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Chapitre -07 : Toute première fois
Ceux qui me connaissent aujourd'hui en tomberaient de la chaise, mais tout jeune, sans aucune expérience, j'étais persuadé d'aimer les meufs. Je kiffais même carrément une fille de ma classe. Sauf qu'elle avait un mec, Pierrick, le beau mec de la classe... Mes premiers pas amoureux, j'ai donc dû les faire en m'astiquant le poireau seul dans mon coin en pensant à elle, plusieurs fois par jour.
C'est à une soirée chez elle que les choses ont basculé. Je la cherchais pour lui dire au revoir et j'ai fini par la trouver dans sa chambre. Mais elle était à poil dans son lit avec Pierrick, en train de bien faire. J'allais me tirer quand elle m'a appelé : " Gilles.... Viens ! " J'ai eu une hésitation, puis voyant que Pierrick me souriait, je me suis jeté à l'eau. Dans la pénombre, il ne m'a fallu que quelques secondes pour me dessaper et me retrouver contre elle. Je ne pensais qu'à une chose : j'allais la baiser. Dans peu de temps, je ne serai plus puceau !
J'ai commencé à la caresser pendant que Pierrick faisait de même de son côté. S'il était prêt à partager, ce n'était tout de même pas moi qui allais dire non ! A un moment, j'ai bien senti la main de Pierrick se poser sur moi, mais après un instant de surprise, je n'y ai plus prêté attention. C'est tout naturellement que nous nous sommes retrouvés à nous caresser tous les trois.
Comme j'en mourrai d'envie depuis plusieurs mois, j'ai léché les seins de celle qui me faisait fantasmer. Pendant que je tétais son sein gauche, Pierre jouait avec le droit. Il m'a fait un clin d'oeil complice alors que nous nous activions en parallèle. Puis, la léchant toujours, s'est rapproché, nos deux langues s'activant sur la même zone et se frôlant. C'est lui qui a commencé à jouer de sa langue avec la mienne. J'ai aimé son goût lorsqu'il m'a roulé une pelle bien profonde. J'étais vraiment troublé par la situation. Je suis revenu à ce pourquoi j'étais supposé être là. M'allongeant sur le dos, j'ai senti sa bouche à elle aller vers ma queue, tandis que lui léchait mes pecs. Moi qui me croyais assez peu sensible de cette zone, j'ai été surpris de ressentir des sensations plus fortes que celles qui me venaient de ma teub, sur laquelle elle s'activait pourtant avec énergie. De la main, j'ai redressé Pierrick et ai repris sa bouche tout en le palpant et en malaxant tout ce que je découvrais de ce corps de mec.
C'est à ce moment là qu'elle a dû comprendre : pour Pierrick comme pour moi, elle ne faisait plus partie du trip. Elle a quitté le lit, puis la pièce, visiblement vénère, mais sans que ni l'un ni l'autre nous n'y prenions vraiment garde. Pierrick est venu se coucher sur moi de tout son poids, nos bouches soudées l'une à l'autre. Mes mains ont parcouru son corps, partout où elles pouvaient se poser. Nous avons roulé sur nous-mêmes et sommes tombés au sol. C'était maintenant moi qui pesais sur lui. J'ai commencé à onduler du bassin, ma teub dure comme jamais frottant la sienne. Puis je me suis redressé et lui ai présenté ma queue.
Il s'en est saisi, murmurant " Oh, le morceau ! " et l'a embouché. Voir ce mec dont j'avais rêvé de prendre la place me pomper le dard m'a vraiment chauffé et a fait durcir encore mon engin. Pierre avait du mal à l'enfourner, mais ses mouvements de langue m'ont vite amené au bord de l'explosion.
Je me suis saisi de sa queue pour la branler. Sentir vibrer dans ma main ce morceau de chair bien chaud, cette teub si semblable à la mienne et si différente, m'a électrisé. Je l'ai relevé et plaqué contre le mur, mon corps se collant au sien, ma queue coulissant sur sa raie tandis que ma main continuait à le branler. Il m'a enfilé une capote, puis il a tendu son cul vers moi. C'est tout naturellement que je l'ai pénétré. Nous sommes restés immobiles quelques secondes, moi reprenant mon souffle, lui se remettant de cette intrusion, puis j'ai poussé encore jusqu'à être tout entier en lui. Il respirait bruyamment. J'ai commencé à aller et venir en lui, lentement, puis de plus en plus vite. Chaque fois que je revenais au plus profond de son cul, ma poussée le plaquait contre le mur. Il ne m'a pas fallu longtemps pour exploser et gicler. Je me suis retiré alors que ma main le faisait venir à son tour.
L'électricité ambiante était retombée, mais nous étions tout aussi avides l'un que l'autre d'explorer le territoire que nous venions de découvrir. Je ne l'ai su qu'après, mais pour lui aussi, c'était la première fois avec un mec.
Gênés de continuer chez celle qui était la perdante de l'histoire, nous avons décidé d'aller chez Pierrick. J'étais à pied, mais il avait sa moto. Je suis monté derrière, collé contre lui, mon torse contre son dos, mes mains sur son ventre. Il ne m'a pas fallu longtemps après qu'il ait démarré pour triquer à nouveau. Pendant qu'il roulait, je frottais à mouvements lents mon gourdin contre son cul, à travers nos pantalons respectifs. Chaque fois qu'il le pouvait, il accompagnait le mouvement. Nous avons d'ailleurs failli nous planter dans un virage, à un moment où j'accentuais ma pression. A un feu, je lui ai même malaxé le paquet qui était bien dur.
Arrivés chez lui, il ne nous a fallu que très peu de temps pour rejoindre sa chambre. Nous nous sommes tout de suite bouffés la gueule. J'ai saisi son cul et l'ai soulevé, ses jambes enserrant mon bassin. Nous avons basculé sur son lit et nous sommes retrouvés nus en quelques secondes. Nous étions tout aussi excités et impatients que la première fois. Mais je l'ai conduit à ralentir. Je voulais y aller à mon rythme pour tout découvrir de lui et des sensations que nous pouvions avoir ensemble. Dans les heures qui ont suivi, mes mains ont caressé la moindre parcelle de son corps, ma langue a léché tout ce qui pouvait être léché, il a fait de même avec moi.
Cette fois-ci, c'est lui qui est venu sur moi et qui s'est enfilé sur mon gourdin. Nous avons pris tout notre temps, mais lorsque j'ai joui, j'ai vu plus d'étoiles encore que la première fois. Dans les mois qui ont suivi, c'est plusieurs fois par jour que nous avons satisfait ensemble notre appétit, baisant dans les endroits les plus improbables ou les plus risqués, heureusement sans jamais nous faire chopper.
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