La fête du quartier

Cette année la fête des voisins n’a pas eu lieu dans mon quartier à cause de la pluie.

Il a été décidé de faire une fête de quartier ce 5 juillet.

Ce soir-là je ne connais pas grand monde et me voilà le dernier de la rangée. En face de moi Justine et son mari en face de ma voisine. Tous les deux ont 38 ans, elle mignonne, mince, brune. Landry, son mari :1,80m, 70 kg, brun cheveux ondulés yeux bleu (j’adore les yeux clairs) barbe de trois jours bien taillée. Le style de mec que j’apprécie particulièrement. Après l’apéro et le repas, ma voisine et son mari qui est à coté de Landry s’excusent car ils ne peuvent pas rester plus tard.

Nous restons donc au bout de la table : Justine, Landry et moi nous discutons beaucoup et en parlant plus bas pouvons parler de sujet plus personnel. Ils m’apprennent que leurs enfants (en réalité ceux de Justine nés d’un premier mariage) sont chez leur père et quand nous abordons le sujet piscine ils m’avoue qu’ils ne peuvent se baigner nus que seulement après le couché des enfants. Comme tout mon jardin est protégé des regards par des murs je leur dis que moi je me baigne toujours en tenue d’Adam. Landry me fait la réflexion que j’avais de la chance.

Dix jours plus tard Landry au volant de sa voiture accompagné de Justine sortent de leur jardin au moment où je passe à pied. Nous avions promis de se faire un apéro car le courant avait super bien passé entre nous. C’est décidé ce vendredi, (leurs enfants sont chez leur père pour quinze jours de vacances) Je les invite à l’apéro au bord de la piscine. Penché vers la vitre du chauffeur ouverte Justine me dis « Nus à la piscine !) Oui Oui, j’imagine que c’est une plaisanterie et je n’y prête pas vraiment attention.
Ce vendredi, il est 19h lorsqu’ils débarque. Tous les deux s’extasient sur le jardin et ce qu’est devenu la maison après les gros travaux que j’ai fait faire lors de l’achat il y a quatre ans.

Justine : Woua, cette piscine, deux fois plus grande que la nôtre, et cette eau transparente, j’y pique une tête illico.
Landry : Attend, j’arrive
En quelques instants ils ont quitté T shirt, elle sa jupe et lui son short, aucuns sous-vêtements, un peu surpris par la rapidité des évènements je ne peux que les imiter et une minute plus tard je les rejoins nu dans l’eau à 28°, un pur régal après cette chaleur étouffante et orageuse de la journée. Dix minutes plus tard ils sortent de l’eau pour s’assoir au bord de la margelle, les pieds trempant dans l’eau. Ils ont les cuisses suffisamment écartées et je ne peux pas louper leurs sexes offerts à ma vue. Je fais du naturisme depuis vingt ans et bien que j’en ai vu de toute sorte sur les plages, ici chez moi je suis un peu surpris de leur aisance. Landry posant sa main sur le bas ventre de sa femme me fait remarquer : Tu as vu je lui ai rasé en forme de cœur. Evidemment me yeux se posent sur le pubis où seul un petit cœur de poil noir est visible.

Je suis à cinq mètres d’eux et voilà que la main de Landry descend et qu’il introduit un doigt dans la chatte de Justine pour la chatouiller ce qui ne manque pas de la faire se basculer la tête en arrière tout en disant : Ho tu exagère ! (Sans conviction). Je me trouve un peu con dans l’eau alors que Landry saute dans l’eau pour se positionner entre les cuisses de Justine pour lui brouter le minou. Je les trouve un brin provoquant mais Justine me fait signe de la main et me dis : Caresse-lui les fesse il adore ça. Je ne suis pas excité par les parties avec une femme mais là, l’invitation ne peux pas se refuser. Je m’approche du cul de Landry, pose mes mains sur ses fesses et commence à les caresser, je l’entends couiner alors qu’il écarte les jambes au maximum. Pour moi c’est une invitation à aller plus loin et tout en le caressant mes doigts passent dans sa raie et arrêtant un instant son broutage de chatte et tourne la tête vers moi et me dis : Ho ou
i continue ! J’ai maintenant mes deux pouces qui lui travaille l’anus et je le vois dandiner d’un pied sur l’autre, c’est sûr qu’il apprécie. Je m’apprête à la rentrer un doigt dans le cul quand un fracas énorme nous saisit, l’orage qui menaçait se déverse brutalement, aussitôt suivi de grêle. Il nous faut sortir précipitamment de la piscine, récupérer nos fringues et rentrer à la maison en urgence, des grêlons gros comme des pois chiches nous single de toute part. (j’ai su le lendemain que la foudre était tombée sur un arbre à moins de 300 m de chez moi)

Nous prenons le temps de nous sécher et rhabiller, nous nous installons dans le salon pour l’apéro alors qu’il tombe des seaux d’eau dehors. Durant cet apéro bien arrosé (d’eau dehors et d’alcool dedans) J’apprends que suite à notre discussion il y a deux semaines ils m’ont trouvé « très sympathique et très intéressant ayant de multiples centres d’intérêts), que depuis plus d’un an Landry avait dit à Justine « qu’il aimerais faire l’amour avec un mec et que je correspondais exactement au style de mec qu’il espérait et qu’elle n’y voyait pas d’inconvénients ayant elle même eu une aventure avec une copine.

Justine posant sa main sur la mienne et me regardant dans les yeux me demande : Est-ce que tu aimerais initier Landry et passer la nuit avec lui. Là, je joue celui qui vas faire un effort alors qu’en réalité cela m’enchante au plus haut point et je lui réponds OK. Justine me dit que j’ai pour la nuit tous les pouvoirs pour initier son homme mais qu’il doit être prêt pour dix heure le lendemain matin car ils doivent prendre la route pour aller passer quelques jours chez ses parents.

Il est vingt-deux heures quand Justine part de chez moi pour finir les valises et me laisse son homme pour lui faire découvrir ce qui le titille j’imagine depuis longtemps. L’orage s’est arrêté et déjà la terrasse fume c’est à nouveau une chaleur moite.

Une bise sur la joue de Justine comme au revoir elle me dit que Laudry lui racontera tout dans le détail pendant qu’ils feront l’amour et, sitôt le portillon refermé je décide de déshabiller lentement Landry, il m’imite immédiatement puis nous piquons une tête dans la piscine. Je commence à pincer doucement les tétons de Landry qui affleure la surface de l’eau, je l’entends immédiatement gémir, et voilà qui me pince les miens, à ce moment nous couinons ensemble car comme moi c’est une zone qu’il a très sensible, effectivement lorsque j’abandonne le pincement pour le suçage de son téton pour aller vérifier ce qu’il a entre les jambes, c’est un bon 19cm dressé vers le haut et collée contre son ventre que j’empoigne. Landry a mis sa main dans mon cou et commence à me laper les lèvres et dès que je les écarte il vient aussitôt me rouler une pelle magistrale comme s’il n’avait pas fait l’amour depuis des mois, un vrai morfal et je l’en
courage à continuer. Maintenant il me masturbe et j’ai la queue aussi grosse que la sienne mais moi elle est à l’horizontal.

Il m’avoue qu’il a des fantasmes avec des hommes et qu’il aimerait me tailler une pipe sous l’eau. Je ne vais surtout pas le décourager à me faire du bien, on se décale contre la margelle et je récupère un pince nez que je lui positionne tout en lui roulant une nouvelle pelle. Le voilà équipé et il plonge, s’accroche à mes cuisses et n’a aucune difficulté à mettre ma queue bandée (18/19cm) dans sa bouche. Dans cette position je passe mes doigts dans sa raie mais encore une fois je n’ai pas le temps d’y rentrer un doigt car il remonte à la surface pour respirer. Ce n’est qu’a son troisième pompage de nœud que j’arrive à lui rentrer un doigt. Ça glisse mal quand on est dans l’eau et je préfère lui faire connaitre ce plaisir quand ça glissera bien avec du lubrifiant.

Nous décidons de rentrer et direction la douche. On se lave mutuellement le trou du cul. Avec cette chaleur, inutile de se sécher et direction la chambre. Le dessus de lit valse et aussitôt nous nous allongeons tête bêche pour un 69 interminable.

Je vous ai dit qu’il faisait 1,80m et 70 kg, il est très peu poilu, juste un peu sous les aisselles et le pubis qu’il à rasé court comme sa barbe, les couilles et l’anus passés à la crème dépilatoire m’a-t-il dit. Moi je me rase le pubis et les couilles mais pas autour de l’anus car à la repousse c’a m’irrite la peau. Je suis moyennement poilu sur la poitrine, très peu sous les aisselles et juste un petit filet qui descend du nombril jusqu’au pubis. Landry n’est pas du tout poilu sur les fesses et les jambes, moi très peu poilu.

Landry m’avoue qu’il à, adolescent, sucer une fois la bite d’un copain mais qu’il n’avait jamais bouffé un cul. Quand je lui bouffe le sien il couine et se cambre tant l‘excitation est grande.

C’est lors d’une courte pause qu’il me dit qu’il aimerait bien m’enculer, que c’est son fantasme, enculer un mec par l’arrière à quatre pattes et le retourner pour lui limer le cul tout en l’embrassant afin de faire jouir un max son partenaire.

Moi qui l’imaginais actif il me dit qu’il pense être actif et que lorsqu’il regarde de films de cul gay il voit souvent les enculés serrer les dents car ça rentre difficilement et il a peur de se faire baiser, qu’il préfère « être l’enculeur que l’enculé ».

Moi qui aurais plutôt tendance à préférer être le passif, le programme me convient parfaitement.

Nous changeons de position, il se met sur le dos et je m’allonge sur lui. A nouveau les roulages de pelles, les bisous dans le cou dès que je lui titille les tétons il me donne la réplique, j’y vais doucement, lui aussi, je sers plus fort, lui aussi, je mouille mes doigts dans sa bouche pour lui caresser, lui aussi. Nous sommes en osmose totale et quand je me glisse pour lui bouffer la queue il recouine et me réclame de lui bouffer les couilles. Qu’à cela ne tienne, c’est un pur plaisir pour moi. Ma langue ne va pas loin pour s’immiscer aussi dans son œillet, là c’est une véritable anguille qui gigotte dans tous les sens en répétant « Ho oui Ho oui Raaaaaaaaaa ! » Il est clair que même si sa première fois, il adore se faire bouffer le cul.

Alors que je reviens luis sucer la queue il me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit et aussitôt il me broute le derche, là c’est moi qui couine et qui réclame « Oui, profond, oui ho oui » Je ne me souviens plus précisément tout ce que j’ai réclamé mais ce dont je me souviens c’est quand il mettait mes deux couilles dans sa bouche, à plusieurs reprises je lui ai demandé de moins serrer car cela me faisait mal.

De ses deux mains en appuis sur mes fesses il me fait comprendre que je dois m’allonger sur le ventre, A nouveau il me bouffe le cul, j’ai compris et je lui passe la bouteille de lubrifiant. Je l’entends s’enduire la queue tout en se branlant ensuite il m’écarte les fesses et fait couler une giclée dans ma raie. Je sens ses doigts qui font le tour de mon trou du cul alors qu’il me l’écarte pour y remettre encore du lubrifiant.

Ça y est je suis prêt à le recevoir, je sens ses mains glissantes qui m’écarte les fesses, j’ai trop envie et je l’aide en écartant mes fesses avec mes deux mains et en me cambrant pour qu’il m’enfile facilement.
Il appuie sur mes fesses pour avoir mon œillet au niveau de sa bite et, sans s’arrêter il me rentre ses 19 cm, j’en ai le souffle coupé mais hors de question de jouer la chochotte, je suis un enculé et je me fais enculer par un super mec qui vas prendre son pied en me limant. Il ne me faut pas longtemps pour réclamer qu’il me bourre un max, je suis une vraie chienne, une bonne pute à jus, je gueule « Vas-y vas-y nique moi », il y va de bon cœur et je sens que son souffle est plus saccadé, c’est sûr il ne va pas tarder à jouir, et hors de question qu’il sorte sa queue pour me jouir sur les fesses, je lui réclame : « envoie la sauce dans mon cul, bouffe-moi ». Pour toute réponse je n’ai qu’un Raaaa je jouieeee. Je sens effectivement que j’ai son sperme chaud dans les boyaux, c’est si bon. (Il m’avait dit être clean et ne pas avoir besoin de capote).

La nuit ne fait que commencer et après une bonne douche froide et un bon café nous ferons une pause. A deux heures du mat je suis réveillé par des caresses entre mes cuisses et évidemment mon braquemard et bien dressé.
Dans l’obscurité nous nous serrons dans les bras l’un de l’autre, il est sur moi et je sens son sexe dur entre mes cuisses. Landry me suçote les tétons et à nouveau je couine de plaisir. Il prend un oreiller qu’il me glisse sous les fesses et le voilà qui me rebouffe le cul à la lumière de la lune. Je vois ses yeux qui me regarde et quand il arrête il me sourit en me disant « J’ai envie de ton cul » Je lui réponds qu’il est à lui toute la nuit car je suis une grosse salope qui aime se faire bourrer.

Il me tartine à nouveau le cul, pose mes jambes sur ses épaules et rentre facilement dans mon cul, c’est le pied Sa deuxième giclée sera plus longue à venir pour mon plus grand plaisir, il est en sueur quand il me roule des pelles et qu’il à sa bite raide dans mon cul. Je sais qu’il n’y résistera pas alors pendant qu’il me lime le cul je lui pince les tétons, moins d’une minute plus tard, ruisselant de sueur lui comme moi, il m’envoie une deuxième dose avant de s’écrouler sur moi. Il me dira juste « Putain c’est trop bon » Après cette courte nuit alors que nous prenons le café à poil il se mettra à genoux entre mes jambes pour une dernière sucette.

Avant de rentrer chez lui (à cinquante mètres de chez moi) il me dit que ses prochains RTT ne sont pas compatibles avec le planning de sa femme et qu’il viendra prendre du bon temps avec sa bonne pute de voisin, encore une tape sur les fesses, une galoche et j’ouvre le portail car il est l’heure qu’il rentre raconter à Justine sa nuit de dépucelage.