J'avais fait connaissance il y a quelque temps au cours d'une soirée anniversaire chez un copain qui avait rassemblé son fan-club de potes pratiquement tous gays et quelques rares exceptions bi, d'un duo thaïlandais, deux superbes minets aux gueules d'anges et aux traits fins qui se prénommaient Samran et Anek, ils avaient respectivement 29 et 26 ans, ils partageaient un appartement dans le 8e arrondissement et étaient ensemble depuis trois ans, l’un actif et l’autre plutôt passif mais pas que…
Nous avions lié d'amitié de très très près au cours de cette soirée et je dois reconnaître que le charme asiatique m'ayant toujours attiré et fasciné, j'avais partagé une grosse partie de la soirée à discuter, boire, grignoter, s’embrasser et se caresser avec ces deux éphèbes qui me faisaient rêver... ma timidité ne m’avait pas permis d’aller un cran plus loin ce soir-là.
J’avais par la suite cent fois regretté ne pas avoir été plus entreprenant dans nos approches, d’autant que la soirée avait été plutôt débridée pour certains.
A la fin de la soirée nous nous étions promis de nous revoir très vite, car le courant était fort bien passé (pas assez pour moi) et je pressentais qu'une rencontre plus approfondie n'était pas à exclure avec eux, je ressentais en moi nombre d’ondes positives à leur contact.
Moins d’un mois et demi après cette soirée d’approche, je reçois un soir un sms sympathique :
« Salut Corentin, es-tu dispo vendredi soir pour un apéro+ chez nous ? » Signé Anek & Samran.
Je n’en revenais pas… C’est donc fébrile, mais sans hésiter et sans réfléchir que je renvoie une réponse positive à cette invitation de mes deux asiates pour lesquels il ne se passait pas une soirée sans que je pense à eux deux ou mieux... me branlais en les imaginant à mes pieds !
J’étais tout émoustillé en pensant qu’ils m’avaient re contacté ! Trop top !
Un peu plus tard, je relis leur sms et m'interroge sur le message.... Pourquoi ont-ils écrit " apéro+ " ? Est-ce juste une erreur de frappe ?... Peut-être pas ?
Toujours est-il que je me présente à leur appart le jour « J » à 19h30 comme proposé, Samran m'ouvre la porte, il est en pantalon de toile beige très légère et une chemise assortie au col façon Mao, il est super élégant :
" Salut Corentin ! ", et il m'embrasse dans le cou, hummmm j’apprécie ce signe de bienvenue.
" Salut Samran, tu es très beau cet ensemble est superbe et tu le portes à merveille ! "
« Merci, c’est une tenue traditionnelle » me répond-il.
Effectivement rien que le voir dans cette tenue décontractée et suggestive ne me laissait pas indifférent.... Houlllààà... Ça commence fort me dis-je !
En suivant, arrive Anek, le plus jeune, dans une tenue presque similaire mais de couleur gris souris, la chemise ouverte dans sa quasi-totalité ce qui me laisse découvrir son torse imberbe de couleur miel ambré.... Un vrai bonheur !
" Salut Anek, merci de votre invitation elle me fait vraiment plaisir ! Tu es toi aussi d'une élégance remarquable, je vous adore dans ces tenues ! "
Anek, après m’avoir déposé lui aussi un baiser de bienvenue dans le cou me réponds :
" Merci de ton compliment, je crois me souvenir que tu es plutôt sensible au charme asiatique masculin… coquin… Et nous y avons pensé ! "
" Sensible est peut-être même en dessous de la réalité.... Si tu vois ce que je veux dire... " Lui dis-je, avec un brin d'ironie et un sourire complice.
Leur appartement est conforme à leur style, épuré mais chaleureux comme les asiatiques aiment vivre, c'est une ambiance feutrée par les éclairages indirects de faible intensité, une cheminée moderne avec insert qui apporte une note cocooning avec ces flammes qui réchauffent l’ambiance de la pièce, une petite musique d'ambiance s'égrène discrètement dans l'appartement bien isolé des bruits extérieurs.
Mon regard circulaire focalise sur un énorme phallus en ébène sculpté posé sur une sorte de bahut, puis sur le mur opposé à la fenêtre occultée par des rideaux épais, un tableau représentant deux corps masculins entrelacés dont les verges en érection formaient un « X » parfait par leurs positions tendues et croisées.
« Belle déco les gars !... Je vois que vous aimez les belles choses ! »
Anek me répond :
« Les belles choses c’est vrai, mais qui nous rappellent toujours combien le corps de l’homme est source de vie et d’amour ! »
« Je vois, oui et c’est très sensuel et excitant » dis-je.
« Tiens, viens voir dans notre chambre, nous avons fait peindre par un artiste gay thaï de notre connaissance une fresque sur tout le mur face à notre lit » En entrant je découvre cette œuvre érotique superbe et imposante, ce sont deux hommes pratiquant le cunnilingus en position du 69 sur une plage de la Baie d’Along, il est de toute beauté et les deux mecs sont des « Apollon » en puissance ! Wouaah quel talent dis-je subjugué.
Tous deux en me regardant apprécier la fresque se mirent à sourire, faisant ressortir leurs dentitions parfaites d’un blanc éclatant.
Nous revenons dans le salon, j’avais pu apercevoir subrepticement avant de quitter leur chambre trois godes de tailles différentes sur la table de nuit.
« Mets-toi à l’aise Corentin !.. Nous sommes ensemble pour nous détendre et aussi jouer de nos corps d’hommes dans une atmosphère de zénitude totale »
« C’est très gentil à vous les gars, je vous en suis très reconnaissant » répondis-je interrogatif.
Après m'être mis à l'aise, nous nous retrouvons chacun dans un fauteuil de cuir autour de la table basse du coin salon, près de la cheminée, ils sont tous deux face à moi... ils sont beaux comme des Dieux... je crois rêver.
Ils avaient préparé plein de choses à grignoter et avaient sorti les verres à whisky et une grosse bouteille de whisky thaïlandais.
" Whisky de chez nous, pour garder l'ambiance ! " Me lance Samran.
Je lui réponds :
" OK, c’est parfait, je ne le connais pas, mais j’adore le whisky ce sera mon baptême avec celui-ci ! "
Anek me regarde langoureusement et me dit d’un air coquin et énigmatique en me posant sa main sur la cuisse :
« Ton baptême avec ce whisky… mais pas que mon petit !... »
De toute évidence, j’avais dû zapper quelque chose, on verra bien me dis-je ???
Et nous voici partis à discuter de tout et de rien au début, puis peu à peu la discussion s'oriente sur nos relations gay, la dernière soirée avec nos copains communs, puis sur nos vies sexuelles, nos habitudes, nos fantasmes... Ils en discutaient sans tabou, ils étaient 100% homos et l’assumaient sans aucun souci voire avec un brin de fierté.
" Et toi, tu es purement gay ou tu es bi ? " me demanda Anek.
Je lui réponds :
" Bi, mais sans compagne ni compagnon... à vrai dire j'aimerai bien me trouver un mec de votre genre, enfin je veux dire, un thaï, vietnamien ou cambodgien », je suis très attiré par ce charme élégant et sensuel que n’ont pas les européens.
Plus nous discutions et plus les verres se vidaient et se remplissaient, au bout d'une heure nous commencions tous les trois avoir un peu chaud et entamions une seconde bouteille sans trop le remarquer.
« J’ai chaud les gars… c’est le whisky, puis-je faire tomber mon sweat ? » demandai-je en joignant le geste à la parole, puis me retrouve torse nu.
Samran me fit :
" Hummm… mais tu n'es pas mal gaulé dis-donc ! "
Nous partons sur des discussions de plus en plus orientées sexe, leurs positions favorites, les références au Kamasutra, les aphrodisiaques de chez eux… ils semble d’ailleurs avoir des jeux érotiques bien à eux si j’ai tout compris, ces discussions plus ou moins perverses me faisais partir dans un imaginaire de débauches et je n'arrêtais pas d'imaginer mes deux éphèbes à poil devant moi, et m'imaginais que le fait que je me sois mis torse nu, leurs donneraient des idées débridées… Pardon en pensant à cela… mais je ne faisais pas allusion à la forme de leurs yeux !!!!
Mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque Samran me dit :
"Tu n'arrêtes pas de nous mater l'un après l'autre et de te caresser discrètement... j'ai l'impression que tu souhaiterais bien faire un trio avec nous, est-ce que je me trompe ? "
D’un coup je sentis une bouffée de chaleur me monter au visage, j’ai dû rougir de m’être fait remarquer… et après avoir repris une bonne gorgée de whisky, je lui réponds :
" Non, tu as raison, ce n'est plus un souhait mais une profonde envie, vous m'excitez grave tous les deux, je n'en peux plus ! "
Anek prend alors le relai :
" OK, on est d’accord, mais pour ce faire, tu vas devoir passer une épreuve ! ", et ils se mettent à rire tous les deux, ils semblent très complices et j’en suis certain avaient déjà cogité leur petit jeu avant que j’arrive.
" Une épreuve ?... Qu'est-ce que ça veut dire ? ", J'avais maintenant l'impression de tomber dans un piège....
Et Samran m'explique :
" Nous sommes OK pour une partie chaude à trois, mais avant tu vas devoir subir une petite épreuve de maîtrise de ton corps, nous souhaitons voir comment tu vas te comporter comme on l’entend, voir si tu sais maîtriser certains de tes sens ! "
Anek poursuit :
" Nous allons voir si tu sais obéir, te soumettre et respecter la règle du jeu... "
J’étais perdu, de quoi parlaient-ils ?
" Mais quelle règle du jeu ? " dis-je totalement inquiet et paumé par leur délire.
Samran m’expliqua calmement et posément :
" Tu vas te mettre en slip et t'asseoir gentiment au fond de ce fauteuil de cuir, les deux mains sur les accoudoirs sans jamais les enlever, tu entends bien. ..Sans jamais les enlever !... Sinon le jeu devra s’arrêter immédiatement et la soirée sera terminée, tu devras nous quitter !».
« Oui et alors ??? » balbutiai-je.
« Et nous, pendant ce temps-là, nous allons assurer le film en live, en trois D et si à la fin tu auras su maîtriser ton corps, tes envies, que tes mains ne seront pas venues caresser ou solliciter ton sexe pour te palucher... Alors on acceptera tous les deux et sans concession que nos corps te soient confiés sans restriction aucunes ! " Me dit tranquillement Samran.
" Mais vous êtes des bourreaux tous les deux, vous n'allez pas me demander une chose pareille ? C’est le supplice de Tantale" dis-je inquiet.
Samran me réponds :
" C’est tout à fait ça, tu as vu juste, maintenant réponds à notre question : Tu nous veux oui ou non petit pervers ? "
Aussitôt je lui réponds :
" Oui, oui, je vous veux, mais votre supplice est dur... Bon, c'est OK, je m'engage à respecter votre règle ".
Chacun reprend une bonne rasade de whisky, je fais tomber mon jean et les chaussettes, je suis maintenant en boxer gris-chiné Calvin Klein devant mes deux asiatiques de rêves qui eux sont encore " emballés " dans leurs tenues de toile que je trouve très sexy.
Samran enlève soudain sa chemise et la fait valser par-dessus son fauteuil et Anek l'enlève à son tour et la jette en arrière, ils sont maintenant tous deux torses nus, superbes, ils ne pèsent chacun qu'environ 63 à 65 Kg et sont par conséquents sveltes mais peu musclés, leur couleur de peau est dorée et uniforme, ils sont imberbes tous les deux, j’avais l’impression d’avoir deux jeunes de moins de 20 ans tout juste en âge de faire l’amour.
Samran laisse apparaître une longueur fine et légère de poils entre le nombril et le bas du ventre qui pour l'instant ne me permet de la voir s'arrêter qu'au niveau de la ceinture élastique du pantalon de toile. Anek se baisse pour reprendre son verre et boire une énième gorgée de whisky, je discerne facilement au travers de son pantalon de toile grise la forme d'un string, d'un seul coup Samran lui tire le pantalon vers le bas et là je découvre Anek effectivement en string-filet blanc, quel spectacle bandant, mon rêve, ce bel asiate à demi nu devant moi, son string fait apparaître au travers des mailles de filet un sexe de taille très moyenne, Anek était conforme à la réputation des asiatiques qui ne sont pas fortement "montés ", mais qu'importe... je commençais à bander au vu de ce spectacle, la lumière indirecte et la musique douce apportaient leur contribution à la mise en scène de ce strip-tease au masculin.
Anek termine de retirer son pantalon tombé à ses pieds et l'envoie valser retrouver sa chemise, il est beau comme un Dieu, son corps doré totalement imberbe me donne l'impression d'un grand adolescent malgré ses 26 ans, son string le met en valeur, j'imagine son sexe au travers de ce filet à grosses mailles, quelques poils très noirs sortent au niveau de l'entrejambe, il s'approche de moi en me déposant un baiser sur le front, son sexe enveloppé à hauteur de mes yeux forme un petit pic sous les mailles, je bande déjà, une main sur chaque accoudoirs et les jambes écartées... je ne pouvais rien faire d’autre.
" C'est un vrai supplice Anek que tu me fais vivre ! " dis-je au bord de l’excitation.
Anek me réponds du tac au tac :
" Mais nous l’espérons bien, c'est le jeu ! "
Il se retourne et me présente son cul bien lisse et rebondi ou j'imagine au travers de ce filet blanc qui ne couvre qu'à demi ses fesses rebondies, sa raie plus sombre, il se dandine durant quelques secondes et me nargue en se caressant le fessier et l'entrejambe jusqu’à se reculer afin que son filet vienne me frôler le nez pendant plusieurs dizaines de secondes… son cul dégageait un suave parfum de jasmin frais…
Pendant ce temps Samran assis, jambes écartées dans son fauteuil, sirotait son whisky en se caressant le sexe au travers de son pantalon de toile, puis lorsqu'Anek revient face à lui, il lui verse le reste de son whisky contenu dans son verre sur le string au niveau du sexe....
Quel gâchis !
Puis en riant il me dit :
" J’adore le goût du sexe au whisky thaï... tu gouteras un jour Corentin... c'est succulent ! " me dit-il en approchant sa langue du petit paquet d'Anek qui semblait déjà avoir augmenté de volume, et il commence à le lécher d'abord sur la peau et l'entrejambe où le whisky avait coulé... puis il donne de grands coups de langue sur le filet " garni " de son ami, moi je n'en peux plus, ce n'est pas tenable ce supplice de voyeur forcé !
Après s'être bien fait lécher pendant de longues minutes, Anek à genoux face à son compagnon lui prend les deux jambes de pantalon de toile et les glisse lentement vers le bas, puis Samran lève les jambes l'une après l'autres pour se libérer totalement du pantalon qui part en vrac s'étaler sur le sol du salon...
Samran est maintenant lui aussi à demi nu, en string lycra rouge vif, seule une ficelle lui passe profondément dans la raie des fesses et son paquet, qui semble un peu plus conséquent que celui d'Anek, est dressé dans son écrin rouge brillant, la tension du lycra en dégage les côtés qui laissent apparaître clairement la naissance des couilles, sa petite lignée de poils est maintenant bien visible entre le nombril et vient se perdre dans le string jusqu’au pubis.
Quel spectacle ! Et moi pris en otage, je ne peux pas me toucher…
Soudain, je m'empresse de leur demander :
" Wooouah ! Le jeu est maintenant terminé, je peux me joindre à vous ? "
Samran me répond :
" Tu veux rire ou quoi ? Tu ne t'imagines pas que nous allons te confier nos corps maintenant petit pervers ? "
Je ne sais plus comment me tenir, ma tige me fait mal, elle est serrée dans mon boxer, j'ai le cœur qui bas la chamade, une perle de mouille commence à poindre sur le tissu de mon sous-vêtement, et mes deux éphèbes s'en délectent de toute évidence, Anek me voyant peiner, s'approche de moi, que va-t-il faire ?...
Puis il récupère une paire de ciseaux déposés sur la table basse, Il tire une jambe de mon boxer et d’un coup fiche un grand coup de ciseaux au travers du tissu, puis termine de tirer le textile à la main afin d’agrandir le trou en le déchirant, me voici avec un boxer déguenillé, je l’avais acheté la veille justement pour cette soirée !
« Mais tu es fou Anek ! » lui dis-je abasourdi.
« Non je ne suis pas fou, n’oublie pas que tu es notre jouet ce soir, alors on joue… et toi tu ne dois pas bouger ! »
C’est alors qu’il reprend ses ciseaux et les passe le long de ma cuisse droite, tire le tissu du boxer et coupe une bonne longueur de textile jusqu’à la ceinture, ma queue dressée sortait maintenant de ce qui restait de mon boxer, ma couille droite sortait elle aussi de cet écrin saccagé…
« Tu vois, tu es plus à l’aise maintenant » ricana Samran tout en se palpant le sexe au travers du lycra.
Anek me prit délicatement la bite bandée et me la replaça hors de mon boxer en loques, la caresse au passage… Puis me lèche le gland humide et remet tant bien que mal les lambeaux de mon boxer en place :
" Voilà, tu ne vas pas dire que je ne prends pas soin de ton corps, ta bite à maintenant plus d’espace… Tu me faisais peiner à bander de la sorte dans ton boxer qui emprisonnait tout ce beau matos, ta tige a besoin de s'exprimer pleinement, la voici plus à l'aise… Profite et apprécie le moment présent ! "
Et il se mirent à rire tous les deux comme des fous, et moi je continue de rester là, assis comme une momie en guenilles, sans aucun pouvoir de bouger, si ce n'est de bander maintenant à mon aise et voir mon gland couvert de liquide pré-séminal !
Anek face à son copain qui s’était relevé lui passe la main sur les fesses et tire le cordon rentré dans sa raie, il reprend sa paire de ciseaux posés sur la table basse et vient couper la cordelette du string, Samran se retrouve avec le cordon rouge pendouillant entre ses jambes, libérant un peu plus son sexe tendu, j'aperçois maintenant clairement ces couilles légèrement poilues et sa tige augmenter de volume, ils s’amusent comme des gosses ces deux-là !
Anek termine son acte de destruction en coupant le cordon servant de ceinture à ce string devenu inutile, le string en lycra rouge tombé au sol, Anek le récupère et vient me le passer sous le nez, son odeur de sexe était agréable, le lycra était très légèrement humide… Il sentait bien la bite de Samran…. Hummm !
Anek déposa le string sacrifié sur le fauteuil entre mes jambes écartées et reparti caresser le corps totalement nu de Samran, le string-filet d'Anek était maintenant clairement tendu, nous étions trois à bander comme des taureaux, mais mes deux asiates avaient un large avantage sur moi, eux ils se touchaient le sexe, ils se caressaient, ils se léchaient toutes les parties du corps, ils se frottaient l’un à l’autre, ils se roulaient des pelles, et moi je n’avais le droit que de bander sur mon fauteuil, dans les lambeaux de mon boxer découpé, les mains plaquées définitivement sur les accoudoirs sans pouvoir me toucher… un supplice intenable mais c’était la règle !
Puis Samran s'agenouilla face à son cadet debout, les mains dans le dos comme pour s'interdire l'usage des mains, il lui tira le string filet avec ses dents, en plusieurs tentatives, je vis sortir le membre d'Anek, tendu et le gland totalement décalotté et brillant , comme je l'imaginais ce n'était pas un monstre mais une belle bite bien formée d'environ 14 à 15 cm x 4 avec des couilles bien pendantes poilues sans excès, je n'en pouvais plus de découvrir la nudité de mes deux bourreaux, ils étaient là face à moi, leurs sexes dressés vers le plafond de ce salon devenu un véritable lieu de supplice pour moi, ce phallus d’ébène que je regardais par alternance, cette peinture de mecs entrelacés, bites tendues qui s’embrassaient et moi comme un con immobile, le boxer dézingué, la queue bien bandée totalement à l’air libre, les couilles à moitié sorties des lambeaux de mon boxer je restais affalé sur le fauteuil sans avoir le droit de bouger le petit doigt, uniquement de jouer le voyeur pervers sans même pouvoir me branler…
Je sentais qu'il ne fallait pas que ce spectacle s'éternise car j'avais un gros doute sur ma capacité à maîtriser mon éjaculation qui menaçait à chaque action érotique que mes deux salauds de pédés Thaïs avaient orchestré.
Samran, toujours agenouillé commença à lécher les couilles de son compagnon, qui lui, avait repris son verre de whisky, et tout en sirotant et léchant le verre se faisait lécher les boules, l'entrejambe, le bas ventre et bientôt allait se faire pomper en gorge profonde par son aîné.
Effectivement Samran engouffra dans sa bouche la tige bien droite d'Anek et se mis à le pomper lentement, bien à fond de sa gorge, je pouvais voir très distinctement la forme du membre d'Anek faire des vas et vient dans la bouche de son copain, ce jeu a bien duré huit à dix minutes, ma bite était en feu, je sentais le désir de cracher mon sperme arriver de plus en plus vite, je ne tenais plus devant cette scène de fellation lente accompagnée par la musique douce diffusée dans ce salon aux éclairages tamisés, puis peu à peu Samran accéléra le rythme de ses vas et vient, parfois le gland décalotté d’Anek sort de sa bouche, puis Anek dans un petit gémissement sort son membre en feu de la bouche de son ami et aussitôt un jet rapide de sperme vient s'écraser et couler sur le menton de Samran, puis un second jet aussi violent mais moins généreux lui tombe sur le torse et ensuite Anek poursuit son plaisir en se masturbant au nez de son compagnon qui lui lèche le gland décalotté, puis Anek la queue à la main vint se planter devant moi et reprend sa masturbation pendant quelques minutes avant de voir sa bite éjaculer une dernière fois entre mes cuisses écartées, son sperme atterrit sur le cuir de mon fauteuil, toujours sa queue à la main il vient essuyer son gland sur mes deux genoux.
Au vu de cette finition d’Anek, la queue de Samran n'avait pas débandé (la mienne non plus d'ailleurs !), il ordonna alors à son jeune compagnon maintenant vidé de venir se mettre à califourchon au-dessus de la petite table du salon, Anek ne se fit pas prier et s’exécuta sans broncher, le tableau ne manquait pas de piquant, les deux bouteilles de whisky, nos verres et les petites assiettes de grignotage sous le corps nu en position de super salope pour se faire prendre en levrette d’Anek , à quatre pattes sur la table basse, le cul bien tendu et le dos galbé, Anek attendait de se faire prendre ! Sa petite bite maintenant détendue laissant tomber des gouttes de sperme aux dessus de nos verres !
Samran au bord de la petite table basse se met alors en position d’enculer son benjamin, il ajuste la distance et la hauteur de sa cible, se branle en se crachant un peu de salive sur le gland, sa queue maintenant à l’horizontale et après l’avoir fait coulisser de haut en bas dans la raie d’Anek, il lui rentre son membre avec délicatesse et une grande facilité, le trou d’Anek était habitué à l’accueillir c’est évident, légèrement de trois-quarts je pouvais voir le trou noir d ‘Anek avant son introduction et sa paires de couilles pendantes, cette vue du cul bien tendu d’un mec dans cette position de chienne m’a toujours foutu une gaule démesurée… c’était vraiment le cas en ce moment !
Les vas et vient incessants de Samran dans le corps svelte et coloré d’Anek étaient insoutenables d’excitation et de beauté, j’étais pris à mon propre piège, moi qui me délectait très souvent d’être voyeur face à un couple d’hommes s’emmanchant sauvagement, ma queue me faisait mal, j’aurai donné cher pour pouvoir me la prendre et me la branler fort, très fort pour enfin cracher mon jus qui menaçait à tout moment de partir sans crier gare… mais non je devais montrer ma volonté de me maîtriser, de contrôler mes pulsions, d’être à la hauteur de leur défit à la con !
Anek maintenant gémissait comme les asiates savent le faire, pas de cris hurlant leur bonheur de se faire pénétrer profondément, mais une succession de gémissement très féminins, ses jambes s’écartaient de plus en plus, laissant plus de disponibilité à Samran de l’enculer profondément, leurs plaisirs mutuels étaient à leur comble, Samran rugissait tel un lion honorant sa lionne… Puis il se retira rapidement en larguant des jets puissants de sperme qui arrosèrent la raie et le dos d’Anek, puis continuant ses éjaculations saccadées ce sont nos verres qui se remplissaient au gré des jets de son nectar, nous allions déguster du whisky Thaï au sperme Thaï…
Anek, le cul en compote se remis debout en se passant la main dans la raie pour avaler le sperme balancé par son enculeur…
« Humm, c’était trop bon mon amour, tu baises comme un Dieu, mon cul te remercie une nouvelle fois pour cette offrande sexuelle virile et résistante » remercia Anek en caressant le visage de Samran.
Samaran qui était lui aussi venu essayer son gland sur mes genoux, lui répond en me regardant dans les yeux :
« Tout le plaisir fut pour moi de pénétrer tes entrailles au plus profond de toi petite chienne, la chaleur de ton corps intérieur et ta volonté de recevoir ma virilité m’honore, j’espère que toi aussi Corentin tu auras apprécié notre accouplement ! »
Je ne savais plus quoi répondre, mon sexe me faisait mal.
Samran reprend en m’interpellant :
« En tout cas je te félicite, tu as su résister avec dignité au supplice de Tantale, nous savons combien tu as souffert, mais ta résistance t’honore !
Tout en me disant ces paroles de félicitations bien méritées Samran s’avança vers mon entrejambe écarté puis englouti ma queue dans sa bouche… il continua en me passant sa langue sur les couilles à demi-couverte par mes lambeaux de tissu, il me force à écarter au maximum les jambes, son nez se trouve sous ma paire de couilles, je n'en peux plus de cette soumission de débauche, ces deux éphèbes asiatiques qui m'avaient tellement fait rêver et qui ce soir me font souffrir, mais c'est la règle du jeu, je n'ai pas le droit de me branler devant eux, je dois conserver mes mains sur ces putains d'accoudoirs, je n'ai que le pouvoir de bander et Samran qui continuait de m’humilier en me léchant l’entrejambe totalement trempé de sueur…
C'est sûr maintenant je vais larguer ma purée dans ce qui reste de mon boxer en guenilles, cette situation est humiliante et injuste, mais si je veux à mon tour pouvoir me farcir ces deux thaïs je dois me soumettre à leur règle.... Cette putain de règle à la con !
Jamais je ne pourrais les sucer, les branler, les enculer sans me soumettre à ce supplice que j’étais loin d’avoir imaginé en acceptant leur invitation pour « Un apéro+ », c’était donc ça le fameux « + » du message, j’allais être leur jouet sexuel !
Moi j'étais arrivé à un point de non-retour, je souffrais en gémissant trop fort, ma queue n'avait certainement jamais atteint un tel état de surchauffe et d’amplitude, je bandais comme un taureau en rut, mon gland violacé était totalement décalotté et sortait fièrement de cet amas de guenilles saccagées par les coups de ciseaux de mon tortionnaire, je gémis un grand coup et aussitôt mon râle parti que ma queue largua en un jet violent ce sperme qui menaçait depuis trop longtemps de sortir, j'éjaculais un grand coup jusqu'à la table basse près dans les verres de whisky, sur la bouteille vide, dans les petites assiettes de gourmandises, j’inondai tout au passage, deux autres jets sur le string rouge déposé sur le fauteuil de cuir entre mes jambes... mon nectar glissait sur le cuir pour tomber sur le parquet… J’étais au moins libéré de ce sperme qui menaçait de sortir depuis trop longtemps, alors j'ai voulu me finir en me branlant, mais rapidement mes deux bourreaux m'ont crié ensemble :
" Non, tu n'as pas le droit, rappelle-toi notre règle, tes mains restent sur l’accoudoir ! "
Ma réaction fut brutale, je leur lance :
" Salauds, comment pouvez-vous me faire ça, c’est intenable, laissez-moi me branler bande de naze ! "
Ils se marrèrent et chacun s'approchèrent de moi, Anek tira les morceaux de mon boxer déchiré et maculé de sperme, coupa la ceinture pour me le retirer totalement et balança l’amas de textile qui atterrit par miracle sur le phallus d’ébène.
Samran, lui est venu lécher mon membre à peine détendu et en me titillant le bout des seins, Anek, lui, profitait de la position penchée de son pote pour lui lécher la raie encore humide...
« Allez vas-y, palluche-toi, petit branleur » me lança Samran !
En me tendant mon verre, il exigea que je jute dedans, puis après avoir larguer le reste de ma sauce, ensemble nous reprenions nos verres de whisky plein de coulures de sperme et de nos nectars flottants en guise de complément nutritionnel liquide et trinquions à notre prochaine séance débridée avec mes yeux bridés… Anek repris alors la paire de ciseaux, il coupa les restes de mon boxer saccagé, me l’enleva délicatement, ouvrit la trappe de l’insert de la cheminée et balança les reliques de tissus dans les flammes… Je vis les dernières heures de mon boxer ainsi incinéré sans cérémonial, les flammes jaunirent rapidement et mon boxer venait de terminer son existence en fumée !
Je termine là mon récit car en l'écrivant, mon sexe est en feu.... Je dois m'en occuper... Vous le comprendrez aisément !!!
Un jour peut-être aurais-je la plume aiguisée pour vous conter la suite de nos jeux...que je venais désormais de baptiser les « Jeux Asia…TRIQUES » !
Deux semaines après Anek et Samran me réinvitaient pour un « Apéro + », cette fois-ci je savais à quoi m’attendre, j’y suis allé à poil sous mon jogging !
Castajl
castajl@laposte.net
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