Premier épisode
Le vendredi soir venu, nous nous retrouvons de nouveau à l'entrainement et je transpire d'avance à l'idée de croiser Alexis étant donné que nous n'avons eu aucun échange depuis mon dépucelage. Je crains qu'il ne m'affiche devant le groupe ou ne multiplie les allusions, mais il n'en est rien. Il me salue à son arrivée comme d'habitude sans le moindre excès de connivence et l'entrainement se déroule sans accroc bien que je ne sois pas très concentré.
Dans le vestiaire, je traine un peu pour aller sous la douche, à la fois pour éviter un peu Alexis, mais aussi, car j'appréhende de me retrouver à l'endroit même où je me faisais démonter deux jours plus tôt. J'entre dans les douches discrètement alors que les gars les quittent un à un pour aller se sécher. Alexis est le dernier à partir - évidemment - et en s'approchant de moi, il me glisse à l'oreille : " N'oublie pas le string demain, petite salope ! " avant de s'en aller.
Je cogite toute la nuit, nous partons pour Rennes aux alentours de 10h. Impossible pour moi de me procurer un string dans le temps imparti. Le déplacement est fastidieux, j'ai peu dormi et suis à la fois inquiet et excité de passer la nuit dans la même chambre qu'Alexis. Le match est à 20h, mais je suis épuisé et compte sur la sieste pour me retaper.
À peine arrivés, nous fonçons à l'hôtel afin d'y déposer nos affaires et nous reposer, le coach nous laissant quartier libre jusqu'à la séance vidéo et la collation à 17h30. Alexis s'empare d'une clé de chambre et indique que nous prenons une chambre de deux (d'autres sont seuls ou par trois). Je grimpe avec lui les trois étages sans dire un mot, stressé, marchant dans ses pas comme un condamné qui monte à l'échafaud. La porte s'ouvre, il jette ses affaires sur le lit et à peine la porte claquée me plaque contre le mur pour me rouler une pelle baveuse et intense qui m'érige le chibre instantanément.
Il glisse la main sous mon survêtement et se retire immédiatement ! " Où est ton string ? ". Alors que j'entreprends de lui expliquer, il me claque sèchement la joue pour me faire taire. " Je t'ai donné un ordre, tu ne l'as pas suivi, tu seras puni pour ça. Maintenant, prends ton porte-feuille, va au Monop du coin au rayon lingerie féminine et prend un string noir de base et rapplique ! "
Honteux, je me vois être le seul homme en train de trainer au rayon lingerie. Les regards sont suspicieux, je dois passer pour un pervers. J'agrippe rapidement un lot de trois strings pas chers - noir, blanc et chair - que je paye à la caisse, rouge comme une pivoine devant le regard interrogateur de la caissière.
J'arrive dans la chambre avec les jambes qui flagellent après ce petit épisode humiliant, Alexis est lui tranquillement allongé à poil sur son lit en train de mater du foot à la télé. Son regard lubrique s'active instantanément quand il me voit sortir de ma poche les trois strings et il m'intime d'aller à la salle de bain enfiler le noir puis de revenir à 4 pattes sans autre vêtement.
Je m'exécute et lorsque je sors comme une chienne de la salle de bain, je constate qu'il bande bien dur ce qui me fait bander également ! Il m'ordonne de grimper sur le lit, ce que je fais, et m'avance d'un déhanché bien salope vers lui. Il relève alors les jambes vers l'arrière, se les tenant derrière les genoux et d'un ton sec, mais ferme, me dit de lui bouffer le cul. Un peu déstabilisé, je lui dis que je ne sais pas exactement ce que je dois faire, mais il me dit de lui lécher le cul, d'enfoncer ma langue dedans etc...J'allonge sur le ventre et m'exécute, un peu dégouté dans un premier temps, mais je mets beaucoup de salive et je commence à y prendre plaisir, d'autant que ça semble l'exciter tout particulièrement.
Il me remercie et m'intime d'attraper mes pieds en repliant mes jambes vers l'arrière, toujours sur le ventre ce que je fais. Il se positionne alors devant ma bouche avec sa queue extrêmement durcie par l'excitation et le plaisir procuré par l'anulingus et instantanément commence à faire des allers-retours puissants qui me poussent au bord du rejet. Étonnement il s'arrête à chaque fois juste à temps, me faisant baver abondement et même lâcher quelques larmes. Puis il se glisse derrière moi, je ne dois pas bouger, et je sens immédiatement sa salive et ses doigts qui travaillent mon trou. Régulièrement, il me fourre les doigts qui étaient dans mon cul dans la bouche. Je gémis beaucoup et lorsqu'il se positionne au-dessus de moi, je n'en peux plus, je suis noyé d'excitation et sa queue entre sans effort. Il ne perd pas de temps et me bourrine littéralement comme un sauvage, je hurle alors il m'appuie la tête sur l'oreiller pour qu'on ne m'entende pas de l'extérieur !
Quelques coups de reins plus tard, le voilà qui se décharge dans mon cul pour la deuxième fois en quatre jours. Seulement là, il ne se contente pas de filer à la douche : il récupère le sperme qui sort de mon cul avec ses doigts et me fait lécher ses doigts puis lécher les gouttes qui sont tombées sur la couette. Le gout est fort, je ne suis pas fan et il le remarque : " T'inquiètes, tu vas t'habituer et aimer ça ! Maintenant à la sieste, faut être en forme pour le match de ce soir et pour après, car ça va être une longue nuit pour ton cul ! ".
À suivre...
Libero
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