autres trains pour Rennes ce soir ?
" Tu verra ça demain matin.
" D'accord.
Il sait maintenant qu'il va passer un bon moment avec moi.
Maintenant, je suis chaud et je bande un max. Il me regarde et jette un oeil vers ma braguette. Oui, mon petit gars, le matos de Fabien en en parfait état de marche. J'espère que son petit cul aussi.
Et nous descendons du train, en silence, comme deux copains. Il ne pose pas de question.
Dans quelques minutes, nous serons chez moi......
La suite de cette histoire au prochain épisode....
Si vous avez aimé cette histoire, vous pouvez m'écrire. Merci.
Caramel
caramel35@orange.fr
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