Premier épisode | Épisode précédent
Mon père raccroche. Gêné il m'adresse à peine un regard. Il enfile sa veste et me dit:
- "tu te débrouilles comme tu veux mais je ne veux pas te voir à la maison samedi."
Et il claque la porte derriere lui.
C'était sans compter sur ce que je lui réservais...
Le samedi arriva très vite. Il était 9h et j'entendis la voiture de ma mère démarrer et quitter la maison.
Je m'étirais dans mon lit en prenant soin de remettre en place ma queue qui était bien tendue.
Mon père frappa à la porte de ma chambre et passa sa tête dans l'ouverture de la porte.
-"Antonio va pas tarder à arriver, dépêche toi de te lever et de quitter la maison toi aussi" me lança t'il sèchement.
-"Ok" lui répondis-je froidement. Je me mis à le détester. Comment pouvait-il être aussi attirant et détestable en même temps?
Il disparu aussi vite qu'il était apparu.
Son dédain me mettait en rage. Ma gaule du matin me passa rapidement. Je me levais rapidement et me retrouvait face à mon miroir.
- "Alors comme ça tu veux te débarrasser de moi aujourd'hui?!" me disais-je à voix basse. "C'est ce qu'on va voir..."
Je descendais 10 minutes plus tard, habillé et prêt à sortir. Personne dans la cuisine, ni dans le salon.
Mon père devait certainement s'afférer dans le garage ou notre jardin.
J'ouvrais la porte d'entrée et m'installais tranquillement dans ma voiture. Je démarrais et, au bout de la rue, ralentissais pour me garer dans une rue perpendiculaire.
Au bout de seulement 15 minutes, je voyais passer devant moi la clio d'Antonio, le meilleur pote de mon père.
Un sourire se dessina sur mon visage.
J'attendais quelques minutes avant de redémarrer et remonter ma rue pour venir me garer à 10 mètres de chez moi.
Je finissais le trajet à pied en essayant de me faire le plus discret possible. La rue était très calme et peu passante. J'approchais lentement de chez moi. Je traversais le jardin et contournais la maison pour m'approcher de la baie vitrée du salon.
Là je pu identifier mon père et Antonio dans le salon, mon père debout et son ami installé sur le canapé. Mon père était très agité et faisait de grands gestes. Antonio, lui, écoutait attentivement mon père tout en montrant un visage décontenancé. Il semblait ne pas comprendre ce qu'était en train de lui raconter mon père.
Je décidais de rentrer par l'arrière de la maison, via une porte de garage qui menait à la cuisine. Je passais délicatement la clé dans la serrure et tournait lentement pour ne pas faire de bruit. Je poussais lentement la porte et j'entendis la forte voix de mon père qui tentait de raisonner Antonio.
Je profitais de leur occupation pour m'aventurer à l'intérieur du garage et commençait à me débarasser de ma veste. Après la veste, j'entrepris de retirer mes chaussures, puis mon jean et mon pull. Je me retrouvais rapidement en boxer. Quand je vous dis que je lui réservais une surprise je ne blaguais pas...
Je m'avança presque nu jusque dans la cuisine et arriver dans un espace plus chauffé je laissais tombé mon boxer. De ma place, je ne pouvais pas encore visualiser le salon et ils ne pouvaient pas me voir. Je prenais une bonne respiration et me dis que je devais aller jusqu'au bout, peu importe les conséquences.
Je débarquais dans le salon en tenue d'Ève, mon père se retournant vers moi tandis qu'Antonio me fixa, ébahit.
- "Julien?! mais... qu'est ce que tu fais?! bégaya mon père
- "Je voulais juste montrer à Antonio qu'il peut se sentir à l'aise ici" dis-je en m'approchant du canapé et en venant m'asseoir juste à coté de lui.
Mon père resta subjugué. Je le sentais complètement perdu et choqué.
Tout en restant très naturel je fixais Antonio tout en aventurant ma main sur sa cuisse.
Surpris, ce dernier prit un réflexe de recul et ôta ma main à la hâte.
- "Heu... Julien.. je crois que tu te méprends... je ne suis pas homo" commença t-il. " Et ce que tu fais avec ton père me dégoûte" rajoute t-il.
- "A ce point?" répondis-je en me rapprochant de lui et en reposant ma main sur sa cuisse et la remontant jusqu'à effleurer son entrejambe.
Mon père n'intervenait pas, tout simplement dépourvu et certainement en attente de la réaction de son ami.
Antonio eut à nouveau un geste de recul mais j'empoigna rapidement son entrejambe et sentit une large bosse qui commençait à prendre du volume.
-"Je ne comprends pas ce que se passe ici" lâcha t'il déboussolé.
- "tu bandes Antonio, voila ce qui se passe" dis-je avec un air très aguicheur. " Et je suis là pour te soulager si tu veux" rajoutais-je complètement désinhibé.
Mon père regardait la scène avec effroi. Il se demandait comment je pouvais agir d'une telle manière, en public, sans aucune limite.
Je vis des échanges de regard entre Antonio et lui, comme si Antonio demandait des explications à son ami, qu'il lui vienne en aide. Je tenais toujours fermement la bosse d'Antonio dans ma main gauche tout en malaxant pour sentir son barreau se tendre lentement. Mon père ne réagissait toujours pas, comme s'il me donnait la permission de me conduire comme une salope avec son pote.
Antonio faisait contracter ses muscles, comme s'il voulait prouver qu'il pouvait se dégager de cette emprise. Ses pecs et ses biceps étaient gonflés à bloc, ce qui m'excitait encore plus. Ce mec était un apollon, vraiment super excitant. Et son entrejambe semblait prometteuse.
Il tenta de se relever pour montrer son mécontentement et son non-consentement. J'en profitais pour dégrafer les premiers boutons de sa braguette et tirais avec force sur son jean, ce qui le fesa basculer dans le canapé. Il se retrouva avachit, le jean au niveau des cuisses. je me dépêcha d'attraper sa bite à travers son caleçon. Je la trouva facilement car cella ci était à présent très tendue et visiblement énorme. Elle trahissait une excitation qu'il tentait tant bien que mal de dissimuler. Visiblement, mes gestes et mes paroles avaient eu un effet sur sa queue.
- "Non Julien, ne fait pas ça" essaya t'il de me convaincre
- "Tu n'aimes pas mes mains?! ok on va tenter autre chose..." lui lançais-je
Je fonçais tete baissée vers son pieu et passa mes lèvres sur son caleçon déformé. Il ne montra aucune résistance et j'en profitais pour dégager sa bite par la fermeture du caleçon. Elle était longue et épaisse. Une bite nervurée surmontée d'un gland foncé et puissant. Une vraie bite d'acteur porno. Bien droite et raide. J'en bavais tellement j'en avais envie. Je me jeta sur son chibre avec intensité, en la prenant entièrement en gorge profonde pour le convaincre de me laisser faire (ce qui franchement ne fut pas une tâche difficile vu le peu de résistance qu'il démontra).
Tout en suçant avec avidité Antonio, je regardais mon père resté debout en train de regarder la scène. Ce n'était plus un regard surpris mais un regard coquin qui illuminait son visage. Il s'approcha de nous et pris ma tete pour accompagner mes mouvements sur la bite de son pote.
-"tu comprends pourquoi je ne peux pas résister à cette bouche" dit-il à l'attention de son ami
-"ouais... ouais... je commence à comprendre" répondit Antonio, à demi gêné, la voix trahissant son plaisir.
Pendant que mes lèvres s'activaient sur la queue énorme d'Antonio, j'entendis le bruit de la braguette de mon père s'ouvrir et son jean tomber à ses mollets. Je regardais mon père dégager sa bite de son slip et s'approcher de mon visage. Je délaissa quelques secondes la bite d'Antonio pour empoigner celle de mon père et la prendre délicieusement entre mes lèvres. Quel bonheur de passer d'une bite à une autre, sentir ces deux chibres me remplir la bouche. Mais j'en voulais toujours plus et j'entrepris de les prendre toutes les deux en même temps dans ma bouche. Difficile au début, je demandais à ma mâchoire une grande souplesse pour les laisser passer et leur procurer un plaisir intense. J'étais au paradis. j'empoignais ma queue avec mon autre main pour accentuer mon plaisir pendant que ces deux mâles s'empressaient de m'élargir les lèvres, à qui des deux enfoncera le plus de centimètres dans ma gueule. Je salivais comme un fou, pour être sûr de bien coulisser sur leur bite.
Ce traitement dura près de 10 minutes, leur main me forçant a tour de rôle de prendre leur queue le plus profondément possible. Je les entendais râler et grogner, ils en voulaient toujours plus. Mon père attrapa la main de son pote et la dirigea sur mes fesses tendues.
Sans gêne, il commença à caresser lentement mon postérieur puis, la confiance s'installant rapidement, laissa glisser deux doigts le long de ma raie pour venir chatouiller mon anus. Il commença à enfoncer lentement un premier doigt, tout en donnant des coups de rein pour que je le suce plus fort.
L'excitation me faisait mouiller intensément et il ne força pas pour y introduire rapidement un second puis un troisième doigt.
Au bout de 10 minutes, je me tenais à quatre pattes, la bite de mon père en bouche et Antonio placer derrière moi en train de me doigter avec intensité, tout en branlant sa bite avec fureur. Mais notre petite séance s'interrompit brusquement! Quelqu'un venait de sonner à la porte...
[Si vous souhaitez rapidement une suite, j'attends vos impressions... et vos idées... alors lâchez votre queue 2 minutes après avoir cracher j'espère) et à vos claviers!]
Story Hard
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