Cette histoire est réelle et s'est passée le 20 décembre dernier.
Moi, Julien, 23 ans, brun, 1m80, très fin, imberbe et pas très musclé.
Bernard, mon père, 46 ans, 1m85 de muscles (ancien rugbyman qui fréquente toujours la salle de sport pour s'entretenir comme il le dit...).
Fils unique et vivant toujours chez mes parents (travaillant dans la même ville) et n'ayant pas encore fait mon coming out, je désespèrais de rencontrer le mec idéal, si possible grand, bien foutu, plutot mûr et plus agé que moi... (j'adore les mecs plus vieux et expérimentés).
Lassé de ne tomber que sur des gars de mon âge indécis et pas assez virils, je fantasme de plus en plus sur les potes de mon père. Tous sont taillés comme lui, tous anciens rugbyman comme lui, très bourrus, virils, hétéros convaincus et très portés sur les blagues coquines...
20 decembre, 18h15: je quitte le travail, soulagé d'une longue journée bien chargée. Et surtout content d'être en vacances pour une semaine. Comme d'habitude, je prend la direction de la maison, et arrivé devant la maison je peste ne trouvant pas de place pour me garer.
Mes parents et moi habitons un petit pavillon avec une place de parking souvent squaté par la caisse de mon père. Bref je me rend compte que plusieurs voitures familières sont postées devant: celles de 2 potes de mon paternel. Tout excité à l'idée de retrouver Patrick (51 ans, 1m90, tres viril, poilu et divorcé 3 fois, un vrai queutard) et Antonio (49 ans, espagnol, meilleur ami de mon pere, tres typé avec une peau foncée, tres musclé aussi et coureur de jupon invétéré), j'ai qu'une hâte: trouver une place. Sentant mon entrejambe gonfler dans mon boxer a l'idée de leur serrer la main, je pourrais laisser ma caisse garer en pleine rue !
Après 10 minutes à tourner je finis par trouver une place et me depeche d'arriver à la porte d'entrée.
J'ouvre la porte et suis ravi d'y trouver mes 2 fantasmes assis à la table du salon, accompagné de mon père et de ma mere afférée à la cuisine pour leur servir à boire.
- Déjà rentré mon chéri ?" s'étonne ma mère
- "Oui oui enfin en vacances!" répondis-je soulagé.
- "File te doucher et rejoins nous vite nous allons bientôt passer à table" me dit-elle
Je m'attarde quelques minutes dans le salon pour saluer Patrick et Antonio. Leur poignée de main virile me font littéralement bander et j'ai du mal à cacher mon début d'érection.
Je fais rapidement le tour de la table pour éviter de me faire griller et embrasse mon père qui me presse de monter à l'étage pour me laver.
Après une douche rapide et un repas bien arrosé, mon père raccompagna nos invités, ivre de fatigue et d'alcool. Je regagnais ma chambre et mes parents fesaient de même.
Allongé dans mon lit, je ne trouvais pas le sommeil, dû en partie par les ronflements importants de mon père. Je repassais dans ma tete les images du repas, mon regard se portant sur les paquets prometteurs de ces mâles qui occupaient notre salon quelques minutes auparavant. Je m'imaginais etre baisé sauvagement sur la table par un Antonio déchaîné pendant que Patrick me forçait les levres avec son énorme queue de daron.
Mais ce qui me troublait le plus dans ce rêve c'est que mon pere nous regardait avec un air malicieux, la bite dressée entre ses mains.
J'ouvrais les yeux pour me sortir ces images de mon esprit. Pourquoi mon père était apparu dans ce reve? Lui si macho et distant dans la vraie vie. Cet homme qui ne douterait pas un seul instant que son fils aime la bite.
Ma chambre était située en face de celle de mes parents qui avait pour habitude de laisser leur porte ouverte. Pour je ne sais quelle raison, surement l'excitation, je me levais lentement de mon lit en prenant soin de ne pas faire de bruit et m'avancer vers la porte de ma chambre que jentrouvais délicatement. Seuls les ronflements de mon père ponctuaient ce silence. Je traversais le couloir qui séparait nos chambres pour m'approcher de leur lit dans la pénombre. Mes parents dormaient a poing fermé et la situation ne faisait qu'intensifier la bosse qui déformait mon boxer. Et si ma mère se reveillait? Impossible elle a toujours eu le sommeil lourd et faisait des nuits completes. Et si mon père ouvrait les yeux et retrouvait son fils dans sa chambre la bite bien raide? Cette idee m'effrayait et m'excitait en meme temps.
Je m'approcha tout doucement de mon pere, comme attirait par une force mystérieuse. Je revais de le voir plus près, de vérifier que ce qui m'était apparu dans mon rêve pouvait etre reel... par chance ce soir là il dormait au dessus des draps, le chauffage etant poussé à fond en raison de l'hiver. Il était allongé sur le dos. Je parcourais mes yeux sur ce corps d'Apollon. Chaque muscle était bandé c'était un corps ferme et bien dessiné. Sa respiration mettait en valeur ses abdos qui se contractaient à chaque inspiration.
Il ne portait qu'un slip blanc Dim qui cachait une imposante bosse. Je n'ai jamais vu mon père nu, on est très pudique dans la famille. Mon regard était bloqué sur cette bosse qui me donnait envie. Même au repos ça avait l'air énorme. Si je tiens de mon père il doit etre bien fourni car la mienne atteint fierement les 19 cm et bien large. Malheureusement elle ne m'est pas très utile je suis passif à 200%.
Après quelques secondes d'hésitation je me met à genou, tend mon bras vers son slip et commence à caresser le tissu. Le contact est chaud et c'est méga excitant, je ne comprend pas pourquoi toucher mon pere m'excite autant. Je peux parcourir toute la longueur de sa queue et deviner ses couilles qui paraissent énormes sous le tissu. N'en tenant plus et ne voyant aucune réaction de sa part, cela m'encourage à lentement passer mes doigts au niveau de la ceinture et faire glisser son slip delicatement, tout en guettant la moindre réaction. Maintenant son slip est au niveau de ses cuisses et laisse voir la bête tant attendue! Un bon morceau d'environ 10 cm avec un gland superbe (je ne savais pas que mon pere etait circoncis). Tout cela posé tranquillement sur deux grosses boules que je supposais bien remplies.
J'approchais doucement mon visage de cet engin pour venir sentir son odeur : un mélange de gel douche vanillé et de cette douce odeur de corps, de bite que j'aime tant. J'aurais pu jouïr sur place tellement la situation était excitante mais aussi dangereuse. Je pourrais le réveiller et quelle serait sa colère et sa fureur de me voir ainsi à genou au pied de son lit, son slip baissé.
Mais je ne voulais pas en rester là. Dormant toujours tres fort, ses ronflements me donnait du courage.
Je passais ma langue sur sa queue et pouvais enfin tomber en contact avec sa chair. C'était chaud et je pouvais sentir les pulsations de son corps à travers sa bite. Je prenais son gland entre mes lèvres et m'appliquais à le sucer avec délice et tendrement, comme si l'on me demandait de faire la meilleure pipe de ma vie. Je la prenais entierement dans ma bouche et fesais des va et vient, toujours très lentement. Son corps commençait à reagir a ce traitement car je sentais sa queue grosdir lentement et forcer mes levres. Cetait trop bon je ne voulais pas en perdre un centimetre. Le fait que ce soit mon père m'excitait encore plus. Lui, l'homme à femmes, le macho, limite homophobe, avait sa bite fourrée dans la bouche de son fils. Et quelle bite! Elle devait maintenant atteindre facilement les 20cm je ne pouvais plus la prendre entièrement et je ne tentais pas la gorge profonde, de peur de le réveiller... elle était extremement dure et je pense que mon père devait faire un de ces reves érotiques qui vous réveillent et vous laissent l'entrejambe humide et plein de jus...
Je m'appliquais à le sucer avec désir, pasant bien ma langue autour de ce gland et accompagnant le mouvement avec ma main droite, pendant que ma main gauche caressait ses boules. Mes yeux restaient fixés sur son visage qui montrait un certain apaisement, les levres légèrement entrouvertes.
Mon pere, au bout de 5 minutes fit un mouvement pour basculer son corps vers moi: je n'osais plus bouger. J'avais toujours sa bite plantée entre mes lèvres, paralysé par la peur. Je sentis un mouvement du bassin qui enfonça plus profondement sa queue dans ma gorge, ce qui me provoqua un haut le coeur mais je ne bougeais toujours pas, me laissant faire. Et ce qui arriva par la suite me surpris: sa queue se tendit et déchargea une quantité impressionnante de sperme que je ne pouvais tout contenir ! Mes lèvres accompagnaient ses pulsations à chaque jet, et ma langue se delectait de chaque goutte. J'étais comme au paradis. Je prenais soin d'avaler le plus de jus possible, pour ne pas tacher les draps et ne laissant aucune preuve de mon passage nocturne. Toujours endormi mon pere semblait avoir un air de contentement qui se lisait sur son visage. Je m'appliquais à nettoyer sa bite et lécher chaque centimetre de chair puis je remontais lentement son slip. Je me sentais fier et chanceux d avoir pu faire jouir mon père et avoir gouté à sa semence. Je me sentais vraiment salope quand meme.
Je me relevais lentement et reprenais la direction de ma chambre.
Je mendormais paisiblement apres avoir bien entendu pris soin de me vider à mon tour en me branlant frénétiquement dans mon lit, le gout de sperme de mon pere toujours en bouche.
Le lendemain matin, en descendant prendre mon petit déjeuner, je retrouvais mon père dans le salon, ma mere etant déjà parti travailler.
- Bien dormi mon fils? me demande t'il.
- Super bien papa et toi? repondis-je amusé.
- très bien, meme si je suis surpris qu'on puisse decouvrir des choses surprenantes quand on fait semblant de dormir! me lache t'il avec un sourire pervers!
Je restais tétanisé et choqué....
La suite tres bientôt si vous le souhaitez
Story Hard
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