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La chambre voisine
Les routiers Roland et son copain m'avaient déjà bien tringlé tous les deux dans le petit bois près du parking de l'hôtel. Le balèze de Roland venait de me rebaiser dans ma chambre d'hôtel. Un client présent dans la chambre à côté avait entendu nos ébats depuis la loggia.
"..... Je vous ai entendu, j'ai bandé pendant tout le temps qu'il t'a baisé"
On n'avait pas fait attention mais la fenêtre était basculée et permettait d'entendre. Il était visiblement intéressé d'en savoir plus.
" Je l'ai rencontré à côté du parking "
" Je sais, je vous ai vu arriver dans ta chambre. J'ai tout de suite compris qu'il allait s'occuper de toi et que tu avais envie. Je ne pensais pas que vous auriez autant de plaisir.
"Il avait très envie lui aussi et il a bien aimé.
" Et il est vraiment bien monté, comme il m'a dit?
" Pour ça oui, il a fait attention au début. Je me sentais bien avec lui, c'est passé"
Il tournait en rond, par pudeur, par respect et sûrement la peur de me fermer à toute ouverture sur son envie. Je lui ai demandé:
" Et toi, t'as déjà fait avec un homme?
" Non, j'aimerais bien....ça m'a donné envie.
puis, bravant ses préjugés, osant enfin, il s'est enfin lancé:
" Tu sais, j'ai 45 ans, je m'appelle Thomas, à part avec ma femme, j'ai rien fait d'autre. Quand je t'ai vu avec le balèze de routier, j'ai eu envie d'être à sa place. Tu es beau, pas du tout le style à te faire remarquer, un beau corps de jeune homme. Tes gémissements, tout le plaisir qu'à pris le routier, m'ont rendu dingue. J'aimerais bien, moi aussi, te faire l'amour. Tu sais, je suis propre, discret et j'ai pas envie de te faire de mal. "
Pendant qu'il avouait son désir pour moi, je le voyais dans la lumière du soir avec sa belle chemise blanche impeccable. De même taille que moi, environ 85 kg, un corps équilibré, entretenu. Pour cacher une calvitie prononcée, il était rasé court partout ce qui augmentait son charme. Bref, un bel homme poli, respectueux, doux et plein de désirs.
J'allais lui répondre quand il m'a proposé d'aller boire quelque chose de frais à l'accueil de l'hôtel.
Nous avons croisé un couple qui venait de se voir refuser une chambre: l'hôtel était complet.
Une idée m'est venue. J'avais besoin d'argent pour payer le garagiste le lendemain.
" Si vous voulez, je vous propose ma chambre.
" Vous en n'avez plus besoin? "
Mon beau prétendant, Thomas, très vif sur ce plan là, a vite saisi la chance qui se présentait:
" Ne vous inquiétez pas, j'ai une place de disponible dans ma chambre. "
Le couple a semblé hésiter puis a accepté sans négocier.
J'ai vu les yeux de Thomas briller, fou de joie contenue. S'il avait pu m'embrasser à ce moment là, il l'aurait fait.
Le couple est allé chercher quelques affaires, nous sommes retournés à ma chambre. J'ai remis de l'ordre et rangé mes affaires.
" Moi c'est Laurent, merci de me recevoir.
" Si tu savais le plaisir que tu me fait de venir passer la nuit avec moi. C'est encore mieux que ce que j'espérais. Laurent, je suis monté normal, pas équipé comme ton balèze de routier mais je vais faire le maximum pour que tu ne le regrette pas. "
Lorsqu'il a refermé la porte de la chambre, le hasard en partie avait décidé pour nous. Je me suis rapproché de Thomas, lui ai souri. Il a souri lui aussi et m'a serré dans ses bras. Je lui ai demandé de fermer les yeux, ce qu'il a fait, et lui ai donné un baiser .
Ce contact a été pour lui une libération à sa retenue. Ses lèvres ont trouvé les miennes et nous sommes restés ainsi pendant un long moment. Il dégageait un parfum très agréable de noix de coco qui venait envoûter mes narines. J'ai fermé les yeux, j'étais bien.
Quand j'ai commencé à enlever sa chemise, il a fait de même pour découvrir mon corps. Ses pectoraux étaient superbes et, sous un beau tapis de poils, j'ai découvert deux tétons tendres et sûrement désireux d'être visités.
Nous nous sommes dirigés vers le lit. Pris par son désir, il devenait plus entreprenant sans pour autant me forcer. Quelques minutes après, nous étions nus, enlacés, complices d'un bonheur à venir.
Une douceur naturelle se dégageait de Thomas. Il m'a souri, heureux, lorsque j'ai commencé à caresser les parties intimes de son corps. Ne voulant pas être à la traine, il m'a rendu la politesse.
Pour un homme qui se disait monté normal, j'ai trouvé qu'il était plutôt bien doté et même au dessus de la moyenne.
" Thomas, tu as un très beau sexe, tu n'a pas à avoir de complexe.
" Merci Laurent. Tu bandes, toi aussi. Tu as envie, comme moi. C'est la première fois que je prends le sexe d'un homme dans ma main et je suis content de le faire avec toi. Tu as un très beau sexe toi aussi."
Dans un élan de désir, il s'est penché et a approché sa bouche de mon sexe. Ses lèvres se sont refermées sur mon gland et, sans doute parce qu'il aimait, sont descendues sur ma tige.
" Continues, Thomas, c'est trop bon."
J'ai passé mes mains sur son visage et sa belle tête chauve pour l'encourager, le remercier du bonheur qu'il me procurait.
Lorsqu'il s'est redressé, il était souriant, fier d'avoir franchit une étape et y avoir pris du plaisir. Je me suis penché à mon tour et, avec délicatesse, comme lui, lui ai caressé la queue. Quand ma langue a salivé son gland et mes lèvres ont descendu entièrement jusqu'à ses couilles, j'ai su que ce bonheur était nouveau, excessif peut être pour lui. Ses gémissements, ses contractions, la tension de ses jambes ont fait que j'ai compris qu'il était pas loin du bord.
" Laurent, je vais pas tenir, je pensais pas que c'était si bon, Laurent, je suis désolé mais je crois que je vais cracher."
Ses mains étaient posées sur ma tête et me caressaient. J'ai continué à le sucer le mieux que je savais faire, à lui caresser les couilles, les cuisses. Il fallait qu'il évacue cette tension insupportable. Il m'a prévenu qu'il allait jouir, s'est arqué pour m'envoyer tout son sexe en bouche et, dans un râle sourd et libérateur, a laissé exploser son bel appareil reproducteur.
Plusieurs giclées abondantes de sperme sont sorties violemment et se sont répandues dans ma bouche. La quantité était généreuse et de bonne qualité, crémeuse, iodée, délicieuse. Après avoir tout pris, j'ai tout recraché sur son ventre et je lui ai souri.
" tu veux goûter ton sperme?
" Je veux bien. Laurent, je suis trop malheureux d'avoir jouis si vite. "
J'ai mis un doigt sur sa bouche pour qu'il arrête de parler puis j'ai repris son sperme pour le lui donner à goûter. Il a tout avalé et nous avons roulé notre première pelle bien gluante.
" Laurent, je suis vraiment désolé; Je te promets, je vais rebander et te faire plaisir.
" Thomas, je sais que t'en as pas fait exprès. Tu avais trop envie. Embrasses moi. Fais toi plaisir avec mon corps. Laisse toi aller."
Et Thomas s'est lâché, découvrant mon corps, me couvrant de baisers, salivant mes tétons, gobant mes couilles, suçant ma bite le plus qu'il pouvait jusqu'au fond de sa gorge, salivant abondamment mon petit trou, embrassant mes mains, léchant mes pieds....
Jamais un homme n'avait pris autant de plaisir à parcourir mon corps.
Rassasié, repu, il s'est enfin allongé contre moi, souriant, heureux, libéré, bandant comme un cerf, m'a pris dans ses bras et m'a dit:
" Laurent, c'est bon, j'ai plus qu'à t'enculer..." et il a éclaté de rire.
Il était heureux avec moi. Il m'avait fait découvrir un plaisir exquis sur des parties de mon corps ou personne ne s'y était encore aventuré.
" Thomas, tes baisers et tes caresses sont merveilleuses"
Il était heureux du compliment, m'a serré dans ses bras, embrassé
" Laurent, mon petit chéri, maintenant, je vais te faire grimper aux rideaux"
Son portable a sonné, nous ramenant brutalement à la réalité. Il s'est redressé, contrarié mais a répondu.
Je suis allé dans la salle de bains sans faire de bruit, pour préserver sa conversation. L'appel fini, nous avions débandé mais étions toujours complices et heureux d'être ensemble. Il est venu vers moi, m'a donné un petit bisou:
" Désolé, Laurent, je pouvais pas faire autrement que de répondre.
" Thomas, tu n'a rien à craindre de moi, je ne vais pas empiéter sur ta vie privée."
Puis, pour le détendre un peu et changer la conversation:
" J'ai faim. Allons manger maintenant et après, Thomas, on coupera nos portables et la nuit sera rien que pour nous.
" Merci Laurent..."
Il voulait en dire plus mais n'a pas osé. Je l'ai senti dans son regard.
Je ne voulais pas trop aller manger au restaurant près de l'hôtel par crainte de recroiser le routier que Roland avait éconduit et me faire traiter de pute ou autres saloperies; Thomas a devancé ce problème et a proposé d'aller manger plus loin.
Thomas a bien sûr roulé et on est allé dans un restaurant assez classe, ou les prix m'ont fait peur. Thomas m'a rassuré, l'addition était pour lui, du moins, c'était sa boite qui allait payer. Il s'est montré attentionné, soucieux de me faire plaisir, toujours élégant dans la façon de se comporter envers moi. A la fin du repas, ses yeux brillaient de bonheur. Il m'a expliqué plus tard qu'il était fier de m'avoir eu à sa table, que je me comportais tel qu'il l'avait imaginé et que, dès la première fois qu'il m'avait vu avec Roland, le routier, il avait eu du désir pour moi sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait.
Sur la route du retour vers l'hôtel, nous n'avons pas beaucoup parlé. Nos mains se sont rejointes. Nous étions mûrs pour une nuit torride.
Dès la porte de la chambre franchie, nous nous sommes déshabillés et allongés sur le lit. Ses lèvres étaient brûlantes de désir, son corps chaud, son sexe tendu, décalotté.
" Thomas, laisse moi te caresser comme tu l'as si bien fait tout à l'heure"
Il s'est offert à moi, sans pudeur, libéré. Son parfum envoûtant de noix de coco était un appel au viol. Lorsque j'ai sucé ses tétons et les ai mordillés, il gémissait tout en m'incitant à continuer. Je me suis rapproché de sa queue dressée comme une offrande à ma bouche et j'en ai admiré toute la beauté, en ai salivé toute la tige. Ses couilles poilues ont eu l'honneur d'être gobées, malaxées, râpées par ma langue experte.
Il n'a pas refusé non plus de m'offrir son petit trou et s'est tendu de son mieux pour que j'en savoure la corolle, que je m'aventure même à y rentrer ma langue et mon doigt.
Lorsque nos lèvres se sont retrouvées, Thomas m'a serré très fort, imprimant sa virilité sur moi, satisfait, pressé de passer à une étape qui lui tenait à coeur.
J'ai deviné son désir, me suis mis sur le ventre, offrant mon cul, mon petit trou à cet homme doux, respectueux, sensuel, chaud, bourré d'envies sexuelles pour moi. Sans un mot, il s'est positionné et a trouvé sa place. Son sexe s'est naturellement calé contre ma rondelle. J'ai tendu mon cul et, dans une harmonie mutuelle, son gland m'a ouvert et a continué son chemin pour aller au plus profond de mon intimité offerte.
Lorsqu'il a senti qu'il m'avait pénétré à fond, Thomas, d'instinct, m'a redonné un coup de reins avant de m'embrasser la nuque.
" Merci Laurent....mon chéri... "
Voilà ce mot que j'avais deviné tout à l'heure et qui sortait là, maintenant, pour signifier tout le bonheur qu'il pouvait éprouver.
Je me suis légèrement tourné pour essayer de trouver ses lèvres, le remercier. Je lui ai embrassé les mains, faute de mieux.
" Moi aussi, Thomas. Baise moi fort, j'ai envie. "
Sa queue venait de me pénétrer sans problème. Il faut dire que Roland, le routier balèze, m'avait bien dilaté, deux fois dans l'après midi, avec son gourdin imposant. Thomas le savait et, par élégance, n'a pas fait d'observation particulière.
Mon oncle m'avait dit une fois que les mecs chauves baisaient mieux que les autres. Je l'ai vérifié par moi-même quand Thomas m'a pistonné tel un mâle dominant, sûr de ses capacités.
Il m'a baisé sans retenue, insatiable, heureux de profiter de mon corps, satisfait des gémissements de plaisir que je lui donnais. Et c'était pas de la simulation.
Nos corps ne faisait plus qu'un. Je ne sentais plus sa queue en moi, seulement ses couilles qui venaient caresser mon trou sous ses assauts.
Je ne pourrais pas dire combien de temps il m'a honoré. Le temps ne comptait plus, nous étions ensemble, l'un pour l'autre, dans un désir sexuel réciproque.
Sur le dos, offert, les jambes relevées, j'ai senti une onde de plaisir monter en moi. Sa bouche était comme une offrande sur mes lèvres. Son sexe oeuvrait en moi et ses bras, ses mains m'enveloppaient de sa tendresse, sa douceur. Tout est soudain devenu trop puissant, trop bon, irréel.
Je l'ai serré très fort, le voulant au plus profond de moi. Mon corps et mon esprit ont lâché prise. J'étais soumis à son envie. Plusieurs contractions ont parcouru mon corps, mon sperme a jailli de mon sexe et s'est répandu entre nous.
Thomas a senti cette semence chaude se répandre et a arrêté de me limer pour me regarder profiter de mon bonheur et aussi savourer sa victoire. J'ai vu dans ses yeux un immense bonheur de me voir jouir sous ses assauts. Il est devenu plus câlin, m'a couvert de bisous quand il a vu que j'étais ému, secoué.
C'est la première fois que cela m'arrivait. Il n'a rien dit mais pour le rassurer, je lui ai dit:
" Continue, Thomas, j'ai trop envie."
" Laurent, j'ai envie de jouir moi aussi. Je suis trop heureux
" Thomas, vas y, laisse exploser ton bonheur.
" Je t'aime Laurent "
Il a repris avec fougue et tendresse ses ondulations dans mon corps. Nous étions dans une même harmonie. J'ai passé mes mains sur ses cuisses pour le retenir, l'encourager. Il s'est écroulé sur moi au moment de la jouissance suprême. Pour la première fois de sa vie, il venait de sodomiser un mec et, bonheur suprême, de lui jouir dans le cul.
Nous sommes restés ainsi un très long moment. Je lui ai saisi la tête avec mes deux mains et l'ai couvert de baisers. En reprenant sa respiration, il a réussi à me dire à l'oreille:
" Laurent, Merci mon chéri "
Il s'est retiré, caressant mon petit trou puis mon sexe , ivre de ce bonheur nouveau pour lui.
Je me suis blotti contre lui et nous sommes restés ainsi, savourant ce moment exquis.
La nuit était tombée. Il était maintenant sans pudeur, se promenant nu, me touchant, me caressant des yeux. Je ressentais pour lui cette sensation nouvelle qu'on peux avoir lorsque l'on se sent bien avec quelqu'un. Je le trouvais de plus en plus beau, élégant, racé, viril. J'aurais été malheureux s'il ne m'avait pas apprécié, s'il avait sauté du lit dès son coup tiré.
La nuit a été un grand moment de tendresse, de volupté avant que l'on dorme un peu. Au petit matin, je me suis levé, Thomas dormait. A mon retour dans le lit, ses bras étaient ouverts pour m'accueillir. J'ai vu ses yeux briller. Il semblait ému, un peu perdu.
J'ai su, au plus profond de moi, à ce moment là, pourquoi j'avais moi aussi eu un moment d'émotion.
" Laurent, je sais à quoi tu penses
" Thomas, je ne peux pas te le dire, c'est trop compliqué
" Tu connais la chanson de Serge Reggiani.....Il suffirait de presque rien, peut être dix années de moins....
" Comment as-tu deviné?
" Thomas, que croit tu que j'ai ressenti pour toi tout à l'heure? "
Thomas m'a alors fait l'amour comme s'il avait quelque chose à me prouver, pour me signifier qu'il m'aimait plus que d'autres, comme s'il avait peur de me perdre.
Nous avons jouis tous les deux en même temps, unis dans la même passion.
" Tu as bien aimé, Laurent
" Thomas, tu fais merveilleusement bien l'amour
" Le routier, il t'a fait ça aussi bien que moi ou mieux ?
" Thomas, tu n'as pas à avoir de complexe....pas du tout. C'était très bon avec Roland, le routier. Il a pris soin de ne pas me faire mal et j'ai jouis tellement c'était bon.
Thomas, je ne veux pas comparer mais, si tu as envie, j'aimerais tellement qu'on se revoie. C'est la première fois que je demande ça à un homme que je rencontre. D'habitude, c'est toujours l'inverse.
" Laurent, excuse moi, j'aurais jamais du te demander ça, de comparer. Je suis désolé. Je suis tellement content de ta demande. Bien sûr que c'est oui. Oui, oui, oui. Merci mon chéri, je t'aime. "
Thomas s'est empressé de me donner son numéro. Il était plein d'entrain, joyeux.
Il était temps de se préparer pour partir.
Le petit déjeuner s'est passé normalement. Thomas m'a conduit au garage et a continué sa route. Il avait un rdv avec un client. La réparation sur ma voiture était en cours.
Ce soir là, j'ai fait une heure de route pour le retrouver et passer la nuit avec lui. Une de mes plus belles nuits de tendresse que j'ai pu passer avec un homme.
Dès que nous pouvons nous retrouver, c'est avec bonheur que nous le faisons. Thomas m'a avoué qu'il aimerait bien faire un plan à trois, comme on dit, avec Roland, le routier qui m'avait baisé avec passion et qui avait donné envie à Thomas d'en faire autant.
J'ai appelé Roland, super heureux de mon appel, et, même s'il préférerait passer la nuit seul avec moi, a finalement accepté que Thomas soit présent.
Je sens que mon petit cul sera bien ramoné ce jour là.....
Si vous avez aimé mon histoire, vous pouvez m'écrire. Merci.
Caramel
caramel35@orange.fr
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