C’était au mois d’août il y a deux, il faisait 35°C, le soleil tapait fort et le ciel était d’un bleu sans nuages, un temps parfait pour le bronzage intégral, ce n’était pas si souvent dans les Côtes d’Armor ! J’avais passé ma matinée à travailler dans mon appartement à repeindre les murs du séjour… quasiment nu comme j’aime bricoler lorsque je suis seul… juste un string sur les fesses, fenêtres et portes-fenêtres ouvertes, je ne risque pas les regards indiscrets car toutes donnent sur une charmille.
Compte tenu de ce temps estival, j’avais décidé d’aller dans l’après-midi me faire bronzer sur la plage naturiste à 5 km de chez moi.
J’emmène donc le minimum avec moi et me voilà parti pour la plage de Maez an Aod… A peine arrivé sur le parking qui domine la mer, je repère quelques voyeurs aux aguets de découvrir une paire de fesses ou une bite à l’air, le coin est un lieu de rendez-vous gay assez réputé dans le secteur et les voyeurs y sont abonnés.
Je gare ma voiture à l’ombre des quelques arbres, j’ouvre le coffre et récupère ma serviette de plage puis prépare mon sac à dos où j’y glisse entre autres un string-filet noir dans l’espoir de m’exhiber avec, je fais tomber mon tee-shirt et le remplace par ma chemisette aux couleurs des îles, puis je retire mon bermuda, je regarde de droite et gauche… puis retire mon boxer pour enfiler mon mini short de plage Joe Snyder, hyper léger de par sa constitution polyamide et élasthanne et très échancré de couleur rose pastel, je l’adore, la sensation de ne rien porter est totale, je le trouve très sexy car il met parfaitement mes formes en évidences et l’expérience m’a montré qu’il attirait bien les regards aussi bien féminins que masculins.
Le peu de temps où je me suis retrouvé le cul à l’air… j’ai vu soudain trois mecs sortis de nulle part qui me mataient chacun de leur côté, ils formaient un triangle d’une dizaine de mètres, des habitués du coin qui choisissent leur proie dès lors que les mecs en maillot de bain s’engouffrent dans un sentier qui descend vers la seconde plage. Ce sentier particulier compte de nombreux passages latéraux dissimulés qui mènent après une vingtaine de mètres dans les hautes herbes à des petits coins tranquilles et intimes pour s’adonner à des fellations en règle ou mieux si affinité au soleil et l’abri des passants !
Au vu de cette situation, j’ai donc pris mon temps pour enfiler mon mini short afin que mes voyeurs aient le temps de se satisfaire, ceci était un vrai jeu pour moi, histoire de corser le tout j’en profite pour bien positionner mon matériel en palpant sans modération mon paquet ainsi enveloppé… qu’ils en aient au moins pour leur argent !
Je ferme uniquement le bouton du bas de ma chemisette, torse bronzé bien apparent et mon mini short à demi visible, mes lunettes de soleil et mon petit sac à dos en bandoulière, me voici prêt pour descendre à la plage naturiste en contrebas, il faut bien un quart d’heure pour y accéder depuis le parking. C’est une plage mixte qui permet à chacun de s’adonner au naturisme sans tabou, jeunes, vieux, hommes ou femmes en couple ou non, hétéros, gays ou lesbiennes se côtoient, on peut surprendre cachés par un rocher des couples s’ébattre langoureusement… ou parfois avec ferveur et dynamisme pratiquer l’accouplement sauvage et débridé, c’est très bandant et pour ma part j’y trouve un parfait plaisir en les regardant se mouvoir au soleil.
Lors de ma lente et longue descente vers la plage je croise trois belles nénettes en deux pièces colorés et sexy, on se mate mutuellement en échangeant un sourire, puis je vois deux mecs arriver face à moi qui ont un regard insistant sur ma personne en ralentissant leur allure et en matant mon mini short et l’un d’eux n’hésitant pas à se palper l’entre jambe, au moment du croisement ils me saluent, j’en fait autant et j’entends l’un des deux dire : « Je m’en ferai bien mon quatre heure de celui-là ! »… S’il savait… je me serai porté volontaire sans hésiter !
Je croise plusieurs couples puis j’arrive en haut de la plage d’où je peux voir de nombreux culs nus se mouvoir dans l’eau, je suis arrivé, la descente des rochers n’est pas aisée, c’est aussi une forme de « remparts « naturels qui protègent les nudistes des « textiles ».
Je croise un homme d’une quarantaine d’années nu comme un ver qui remontait en s’accrochant aux rochers, sa bite de taille honorable venait battre ses couilles rasées, son maillot de bain à la main, il n’allait pas tarder à le remettre pour revenir dans le monde « des vêtus », puis deux nanas seins nus et un couple tous deux déjà rhabillés.
Me voici sur le sable chaud, je décide de marcher un peu sur cette longue plage sans retirer mes fringues, en flânant et matant tous ces nudistes, bronzés intégral pour les habitués ou coups de soleil pour les nouveaux arrivants. Je déboutonne juste l’unique bouton de ma chemisette, mon mini short bien dégagé et exagérément échancré de chaque côté, laissant ainsi sa coupe sexy aux yeux vagabonds que je croisais.
Je passe devant quelques mecs couchés sur le sable l’un près de l’autre, je sais qu’en continuant mon chemin jusqu’à l’extrémité de la plage tout prêt du gros bloc de rochers, c’est le coin gay, ces deux là ne le savent peut-être pas… et ce n’est pas grave, je me rend donc nonchalamment vers le rendez-vous des pédés, en route je vois là un couple qui s’embrasse sous le flux et le reflux de l’océan, ici deux couples en tenue d’Adam parfaitement bronzés qui jouent au beach-volley, comme je l’imaginais un couple un peu dissimulé derrière un petit rocher qui s’accouplait avec le plus grand plaisir, plus loin ce sont deux superbes nanas au pubis rasé de près qui se roulaient de longues pelles en se palpant mutuellement les fesses, un spectacle qui ne me laissait pas insensible du tout, mon mini short laissait apparaître une légère tache humide et surtout prenait du volume ! Je décidai de continuer ma marche de voyeur et ne pas encore faire tomber le textile.
Au bout de quelques centaines de mètres je commençais à me sentir marginal au milieu de tous ces gens à poil qui devaient pour certains me considérer n’être qu’un voyeur un brin pervers qui venait se rincer l’œil, bander dans son beau short et qui n’osait pas faire tomber les vêtements.
Je m’arrête donc au milieu de la plage et étale ma serviette à trois mètres d’un couple d’une trentaine d’années sur ma droite et un homme seul d’une cinquantaine d’années sur ma gauche, je les salue et décide de faire tomber la chemisette et mon minishort, la femme me mate des pieds à la tête et insistant un peu sur mon entre-jambes et me sourit. Son mec en fait autant mais de façon plus discrète. L’homme de gauche quant à lui est en pleine lecture et absorbé par son bouquin.
Je m’allonge sur le ventre et me mets en position idéale pour un bronzage parfait en écartant un peu les jambes.
J’en profite pour reluquer les beaux corps reposant ou circulant devant moi, à la recherche d’une situation coquine si possible, en règle générale les nanas sont belles et agréables à regarder mais je dois reconnaître que mes yeux vont plus facilement sur l’entre-cuisse de ces messieurs, toutes les tailles circulent, que ce soit les belles bites bien dimensionnées, des petites ou des queues exagérément longues, avec le gland décalotté ou non, puis les couilles pendantes ou compactes, les pubis poilus ou rasés, les culs plats ou bien rebondis, le choix est large et ce serait mentir que de dire que nous ne pouvons pas trouver le ou les corps qui nous font fantasmer.
Ma position couchée sur le ventre me permet de dissimuler l’évolution de la taille de mon membre mis en situation de stress devant certaines créatures… je dois me repositionner discrètement mais mes voisins de droite ne sont pas dupes, ils doivent se douter que je suis victime d’une érection difficile à cacher.
Il faut dire que le soleil qui me chauffe un max et tous ces corps nus… c’est le cocktail idéal pour se palucher… mais je dois me calmer et penser à autre chose… mais à quoi ? A part le cul sur un site pareil ???
Mes voisins se caressent gentiment, lui les seins de sa copine puis ses cuisses et elle n’hésite pas à lui caresser la queue sans retenue aucune. Ce spectacle me plait beaucoup, je me serai bien proposé pour jouer avec eux, mais je n’ai pas osé, d’autant que le membre du mec commençait à prendre une belle dimension, elle me regarde en souriant légèrement et s’empressa de retirer la casquette à son mec pour la poser sur la bite bien droite de son compagnon pour la dissimuler, je m’amusais de ce petit jeu faussement pudique et la fille s’en est bien aperçue.
De temps en temps je regardais en direction de la plage gay qui se trouvait dans le prolongement de cette plage naturiste mixte, je savais que dans quelques temps je poursuivrai mon chemin pour m’y rendre, j’avais envie de me trouver parmi tous ces beaux mecs bronzés et souvent débridés et sans tabous, rien que d’y penser mon membre se durcissait sous mon ventre plaqué au sol.
J’étais resté près d’une heure à me dorer recto verso nu comme un ver en allant régulièrement me mettre à l’eau pour réguler ma température. Puis je me décide de lever le camp pour me rendre dans le secteur tant convoité… la plage gay qui se situe à à peine dix minutes de marche. Pour se faire j’avais envie, un peu par provoc, de mettre mon string-filet noir en microfibres que j’avais glissé dans mon sac à dos avant de quitter le parking.
Je le sors du sac, puis debout je l’enfile… à ce moment, j’ai réveillé quelques regards autour de moi, il faut dire que le porter est à la fois super agréable et provocateur car hyper sexy, on voit parfaitement les fesses et bien sûr le sexe au travers des larges mailles, assurément on se fait plus remarquer à le porter qu’être totalement nu, c’était ce que je voulais en arrivant sur la plage homo…
Mes voisins se délectait en me regardant et ma voisine me dit sans hésitation : « Vous êtes super sexy, bravo ! »
Après l’avoir remerciée d’un grand sourire me voici parti en longeant le bord, les vagues venant finir leur course sur mes pieds et mes mollets. Derrière mes lunettes de soleil je me délectais de voir presque tous les regards qu’ils soient féminins ou masculins se tourner vers moi, mon string-filet faisait son effet ! Certains n’hésitant pas à faire un petit commentaire entre eux ou à mon encontre… une situation d’exhibitionniste un brin jouissive où mon anatomie était l’objet de tous les regards !
Après environ dix minutes, les nudistes en couples hétéro se faisaient plus rares et je commençais à voir de plus en plus de mecs, seuls ou à plusieurs profiter des rayons ardents, nus allongés sur leurs serviettes. Là encore et de façon plus visible les regards ne perdaient pas une miette de mon string et son contenu qu’ils devinaient par transparence, certains mecs n’hésitant pas à se toucher l’entre-jambe à mon passage.
Je continue encore un peu mon chemin en me rapprochant des gros rochers car je sais que c’est là le lieu de cette plage le plus hot et le plus hard, les rochers permettant une discrétion toute relative pour les ébats en corps à corps entre homos libérés.
Je décide de poser ma serviette sur le sable chaud entre deux couples de jeunes mecs entre 25 et 35 ans. Inutile de vous dire combien mon string faisait d’émules, j’en profitais pour me palper le paquet et bien le réajuster avant de m’asseoir tout en saluant mes jeunes voisins qui n’en perdaient pas une miette.
L’un d’eux me dit : « Putain mec, t’es excitant dans ton filet, d’autant qu’il semble y avoir une belle anguille ! », tous se mirent à rire, j’en fis autant.
Après un quart d’heure je décidais de me jeter à l’eau et après un moment de nage dans les vagues je ressortais le string à la main et le sexe à l’air, avant de revenir m’allonger sur le ventre.
Le spectacle de nudité masculine autour de moi me ravissait, j’imagine qu’il y avait bien une cinquantaine de bites à l’air et des petits culs tentants, puis une dizaine de lesbiennes regroupées au pied d’un rocher. Des pipes se taillaient de droite et de gauche sans retenues, je jouissais de mon rôle de voyeur sans réserve, ma queue trahissait mon excitation.
L’un des deux mecs du couple de droite, un beau brun de style un peu hispanique, s’était levé et approché de moi avec son appareil reflexe à la main : « Salut, accepterais-tu de prendre plusieurs photos de nous deux avec mon pote ? » me demanda-t-il.
« Oui, bien sûr, avec plaisir » lui répondis-je, l’idée de photographier deux mecs à poil se faisant des papouilles me ravissait déjà.
Il me passe donc son appareil, je me lève et ils commencent à faire une succession de pauses toutes plus suggestives les unes que les autres, je m’accroupis pour faire des gros plans, eux profitent de la vue de ma paire de couilles pendantes et de ma queue à demi réveillée, ils se lèvent, je les prends de dos les mains sur les fesses, puis l’un assis qui suce son pote en lui empoignant la paire de couilles, ils me font le simulacre d’une enculade en levrette, puis l’un bouffant le cul de son partenaire le cul tendu comme une vraie salope, la position du 69… Halte !!! Cette fois-ci je bandais comme un taureau.
« Ça t’excite dur on dirait… Tu veux te joindre à nous pour en faire d’autres ? » me demande le beau brun.
« Ah je ne dis pas non, c’est trop top ! » répondis-je sans sourciller.
« OK, alors remets ton string-filet pour quelques prises il est trop top ! »
« Pas de soucis, je vois qu’il vous plait espèces de coquins »
Et l’appareil passe de main en main pour prendre à chaque fois des photos dans toutes les positions érotiques possibles. Certains voyeurs c’étaient même rapprochés de nous et se paluchaient sans vergogne devant ce studio de photographe improvisé sur la plage. Mon string lui aussi passait de cul en cul, ce qui mettait en valeur les appareils génitaux ou le cul bronzé de chacun d’entre nous à tour de rôle… nous en faisions un vrai jeu et on se marrait sans retenue.
A plusieurs reprises et pour des pauses brèves, j’ai donc eu le sexe de mes deux partenaires en bouche ou posés dans ma raie, puis ma langue dans leurs culs respectifs, nous nous étions totalement chauffés et je suis sûr que la carte SD du reflexe de mes compagnons de rencontre s’était enrichie d’une grosse cinquantaine de photos érotico-porno !
Nous décidons ensuite de nous baquer dans les vagues… histoire de calmer nos pulsions de mâles en rut.
Après une demi-heure de jeux aquatiques entre nous trois, nous sortîmes de l’eau pour nous allonger et sécher nos corps au soleil.
Mais quelques temps après le beau brun qui se prénommait Cyril et son poste Matthieu me propose de pousser plus loin notre rencontre… dans les rochers.
Evidemment je n’avais aucune envie de rejeter cette proposition qui me semblait bandante et quasi inévitable. Nous embarquons alors sacs et serviettes et partons vers les rochers, lieu de débauche assuré !
En contournant certains d’entre eux où la mer faisait des incursions par vagues plus ou moins fortes, nous découvrons plusieurs couples de mecs en pleines activités sexuelles débridées, fellations, bouffage de cul et pénétrations dans toutes les positions avec quelques voyeurs de tous âges se branlant au soleil… le paradis des pédés !
Nous continuons un peu plus loin et trouvons un lieu qui nous convenait bien. Cyril et Matthieu à peine arrivés commencèrent à se rouler une pelle en m’invitant à les rejoindre, notre trio était branché, les langues s’enchevêtraient, les mains baladeuses caressaient les fesses de son voisin, un doigt s’égarait dans le trou de l’autre, nos queues étaient raides comme la justice, Matthieu était imberbe et Cyril était légèrement poilu avec les couilles rasées de près. Nos membres n’étaient pas tous semblables le plus imposant était celui de Matthieu large et près de 20cm avec une paire de couilles bien pendantes, Cyril présentait un 17cm et des testicules bien rondes et fermes et moi mon 18cm bien décalotté, nos queues passaient de bouche en bouche, puis Cyril se mis en position de pute soumise et Matthieu le pénétra après lui avoir lécher le cul de longues minutes, je me délectai de ce tableau en me branlant énergiquement. Puis Matthieu me dit : « Tu veux goûter à mon mandrin pendant que je suis chaud ? »
« Bien sûr jeune homme, vas-y enfourne, prends-moi mais attention j’ai le cul étroit ! » lui répondis-je.
Il quitta le cul de Cyril et vint sans faire une pause m’enfiler sa queue bien raide, effectivement il put constater que l’entrée était moins large que celle de Cyril, j’avais sorti du gel et m’étais enduit la rosette, il prit lui aussi un peu de gel et pris plus de temps mais réussit à entrer et commença à me limer le cul alors que les vagues venaient s’éclater autour de nous.
Matthieu était un actif de première, il baisait comme un Dieu et semblait ne pas se fatiguer tant les mouvements étaient à la fois doux, experts et énergiques, je sentais ces grosses couilles me battre les fesses à chaque pénétration en profondeur… quel plaisir, pendant ce temps Cyril s’était positionné devant moi à moitié allongé sur le rocher et me tendait sa queue droite comme un « i », je l’engouffrais dans ma bouche et me mis à le pomper vigoureusement alors que mon cul se faisait empaler par le pieu de Matthieu, décidemment j’avais fait une super rencontre !
Au bout de longues minutes de vas et vient endiablés devant et derrière, Matthieu sorti de mon corps pour m’éjaculer par grands jets saccadés le dos et la raie de mon cul alors que Cyril me lâchait sa purée en plein visage, c’est donc couvert de sperme de la raie du cul aux sourcils que mes deux compagnons se mirent à me branler et me pomper chacun leur tour jusqu’à me faire éjaculer sur le rocher alors que je leur demandais grâce d’arrêter car ils m’épuisaient tellement leur rythme était soutenu, mon gland totalement décalotté et rougi par l’acharnement de ces deux pédés de Cyril et Matthieu excités comme des puces était énorme.
Lorsque leur délire sexuel et nos ébats ce sont calmés, nous avons vu quelques voyeurs rebrousser chemin ainsi que deux lesbiennes postées à dix mètres de nous qui semblaient s’être franchement régalées du spectacle de notre trio masculin, puisqu’en partant elles nous ont applaudit en riant aux éclats en nous lançant : « Bravo les mecs on aurait pas fait mieux ! ».
Des mecs gay applaudit par des lesbiennes… la situation était cocasse et surprenante.
Nous avons quitté les rochers après nous être lavé nos corps respectifs dans l’écume des vagues, puis tous les trois nous sommes repartis en longeant la plage, nos corps luisaient sous le soleil de fin de journée, notre trio était aux anges, Cyril et Matthieu étaient installés dans un camping à 6Km d’ici ils venaient de Nantes.
Arrivés au bout de la plage naturistes, nous enfilâmes chacun nos vêtements pour rejoindre nos voitures sur le parking, Cyril enfila un bermuda de bain jaune et un tee-shirt blanc, Matthieu un short sans mettre de slip et un débardeur et moi mon minishort rose échancré et ma chemisette chamarrée. Tous deux me voyant dans mon short me félicitèrent sur le côté sexy et allumeur, Matthieu me dit : « Dis-donc tu es super excitant là dedans (en me mettant la main au paquet), si j’étais homo je te prendrais bien petite salope »
« Ah oui, n’aurais-tu pas des problèmes de mémoire sale petit pédé ? » lui répondis-je ironiquement puisqu’il venait de m’enculer comme un maître quelques instants auparavant.
Et Cyril rajoutant en me caressant les fesses : « Eh les mecs, on ne peut pas se quitter sans se revoir, nous on revient demain à 15h ici et toi Aurélien tu es dispo ? »
Je réponds aussitôt : « OK les mecs, je serais là sans problème… mon chantier attendra, je viendrai avec un jock-strap cette fois-ci histoire de vous chauffer ! »
Nos rencontres ont duré une semaine, chaque jour nos corps s’éclataient sur cette portion de plage qui semblait nous être réservée, nos délires sexuels dans les rochers avec quelques paires d’yeux pour nous mater nous ravissaient, une forme d’exhibitionniste entre mecs avertis… c’était le pied, je ne suis pas prêt d’oublier les plaisirs hots de cette plage bretonne au mois d’août.
Corentin
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