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Les petits pains au chocolat

Comme moi, tous les jours, de nombreuses personnes franchissent le pas de cette boulangerie que je fréquente depuis de nombreuses années.

Que m'est - il arrivé depuis peu ?

Pourquoi mon coeur bat-il si fort ?

Pourquoi mon pantalon devient-il si serré dès que je rentre ?

Depuis quelques jours, un nouveau vendeur est là, absolument craquant. Un beau jeune homme de 19 ans, un blondinet tout mignon, avec des poils fins et soyeux sur les bras, des mains de pianiste qui me rendent si bien la monnaie.

Que dire de plus : un visage d'ange, des lèvres pulpeuses qui s'ouvrent sur un sourire certes commercial, mais plein de douceur, des cheveux blonds couleur du blé qui ondule sous le vent chaud de l'été.

Que j'aimerais le décoiffer, passer mes mains dans cette coiffure si bien ordonnée, poser mes lèvres sur les siennes et goûter à sa salive, introduire ma langue dans son sourire qui me plait tant.

Et son corps : une pure merveille de la nature, équilibré, félin, galbé, comme seuls les peintres Italiens des siècles passés ont su reproduire. Léonard de Vinci en aurait abusé, c'est sûr.

Un corps filiforme presque féminin, des fesses étroites comme j'aime, une démarche de mec androgyne, un véritable appel au sexe pour ma petite personne.

Moi qui suis professeur dans un lycée, sans histoire particulière, pas spécialement avide d'étaler ma vie privée, mais, avec les élèves, il faut parler.... Alors je parle de tout, mais j'évite le sexe, par peur de déraper. Heureusement, j'enseigne à Rennes, pas dans ce village.

Mon fantasme est là, chaque matin, en chair et en os, à portée de main si l'on peut dire et si près de ma queue, qui n'attend qu'un moment propice, qu'une occasion pour le rendre heureux. C'est sûr, je le crois, je le pense, ce bel éphèbe aime les hommes.

Comment pourrait-il aimer, désirer un homme comme moi, la quarantaine bien sonnée, pas spécialement bâti comme un Dieu du stade, même pas bien monté.

Que pourrais je lui offrir ?

Si, la frénésie de mon sexe, certes normal, mais quand même assez vigoureux, et la douceur de mes bras, de mes étreintes, de mes lèvres.

A-t-il remarqué mon sourire appuyé, mes yeux brillants d'amour à regarder son corps, mon embarras à lui parler ?

Pourquoi être si con lorsque l'on désire si fort quelqu'un. Dès ma sortie de la boulangerie, je mangerais bien tout mon pain pour y retourner. Depuis qu'il est là, j'achète des pains au chocolat alors que mon régime alimentaire me le déconseille... que du beurre. En plus, je n'aime même pas ça.

Le jour ou la boulangère l'a appelé Tristan devant moi, j'ai trouvé le prénom joli. Aussitôt rentré chez moi, je me suis précipité sur tout ce qui se rapportait à ce prénom.

La situation est sans issue. Dans ce petit village, tout se voit, tout se sait. Comment pourrait-il deviner que j'éclabousse les parois de ma douche en pensant à lui... mon sperme jaillit et s'étale, coule sur la vitre comme les larmes de mon coeur qui se languit de cet amour impossible.

Hier matin, Tristan n'était pas là, à mon grand désespoir.

" Ah, Tristan, votre jeune vendeur, est absent ?

- Oui, sa voiture est en panne. Il va arriver plus tard, par le bus.

- Il finira à quelle heure ?

- Aujourd'hui, je ne sais pas trop. Cela dépendra des horaires des bus.

- S'il veut, ce soir, je peux le ramener chez lui, je dois retourner à Rennes chez ma tante.

- C'est gentil, je vais lui dire.

- Il passe chez moi à sa pause et je verrais avec lui. Je suis là toute la journée.

- Merci.

- Il faut bien savoir rendre service.

Depuis quelques minutes, j'ai une tante qui habite à Rennes. Que faut - il faire et inventer pour approcher celui qui me fait tant bander ?

Il est 13 heures lorsque Tristan sonne.

Il est encore plus beau que derrière son comptoir, derrière ses pains au chocolat et autres viennoiseries. Son jean serré le moule à la perfection, laissant voir la marque de son sexe qui me parait bien beau. Il remarque mon coup d'oeil et parait apprécier. Et ce corps long et fin, cette gestuelle presque féminine qu'il véhicule, ce visage angélique... my God. Je suis là, comme hypnotisé par tant de grâce...

- Bonjour, c'est vous, Jean-Clément ?

- Oui, mais... rentre, on sera mieux à discuter à l'intérieur.

- Merci, j'ai ma pause jusqu'à 15 h 30.

- Tu veux boire un café ?

- Oui, je veux bien.

Il me raconte alors ses problèmes de voiture pendant que je prépare les cafés et me remercie pour le transport que je lui propose.

D'une main je pose sa tasse de café devant lui pendant que mon autre main s'aventure sur son cou amicalement. Il ne bouge pas et semble même réjouis de mon initiative. Ma main maintenant lui caresse la nuque, un petit silence s'installe.

- Humm, quelle peau douce !

- Oui, on m'a déjà dit ça.

Tristan ne bouge pas et reste assis pendant que ma main descend doucement dans le col de son teeshirt et caresse sa peau douce, comme dans mes rêves les plus fous. Mon sexe trop raide me fait mal, ma tête ne réfléchit plus, une onde de chaleur m'envahit, je sais que j'ai dérapé, que la situation m'échappe...

Sa main se pose sur mon entrejambe et vient tâter ma braguette tendue... Les choses sérieuses commencent... mon coeur palpite...

Tout en douceur, il s'abandonne et se prête à mes caresses. Mes mains dans ses cheveux, il me masse le paquet puis se redresse et vient se lover contre moi. Nos bras se croisent, nos corps se trouvent, nos lèvres se rejoignent pour se serrer, s'ajuster, se coller l'une aux autres.

D'une incroyable saveur, sa salive me parait sucrée comme ses petits pains. C'est lui qui maintenant force ma bouche, me visite le palais comme s'il n'avait attendu que ça.

Inutile de garder des réserves, il faut profiter de cet instant, réaliser tous ses rêves érotiques, savourer toute cette sensualité qui se dégage.

Je l'entraine dans ma chambre et nous basculons sur le lit...

Pendant un long moment, en même temps que nos bouches se retrouvent collées comme des ventouses, nos corps enfiévrés cherchent à se dégager de nos vêtements. Comme synchronisés, nous expédions au sol tout ce qu'il nous reste à enlever puis reprenons nos ébats en roulant l'un contre l'autre, l'un sur l'autre, unis dans le même désir.

Tristan, le premier, vient caresser mon sexe et en constate toute la raideur. La douceur de ses mains est comme une bénédiction sur ma tige qu'il saisit avec soin. Mon gland n'a pas attendu cet instant pour sortir de son prépuce comme une fleur qui sent l'arrivée du printemps. Mon soleil est là, qui irradie mon coeur, mon corps. Tristan est là, dans mon lit.

Il continue son exploration et vient soupeser mes doux testicules rasés du matin.

Envahie par le désir, ma main s'aventure sur son anus qu'il se dépêche de me présenter au mieux en écartant ses cuisses. Quel admirable endroit : chaud, humide, oui complètement humide, comme s'il s'était préparé comme j'aime.

Son joli petit trou du cul ne manque pas de souplesse et s'ouvre facilement lorsque mon doigt tente une percée et Tristan émet un petit soupir de bien être à ce test d'ouverture.

Hummm, ma queue tressaille d'impatience de visiter cette chatte de mec.

Mon bel ange est libéré de toute pudeur et bande d'envie de s'offrir à moi. Son sexe assez fin, mais de taille normale, quelle beauté, quelle raideur lui aussi. Que dire de ses petites couilles, de véritables petits bijoux en forme d'oeufs de pigeons, à sucer, à gober sans modération.

Comme s'il ne pouvait attendre, il se met sur le ventre et a compris que l'accouplement de nos corps ne pouvait plus tarder. Quel cadeau pour moi, humm, ce corps magnifique.

Ma langue vient lécher cet oeillet qui va s'épanouir dans quelques instants sous la pression de mon gland mouillé. Tristan se cabre sous la douceur de mes coups de langue puis gémit tant je lui bouffe le cul, lui lubrifie la rosette...

Moi aussi, je ne peux plus attendre et il est pour moi : il attend que je vienne féconder de mon dard sa précieuse fleur blottie entre ses fesses étroites ouvertes rien que pour moi.

Pendant qu'il ondule, en demande de copulation, chaud bouillant, me présente son merveilleux petit trou, impatient d'être pris, je m'allonge sur son corps et ma queue vient s'installer entre ses fesses, trouve la bonne position.

Mon gland n'hésite pas et glisse, force l'ouverture. Tel un messager du bonheur, il rentre, en douceur, sans s'arrêter, s'inquiétant peu des petites plaintes de geisha de mon petit vendeur.

Profitant d'un léger mouvement de confort du petit jeune qui la sent quand même lui ouvrir le cul, d'un coup de reins, je suis en lui, jusqu'à la garde.

- HUUMMM, t'en avais trop envie, mon petit chéri.

- OUUUIIIIiiii c'est trop bon

- J'adore les petits culs comme le tien.

-Baise-moi à fond, j'ai envie.

L'instant est agréable et nous sommes tous les deux au milieu du bonheur. D'un mouvement de jeune en rut, il remue son petit cul et me donne comme un signal...

S'ensuit un enculage effréné, digne d'un bon film porno. Mon petit vendeur de pains au chocolat jubile de tant de coups de bites, de tant d'ardeur de ma part. Si je ralentis, il remue du cul à son tour et me montre, par ses couinements, tout le plaisir que je lui apporte.

Il n'attendait que ça comme moi, qui n'attendais que son petit cul serré pour l'entendre geindre sous mes assauts.

Il est chaud, comme j'aime. Il a le feu et ma lance va le calmer. J'adore ce genre de petit mec, je ne rêve que de baiser des beaux gosses comme lui. Depuis le temps qu'il me fait bander, celui là.

Je décide de lui administrer bien profond de sérieux coups de reins et il fait moins le malin et semble avoir sa dose. Lorsque je change de position, pour le mettre sur le dos et lui porter l'estocade, il est mûr, en pleine jouissance, se branle...

Il coulisse sa queue dans sa main pendant que je le pilonne pour le faire disjoncter. Haletant, hors de contrôle, il exulte, lâche prise et explose pendant que ses jets atterrissent jusque sur sa poitrine. Quelle décharge, quelle vigueur, quelle abondance.

À mon tour, excité devant tant de réussite, je sens mes couilles se contracter. J'ai juste le temps de me retirer avant d'envoyer ma semence sur son ventre, sur sa peau soyeuse de bébé.

Il me regarde juter et répandre mes giclées de sperme nacré qui se mélangent avec les siennes. Émerveillé et heureux de m'avoir vidé les couilles, de m'avoir vidé tout court, il s'abandonne.

Souriant, je me laisse aller dans ses bras et nos lèvres se rejoignent pour un long baiser passionné. Nos ventres se collent eux aussi dans la même union.

De longues minutes s'écoulent, la fièvre retombe enfin.

- Le café va être froid !

- Oui, mais toi, mon petit vendeur, tu étais trop chaud.

Après une douche et un café, Tristan en veut encore. À cet âge-là, on rebande aussitôt. Mais quel bonheur.

Nous voilà allongés en 69 et nos langues déploient tous leurs talents pour assouvir ce plaisir d'homo, se sucer la queue, les boules, le cul.

Rien n'est laissé à l'abandon, tout est entretenu avec soin. Mais quel plaisir de sucer son délicieux bâton que je déguste, que je salive. Pendant qu'il engloutit tout mon gourdin et commence à me faire vibrer, je m'acharne à lui rendre la politesse.

Pour une fois, j'arrive à prendre en entier un sexe d'homme dans ma bouche. Sa taille raisonnable est un atout, son goût d'une extrême saveur. Mes lèvres collées contre ses couilles, je sens qu'il est peu habitué à tant de douceur et qu'il va finir par lâcher prise. Moi aussi, de mon côté, l'excitation me gagne. Sa façon prodigieuse de me lécher les couilles, de fouiller mon cul avec sa langue, mes sens vacillent.

Mon gourdin dans sa bouche, il sent mes contractions, mon bassin se tendre...

- Mon chéri, je vais cracher, je vais juter.

Il s'accroche à ma bite comme une bernique à son rocher. Mes jets fusent et lui remplissent la bouche. Insatiable, comme en manque, sa langue râpe mon gland pour en extraire tout le nectar, la dernière goutte.

Pendant qu'il déguste, comme pour me récompenser, équilibrer les plaisirs, un goût iodé et salé envahit mon palais, se déverse généreusement dans ma bouche. Quel délice.

Quel généreux donateur, ce petit vendeur !

Je n'avais pas vu et senti l'explosion arriver. La ration est là, copieuse, goûtue et je me fais une joie d'en avaler toute la livraison. Il attend que j'ai terminé mes hommages à sa bite avant de me dire :

- Tu suces super bien

C'est repus et soulagés que nous revenons à la réalité. La pause de Tristan est bien avancée.

- A ce soir, mon petit chéri.

- A ce soir, Jean-Clément. Ton café était excellent.

Et il fait de l'humour, en plus. J'aime bien ce petit vendeur de pains au chocolat.

Il va revenir ce soir pour que je le ramène chez lui. Heureusement que ma toute nouvelle tante habite à Rennes.

Il a bien fallu rester crédible. Je n'allais pas lui dire que c'était un prétexte pour le sauter.

Caramel

caramel35@orange.fr

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