Je travaille dans un bureau d'études et voilà déjà plus de cinq ans que je partage mon bureau avec un collègue. Mathis à 33 ans 1,75 m 70 kg il habite à 25 km au nord de notre travail, moi 35 1,81 m 73 kg, et j'habite à 30 km au sud du job, dans un autre département avec une végétation et une architecture de plaine alors que chez lui c'est déjà les contreforts des montages. Tous les deux nous sommes bruns et peu poilu de la poitrine, hé oui lorsqu'il vient au travail à moto il lui est parfois arrivé de changer de haut et c'est comme ça que je l'ai vu torse nu. Nous nous entendons parfaitement étant très complémentaires dans nos tâches.
Mathis et sa copine se sont séparés il y a six mois et parfois il a abordé le sujet avec moi, il est clair qu'il en est affecté. C'est pour cela que depuis le début du printemps je suis allé plusieurs fois chez lui, le vélo fixé à l'arrière de la voiture pour aller faire des balades dans sa région et lui éviter de rester chez lui à broyer du noir.
Cette fois - si c'est lui qui descend chez moi. À 9 heures il arrive en voiture, décroche son vélo et je le fais rentrer chez moi. Je suis déjà en tenue de cycliste et on s'accorde cinq minutes pour discuter avant qu'il me demande ou il peut se changer. Il va chercher son sac de sport dans son coffre et je lui indique ma chambre pour qu'il se change.
Cette fois-ci il ressort de ma chambre portant un cycliste bleu et jaune. Toutes les autres fois ou je suis allé chez lui il portait une tenue noire, cette nouvelle tenue lui fait un superbe beau boulle. Comme à chaque virée nous emportons sandwiches et boissons dans nos petits sacs à dos. Je lui fais découvrir ma région et la journée passe vite. Vers quatre heures, voyant le ciel menaçant, nous décidons de couper par des petits chemins de terre dans les vignes. Il commence rapidement à tonner.
C'est peu être l'électricité ambiante mais lorsqu'il roule devant moi je ne peux m'empêcher de lui dire que d'où je suis je vois tous les poils de sa raie qui sont écrasés par le tissu de chaque côté de sa raie. Comme il n'a pas bien entendu de ce que je viens de lui dire ou peut être qu'il ne croyait pas ce qu'il entendait, il ralentit et reste à mon niveau, je lui répète que l'arrière de son cycliste étant jaune, et comme il est bien tendu au niveau des fesses, le tissu est totalement transparent par sa sueur.
- "Putain le con" me dit-il, "c'est mon beau-frère qui me l'a passé me disant qu'il ne lui plaisait pas, je comprends maintenant, le salop"
-
J'insiste et lui dis que je pourrais compter uns par uns tous ses poils du cul.
- "À ce point-là ?" me demande-t-il.
On s'arrête et malgré ses contorsions il ne voit rien évidemment. Je lui propose de le prendre en photo pour qu'il juge par lui-même. Le temps de sortir le téléphone du sac à dos, je le fais se pencher sur son guidon comme lorsqu'il roule et voila qu'il constate effectivement une bande sombre de haut en bas entre ses fesses.
- "Putain tu m'as vu à poil, encore heureux que c'est toi, c'est sûr je vais le jeter dès que j'arrive"
- "Ba ! Ce n'est pas grave on est entre copain, mais je ne pensais pas que tu étais aussi poilu du cul" Nous sommes vite interrompus dans cette conversation pour le moins peu courante voire étrange entre collègues. Les premières gouttes de pluie commencent à tomber et rapidement c'est le déluge, nous ne sommes qu'à cinq kilomètres de chez moi, au milieu des vignes, sans aucune possibilité de nous abriter et c'est largement suffisant pour être totalement trempés et boueux de la tête aux pieds. Les deux derniers kilomètres nous les faisons sous la grêle. Lorsque nous arrivons, nous déposons les vélos et je lui propose, puisque nous sommes trempés, d'utiliser tout de suite le karcher pour nettoyer nos cycles et d'aller ensuite prendre une douche indispensable vue dans l'état où nous sommes déjà.
Sitôt dit, sitôt fait et vingt minutes plus tard, nous laissons nos chaussures dans le garage pour aller prendre une douche car avec cette pluie glaciale on commence sérieusement à avoir froid avec nos tenues crottées.
Je vais directement dans la salle d'eau, j'allume le chauffage en position chauffage accéléré et lui sort une serviette de bain. Il ne demande pas son reste pour aller prendre sa douche. Pendant ce temps je me prépare un expresso pour me réchauffer. Il y a moins de dix minutes qu'il est dans la salle d'eau que je l'entends Mathis m'appeler et me demander de lui apporter ses vêtements restés dans ma chambre. Je récupère sur le lit Jean, T shirt caleçon, chaussettes et chaussures. Arrivé devant la porte de la salle d'eau j'ai une hésitation et par correction je toque à la porte. Il me répond d'entrer. Dès que je rentre dans la pièce je dépose ses vêtements sur le plan de travail à côté du lavabo et peut-être pour me donner une contenance je lui dis :
- wouaa il fait bon ici.
J'ai oublié de vous dire que la cabine de douche a été installée à la place d'une grande baignoire et que par conséquent elle est grande avec une paroi vitrée mais pas de porte car il n'y a pas de risque que l'eau éclabousse en dehors de la douche. Alors que je viens de déposer ses vêtements voila que Mathis se place dans l'ouverture de la douche, il est à trois mètres de moi et face à moi se savonne la poitrine, il ne semble absolument pas gêné d'être nu devant moi et me dis :
- "ouiai il fait bon ici et je vois que tu frissonnes, viens vite prendre une douche bien chaude".
J'ose à peine y croire Mathis m'invite à prendre ma douche avec lui et en plus je constate que lorsqu'il a passé sa main sur sa poitrine puis sur son ventre il continue en se savonnant le sexe. Pendant que j'enlève ma tenue trempée qui me colle à la peau je le vois qui recommence son manège poitrine, ventre, sexe et là je n'ai plus de doute il est en train de bander devant moi et maintenant il y met les deux mains, pas de doute il me chauffe. Je lui fais la réflexion :
- " Mais tu bandes là ?"
- "Ouiai je pense"
- "Et c'est moi qui t'excite ?"
- "Ouiai probable"
Je suis enfin nu et je rentre dans la cabine, il se recule pour que j'aie la place de rentrer et aussitôt, il me pousse doucement en arrière pour que je sois sous le jet de la douche. C'est vrai que maintenant, je frissonne en réaction à l'eau chaude. Mathis prenant une bonne dose de gel douche il s'en garnit généreusement les deux mains et commence à me savonner la poitrine. Ce qu'il ignore c'est que j'ai les tétons hypersensibles et qu'il suffit de me les toucher pour me faire bander immédiatement, alors là je ne vous dis pas, lui à poil devant moi avec la gaule et me savonnant la poitrine j'ai bientôt mes 19 cm à l'horizontal. (C'est vraiment ma taille lorsque je bande avec un diamètre d'un bon 4 cm, hé oui la mature m'a bien gâtée), mais lui non plus n'est pas en reste avec un 18 cm avec des couilles moins grosses que les miennes mais tout aussi rasées, la différence c'est que moi je garde le pubis rasé court alors que lui l'a totalement rasé. Bientôt ses mains sont sur mon ventre et il prend ma teube dans la main pour me masturber, pendant ce temps je ne reste pas inactif et c'est mutuellement que nous nous masturbons. Mathis vient appuyer son front contre le mien, en penchant tous les deux la tête nous nous voyons nous branler et je sens son souffle saccadé sur mon visage. On entend le bruit de l'eau qui coule et le bruit que font nos deux queues lorsque les mains s'activent sur elles. Mathis me demande alors :
- "C'est bon"
- "Oui trop continue"
Il passe alors sa main pour me soupeser les couilles et alors que nos deux fronts se séparent il me regarde dans les yeux et ouvrant légèrement les lèvres se passe la langue pour les mouiller. Gardant sa main droite sous mes couilles il pose la main gauche derrière ma tête et fait en sorte que nos deux bouches se collent l'une à l'autre. Me collant contre lui en frottant ma poitrine contre la sienne j'ouvre la bouche et lorsqu'il sort sa langue je la lui saisis pour qu'il me la rentre profondément dans la bouche. C'est alors serrés dans les bras l'un de l'autre que nous entamons se roulage de pelle fabuleux. Nos mains caressent nos dos, je luis saisi les fesses et lui m'imite.
Après un très très long patin quand il peut me parler il me dit :
- " J'ai envie de faire l'amour avec toi", et aussitôt de continuer comme pour s'excuser il me précise
- " Il y a deux mois je suis allé sur une aire d'autoroute, un mec m'a caressé, m'a embrassé et on s'est branlés, j'ai joui mais pas lui. C'était superbon et j'ai compris que j'avais besoin de refaire ça mais avec un mec de confiance. Tu es le mec le plus franc et canon que je connaisse et j'ai envie de te prendre, tu veux bien dit moi ? "
- "Évidemment couillon, mais comment t'a deviné que j'aimais les mecs ?"
- "Je n'en étais pas sûr mais j'avais tellement envie avec toi je me suis lancé j'en avais trop envie et je savais que si je m'étais trompé cela n'aurait rien changé entre nous et que tu n'aurais rien dit, car tu es super-discret."
-
Je l'interromps en lui faisant un smack.
- "T'inquiète ! Tu vas me prendre, mon cul sera à toi comme tu veux mais avant je dois me le laver".
À son air étonné je lui mets les points sur les i.
- "Tu sais moi la moindre odeur désagréable et je débande et pour moi tout est fini alors pour que la tuyauterie soit propre je me fais un lavement avant de me faire enfiler"
Il a pigé et c'est sans tarder qu'il sort de la douche pour s'essuyer. Pendant ce temps je prends mon embout en inox et je lui montre quand je le visse à la place du pommeau de la douchette. Il en aura apprit en une fois !
Dès qu'il est sorti pour aller comme il m'a dit "préparer le lit" c'est l'opération lavage. Renouvelée plusieurs fois je suis sûr d'être clean. Et dix minutes plus tard je le rejoins dans ma chambre. Je ne vois que sa tête qui dépasse de la couette, Mathis me fait un large et franc sourire puis il sort les bras et me dit
- " Viens vite, viens faire un câlin avec moi"
Je ne me le fais pas dire deux fois. Et rapidement nous sommes tous les deux enlacés bien au chaud sous la couette. Là c'est caresses en même temps que des bisous, des patins à n'en plus finir et quand je passe ma main sur sa cuisse pour la remonter c'est un bâton de berger qu'il a entre les jambes, Moi qui adore sucer je vais me régaler.
- "Tu sais tu m'excites plus qu'une femme, je suis PD moi aussi tu ne crois pas ?"
- " Et alors ça te gêne ? Tu sais tous les hommes ont une part de féminité en eux et après !"
- "Oui c'est vrai mais là tu sens" Et tout en parlant il prend ma main pour la poser sur sa poitrine au niveau du coeur.
- "Tu sens comme il bat vite, c'est la première fois comme ça et je vais te dire une chose, je suis heureux avec toi"
Moi aussi j'ai le palpitant qui bat la chamade car je n'aurais jamais pensé qu'il y ait la moindre aventure avec un collègue de bureau et en plus avec Mathis lui si réservé, presque timide, c'est vrai que moi aussi je suis super-bien avec lui sous la couette.
Je sens bien qu'il faut quand même l'initier et voila que je m'allonge sur lui, aussitôt il m'enserre la poitrine de ses bras presque à m'étouffer. Mes deux mains de chaque côté de son visage je lui tiens la tête et c'est à nouveau des bécots sur les joues, le front dans le cou ce qui le fait se trémousser. Yes j'ai trouvé un de ses points faibles et je ne vais pas le lâcher d'un bon moment, Mathis couine, tente de me lécher les joues mais je lui maintiens les joues et il est quand même un peu à me merci. J'ai mon dard entre ses cuisses et le sien entre les miennes. Je descends lui sucer les tétons mais sans grand succès car les siens ne sont pas très développés alors que moi, depuis que je me les travaille pour jouir cela les a fait grandir et excité comme je suis ils ressortent vraiment entre les petits poils de ma poitrine.
C'est lui qui me demande :
- "Donne-moi ta queue que je te suce"
La couette est rapidement repoussée au pied du lit et je pivote sur lui pour lui présenter l'objet de ses désirs. Évidemment je ne reste pas inactif et bientôt dans la chambre ce ne sont que bruits de sucement et gémissements de contentement. Nous basculons sur le côté et j'en profite pour lui faire passer sa jambe sur moi. Il a alors l'entrejambe bien écarté et j'ai un accès direct à son oeillet. Tout en lui gobant les couilles je salive à mort et mouillant mon doigt je lui passe tout autour de l'anus, il trémousse à nouveau. C'est clair qu'il prend son pied le novice. Je remouille mon doigt avec l'intention de le lui rentrer doucement dans le cul mais là je sens qu'il se contracte.
- "Doucement j'ai peur" me dit-il en interrompant son taillage de pipe. Je n'insiste pas il n'est pas dans mes intentions de le brusquer pour une première vraie partie de jambes en l'air avec lui alors je me mets à lui bouffer le cul. Il gémit mais rapidement il m'interrompt.
- "Arrête c'est trop bon, si tu continues je jouis". J'arrête immédiatement car j'ai bien trop envie qu'il me prenne.
En bon élève qu'il est c'est lui maintenant qui me broute de cul et c'est à moi de couiner, c'est un truc que j'adore que l'on me fasse quand je sais que je suis archi clean. Il me lape le trou du cul tout en me branlant ma queue qui pend raide entre mes cuisses écartées. Il apprend super vite et il est très doux, tout ce que j'aime.
Après une courte pause je recommence à lui sucer la queue en faisant des gorges profondes cela l'oblige à arrêter son suçage car il râle de plaisir à chaque fois."Doucement, tu vas me faire jouir" il me faut vraiment me freiner si je veux l'avoir dans mon cul alors pour le tenter je glisse à côté de lui et reste sur le ventre, allongé de tout mon long. Mathis vient alors de chevaucher et m'écartant les jambes au maximum il n'a guère de difficultés pour atteindre mon oeillet surtout que je me suis cambré pour remonter mes fesses et lui faciliter le bouffage de cul. S'il continue comme ça, c'est moi qui vais jouir sans qu'il m'encule car il s'y prend comme un pro en rentrant sa langue au maximum dans mon cul et en faisant le tour de mon trou avec le bout de sa langue, un vrai supplice, mais c'est si délicieux.
- "Tu aimes" me questionne-t-il ?
- "J'adore, mais rentre dans mon cul, j'ai trop envie" et tout en disant cela, je positionne mes mains sur mes fesses pour les écarter un max, je suis totalement offert.
- " Tu as du gel ?", prit dans l'action j'avais oublié et je lui ouvre le tiroir de la table de nuit pour en récupérer le flacon de gel. Je sens le liquide froid qu'il fait tomber sur mon anus et je sens aussitôt un doigt rentrer sans aucune difficulté dans mon cul.
- "Vas y encule moi, prend mois j'ai trop envie"
J'entends alors qu'il s'enduit la queue de gel, je relève bien mon cul et c'est parti je sens son gland qui commence à pousser pour rentrer dans mon intimité. Il stoppe et je le supplie immédiatement de continuer
- " Vas y, vas y baise moi"
Mathis s'allonge maintenant sur mon dos, glisse ses mains sous mes aisselles et vient se cramponner près de mon cou je sens qu'il rentre et ressort pratiquement entièrement de moi pour aussitôt y rentrer à nouveau.
- " Oui continue c'est trop bon"
- "Ho oui c'est bon, je t'encule, c'est bon, c'est bon". Je sens l'excitation monter progressivement et je pense ne pas tenir longtemps avant d'envoyer la purée. Je le préviens ;
- " Ne t'arrête pas, continue, je sens que ça vient"
- "Oui, oui moi aussi, je viens haa"
-
Rien que de l'entendre crier ses h je suis arrivé au point de non-retour et après avoir senti les contractions de sa queue dans mon cul pendant qu'il m'envoie ses giclées dans le cul, c'est à moi de sentir le plaisir envahir mon bas-ventre, je respire par saccade, incapable de parler tant la sensation est forte, une véritable jouissance du cul ce qui ne m'arrive que trop rarement.
Alors que je suis allongé la tête sur le côté je sens qu'il me mordille le lobe de l'oreille puis lorsqu'il s'arrête il me murmure.
- "Merci, j'ai jamais été aussi bien. Oui je suis ton PD, tu es fier de moi ?". Je le sens très ému et moi aussi car j'ai toujours le palpitant qui bat à cent à l'heure. Il a toujours son sexe dans mon cul et je lui dis que je n'ai pas envie qu'il sorte alors c'est avec quelques difficultés que j'arrive à me retourner en passant une jambe au-dessus de lui tout en gardant son sexe dans moi.
- "Tu sens, on ne forme qu'un, on est soudés", il s'interrompt et recommence à me rouler un patin. C'est à ce moment que je vois des larmes couler sur ses joues.
- "Ça ne va pas, t'est pas bien ? "
- "Non je suis trop heureux, je n'ai pas envie de te quitter ce soir, excuse-moi." Il est super touchant avec sa voix qui tremble en me disant ça et moi aussi je suis ému, son émotion est si communicative que moi aussi je me lâche et les yeux embués je suis obligé de renifler
- "Tu pleures toi aussi" me demande-t-il ?
- "Comme toi je n'ai pas envie que tu partes, reste avec moi cette nuit, tu veux bien ?"
Il est en train de me chambouler et finalement cela n'est pas désagréable du tout. JE SUIS BIEN avec lui.
Le repas sera une pizza congelée que nous mangerons à poil en se faisant des bisous et des caresses à qui mieux mieux. Nous passerons la nuit ensemble mais nous ne dormirons pas beaucoup trop excité et émus de ce qui nous arrive. Il laissera son vélo dans mon garage avec le mien. Mais nous irons à notre travail chacun dans notre voiture. Un mois plus tard il mettait son appartement à la location et donnant comme excuse qu'il avait un vieux parent (ce qui était vrai) qui n'allait pas bien et qu'il était la seule personne de sa famille restant dans la région il se devait de s'occuper de ce vieux parent et c'est pour cela qu'il déménageait dans la même ville que moi.
Je l'ai aidé à déménager et s'installer. Évidemment depuis cette date nous passons pratiquement tous nos weekends ensemble soit chez lui soit chez moi et nous projetons de passer nos prochaines vacances ensemble en Espagne.
Calinou
drazich@free.fr
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