Bonjour à tous,
Je me présente Stéphane 38 ans ni gros ni maigre. D'origine française j'ai toujours été attiré par les beurs.
Alors je vais vous raconter ma première fois avec un rebeu.
Cette histoire, et toutes les histoires que je raconterai sont complètement réelles et non imaginées et non fantasmées.
J'avais déjà eu quelques relations avec des mecs avant cette rencontre. Surtout avec mon pote de classe avec qui j'avais commencé mes premières expériences
Et donc nous arrivons à mes années lycée et surtout à mes années sportives. Je suis convoqué pour faire un stage sportif avec le lycée afin de le représenter lors d'un évènement national.
Passons les détails, mais la chose la plus importante, c'est que je me retrouve dans la même chambre que Karim pendant la durée de ce stage.
Karim a 19 ans d'origine marocaine, sportif accompli, faisant beaucoup de musculation et de natation. Environ 1,85 m pour 70 kg musclés très sec, plaques d'abdo apparentes. Crâne avec la coupe pratiquement rasé et toujours en survêtement.
Pendant ces sept jours de stage, nous avons la consigne des 21 heures d'être dans notre chambre et de ne jamais pouvoir en sortir. Que faire toutes ces soirées ? Ne le connaissant pas du tout, juste de vue. Le 1er soir, viens des discussions futiles sur savoir qui nous sommes où nous vivions nos passions nos passetemps, etc.
Deuxième soir il me propose de faire un action-vérité, et sans mentir nous avons fait que des vérités pendant plus de deux heures sachant que la dernière heure était basée que sur du sexe. Je ne savais pas si je devais lui dire la vérité donc à chaque fois qu'il me posait des questions je transformais mes réponses en un hétéro.
Mais sur la dernière question lorsqu'il me posa est-ce que j'avais déjà regardé l'entre jambes d'un mec, je lui répondu que oui. Et le jeu s'arrêta sur cette réponse et nous nous sommes couchés.
Le lendemain, Karim m'a donné l'impression de toucher son paquet à chaque fois qu'il me regardait. Je ne savais pas si je me faisais un film, ou si vraiment il se caressait à chaque fois. Ma réponse fut claire le soir quand il redemanda de rejouer au jeu. Car toutes ces questions étaient basées sur est-ce que je suis mignon, est-ce que tu penses que j'en ai une grosse, est-ce que tu penses que je baise doucement hard, etc.
Et lorsqu'il me demande est-ce que tu veux que je mette en boxer pour que tu voies mieux la bosse, ma réponse fut directe : un Oui. Il posa encore quelques questions et j'ai vu la bosse devenir de plus en plus énorme. D'abord le jeu avait complètement changé, car c'est que lui qui posait les questions et moi qui répondait. Évidemment fut le moment où il demanda si je voulais la voir. J'ai répondu avec un grand oui, que j'avais énormément envie de voir sa bite.
Je le sentais fier. Il me demande si j'ai déjà vu une bite aussi grosse, aussi longue. Pour dire la vérité je n'en avais pas vu beaucoup, mais celle-là était vraiment impressionnante 22 cm par six de diamètre. Évidemment j'avais des envies. Mais c'est lui qui menait la barque c'est lui qui prenait les décisions c'était déjà lui le boss.
Malheureusement, il décida d'arrêter la soirée à cet endroit, je ne comprenais pas j'étais persuadé qu'il voulait plus, qu'il voulait que je le suce, qui voulait me baiser comme une pute, avec tous les propos qu'il avait eu avant. Mais non il l'avait montré et maintenant il se rhabilla. Et il dit : viens on va se coucher il est tard. J'ai eu besoin de sortir de la chambre, car les toilettes étaient à l extérieur afin de me branler.
Une nouvelle journée avait commencé et cette fois-ci j'avais l'impression que Karine m'évitait. D'habitude on déjeune ensemble, là, il mange avec un autre groupe. Plus rien, plus un regard.
Le soir dans la chambre pendant plus d'une heure, il ne m'adresse pas la parole reste sur sa console. Puis d'un seul coup il me pose la question : tu t'es senti comment aujourd'hui, tu t'es senti comment depuis que t'as vu ma bite.
Ma réponse fut directe aussi : bah réellement ça m'a fait bizarre que tu ne m'adresses pas la parole je me sentais pas bien et j'avoue qu'à chaque fois que je te croise, j'étais obligé de penser a ton sexe.
Il ressortit sa bite déjà raide et ce mis à poil complètement. Pendant trois minutes il me répétait cette phrase : regarde, mate un bogoss, mate une grosse bite juste après il se remit sur sa console sans un mot comme si rien ne c'était passé.
Je savais plus quoi penser, car il a commencé à m'ignorer le lendemain. Je ne me sentais pas bien, je ne pensais qu'à lui, je ne pensais qu'à sa bite.
Le soir dans la chambre, il se touchait le paquet, puis s'est mis torse nu, il m'a dit : vas-y maintenant dépêche-toi, mate-moi. Il m'a dit t'es prêt à quoi pour la revoir ? J'ai dit je sais pas, mais j'ai vraiment envie j'ai pensé à ça toute la journée. Alors si tu me caresses le corps et le paquet. Tu la reverras.
J'avais tellement envie qu'en deux secondes je lui caressais ses abdos son paquet, je la sentais gonfler. Il m'appuyait sur les épaules, a sorti sa bite et m'a dit : regarde-la, admire-la. Nous sommes restés dans cette position réellement au moins cinq minutes avec lui qui me répète toujours cette phrase : admire-la, admire-la, admire-la, cette bite de bogoss.
J'avais qu'une seule envie, c'est de la sucer, la mettre au fond de ma gorge, mais je ne sais pas pourquoi, je ne bougeais pas, je la regardais seulement, je l'admirais comme il me demandait.
Et là il me demande d'ouvrir la bouche en grand le plus grand que je pouvais, il rentra sa bite, son monstre directement, mais tout doucement au fond de ma gorge. Il recommença et recommença pendant cinq minutes, juste la rentrée et la de la sortir en allant chercher au plus profond de ma gorge. Il m'a dit : maintenant, passons aux choses sérieuses et il commença un pilonnage de ma bouche sans que ma tête bouge sans que je bronche, il tapât au fond de ma gorge, ça rentre et ça sort tellement rapidement que je ne savais même pas où était sa bite. Il hurlait c'était moi le bosse, toi, tu es juste pour m'admirer et maintenant pour me vider. Cela dura 10 minutes, jusqu'au moment où au fond de ma gorge je sentis couler son sperme. Il m'a demandé de nettoyer sa bite.
Il me dit tu sais Stéphane, je t'ai volontairement rendu fou, accro à moi, afin que je puisse baiser une bouche comme jamais j'avais baisé. Il m'a dit : si je t'avais demandé au départ, je sais que tu m'aurais dit oui, mais cela aurait été un truc classique, lambda, sans aucun intérêt. Là j'ai pu te baiser ta bouche sans que tu bouges la tête, sans que tu bouge.
J'ai pu te montrer ma puissance. Il finit la conversation en me disant : maintenant que j'ai obtenu ce que je voulais, et ben on s'arrête là et si quelqu'un le sait, je serais obligé de te baiser, mais différemment.
Je rappelle cette histoire est vraie. Et comment ne pas devenir accros au beur.
Fanbeur
histoirebeur@gmail.com
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