Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre -06 : Un bel enculé
Ça fait des années qu'Enzo règne en maître ici. Il est sans conteste le meilleur nageur et de loin. Il est aussi le chéri de ces dames, groupies inconditionnelles, qu'il aligne comme les records. Un physique parfait, et dans son speedo, la pomme de terre qu'il n'hésite pas à remettre en place régulièrement. Enzo est une star et ne le sait que trop.
Mais j'ai rejoint le club suite à mon déménagement, et c'est peu dire qu'il n'apprécie que moyennement la concurrence. Dès que nous avons eus des entraînements communs, il a vu à qui il avait affaire. Il est arrivé derrière moi dans la première compétition à laquelle nous avons participé et il n'a pas du tout aimé. Il a rejoint les vestiaires sans un mot, vénère comme jamais et n'a pas décroché un mot pendant le trajet de retour. Il m'a battu la fois suivante, ce qui l'a sans doute rassuré, mais depuis nos résultats sont à peu près équilibrés. Moi, je m'en fous. Bien sûr, j'ai l'esprit de compétition et j'aime gagner. Mais ce qui m'intéresse en premier lieu, c'est de m'améliorer. Alors aller placer son ego là-dedans, comme lui le fait...
D'autant qu'il me voit aussi comme un rival vis-à-vis des meufs qui suivent l'équipe de très près. C'est vrai que depuis mon arrivée, certaines ont détourné leur attention d'Enzo pour se concentrer sur moi. Dans le cadre de mes activités sportives, je ne fais pas état de mon orientation sexuelle, ni avec les autres nageurs, ni avec les filles qui nous tournent autour. Je ne suis pas là pour ça.
Ce qui ne m'empêche pas d'apprécier le physique de certains mecs. La natation, ça vous forge souvent une jolie plastique. Ainsi, malgré le fait qu'Enzo agisse comme un con avec moi, je dois reconnaitre qu'il est superbement bâti. Le contraste entre des épaules très larges et des hanches bien étroites, les courbes de pecs marqués et d'un cul rebondi, les yeux noirs et la gueule bien virile, son tuyau d'arrosage que j'ai pu apercevoir sous les vestiaires, je comprends qu'il en fasse craquer plus d'une.
Ce week-end, l'équipe est en déplacement en province. Comme à son habitude, Enzo m'ignore. Il m'a même mis un vent quand j'ai fait un check à chacun en arrivant. Je n'ai pu m'empêcher de l'envoyer chier sur le moment. Notre coach a réagi en nous passant un savon : " J'en ai marre de vos conneries à tous les deux. Vous allez vous calmer. Sinon on ne passera de vous pour le prochain déplacement. C'est clair ? " Il a raison : Enzo est un gros connard, mais ce n'était effectivement pas une raison pour perdre mon calme.
Pendant le dernier entraînement que nous avons ce soir avant la compét' de demain matin, Enzo me montre pourtant qu'il n'a pas rangé les couteaux puisque je me prends un coup de genou dans la cuisse alors que nous sommes dans l'eau. Je laisse pisser, mais il ne faudrait décidément pas qu'il aille trop loin.
Après le dîner, alors que nous arrivons à l'hôtel, le coach nous indique que nous serons deux par chambre, certaines avec deux lits simples, d'autres avec un lit double. Et se tournant vers Enzo et moi, il ajoute : " Et vous deux, je vous ai mis dans la même chambre pour que vous fassiez la paix. C'est clair ? " Enzo me jette un regard assassin.
Ça ne manque pas, nous tombons sur une chambre à lit double. Le temps que nous déballions nos affaires, nous ne décrochons pas un mot. Enzo affirme simplement : " Je prends le côté gauche. " Si ça lui fait plaisir. Lorsque je reviens de la salle de bains, il est en train de mater un film de cul sur son smartphone. Ça ne m'étonne pas de l'individu. Je remarque qu'une belle bosse s'est formée sous le drap.
Je me couche, éteint de mon côté et lui tourne le dos. Je pourrais m'endormir assez vite, mais il bouge beaucoup. À un moment, je reçois son pied dans le tibia. " Putain, mec, tu ne peux pas faire un peu gaffe ? " " Quoi, qu'est-ce que t'as ? " " J'ai que tu viens encore de me shooter dedans. " " Je t'emmerde. Casse-toi si t'es pas content. "
Là, la rage me prend et je lui saute dessus pour le maîtriser et lui donner une bonne leçon. Il ne se laisse pas faire et nous tombons l'un et l'autre au pied du lit. J'ai le dessus mais il se débat. À un moment, je sens sa queue raide contre ma cuisse, sans doute la conséquence de son matage de film de boules. En même temps, ça me déconcentre, d'autant qu'il s'était couché à poil. Il en profite pour nous retourner et il m'immobilise. Putain, cette queue raide qui écrase mon paquet ! Je me mets à bander moi aussi. Je n'ai aucune envie qu'il le sente, mais ça ne manque pas. Que voulez-vous, avec la taille du morceau, difficile de passer inaperçu.
Il marque un temps d'arrêt. " Putain, mais tu triques ! " " Oui, tout comme toi. " Me maintenant les poignets, il plonge son regard dans le mien. Je me dis que je vais me prendre un pain dans la gueule. Pas du tout ! Gardant la même position, il commence à bouger son bassin de droite à gauche en frottant sa bite contre la mienne. Il sent que j'arrête de résister et relâche mes poignets tout en poursuivant ses mouvements.
Je lui saisis la nuque et écrase sa bouche sur la mienne. Le combat de nos langues prend le relais du combat que se livraient nos corps. Il n'y a plus là que deux mâles en rut. Toute la rivalité de ces dernières semaines entre nous, toutes les tensions, sont en train d'être traitées dans cette lutte de nos deux corps.
Je saisis ses fesses à pleines mains pour les malaxer. Un vrai cul de nageur, musclé, ferme. Tout son corps pèse sur moi. Je trempe mon majeur de salive et le lui enfonce direct. Il se tend, poussant un feulement et tente de me repousser. Je tiens bon et m'active sur sa prostate. Je sens sa teube se tendre encore. Il renonce à m'éjecter, concentré sur ce plaisir apparemment nouveau pour lui.
J'en profite pour reprendre le dessus en le faisant basculer sur le dos. C'est maintenant moi qui l'écrase de tout mon poids Mon doigt reprend sa place tandis que ma bouche part à l'attaque de ses tétons. Visiblement, il aime, puisqu'au premier coup de langue, il se cabre. Je me mets à les lécher, les téter, les mordiller. Il respire bruyamment. Un deuxième doigt a rejoint le premier. Son ventre est saisi de spasmes, au point que je me demande s'il ne va pas jouir tout de suite. Mais non, il adore mais se maîtrise.
Lorsque ma bouche engouffre sa teube, il se cambre brusquement. Je me l'enfonce direct au plus profond. Ce ne sont plus des soupirs de plaisir qu'il me fait ! Je suis carrément en train de le faire couiner. Les effets conjugués de ma bouche et de mes doigts semblent satisfaire la salope qui se réveille en lui. Après un moment à ce rythme, je me redresse et amène ma queue à sa bouche. Il n'a pas un instant d'hésitation et l'engouffre. Mes doigts continuent leur travail d'élargissement et d'exploration. N'y tenant plus, je lui saisis le crâne à deux mains et commence une belle séquence de facefucking, lui bourrinant la gueule à grands coups de queue. À deux ou trois reprises, il s'en étrangle. Rien à foutre !
Lorsque je me mets à lui bouffer le cul, jouant de ma langue et à nouveau de mes doigts sur son oeillet, il se trémousse. Il y a pris goût. Je récupère capote et lubrifiant dans mon sac et poursuit mon travail à l'aide du gel. Encapuchonné, je prends le temps de frotter mon gourdin sur sa raie, puis mon gland contre sa rondelle. " Tu es prêt ? " " Oui, me répond-il d'un ton hésitant, mais vas-y doucement, je ne l'ai jamais fait. "
" Attends, dis-je en m'allongeant sur le lit, viens sur moi. " Il me rejoint, se positionne de manière à ce que je puisse poser à nouveau mon bout sur son oeillet. Des doigts, je reprends possession de ses tétons, lui arrachant une plainte. Et ce con s'empale d'un coup sur mon gourdin ! Je ne vous dis pas le cri qu'il pousse. Je crains qu'il ne se soit déchiré. Mais après trentaine secondes d'immobilité pendant lesquelles il s'habitue à être ainsi investi au plus profond, il se redresse, remonte et au moment où je vais déculer, se laisse retomber de tout son poids. Quelques minutes plus tard, le rythme est devenu beaucoup plus fluide, les mouvements moins saccadés et le plaisir est bien là.
Je me redresse et m'assieds, toujours en lui, pour le faire basculer en arrière. Il est maintenant allongé sur le dos, les jambes relevées, je suis toujours en lui. Et là, je me déchaîne. Ces coups de reins donnés avec une énergie de bourrin, avec ce mec à ma disposition qui prend son pied, me libèrent de ce qu'il m'a fait subir ces dernières semaines. Je me retire lorsque je me sens prêt à jouir et je viens lui arroser la gueule. Lorsque mes six ou sept giclées ont fini de s'écraser sur lui, son visage dégouline, tandis que lui explose à son tour. Nous passons l'heure qui a suivi à nous embrasser et à nous caresser, avant que je ne le prenne une seconde fois, de façon beaucoup plus apaisée.
Le lendemain, l'entraineur et l'équipe n'ont pas compris quand ils nous ont vus arriver complices, souriants, nous vannant mutuellement. Ni quand Enzo est venu deux heures plus tard me féliciter chaleureusement de ma victoire. Depuis, il m'arrive fréquemment de le prendre dans une cabine de la piscine, après un entraînement ou une compétition. Sauf que Monsieur est un expressif et que je crains que désormais, tout le club ne soit au courant...
XXL
gillesparis365@yahoo.com