Depuis près d'une semaine j'étais en construction d'une cabane de jardin en bois pour y installer divers équipements de jardinage, durant toute cette semaine de vacances j'avais eu un temps superbe pour bosser et en avais profiter pour peaufiner mon bronzage de nudiste, puisque tous les étés nous choisissons des vacances en camp de nudiste avec ma femme Karine de 32 ans. Lorsque je bosse dehors j'aime porter le minimum, en l'occurrence toute la semaine j'ai fais mes travaux en maillot de bain taille basse, Karine à plusieurs reprises m'a rappelé que nous n'étions pas à la plage, mais elle connais mes goûts et sais qu'il ne faudrait pas me pousser à bosser à poil, elle éprouvait d'ailleurs du plaisir à me voir quasi nu bien doré et dégoulinant de sueur.
Ne voulant pas jouer la provoc avec mes voisins, je suis donc resté à la limite de la décence avec mon bout de tissus sur les fesses !
Une grande haie nous sépare avec mon jeune voisin Vivien qui est célibataire.
Karine m'avait apporté son aide dans la semaine pour les petites manutentions mais il me restait les pannes à monter en toiture et là je me suis permis de demander à Vivien de venir me donner la main le samedi puisqu'il ne bossait pas, ce qu'il a fait sans sourciller. Vivien a 29 ans, bien bâti 1,80m... donc l'idéal pour la manutention.
Ce samedi après-midi le soleil tapait fort, Karine était partie vers 14h au supermarché faire les courses hebdomadaires et moi toujours en tenue de plage entamais les explications avec Vivien sur la méthodologie de montage des pannes. Vivien vira rapidement son tee shirt et portait un short rouge vif large et tenu par une cordelette blanche, moi en slip de bain taille basse de couleur parme avec aussi ma petite cordelette, la taille était tellement basse que le haut de ma raie apparaissait parfaitement dés lors que je m'agenouillais ou me baissait.
Au vu de ma tenue minimaliste il me fit remarquer :
- Dis donc j'ai l'impression que tu as plus l'esprit aux vacances qu'au boulot, sympa ton maillot de bain.
- Merci, t'as raison j'ai hâte qu'elle soit montée cette cabane et me mettre à la bronzette en dilettante !
Il se mit en position sur la petite échelle plaquée sur les cloisons verticales que j'avais montées et tirait les pannes vers le faîtage, nous avons renouvelé cette opération plusieurs fois et à chaque manutention je voyais son entrejambes bien dégagé du fait de la largeur excessive de son short, je vis rapidement qu'il ne portait pas de slip, je voyais parfaitement ces couilles rasées et sa queue à chaque fois qu'il s'écartait de l'échelle. Du coup mon regard était attiré par ce spectacle inédit et mon côté voyeur en était parfaitement récompensé.
Lorsqu'il descendit de l'échelle, il remit son short en place, je ne pense pas qu'il ait repéré mes regards égarés sous ce short ? Quoique ????
Tout en bossant je me demandais pourquoi il ne mettait pas de sous vêtements ? Certainement une sensation qu'il appréciait tout comme moi car cela m'arrivais parfois ainsi que Karine qui se faisait un grand plaisir l'été à se promener sans petite culotte sous ses robes d'été... Une manière comme une autre de titiller l'excitation de chacun d'entre nous.
Puis au sol nous avions à présenter les panneaux de toiture, il se trouvait en face moi et ensemble nous préparions l'assemblage, pour ce faire tous deux, avions les jambes totalement écartées, à nouveau je découvrais son entrejambes libre de tous mouvements, ses couilles de beaux calibres et rasées battaient à chaque mouvement et sa bite semblait ne pas être totalement au repos ??? Moi de mon côté, mon " taille basse " laissait légèrement passer la peau de mes couilles (ce qui soit dit en passant m'excitait bien) de chaque côté du maillot tendu par la position de mes cuisses. Nos regards se sont croisés, je n'ai pas résisté à me passer la main sur le sexe à plusieurs reprises et remis " le matériel " en place, j'avais peur qu'il voit mon début d'érection. De son côté, Vivien se mit à genoux et se caressa le short. Avait-il lui aussi un début d'érection ? Rien n'apparaissait de façon évidente en fixant son short... mais mes doutes commençaient à poindre.
Nous montâmes la structure, à plusieurs reprises nos corps se sont frôlés, nos sueurs se mêlaient, puis à un moment où il monta sur l'échelle et moi tenant le pied de celle-ci, en levant les yeux j'avais une vue imprenable sur sa raie de cul et là je ne sais pas dire ce qui m'a pris, mais j'ai glissé ma main droite par le bas de la manche de son short pour lui caresser les fesses :
- Oh ! Mais qu'est-ce que tu fou sous mon short ?
- Excuses-moi, je n'aurais pas dû, mais la vue de tes fesses m'ont un peu excité !
- Ah OK, je comprends mieux tes regards furtifs vers mon entrejambes depuis plus d'une heure (tout en disant cela il se passe la main sur le devant de son short, il avait donc découvert mon petit jeu de mateur !)... tu ne serais pas un peu pédé sur les bords ? me lança-t-il.
N'y tenant plus, je m'approche de lui, lui pris la tête et l'embrassa sur la bouche en lui mettant la main au paquet, que je sentis immédiatement gonfler.
- Pas pédé... mais bi !
Il eu un bref mouvement de recul puis je le sentis se laisser faire, il entrepris aussitôt de me mettre sa main sur mon paquet que je ne pouvais plus dissimuler à bander.
- Mais tu bandes mon salaud !
- Oui, putain tu m'as excité avec tes couilles bien rasées et apparentes et ton cul sous ce short large (tout en parlant je lui glisse son short aux pieds et découvre sa super bite bien veinée de 17x4 cm et ces grosses couilles rasées comme j'aime, il leva les jambes afin de se libérer de son short tombé)
- Mais tu es un vrai pédé ou je me trompe ?
Je lui répondis en rougissant :
- Je lui redis... Non pas pédé mais bi oui, et des mecs comme toi me foutent la trique si tu veux le savoir ! (Tout en m'expliquant sur mes orientations sexuelles je virais mon maillot de bain et le balançait au milieu de la pelouse, il découvris ma queue 16x4 et mes couilles rasées de près elles aussi et pendouillantes )
Nous étions maintenant tous les deux à poils dans mon jardin, sous un soleil de plomb, nos corps brillant de sueur et nos deux queues qui entamaient chacune une érection évidente...
Vivien me lança :
- Putain j'y crois pas, je viens pour te donner un coup de main et je me retrouve à poil avec toi et qui plus est je bande !!!
Il n'avait pas fini sa phrase que je me mis à genoux et commençais à lui pomper ce gros sexe tendu, il se tendit encore un peu plus après quelques va et vients dans ma bouche, à ma grande surprise il se laissait faire le coquin, il a même rapidement accompagné mes mouvements en me tenant les cheveux, il écartait les jambes histoire de mieux profiter de la situation.
- Putain mais c'est pas vrai tu fais çà mieux qu'Estelle (sa copine)
- J'espère bien, ta queue est superbe et je suis trop content de me faire mon beau voisin, imagine-toi que j'ai déjà fantasmé sur toi mais je ne pensais pas que l'occasion se présenterait un jour et surtout aussi vite (et je repris cette suce endiablée).
- Arrête tu vas finir par me faire éjaculer !
- OK, j'arrête mais dans ce cas je veux que tu me prennes le cul !
- Quoi, ici, dans le jardin ? Mais tu es fou ou quoi, espèce de pédé de mes deux !
- Et alors tu viens bien de te faire tailler une pipe ici... tu ne vas pas faire la fine bouche maintenant et puis entre nous tu es mal placé pour me traité de pédé, j'ai l'impression que tu as bien apprécié la suce de ton membre ?
- Putain mais c'est quoi ce plan ? J'y crois pas, tu veux que je te sodomise... et si Karine arrive on aura l'air de quoi tous les deux ?
- T'inquiète pas elle ne sera de retour que vers 17h on est tranquille !
Je le sentais à la fois perturbé par ma proposition mais aussi l'envie d'aller plus loin que cette fellation qu'il venait de vivre et d'apprécier.
- Bon OK mais attend... on se planque un peu et pas à sec !!!
- Je lui indique le coin prés du barbecue qui nous planque des regards indiscrets.
Il va récupérer son short et me ramène mon maillot de bain que nous tenons à distance proche en cas de visite impromptue ou d'un retour avancé de Karine.
- Encore une fois je ne peux pas te baiser à sec !
- T'inquiète pas tiens voilà ce qu'il faut, j'ai déjà utilisé ce lubrifiant là...(Je lui présente une bouteille d'huile d'olive restée près du barbecue)
- Quoi mais ma bite n'est pas une frite, on va pas se huiler la bite et le cul avec çà !!!
- Pas de soucis, aucun problème, c'est alimentaire tu vas voir (et je commence à m'étaler l'huile autour de ma rosette)
Il continue l'action en se versant (peu convaincu) de l'huile sur les doigts et commence à me doigter gentiment puis plus en profondeur en me huilant le trou :
- Hummm putain tu as un super doigté elle ne doit pas s'ennuyer Estelle avec toi ! (lui dis-je en rigolant)
- Arrêtes, ce n'est pas le cul d'Estelle que je vais me faire, alors évite ce parallèle car tu vas me faire débander connard !
- C'est vrai que ce serait bête quand je te vois bander comme un taureau, j'ai l'impression que tu vas me gâter... allez vas-y Vivien baises moi, je n'en peux plus d'attendre... (et je lui tends mon cul telle une vraie salope).
Il me mis sa grosse queue dans la raie, puis l'introduisit très facilement dans mon trou super huilé, elle est rentrée tellement facilement que j'en étais étonné (il commença à me ramoner le cul lentement puis en accélérant)
- Hummmm oh que c'est bon, vas-y ramone moi bien le cul, j'adore, hummmm, oui, ouiiiiiii (je sentais ses grosses couilles pendantes venir me taper les fesses, c'était trop bon, hummm)
Excité comme une chienne en chaleur, il me dit :
- Vas-y petite salope, prends çà dans ton cul, tu m'as allumé, tu dois assumer (tout en me foutant de supers coup de reins dans le cul).
Mon cul était en feu, sa bite glissait parfaitement en moi, je sentais sa queue raide et chaude me ramoner, un délice parfait, beaucoup mieux que lorsque Karine me gode avec ces gabarits de moyenne taille, hummmmmmmmm c'était trop bon !)
- Tu aimes çà mon salaud, tu te comportes comme une vraie salope et çà m'excite !
- Oui, tu me prends le cul à merveille, oh putain que c'est bon (je sentais mon cul dégouliner d'huile)
- Attention je vais larguer mon foutre (me dit-il)
- Retire toi vite et crache moi ta purée à la figure
Il retire sa queue hyper tendue et huileuse, et je sentis sans attendre un premier jet venir s'écraser sur mon oeil, puis un autre sur le nez, puis l'autre sur la joue gauche (l'éjac faciale était un vrai fantasme pour moi, je lui pris la queue et continuait de le branler vite et fort, il gémit de façon étouffée pour ne pas nous faire repérer tout en larguant ces dernières gouttes...)
Moi tout en recevant son sperme je me branlais de façon accélérée et ne tardais pas à éjaculer sur les pavés de la terrasse en puissants jets...
Soudain je reconnu le bruit de la Clio de Karine, il était 16h45 elle avait un peu d'avance, nous nous essuyâmes à la hâte et sans fignolage, nous enfilâmes notre maillot et short puis sortîmes du coin barbecue à toute vitesse.
Le portillon s'ouvrit et Karine apparut les bras chargés de victuailles :
- Alors les mecs, çà bosse dur ?
- Oui (" Dur " c'était vraiment le terme !!!), oui, on a bien avancé (je me demandais si ma réaction était naturelle ou pas compte tenu des moments d'excitation intense que nous venions tout juste de partager quelques instants plus tôt, nous étions totalement trempés de sueur l'un et l'autre.
Karine ne semblant rien déceler d'anormal dans nos comportements , elle dit à Vivien :
- Merci pour ton coup de main, venez prendre l'apéro ce soir avec Estelle on discutera un peu autour du barbecue et puis entre nous vous l'aurez bien mérité tous les deux non ? Et puis vous discuterez entre mecs et nous entre nanas.
Et tous les deux de répondre ensemble :
- Oui, oui, c'est une bonne idée !
Le soir venu, nous étions autour du barbecue, je retournais les saucisses en regardant Vivien dans les yeux... et lui, discrètement, sortait sa langue en simulant une fellation, nous étions encore dans le jeu sexuel sans que Karine et Estelle ne se doutent de rien.
Autre excitation de mon côté... c'était de savoir que Karine n'avais pas mis sa petite culotte sous sa robe ample d'été... ce soir je jouerai avec elle et lui demanderai de me goder... je revivrai l'enculade de mon voisin Vivien sans lui avouer notre aventure entre mâles évidemment... Aventure que je souhaite renouveler dés que l'occasion se présentera... j'aimerai bien savoir s'il est lui aussi capable de jouer le rôle de salope allumée comme j'ai pu lui offrir, l'avenir me le dira... son cul aussi !
Corentin
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