Une lope à baiser
Minuit passé, la chaleur de l'été encore présente, je quitte ce bar, seul, en manque de sexe. D'habitude il y a toujours un passif à trainer, ils sont surement partis se faire baiser ailleurs.
Sur la route, l'envie de pisser arrive. Il faudra bien que je m'arrête. Heureusement il y a une aire de repos dans quelques kilomètres.
Quelques voitures de garées, une autre voiture et un camion originaire des pays de l'Est arrivent en même temps que moi. C'est aussi rassurant de ne pas être seul. Je vais pisser, mais, bizarrement, à part un homme qui repart aussitôt, où sont passés les autres ?
Après m'être soulagé, je décide d'inspecter les alentours des sanitaires.
Sur une zone moins éclairée, un peu à l'écart, je distingue la présence de plusieurs personnes. Deux mecs sont là en évidence, visiblement un maitre, 40 ans environ, bien carré, d'allure autoritaire et sa lope, sans doute 20 ans, cheveux en broussailles, beau corps lisse et galbé.
Lorsque le plus jeune me voit, il me fait comprendre que son cul a chaud, qu'il est disponible.
Pour l'instant, j'examine la situation et je décline l'invitation. Le jeune continue de chauffer les mecs présents. Il est particulièrement en forme, chaud comme la braise, le cul à l'air.
Son maitre, posté à côté, excité lui aussi, nous explique, à moi et à 2 mecs à côté, qu'il a amené sa lope qui a besoin de bites. On avait compris la situation.
Le routier, un grand costaud, arrivé là lui aussi, sans doute un polonais, passe la main sur le cul du jeune tout en se tâtant le paquet de l'autre main. Le jeune ne bouge pas, ravi de cette initiative. Il écarte même les jambes et se cambre, offert au premier mâle actif.
" Ouiiiii, hum, Ouiiiiii... "
Sur l'invitation du maitre, un homme, assez corpulent, propose sa bite à sucer. Une bite courte, bien raide, mais énorme, archi épaisse. Elle va être bonne et bien lui remplir la bouche. Le mec profite d'un petit muret pour être en meilleure position pour se faire sucer. Dès que la lope se penche et ouvre la bouche, il lui enfourne sa queue jusqu'aux couilles et lui saisit la tête pour imposer sa méthode. Hummmm. J'adore ce genre d'action.
Le dominant, pressé de voir son esclave passif sucer et se faire baiser en même temps s'adresse au routier :
" Baise-le, il a envie "
Il n'en faut pas plus pour que celui-ci se décide à sortir sa bite et commence à se branler. Je sens que les affaires sérieuses vont démarrer. Je me rapproche pour participer. J'en profite pour tâter à mon tour le cul du petit jeune. Il a le trou déjà lubrifié, mais pas plus ouvert que ça. C'est bien agréable de lui rentrer mon doigt dans le cul et il aime bien.
S'il est là depuis un moment, c'est possible qu'un ou plusieurs mecs lui aient déjà distendu son petit trou. Rien que d'y penser, ça m'excite.
Le polonais est maintenant en position derrière le jeune, le short baissé, la queue en érection,
bien raide, longue, légèrement arquée et relevée, prête à entrer en action, avec une tête de noeud superbe, magnifique. Du beau matos qu'on sent bien quand ça rentre dans le cul. Il crache dans sa main et enduit sa bite de son mollard bien gras.
Je sens qu'il va fourrer le petit sans mettre de capote. Putain, là, il est trop chaud, il a compris que le jeune était occupé, qu'il n'allait rien vérifier. Son maitre regarde cette bite magnifique prête à pénétrer son esclave.
" Vas-y, il aime bien ça. Tu peux y aller. "
Il ne donne pas de consigne lui non plus pour mettre une capote.
Occupé à gouter l'énorme queue du balèze, le jeune sent néanmoins qu'il va se faire enculer. Comme une chatte en chaleur, il se tend, offre son trou, s'apprête à recevoir ce phallus comme une offrande à son cul.
Je bande comme un cerf, excité par le spectacle. Un mec qui prend le sperme dans le cul, j'adore ! Putain, la salope, il va se prendre un bon dosage, par une bonne bite de mâle. Ça, c'est de la baise. Ça m'étonnerait que le routier se retire pour juter.
Lorsque le routier encule la jeune lope, celle-ci se cabre, se raidit, mais il continue sans aucune hésitation de l'embrocher de façon ferme et virile jusqu'à la garde.
Putain, il a dû lui exploser la rondelle en rentrant aussi brutalement. Je passe ma main pour vérifier. Le salaud, il a les couilles collées contre le cul du jeune. OOUUHH, super bel enculage.
La lope a couiné comme une chatte quand le gros gland du routier lui a distendu la rondelle. Quand on joue la pute, il faut assurer. Elle a voulu jouer la vierge, mais l'autre n'a pas été dupe. C'était trop agréable à entendre. Putain, je bande. Moi aussi, je vais le faire couiner.
La pine bien en place, il se cale et commence à pistonner. À chaque coup de bite bien à fond, la lope se retrouve le nez dans le ventre de l'autre, qui profite de la situation. Elle voulait de la bite, elle en a.
La scène est super érotique, excitante, torride. J'ai sorti ma queue et suis raide, le gland baveux, les couilles fermes. Je sais que je vais le baiser ensuite. J'ai trop envie.
Moi qui souvent ai des refus à cause de mon sexe large, là, je vais le démonter, je vais lui exploser le cul à cette pute de lope. En plus, j'ai les couilles bien pleines, je vais l'engluer bien profond.
Le polonais le pilonne comme un pro, tantôt doucement, tantôt virilement et lui parle. On ne comprend pas ce qu'il dit, mais c'est surement pour le traiter de pute, de salope, qu'il va bien le saillir et lui cracher son sperme dans le cul.
Il ressort de temps en temps sa queue pour mieux l'embrocher et lui faire sentir toute la longueur de son engin. Il profite agréablement de ce cul offert en libre-service. Sa queue est gorgée, tendue, devenue super raide, au maximum de sa forme.
Plusieurs mecs à côté se branlent devant ce spectacle admirable et profitent à leur manière.
La lope, la bouche pleine, n'arrive plus à couiner et se fait entuber vigoureusement des deux bouts. Mais, alors que l'autre mec lui tient fermement la tête, on l'entend soudain émettre une plainte ou, va savoir, une satisfaction de gourmet.
Son maitre, comprenant la situation, lui ordonne :
" Avale ! salope "
L'énorme bite en bouche, bien à fond, le gros mec est en train de jouir et de vider ses grosses couilles poilues. La lope essaie de se dégager, mais le mec corpulent lui maintient fermement la tête, l'oblige à recevoir la totalité de ses généreuses giclées de sperme.
Le gros mec est rayonnant, en extase, ravi d'une si belle aubaine. Il finit par caresser les cheveux du jeune qui déguste sans broncher jusqu'à la dernière goutte de ce nectar d'homme.
Le routier, qui a compris la situation, crie et adresse à l'esclave sans doute des paroles obscènes avant de s'immobiliser, bien profond. Il est surement en train d'envoyer sa semence dans le cul du jeune.
Lorsqu'il se retire, la bite luisante, il n'a même pas débandé. Il me fait comprendre que la place est disponible pour moi et qu'il a trouvé ça super bon. Ça, j'avais remarqué.
Un rapide passage du doigt sur le trou de la lope pour sentir un peu de sperme gluant du polonais qui s'écoule. Je crache un peu de salive pour m'enduire la bite. Lorsque mon gland se positionne sur le trou, je sens celui-ci ouvert, chaud, accueillant et n'hésite pas.
Ma bite épaisse et veineuse, tel un beau biberon bien dur, s'engouffre avec bonheur dans le passage dégagé, chaud, glissant et humide, lubrifié au foutre polonais. Dans un instinct de mâle dominant, avant que la lope ne réagisse, je le lui ai envoyé bien à fond, jusqu'aux couilles, malgré une légère résistance sur les parois.
La lope, surprise d'une saillie par un si gros bambou, soulève son cul sous cet effet violent tout en miaulant comme une jeune chatte qui se fait baiser par un vieux matou.
" Ta gueule "
Son maitre, ravi de la situation, se tâte le paquet.
La lope continue de miauler tout en essayant de se dégager de ma bite qui lui dilate le boyau.
" Elle est trop grosse, tu me fais mal "
" Ta gueule, salope, dis-moi qu' c'est bon ! "
" Oui, c'est bon "
" Voilà, c'est ce que je veux entendre. "
Il continue quand même à se tortiller et à gémir, couiner, tant ma queue lui a explosé le cul. Il va se souvenir de moi, ce bâtard. Bon, il fait surement aussi un peu de cinéma.
Je savais que le jeune aurait dégusté vu la taille de ma bite. Pour une fois que je peux me laisser aller. Le polonais l'a bien préparé, comme j'aime.
J'ai maintenant la bite bien à fond dans son cul, les couilles collantes de sperme bien gras du routier. Je commence à le ramoner doucement et les couinements reprennent. Il la sent bien et réagit à mes ondulations dans son corps. Ses plaintes et ses fesses galbées m'excitent, me font vibrer. Il va comprendre qu'il va s'en prendre une deuxième couche bientôt dans le cul.
Lorsque ma bite sort, je le ré encule direct. Son cul est maintenant trop bien ouvert, offert et je sens sa rondelle caresser toute la longueur de ma tige à chaque introduction.
Son maitre, surpris devant l'intensité du plaisir de sa lope, vient tâter ma bite.
" Putain, la queue ! Baise le bien, bourre-lui le cul ! "
Pris dans un mélange de surprise et de joie non dissimulée, le voilà qui sort sa queue, bandant comme un âne. Lui aussi, le salaud, il est bien monté.
Je n'ai pas du tout envie de laisser ma place, heureusement il me laisse profiter de sa lope.
Je continue de lui maintenir les cuisses et lui redonne de bons coups de bite bien virils. Putain, la salope, un plaisir de le baiser.
Je me couche presque sur lui pour mieux lui labourer le cul et il se prête bien à ma bite en se cambrant au maximum. Je sens la pression qui monte et qu'il est mûr pour se faire engluer.
Son maitre, d'autorité, lui donne l'ordre de le sucer, ce que la lope exécute sans broncher.
Il a maintenant ma grosse bite dans le cul et la superbe bite de son maitre à sucer. Celui-ci la lui envoie jusqu'aux amygdales tellement il est bien pourvu. La lope peine à reprendre sa respiration, bave sa salive, mais ne renonce pas, sous les ordres de son maitre..
Le polonais, toujours présent, admire le spectacle et me parle, surement pour m'encourager, m'inciter à envoyer la purée. Il a vu lui aussi comment j'étais monté et comment j'ai enculé la lope. J'ai vu son regard admiratif et comment il s'est rincé l'oeil.
Putain que c'est bon. Ça fait bien longtemps que j'ai eu un cul pareil aussi chaud à baiser et où ma bite glisse bien. Ça fait bien longtemps aussi que j'ai baisé un mec sans capote. J'adore.
Le jeune a bien mis sa main pour vérifier la taille de ma bite et que j'étais bien à fond, mais n'a pas fait d'observation sur le fait que je n'ai pas mis de capote.
J'en profite, fais durer le plaisir, c'est trop trop bon.
Ma bite glisse bien dans ce cul de pute, devant tous ces spectateurs, putain que c'est bon...
La pression monte, je ne vais pas tarder à cracher. La lope l'a deviné et se cambre davantage. Mon gland devient douloureux, gorgé à bloc, mes couilles sont bien remontées.
C'est trop bon, vraiment trop bon, je lâche le contrôle, une onde de plaisir me traverse toute la longueur de la tige, mon gland s'ouvre et envoie avec force toute cette réserve de sperme accumulée dans mes couilles. Je me libère de toute cette pression dans un grand cri rauque.
J'avais trop envie de juter. Je ne pouvais pas tenir plus longtemps. Voir le routier enculer ce jeune était trop beau et surtout, savoir qu'il lui a joui dans le cul, ça m'a trop excité. Moi aussi, je voulais autant de plaisir, me libérer dans son cul.
Imaginer tout mon foutre se répandre dans ce corps chaud et demandeur est trop bon, trop fort. Je savoure avec délectation ce moment.
Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mon souffle et me retirer, soulagé, vidé, heureux, la bite gluante et ramollie.
Le routier, la bite toujours aussi raide et vigoureuse, sans se poser de question, et avant que la lope ne réagisse, se remet en position et l'encule sans ménagement. Le garçon, un chaud de la bite, celui-là ! Il a de la ressource et sait en profiter.
Il ne s'est pas préoccupé de l'état du cul de la lope, du foutre envoyé bien profond. Deux bonnes décharges en peu de temps.
Le polonais s'est mis torse nu, le short sur les tongs, il active comme une bête dans le cul du jeune. Celui-ci va être bien servi ce soir.
Son maitre, excité et ravi d'avoir trouvé deux baiseurs pour sa lope, ne va pas tarder à jouir et se prépare à juter. Il a sorti sa superbe bite de la bouche de la lope et termine en se branlant. Au bon moment, pour ne pas perdre la marchandise, il envoie plusieurs jets bien fournis de sperme au fond de la bouche grande ouverte de la lope.
Ses lèvres se referment sur ce phallus admirable, sans doute pour ne rien perdre. Lorsqu'il se libère de ce bambou, il n'a rien recraché, sur l'ordre qui lui a été donné :
" Avale tout, salope "
Le routier, constatant ce beau tableau, ne faiblit pas et continue de baiser la lope avec plaisir.
Le jeune donne l'impression de ne plus en vouloir (il commence peut-être à avoir mal au cul)
Il a aussi eu deux bonnes dégustations de sperme épais en bouche... le gourmand !
Pendant presque dix minutes, il doit subir les assauts du routier. Il se débat, mais celui-ci arrive à le coincer contre le muret pour mieux l'enculer.
On entend les couilles gluantes de sperme du polonais venir se coller au cul de petit jeune qui maintenant gémit, perd complètement le contrôle et semble en transe, une main à se branler.
Le routier ne le ménage pas, maintient la cadence, lui enfonçant la pine au maximum dans le cul.
Plusieurs mecs sont toujours là, à côté, à se branler, à assister sans complexe à cette superbe saillie et ne sont pas loin de juter. Un réel plaisir à voir et à entendre.
Soudain la lope émet un petit cri de geisha, vaincu, semble défaillir au moment de la jouissance suprême. On croit comprendre qu'il a joui sous les coups de boutoir du routier.
Celui-ci ne relâche pas, vainqueur, et fini par lui administrer une dernière décharge de foutre bien profond, dans un flot de paroles surement vulgaires.
Il finit par se retirer, souriant, à peine débandé, encore une goutte blanche au bout du gland. Le jeune a dû la sentir lui ramoner le trou, car il est quand même bien monté, mieux que la normale. Il me fait un signe pour me signaler qu'il a bien profité, que c'était super bon, puis remet son short, tranquille.
La lope parait encore sonnée de ces saillies vigoureuses. Son maitre lui tâte le cul pour constater sans doute un trou bien ouvert et gluant.
Moi aussi, j'ai remballé mon matos gluant dans mon boxer, remis mon bermuda. Putain, ça m'a fait du bien de juter, j'avais trop envie. Maintenant, retour à la maison, une bonne douche et dodo.
Je reprends la direction du parking, comme le polonais. Celui-ci en profite pour me donner une bonne tape sur l'épaule. Je lui réponds par un sourire et un signe amical. Tous les deux, nous sommes zen, heureux.
Deux voitures arrivent sur l'aire de repos. Si la lope remonte en température, ceux-là, s'ils sont actifs, chauds et demandeurs, vont être agréablement servis...
J'aimerais bien voir ça, la lope se faire rebaisser...
Voir le polonais baiser deux fois à suivre m'a excité. Dois je repartir ?
Et vous ?
Caramel
caramel35@orange.fr
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