À tout juste 18 ans, j'avais déjà plein d'envies et de fantasmes qui portaient autour du sexe entre mecs, mais je n'avais jamais été plus loin que quelques chats sur des sites spécialisés. Avec mon 1m75, mon corps de jeune sportif musclé et viril, pourvu d'un bon cul rond et d'une belle queue, j'avais tout pour plaire, mais je n'osais pas sauter le pas... de me faire sauter !
Comme tous les lundi, mercredi et vendredi soir, je participais à l'entrainement sénior dans mon club de volleyball. D'ordinaire, j'étais inclus dans l'équipe de juniors, mais talentueux, j'avais intégré l'équipe première qui évoluait à un niveau national. Comme à chaque fin d'entrainement, nous prenions notre douche et si, dans un premier temps, les gars se tenaient en ma présence du fait de mon jeune âge, ils ont rapidement laissé tomber les filtres et parler de cul sous la douche était un classique.
Mais un mercredi en plein hiver, alors que n'avions été que six présents à l'entrainement, je me retrouve seul sous la douche avec Alexis, un quadra bien foutu, les autres ayant préféré rentrer immédiatement. Alors que nous discutons, j'entreprends de lui poser des questions sur sa sexualité, le sachant gay et étant moi-même depuis longtemps attiré par les mecs - tout en m'en étant bien caché jusqu'ici. Il me raconte alors comment il a découvert son homosexualité, sa première fois, etc., et d'un coup, je me retrouve pris d'une incontrôlable érection que je ne peux masquer !
Repérant cela, Alexis saute sur l'occasion pour me questionner et je lui avoue mes envies tout en spécifiant que je n'ai jamais rien fait et n'ai jamais osé me lancer. Il se propose de faire découvrir quelques trucs et suggère alors une sorte d'action ou vérité, mais totalement porté sur l'action : il me demande si je préfèrerais l'embrasser ou qu'il m'embrasse. Je réponds la seconde proposition et il s'approche de moi, me serre contre lui et enfourne sa langue dans ma bouche. Je suis gêné, ma bite est dure et collée contre la sienne, il ne peut pas ne pas s'en rendre compte. Ses mains sont baladeuses et se mettent à me palper de partout...
Il s'éloigne et me demande comment j'ai trouvé cela. Je lui avoue sans hésiter que j'ai adoré. Il enchaine avec un petit rire sur la question suivante : est-ce que je préfèrerais être sucé ou prendre sa queue dans ma bouche... j'hésite grandement, j'ai peur de passer à l'action, peur d'être surpris, peur d'aimer. Il commence à se branler devant moi, sa queue est belle et grosse, mais j'ai toujours peur... Il me demande si ça m'aiderait qu'il décide pour moi. Je lui dis que oui, probablement. Il s'approche alors de moi, passe la main derrière ma nuque et serre fermement, tout en me glissant à l'oreille en chuchotant : " À genoux et suce ! "
À ces mots, mon ventre se tord, j'ai peur, mais suis terriblement excité et j'obéis. J'engloutis littéralement sa queue et entame une série d'allers-retours à grand renfort de coups de langue. Je le regarde dans les yeux et enfonce sa queue au fond de ma gorge. Il s'exclame : " Et bien, pour quelqu'un qui avait peur, tu es affamé de queue ! Mets les mains dans le dos ! ". Alors que je m'exécute, il saisit ma tête sur les côtés et entreprends de la maintenir fermement pendant qu'il met de grands coups de bassins pour pousser son gland profondément dans ma gorge. Je me débats un peu et bave beaucoup, mais je lui avoue immédiatement que j'adore. Dans un grand rire, il me lâche que je suis une vraie salope. Après quelques minutes ainsi, il se penche vers mon oreille...
... pour me lâcher sa proposition suivante : " est-ce que tu veux te faire casser le cul debout contre le mur comme un mec ou à 4 pattes comme une chienne ? " Bien que saisi instantanément de crainte, je suis retourné par la proposition, l'excitation est à son comble et je ne me contrôle plus. Je m'abandonne carrément, me lâche et me jette au sol, cul tendu vers lui en le suppliant de me dépuceler !
Mais Alexis est un coriace et il n'entend pas me donner ce que je veux aussi facilement. Il me claque les fesses et je comprends pourquoi il tape si fort dans le ballon ! Il me tient par les cheveux et chuchote à mon oreille : " ça doit se mériter ça... et tu sais quoi faire ? ". Alors que je hoche la tête pour indiquer que non, il passe devant moi et me tend son pied : " J'adore que les salopes me lèchent les pieds pour me prouver leur soumission. T'es une salope, tu me lèches les pieds, sans quoi, pas de dépucelage ! ".
Je refuse et essaie de négocier, un dépucelage et en plus avec mon petit cul, ce ne doit pas être donné les jours, mais Alexis est ferme. Il commence même à s'agacer. La menace fuse : soit je m'exécute, soit il sort de la douche et je n'aurais plus rien à faire avec lui et peut-être même qu'il lâchera par inadvertance à d'autres personnes que je l'ai pompé dans les douches des vestiaires. Coincé, je baisse la tête et entreprends de laisser ma langue se promener entre ses orteils. Étonnamment, j'y prends goût, psychologiquement parlant cela me procure beaucoup de plaisir de me sentir dominé à ce point.
Après quelques minutes de ce traitement, Alexis entreprend de me donner enfin ce que je veux, sa queue dans mon cul. Alors qu'il lèche et doigte mon petit trou, il me demande d'assumer ma demande : je dois verbalement affirmer à voix haute que je veux qu'il me baise, que je veux qu'il me casse le cul, que je suis sa pute... je répète tout cela comme un perroquet dans un premier temps, mais rapidement, ce sont mes tripes qui parlent et je le supplie littéralement de me démonter.
C'est d'un grand coup de reins qu'il entre, en force. La décharge est intense, j'ai mal, je souffre, je veux qu'il arrête, mais il m'assure que c'est normal et que ça va passer et se détendre, que de toute façon, je suis une salope et n'ai pas voix au chapitre. Me voilà à 4 pattes, la queue d'un beau quadra enfoncée jusqu'aux couilles à tout juste dix-huit ans dans les vestiaires de mon club ! Pas le temps de réfléchir pour autant, Alexis augmente rapidement la cadence et je perds le fil des évènements, mon cul prend la place de mon cerveau et je me laisse simplement guider par les sensations qui me transpercent dans tous les sens.
Après un certain temps, il me fait m'allonger face contre terre et me tenir les fesses bien ouvertes, lui s'allonge sur moi et j'ai l'impression alors que sa queue entre sans aucun effort et remonte jusqu'à mon estomac. Il m'enfonce ses doigts dans la bouche alors que sa bite me remplit profondément, je ne peux plus bouger. Je sens ses mouvements s'accélérer puis de grandes saccades et un grand râle alors que son foutre m'emplit les intestins. Il tasse tout bien au fond, puis sort sa queue et file côté vestiaire. Je suis au sol, les jambes tremblantes, le cul plein de sperme et je reste ainsi sous l'eau chaude quelques minutes, épuisé, mais rassasié.
Alexis - qui s'est déjà rhabillé - passe la tête par l'entrée des douches et après s'être assuré que tout va bien, me lance avant de s'enfuir : " Samedi, pour le déplacement à Rennes, on dormira dans la même chambre d'hôtel, j'ai plein de choses à te faire découvrir. Et mets un string pour l'occasion, salope. "
À suivre...
Libero
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Autres histoires de l'auteur : L'histoire de Brice | Avoir 18 ans dans les vestiaires