Lorsque j'y étais allé, il y avait peu de monde; J'avais croisé ce normand, la cinquantaine, un homme bien en chair, costaud, bien proportionné, légèrement plus grand que moi, assez poilu et avec la bite en rapport avec sa carrure; Il adorait que je lui suce les tétons cachés dans ses poils raides, me tendait sa bite et ses couilles......un véritable régal de déguster ce gland à moitié décalotté et cette grosse tige dure qui pointait vers le haut. J'appuyais dessus pour bien la prendre en bouche. Une vraie bite d'homme bien épaisse. De temps en temps je me redressais et on se roulait des pelles bien baveuses; lui aussi me rendait la politesse en me suçant. Il appréciait ma bite et arrivait presque à la prendre entière en bouche quand moi je prenais la sienne seulement à moitie, vu son épaisseur et la taille de son gland.
Puis un beau petit jeune est arrivé, je dirais 25 ans maxi, nous as collé pour assister à la scène et aussi y participer. Nous étions à l'étroit dans une petite cabine ouverte mais sa présence ne nous a pas dérangé.
Après avoir goutté à notre bambou, très agréablement et sans doute émerveillé lui aussi par l'engin de Gérard, le normand, il a profité qu'on se roulait une pelle pour baisser son pantalon de jogging et se retourner. Le signal était clair...
A cette époque, vu la taille du sexe de Gérard, j'aurais eu trop peur qu'il ne m'explose le cul et je prenais mon plaisir à le sucer; maintenant, ce serait différent....
Mon normand, la bite bien raide et bien lubrifiée de salive, a tâté les fesses du petit, moi aussi; Un cul lisse et doux, une promesse de bonheur. Gérard lui a introduit un puis deux doigts dans l'anus et il a frétillé du cul pour montrer son consentement à une saillie.
Gérard m'a dit" il est chaud, je vais le baiser, il va déguster"
Le jeune, sûrement ravi d'entendre ça, s'est vite placé devant Gérard, malgré le peu de place qu'il y avait. Le normand s'est positionné en écartant les jambes pour être à bonne hauteur, lui a saisi les cuisses puis l'a serré dans ses bras puissants tout en faisant glisser son gland entre ses fesses, pour l'exciter encore plus; Le jeune s'est penché en avant, ajustant au mieux sa position, les jambes écartées, les mains accrochées à des trous dans la cloison, bien cambré, le cul tendu comme une offrande au mâle, prêt à se faire féconder.
Gérard m'a dit; "Laurent, Prends moi la bite pour lui la mettre dans le cul "
J'étais ravi de cette demande. J'ai passé ma main sous le petit pour saisir la bite de Gérard. Quand je l'ai prise en main, j'ai eu un choc tellement elle était raide, dure et épaisse en pensant qu'il allait se prendre ça dans le cul.
Je l'ai calée en face du trou. Le petit avait déjà mis du gel et le gland bien décalotté, dur, gonflé a vite trouvé la voie, s'est enfoncé facilement en lui ouvrant sans ménagement la rondelle. Le petit a gémit bruyamment à ce moment là puis s'est retrouvé la bouche ouverte et la tête dans la cloison quand Gérard lui a envoyé la moitie de son calibre dans le cul, puis, d'une traite, sûr de lui, tel un mâle dominant, avec sa force et sa virilité, a fini par l'enculer jusqu'aux couilles.
Le petit jeune s'est cabré à l'introduction du braquemart, sûrement pas habitué à une taille aussi respectable dans le cul et surtout introduite aussi brutalement. Je pense aussi que Gérard a senti qu'un autre mâle, avant lui, venait d'exercer son droit de passage....ou de faire une visite.
Est ce sous l'effet du plaisir ou de la douleur, ou pour mieux le recevoir et lui offrir son cul mais le jeune n'a pas demandé d'arrêter et s'est remis en position quand Gérard lui a ditde manière autoritaire "PENCHE toi , je vais te baiser à fond"
Dès que le petit s'est remis en position, Gérard l'a pistonné sur toute la longueur 3 ou 4 fois doucement jusqu'à ce qu'il frétille du cul et soit en demande.....HUMMM, alors là, quel bonheur, là, c'était bon; Gérard m'a dit ; "Oh, Putain... Quel cul, il aime ça , le salaud! ça coulisse bien"
" Tu aimes ?" et la réponse du petit "OUIIIIII"
Le jeune s'accrochait à un des trous de la cloison (sans doute pour sucer des bites) sous les assauts du mâle ; Par 2 fois, le braquemart est sorti, je l'ai vite repositionné en face de la rondelle bien ouverte et il lui renvoyait sa queue bien à fond, les couilles en butée. Le petit gémissait sous les coups de piston. Je ne saurait pas dire si c'était une plainte ou un plaisir. Mais il ne demandait pas à s'arrêter. Au contraire, il faisait tout pour montrer qu'il était en osmose avec cette bite qui lui limait les entrailles et lui procurait un plaisir infini.
QUELLE SALOPE....IL PRENAIT SON PIED
C'est un peu bête à dire mais j'ai éprouvé un énorme plaisir à assister et participer à ma façon à cette baise. J'ai même failli jouir lorsque le normand l'a enculé direct au début, quand j'ai senti et vu cette bite énorme le pénétrer. Cette paire de couilles poilues à l'entrée du petit cul du jeune.
Gérard a continué à m'embrasser et me laisser lui sucer les tétons, le caresser, tâter ses couilles, vérifier que le piston était bien introduit. Je ne me suis pas senti exclu de son plaisir.
Il m'a demandé "Laurent, tu veux le baiser? "
"Gérard, fais toi plaisir, bourre lui le cul, profites"
Gérard m'a alors roulé une pelle merveilleuse en me caressant la nuque et en arrêtant un moment de limer tellement il était heureux de la réponse. Le petit a bougé du cul pour signaler qu'il en voulait encore ....en se plaquant contre les cuisses musclées et poilues du normand.
Le jeune a eu droit à une récompense; à un super bon moment de baise. GERARD PRENAIT SON PIED lui aussi, maintenant qu'il lui avait bien dilaté et élargi le petit trou. Il ouvrageait sans retenue dans le cul du petit en lui demandant "Tu aimes? " et le petit lui répondait " OUIIIII " malgré ses gémissements.
Ca faisait plaisir à voir et à entendre. Je bandais comme un cerf devant ce spectacle.
Vu le calibre du bambou qu'il se prenait dans le cul, sa rondelle était sûrement bien dilatée et le passage bien dégagé. Il se prenait une de ces saillie......HUMMMMM
Un des hommes qui nous mataient, très excité et la queue déjà sortie, peut être en attente pour baiser le jeune, a eu l'idée d'aller de l'autre côté de la cloison et de présenter sa bite par un des trous. Un baraqué, sûrement en déplacement, les bourses pleines, pas timide. Une bite courte mais bien droite, raide et épaisse avec une belle paire de couilles sûrement bien remplies.
Je l'ai goûtée car c'était trop tentant ( hummm, trop bon) mais Gérard m'a dit "Fais le sucer, il va adorer "
Le petit s'est décalé un peu et n'a pas tardé à gober ce fruit exquis qui s'offrait à lui. Malgré la largeur du matos, il n'a pas faibli et, comme moi, l'a pris en bouche avidement pour en extraire tout le nectar. L'autre, en face, s'est tendu pour lui offrir les quelques centimètres encore disponibles et le coulisser en bouche.
Gérard, excité à souhait a dit au petit "Suce le bien, fais le juter" mais il n'a pas répondu, la bouche pleine de ce sexe énorme prêt à cracher. A chaque coups de reins du normand, il se retrouvait la tête dans les poils de l'inconnu, les lèvres au bord des couilles, le sexe entièrement en bouche. Le petit n'a pas tardé à faire des " hum...hum...hum.." quand il a senti plusieurs décharges de sperme chaud et gluant lui remplir la bouche. L'autre lui en a sûrement envoyé une bonne dose car il a refait des "hum...hum...hum.." sans essayer de recracher ni de se dégager quand le mec en face a réussi à passer une main par un autre trou pour lui tenir la tête fermement pour l'obliger à tout déguster. J'ai même pensé que la décharge était exceptionnelle vu le temps qu'il l'a maintenu et les "hum...hum...hum.." que le jeune a encore refait. Quand le mec s'est retiré, il bandait encore...mais le petit avait tout eu en bouche. Je ne l'ai pas vu ni entendu recracher. Du travail bien fait.
A cette vue, au bord de l'explosion, Gérard a soudain prévenu " AHH...je viens, je viens....je vais juter " et a voulu se retirer mais le petit s'est accroché et a aussi reculé pour lui faire comprendre qu'il était ok pour recevoir les giclées de sperme dans le cul. Il ne voulait rien perdre de son bonheur.
Nous étions un peu à l'étroit et mon balèze de normand était coincé dans l'angle.
Voyant cela, Gérard l'a ressaisi par les cuisses pour lui envoyer les dernières salves de tirs; le petit avait les deux mains crispées sur la cloison, le corps tendu au max pour recevoir tout ce bon sperme chaud dans le cul.
J'en ai profité pour le branler. Je l'aurais bien sucé mais la place et le temps manquaient pour que je m'installe.
Gérard lui a envoyé toute sa semence dans les entrailles en lui disant " Salope, tu en veux, tu vas en avoir...AH...JE JOUIIIIIS ....AAH.....AAH " avec un violent coup de bite qui a envoyé le petit jeune encore une fois la tête dans la cloison.
Dans un long gémissement mêlé de douleur et de plaisir, le jeune, au même moment , m'a envoyé dans la main plusieurs décharges de sperme. QUEL PLAISIR mais on sentait qu'il était allé au bout de lui-même, sûrement le cul explosé mais tellement heureux de s'être pris une grosse bite dans le cul, une bonne décharge dans la bouche, comme beaucoup en rêvent.
Ils se sont bien vidé les couilles tous les deux...et l'autre aussi.
Ils sont restés quelques minutes ainsi collés, le temps que le sperme se répande bien en lui, chacun reprenant son souffle. Gérard lui a demandé "Alors, c'était bon, t'as bien aimé ? " et il a répondu "OUIIIII"
Mon normand l'a encore coulissé de quelques coups de pine, puis s'est mis une main au niveau des couilles pour s'assurer de bien livrer les dernières gouttes de foutre et s'est retiré.
Le petit jeune s'est redressé sans un mot, s'est essuyé la bouche avec sa main et tâté le cul mais n'a rien demandé. Il a remonté son pantalon vite fait puis est parti brusquement. On n'a pas pu toucher ou voir son cul bien ouvert et le sperme qui devait sûrement en sortir. Gérard m'a attiré à lui et m'a donné un énorme baiser pour me remercier et m'a dit "putain, je lui ai bien bourré le cul, il m'a bien vidé les couilles, le salaud. Quel cul, il était bien chaud".
A ce moment là, un des mecs qui nous avaient maté s'est agenouillé, a saisi ma bite raide de désir pour la sucer. QUEL BONHEUR Je ne me suis pas fait prier pour lui bourrer la bouche avec ma bite épaisse, à la limite de l'étouffer....il aimait ça le salaud. Gérard lui a appuyé sur la tête pour que je profites bien et m'a dit à l'oreille "vas y, Laurent, soulage toi, crache ". Pas besoin d'explication pour dire qu'il a reçu en peu de temps une énorme décharge de sperme bien épais en bouche.....qu'il a avalée goulûment. Il est reparti, lui aussi, aussi rapidement que le jeune, presque honteux de s'être fait plaisir;
Il était temps, je commerçais à avoir mal aux couilles et j'avais trop envie de jouir....
Il a même léché ma main, avec le sperme du petit dessus.
On a aperçu le petit quitter le club...et Gérard m'a lancé une plaisanterie " Tu ne vas pas l'entendre couiner en partant, je l'ai bien graissé "
C'est heureux et décontractés que nous avons discuté en buvant notre coca et nous nous sommes raconté nos histoires de sexes.
Dans le train, le soir, j'en ai rêvé pendant tout le trajet.
Caramel
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