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Alors que son regard se posait sur mon visage ravi et imprimé de sa bite, une voix nous stoppa net. Antonio etait redescendu et nous regardait, totalement ébahi!...
La situation était irréelle: moi à genou dans le salon, suçant mon propre père et surpris par son meilleur ami.
Visiblement tres choqué, Antonio détourna son regard de la scène incestueuse qui se déroulait sous ses yeux et reprit son chemin vers la porte de l'entrée.
-"heu...., heu.... il est temps que j'y aille!" Dit-il de sa voix tremblante. Lui généralement souriant, il avait soudain perdu tout sourire.
- "on peut peut être discuter de ce que tu viens de voir'' se hâta de répondre mon père tout en me repoussant et remontant son slip.
Antonio avait déjà claqué la porte derriere lui.
Mon père n'avait apparemment pas envisagé une telle situation, il s'était laissé emporter par le plaisir de se faire pomper par son fils, de se laisser aller à ses pulsions, à son envie profonde de décharger sa semence dans la gorge de son fiston. Il en avait oublié la présence de son meilleur ami à l'étage.
J'étais comme étourdi. Déçu de ne pas être aller jusqu'au bout et en même temps honteux de m'être fait repoussé. Mais pas une seule minute gêné d'avoir été surpris en train de sucer mon père, bien au contraire, ravi de montrer à son meilleur ami que j'étais une vraie chienne affamée de queues. Mon père avait éveillé mes plus profonds instincts.
Il commença à paniquer, et faire les cent pas dans le salon.
- "Mais tu te rends pas compte, Julien, mais qu'est ce qu'on a fait?!" disait il en prenant sa tête entre les mains. "Tu t'imagines si il nous balançe, si il raconte ça aux flics?! Ma vie est foutu!"
Je ne l'avais jamais vu aussi paniqué et désemparé. Il se tourna vers moi:
- "C'est à cause de toi tout ça! Petite salope!"
Ses mots étaient violents et durs. Il ne les prononçait pas de manière excité mais avec beaucoup de colère et de remords.
-"ca te suffit pas de pomper tous les mecs de ta région tu veux aussi sucer celle de papa!"
encherit-il.
Je reste bouche bée, celle qui une minute avant recevait les assauts de son gros gland épais.
Mes joues rougissaient et, hyper vexé de sa réaction, je me relevais et decampais en vitesse, quittant le salon pour me refugier dans ma chambre.
La journée se passa et nous nous sommes pas adressé un mot jusqu'au repas du soir où ma mère, épuisée de la journée, s'adressa à mon pere.
- "alors cette journée de repos c'était comment?'
Visiblement toujours très contrarié mon père bafouilla:
- "heu...ben... rien d'extraordinaire, du rangement et j'ai installé la machine à laver"
Elle se tourna vers moi:
-et toi mon chéri? Ta première journée de vacances ça se passe bien?
Je fixais mon père du regard, comme pour le défier. Je lui en voulais pour les propos qu'il avait tenu.
- "ben j'aurais aimé aider papa mais bon apparemment il n'apprécie pas que je sois entreprenant !"
Mon père sursauts en entendant ces quelques mots. Ma mère, surprise par la tension qui régnait, demanda:
- "mais qu'est ce que qui se passe ici?! Je peux pas m'absenter un jour sans que vous vous disputiez! "
Elle s'adressa à mon père:
- "tu es têtu! Quand accepteras tu l'aide de ton fils? Ce n'est plus un enfant! Il peut t'aider à porter des charges lourdes, à faire du bricolage..."
-"oui papa, je ne suis plus un enfant" répétais-je en passant ma langue sur mes lèvres, le sourire en coin.
Il me regarda avec fureur.
- "bon je vais me coucher je suis claqué" lança t'il dépité.
- "ah ok, ben bonne nuit mon Amour" répondit ma mère, étonnée mais trop fatiguée pour chercher à comprendre. Il monta les escaliers un à un sans se retourner pendant que je mattais discretement et avec envie ses fesses moulées dans son jogging.
- "tu sais ce qui lui prend?" me demanda ma mère, exténué.
- "oh c'est rien il est de mauvaise humeur depuis ce matin" je répondis en mentant.
J'aidais ma mère à débarrasser et allais me poser dans le canapé devant la TV.
Une fois la vaisselle faite, ma mère me prévenna qu'elle montait se coucher.
- "bonne nuit mon coeur, te couche pas trop tard"
- "t'inquiètes pas maman, bisous"
Je zappais sur les chaînes et tombais par hasard sur une scène assez chaude où une femme se faisait prendre. Ce n'était pas un film érotique ou porno juste une scène chaude dans un film quelconque. On voyait l'homme s'activer en remuant le bassin pour la pénétrer. Ça commençait à m'exciter, m'imaginant à la place de la femme.
Je sentais ma bite grossir entre mes jambes et forcer le tissu de mon boxer. Je repensais à cette matinée et la nuit derniere. Et je pensais aussi à ce qui allait arriver dans les jours à venir.
Plus rien ne serait comme avant. J'ai sucé mon père. J'ai goûter à sa queue. Et il a aimé.
Pendant que je partais la scène de sexe qui semblait être interminable, je descendait la braguette de mon jean, passais ma main dans l'ouverture et entourait ma bite de mes doigts pour la libérer de mon boxer. Elle était chaude et bien dure. Je la passa par l'ouverture pour la maintenir bien raide hors du jean. Je suis plutot bien monté, 19cm x 6, mais ça met totalement inutile, je suis 200% passif.
Je me mis à me branler avec vigueur, pour apaiser l'excitation de la journée. Ma queue était fièrement dressée et gonflée à bloc. Ma main droite fesait des vas et viens sur toute la longueur pendant que la gauche effleurait mes têtons.
J'entendis des bruits de craquement venant de l'escalier. Je comprenais immédiatement que c'était le réveil nocturne habituel de mon père descendant à la cuisine pour boire.
Je continuais ma séance de branle comme si de rien n'était. Je l'entends ouvrir le frigo, boire à la bouteille puis le refermer. Le canapé étant dos à la cuisine mais chaque pas au sol trahissait sa curiosité et je pouvais sentir sa présence à 1 m'être du canapé. À cette distance il avait une vue parfaite sur la télé et ce que jetais en train de faire. J'entendais sa respiration forte et saccadée. Ce petit jeu dura bien 5 minutes. Je continuais ma provocation en accélérant les mouvements sur ma queue tout en poussant des gémissement de plaisir. J'envoyais 3 jets puissants, arrosant le parquet à plus d'un mètre devant moi.
La voix de mon père me sorta de mon état d'excitation.
-"t'oublieras pas de nettoyer tout ça" dit il d'un ton sec et directif.
Il remonta se coucher. Je tourna ma tête et eu le temps de voir son paquet bien dressé en remontant les escaliers. La scène l'avait apparemment bien chauffé malgré la colere qu'il ressentait envers moi. Il était resté tout au long de ma séance jusqu'à ma jouissance.
Le lendemain, je me levais et descendais à la cuisine. Ma mère était partie bosser depuis déjà une bonne heure.
Mon père se préparait à partir quand son téléphone sonna.
- Allo? Ah salut Antonio. [Moment de gêne et de silence] heu Antonio, il va falloir qu'on parle de ce que tu as vu. Ok on se voit samedi, je serais seul à la maison, passe quand tu veux.
Mon père raccroche. Gêné il m'adresse à peine un regard. Il enfile sa veste et me dit:
- "tu te débrouilles comme tu veux mais je ne veux pas te voir à la maison samedi."
Et il claque la porte derriere lui.
C'était sans compter sur ce que je lui reservais...
Story Hard
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