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Chapitre -09 : Cours particulier
Sur le site de drague auquel je suis connecté ce soir, il n'y a vraiment personne à se mettre sous la dent. Sauf peut-être un certain " Minou à dépuceler " qui vient de m'envoyer un message... " Salut. Moi minou mignon réel bien foutu cherche un bomec pour m'initier. 18 ans et 2 mois, châtain, yeux verts, sportif, 175 pour 63 kg. Et toi ? " Je me décris à mon tour, puis, direct : " T'as vraiment pas d'expérience avec mec ? " " Zéro expérience. Juste embrassé une fille et c'était beurk. Vraiment, envie qu'un mec m'apprenne tout. Tu serais OK pour t'occuper de moi ? " Ma réponse reste prudente : je n'ai pas envie de me taper un mec au look pré-pubère ! " T'as une pics ? Sachant que je te préviens d'avance, moi je n'en envoie pas, donc je comprendrais que tu me répondes non. "
En ouvrant le message suivant, la photo est bien là... et j'en tombe de ma chaise : Jérémie, le mec à qui je donne des cours de maths deux fois par semaine ! Si je m'attendais... Le garçon que je connais depuis trois ans a bien grandi et effectivement, il est devenu un homme. Je ne l'ai jamais regardé comme un coup possible, mais j'ai bien vu qu'il avait changé, qu'il s'était élargi et musclé, qu'il avait pris de l'assurance et qu'il avait du charme. Du coup, j'hésite à poursuivre l'échange, mais il me relance : " Allo ? Je ne te plais pas, c'est ça ? " " Si, si, t'es vachement mignon. Mais tu sais, la première fois, c'est important, et peut-être que tu devrais faire ça avec un mec que tu connais, un pote ou un mec autour de toi dont t'as envie. " La réponse tombe : " Veux pas me limiter à du touche-pipi. Je veux bouffer de la queue, de la vraie, et me faire baiser par un mec qui sait s'y prendre. Je n'ai pas de pote qui saurait faire. Le seul mec sur qui je fantasme à mort, c'est celui qui me donne des cours de maths... " " Ah bon, il te plait ? " " Je mouille du cul chaque fois qu'il vient et ça fait deux ans que je me branle et que je me gode après chaque cours en pensant à lui. " J'en suis tout retourné, et du coup : " Ben, si c'est de lui dont t'as envie, pourquoi tu ne te lances pas ? " " T'es ouf. D'abord il doit être hétéro. Je n'ai pas envie de me prendre une bâche et que mes parents l'apprennent par lui. Et puis il est trop canon, je suis sûr qu'il ne me calcule même pas. " Je suis flatté dans mon égo, mais je reste dans ma logique. " Ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas lui qui fera le premier pas si t'es son élève. Imagine qu'il soit gay comme toi. Et qu'il dise banco si tu tentes. Ce serait con de passer à côté, non ? " " Ouais, t'as peut-être raison. " " La prochaine fois qu'il vient, n'hésite pas à te lancer. Au pire, il comprend que t'as envie de lui, mais ce n'est pas réciproque et il ne se passera rien. N'oublie pas : qui ne tente rien n'a rien. " " Ouais, t'as raison, qui ne tente rien n'a rien, je m'en souviendrai. "
Lorsque j'arrive chez lui le lendemain, l'ambiance est particulière, avec une tension inhabituelle. Sa chaise est collée à la mienne et je sens sa cuisse frôler ma jambe. Il est mal à l'aise. Une goutte de sueur coule sur sa tempe. Je la lècherais volontiers, mais c'est à lui de me montrer ce qu'il veut. Je m'aperçois qu'il bande dans son jean. Il n'est vraiment pas concentré sur mon cours. Tout en continuant à lui expliquer le sujet du jour, je me lève et passe derrière lui. Je suis désormais debout, appuyé contre sa chaise. Je pose ma main sur son épaule. Et là, il ose, et appuie sa tête sur ma main. Je décide d'abréger le supplice et approche mes lèvres des siennes, en murmurant : " Moi aussi, j'ai envie de toi. " Mes lèvres se posent sur les siennes. Ma langue investit doucement, mais sûrement sa bouche, ma main soutenant sa nuque. Je le sens fébrile dans mes bras, sa main malaxe mon paquet et c'est moi qui dois le calmer : " Doucement, on va prendre notre temps. " Je le soulève et l'allonge sur son lit, m'installant sur les genoux, de part et d'autre de son torse. J'enlève ma chemise par le haut sans la déboutonner et lui retire son t-shirt. Ma langue dompte la sienne, la saisit, la manipule, l'abandonne puis la reprend, tandis que mes mains parcourent son torse. Il est superbement dessiné, sa peau est d'une douceur incroyable et je le sens électrique sous mes caresses. Je m'allonge sur lui de tout mon poids. Je saisis ses bras, les remontent au-dessus de sa tête et les immobilisent. Je joue du bout de ma langue avec ses tétons minuscules, le faisant gémir à chaque coup de langue. À travers son pantalon, je sens sa queue raide. Je la saisis, toujours dans son nid et la presse doucement. Ses mains libérées ouvrent mon jean. Je n'ai pas mis de caleçon et ma queue jaillit, dure comme jamais. Il s'en empare à deux mains et la branle maladroitement. J'extrais la sienne de son écrin et lui donne l'exemple : je la tiens fermement, mais les mouvements sont lents et amples. Il se relâche et s'abandonne à la sensation. J'approche ma queue de sa bouche et joue avec son visage, la claquant sur ses joues, l'éloignant dès qu'il cherche à l'engouffrer, puis la lui offrant tout en le guidant. Ses lèvres épaisses et bien chaudes me font encore durcir et sa langue est tout sauf feignante. C'est déjà au moins une chose qu'il saura faire : bien piper un mec.
Je saisis son visage et reprends sa bouche que j'embrasse avec tendresse, ma langue léchant ses lèvres. Et là je lui glisse à l'oreille : " Je te l'avais écrit, hier soir : qui ne tente rien n'a rien... " Il sursaute : " C'était toi ? " Puis après un moment : " Si j'avais su... je n'aurais pas autant attendu ! " " Tu as attendu et c'est très bien, ça n'en est que plus fort. Tu sais que maintenant, je vais te prendre, te pénétrer, être complètement en toi, et te limer, te baiser, te niquer... " " Vas-y, baise-moi ! Je veux, j'en ai envie. Prends-moi, viens ! " Il est à genoux sur le lit, son petit cul tendu vers moi, les reins bien cambrés. Sa pastille imberbe m'appelle. " T'inquiète, je ne suis pas trop étroit, ça fait un moment que j'utilise un gode... " Les minutes qui suivent sont néanmoins consacrées à préparer le chemin. Je lui fais un bouffage de cul plus que soigné. Ma langue, mes doigts, mes lèvres, mes dents, tout est mis à contribution. Et c'est lui qui me supplie : " Mais viens, baise-moi, j'en ai trop envie ! Prends-moi bien à fond et lime-moi, je suis à toi. "
Je ne me fais plus prier, et après m'être équipé, me positionne contre sa rondelle bien élargie. Et c'est lui qui se reculant brusquement, vient s'embrocher sur mon pieu. Celle-là, on ne me l'avait jamais faite... Faut-il qu'il ait faim ! Du coup j'abandonne toute précaution et commence à le ramoner bien à fond. Mes couilles viennent claquer contre ses fesses. Ma queue ressort complètement, puis se réengouffre d'un coup dans son cul. Il mord sa couette et se donne à fond, bougeant son cul pour renforcer les sensations. Après l'avoir sailli un moment dans cette position, je décule, le retourne, relève ses jambes et le réenfourne d'un coup. Et là c'est un véritable rodéo, je le baise à grands coups de reins, retenant une jouissance tapie tout près, il ouvre de grands yeux et respire fortement tout en prenant mes coups de boutoir. En même temps, je prends sa bouche avec la mienne, tout comme je prends son cul avec ma bite, que je sens dure comme du béton. Je pince ses tétons, ce qui provoque des petits cris rauques chez lui. A un moment, dans la frénésie de l'action, je le soulève et le portant entièrement, le baise debout, mes coups de reins le faisant décoller de ma queue pour mieux y revenir. Nous basculons à nouveau sur le lit, je suis à deux doigts de gicler. Et c'est lui qui demande : " viens, je veux que tu gicles dans ma bouche. " Je suis safe, mon dernier test date de la semaine dernière, et je cède à la tentation. Je prends sa bouche comme j'ai pris son cul et c'est à gros bouillons que je viens la remplir. Il s'étouffe un peu, mais continue à s'activer, comme s'il voulait avaler la moindre goutte.
Il ne nous a pas fallu dix minutes pour remettre le couvert. Il a crié, geint, pleuré, gémi et joui plus qu'à son tour. Je me suis pas mal amusé aussi. Désormais, ses cours de maths, il les prend chez moi. Et il est passé à trois fois par semaine. Sachant que nous sommes sérieux : je ne le baise qu'une fois la leçon terminée !
XXL
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