Il y a quelques jours, je suis allé dans un bar cruising gay, près du centre Beaubourg, à Paris.
Ambiance très zen au rez-de-chaussée. Je dépose mes affaires au vestiaire et prends mon temps pour boire un verre. Quelques clients sont là, semblent se connaitre et discutent.
Je décide de bouger. " Tout se passe " apparemment au sous-sol. Ici l'ambiance est nettement différente.
L'espace est cloisonné avec des petites cabines avec ou sans porte. Une musique assez forte ainsi qu'une lumière tamisée et juste nécessaire permet de se sentir à l'aise.
Je déambule un peu, pousse une porte non fermée et me retrouve avec un trio bien occupé. Un jeune, 20 ans ou plus, allure de brésilien, tout dévêtu, bronzé, un corps magnifique, lisse, galbé, provoquant, ondule entre 2 hommes tout débraillés qui ont l'air d'apprécier. Je pense que ce sont 2 touristes, un Allemand et un Polonais.
Le jeune, après avoir sucé avec gourmandise la bite du Polonais... Montre son envie en présentant ses fesses galbées vers l'objet de son désir... Une bite ferme, droite, relevée, de taille conséquente, un super beau morceau, encore enduite de sa salive.
Le Polonais, la trentaine, un homme vigoureux et décidé, n'hésite pas et lui introduit sans préparation et sans difficulté son sexe dans le cul. Le jeune émet un petit cri de plaisir et se cambre encore plus pour faciliter la manoeuvre.
La proximité aidant, vu la cabine étroite (ce serait difficile d'être un de plus), j'en profite... Hummm, oui, il l'a bien enculé à fond (sans mettre de capote). Ce détail, si c'en est un, m'excite encore plus. Ça m'étonnerait qu'il ne lui jute pas dans le cul.
Le Polonais, ravi d'avoir logé son beau matos dans ce corps si chaud, passe ses mains autour du corps sculpté et se met à le pistonner langoureusement. Le jeune se trémousse comme une pute pour faire comprendre à son actif sa satisfaction d'être empalé ainsi, et aussi pour nous exciter.
Avec une belle bite active dans le cul, il essaie de se pencher pour prendre une autre queue en bouche.
Je viens d'arriver, je bande dur, mais, je l'avoue, j'adore voir un mec se faire baiser. Je suis encore plus excité de savoir que le mec le baise sans capote.
Je laisse la priorité au Germain. Celui-ci, en super forme, avait déjà dégainé son gros calibre épais et large et se branle, astique son manche de pioche. Celui-ci pourrait se faire sucer, mais non, il préfère, comme moi, caresser ce beau corps lisse, galbé, chaud, offert.
C'est trop beau de voir un passif au corps magnifique subir les assauts d'un mâle et d'y participer, d'en admirer tout l'érotisme, la sexualité débridée. Chaque gémissement du jeune est un plaisir pour moi et invite le mec à continuer à lui déboiter le cul.
Le Polonais, ravi de profiter d'un si beau passif, donne le meilleur de lui-même en donnant de généreux coups de bite, en caressant, pinçant les tétons du jeune qui ronronne de bonheur. Le Brésilien se contorsionne et lui présente ses lèvres pulpeuses. On sent que leurs corps sont complémentaires et s'emboitent parfaitement.
À ma grande satisfaction, le Polonais profite longuement, sort de temps en temps sa bite ferme et vigoureuse pour nous laisser le temps de la voir et la réintroduit dans ce cul chaud, humide et demandeur.
J'apprécie cette attention... J'adore... Je bande un max.
Le jeune, chaud comme la braise, tend à chaque fois sa croupe, en veut encore plus et n'oublie pas de s'intéresser à l'Allemand. Le baiseur l'a bien compris et devient plus mâle, plus bourrin et impose maintenant son autorité.
Je suis persuadé qu'à ce moment, le Polonais a décidé qu'il va lui juter dans le cul à cette pute.
Les ébats sont maintenant fournis, les corps cognent contre la cloison, la copulation devient plus bruyante, virile, la température monte.
Le jeune miaule sous les coups de bite qu'il reçoit, mais arrive néanmoins à coincer son enculeur pour l'empêcher de reculer lorsqu'il va juter. L'opération réussit, car soudain il respire bruyamment et se cramponne aux cuisses du jeune, la bite à fond. Il le maintient fermement, haletant, le temps d'envoyer la sauce, de bien se vider les couilles. Notre Brésilien, ravi du résultat, crie son bonheur de sentir les décharges de sperme l'envahir, caresse les cuisses de son mâle pour le remercier, reste plaqué contre lui pour prolonger son plaisir.
L'Allemand, un grand gaillard, des mains comme des battoirs, se branle avec énergie devant ce spectacle. Le mec n'est pas un top modèle, plutôt lourdaud, la cinquantaine, mais doté d'un sexe en rapport avec le bonhomme. Il est très intéressé par le cul du jeune et attends son tour.
Je lui propose une capote pour qu'il se prépare, mais celui-ci me fait comprendre qu'il fera " sans ".
Alors là, chapeau... J'en perds un peu mon contrôle.
Je me penche pour le sucer... HUMMM... Une bite magnifique, raide, trop grosse, qui me remplit la bouche au maximum et m'étouffe. Putain, recevoir ça dans le cul, faut être préparé et chaud. Et un sac de couilles énorme, surement bien gorgé de semence...
Il me laisse profiter un petit moment... Un délice... Mais je sais que sa priorité est ailleurs. C'est déjà bien que j'ai pu y gouter. Il est tellement raide que je pense qu'il ne tardera pas à envoyer le jus.
Dès que le mec de Varsovie commence à déculer, l'Allemand fait comprendre au jeune qu'il veut le niquer. Celui-ci, ravi, se retourne promptement, présente son cul ouvert et dilaté au sénior et fait face maintenant à celui qui vient de le baiser avec plaisir.
Le Germain, avec envie, surement autant que le Brésilien, se cale et l'embroche dans la foulée. À l'introduction du braquemart, le jeune pousse des cris de gonzesse, mais le sénior ne se laisse pas impressionner et lui enfonce son pieu dans le cul sans faiblir, le maintient fermement. Je devine que son énorme gland est rentré dans l'oeillet déjà bien ouvert et lui a distendu la rondelle à la limite du possible et continue son chemin dans ce passage glissant déjà enduit de sperme bien gras. Le gros mâle se délecte et savoure sa domination. Il sait pertinemment qu'il est bien monté et qu'il dilate le cul de cette petite pute qui en a trop envie.
Le jeune se tortille, s'accroche au Polonais qui sourit, se tortille encore, fait sa chaudasse en continuant de tendre son cul pour que ce mec balèze l'encule sans problème. Il la sent bien, cette bite qui le pénètre, mais il la veut... Oui, il la veut.
Le moment est intense, viril, super bandant, délicieux. Je suis à la limite de jouir.
Le Polonais continue de lui tripoter les tétons et de se coller à ce corps magnifique pendant que l'autre profite de son cul, finit de l'enculer bien profond, lui lèche sa nuque bronzée. Son corps ne lui appartient plus, il ne fait pas le poids, complètement nu entre ces deux mâles virils.
Super excité, curieux, vicieux, j'en profite, je passe ma main. L'énorme mandrin du sénior est introduit jusqu'aux grosses couilles arrivées là en butée. Putain, le salaud, il l'a fait. HUMMM, qu'est-ce que ça doit être bon.
L'Allemand, avec son corps puissant et sa force, lui coulisse maintenant son piston avec ardeur et l'on sent quand même que le jeune fait moins le malin.
Vu les gémissements de jeune puceau qu'il a émis à l'enculage, deux autres mecs sont arrivés à la porte de la cabine pour assister à cette saillie.
Comme je l'avais deviné, après plusieurs minutes d'un ramonage en règle, il ne tarde pas à recevoir une seconde décharge de sperme dans le cul, sans que cela ne l'inquiète. Au contraire, il semble à ce moment-là s'être adapté à ce calibre et veut en tirer tout le potentiel. Il se cambre au maximum pour recevoir tout le dosage de foutre bien épais du malabar germanique.
Le balèze lui redonne deux bons coups de queue pour s'assurer de le féconder comme il se doit et ne pas gâcher sa semence, attends un peu puis il se retire et appuie sur la tête du jeune afin que celui-ci lui nettoie le bambou et aspire la dernière goutte qui sort du gland.
La bite nettoyée, celui-ci pousse un énorme soupir de satisfaction.
C'en est trop pour moi. Trop excité, au bord de l'explosion, la bite trop raide, douloureuse, je vais jouir. Le Brésilien, à l'affut, a juste le temps de se saisir de ma queue et de l'emprisonner dans sa bouche gourmande, douce, chaude et humide, de refermer ses lèvres pulpeuses au bord de mes couilles.
Au bout de trois coups de reins dans ce fourreau accueillant, mes mains mises d'instinct sur la tête du Brésilien, j'envoie au moins quatre violentes giclées de sperme. Le plaisir est immense, intense. Je suis hagard, soulagé, ivre de bonheur.
Les touristes en profitent pour me tripoter les tétons, me tâter les couilles et je les laisse faire pendant que le jeune se délecte de mon sperme gras et abondant qui se répand en saccades dans sa bouche.
Un mec collé à la porte réussie à me rentrer un doigt dans le cul sans que je proteste.
Le polonais en profite pour me rouler une pelle baveuse, virile, me fourrer sa langue au fond du palais. Inerte, en train de me soulager de toute cette pression accumulée dans mes couilles et dans mon corps, je m'abandonne et m'offre à ces inconnus.
Moi aussi, ce soir, j'ai mon instant de bonheur. C'est vraiment trop trop bon.
J'ai adoré cette soirée... Mieux qu'une vidéo.
La bite nettoyée, les couilles vidées, tout le monde remballe et remonte son pantalon, mission accomplie... ou envie de baiser satisfaite. Le Polonais et l'Allemand ne s'embarrassent pas de formalité et quittent la cabine sans le moindre mot ou geste pour celui qu'ils viennent de sodomiser sans complexe et sans capote.
Le jeune reste nu comme un ver dans cette cabine, le cul sans doute dégoulinant de sperme, la rondelle fortement distendue, la bouche engluée.
Un peu secoué par cette aventure torride, il me sourit, heureux, satisfait d'une si belle expérience, et semble avoir envie d'une pause.
Je comprends...
Caramel
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