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Chapitre -27 : Vive le marié !
Grande nouvelle, ma copine Alexia se marie. On ne s'est pas beaucoup vus ces dernières années, nous étions plus proches au lycée. Mais notre complicité est restée intacte. Elle m'a présenté récemment Bixente, son futur mari. Des traits réguliers avec un nez un peu fort, un look de rugbyman qui s'entretient, pas plus d'un mètre soixante-dix, baraqué. Du mec de compétition, avec lequel elle ne doit pas s'ennuyer.
Enfin, c'est ce que j'imaginais et je suis plutôt surpris par l'échange que j'ai avec elle, alors que nous déjeunons ensemble une semaine avant le mariage : " Bixente, c'est l'homme idéal. Mais, sur le plan physique, entre nous, ce n'est pas complétement ça. D'abord, on ne le fait pas si souvent, une fois par semaine grand max. Et puis, avec lui, c'est expédié en quinze minutes, alors que moi, j'aime prendre mon temps. "
Un peu surpris par ces confidences, je la laisse poursuivre : " En fait, je suis sûre que Bixente est bi. " Alors, là, je suis carrément scotché : " Bixente ? Mais qu'est-ce qui te fait dire ça ? " " Je ne sais pas, des petits détails accumulés. Tiens, par exemple, il adore que je lui mette un doigt bien placé quand il me prend. " Je réagis : " Arrête tes conneries. Ça ne fait pas de lui un bi. Tous les hétéros non coincés devraient pratiquer ça ! Tu lui as posé la question ? " " Oui. Il a éclaté de rire. Il affirme qu'il est hétéro à 100 % et je sais qu'il est sincère. Mais je pense que même lui ne se connait pas. Si je t'en parle, c'est parce que j'ai un service à te demander. " " Un service ? "
" Voilà, je t'explique. S'il est effectivement bi, je préférerais qu'il le fasse une fois avec un mec avant le mariage. Comme ça, la question sera réglée. Une fois marié, je sais qu'il sera fidèle. Mais je ne voudrais pas qu'il vive toute sa vie sans avoir connu ça. C'est là que j'ai pensé à toi. " Je suis pour le moins estomaqué : " Mais tu es sérieuse, là ? Il est très beau, ton mec, il n'y a pas de doute là-dessus et j'aurais grand plaisir à me le taper. Mais je ne vais tout de même pas lui proposer de baiser avec moi. " " Non, pas comme ça. Mais après-demain soir, vous avez son enterrement de vie de garçon. Vous allez picoler. Et là, tu pourrais tenter le coup. "
Je me recule sur ma chaise. " Tu es sûre de ce que tu fais, là ? " " Gilles, il n'y a qu'à toi que je peux demander ça. Et je n'aurai même pas besoin que tu me dises si ça a marché, je n'ai pas besoin de savoir. " " Je ne suis pas à l'aise avec ce que tu me demandes. Je ne peux rien te promettre. " Notre échange en reste là.
Le soir dit, nous nous retrouvons à une dizaine de mecs, les amis les plus proches des deux amoureux. Nous avons déjà bien éclusé lorsque nous nous décidons à rentrer dans la maison qui nous a été prêtée. Effondrés sur le canapé et les fauteuils du salon, nous continuons à nous enfiler des verres. Et les épreuves s'enchaînent, conformes à la tradition visant à faire perdre toute dignité au futur marié.
Je suis le seul gay du groupe, et ça ne manque pas, à un moment, un des amis de Bixente, annonce à son pote ce qu'est son nouveau gage : " Bixente, tu roules une pelle à Gilles. " Malgré son état déjà avancé, je vois bien que le futur marié n'est pas vraiment enthousiaste. Sans la demande d'Alexia, je serais également plus que réticent. " Et après ça va être quoi, une pipe ? Arrêtez les conneries, les mecs ! " Tous se récrient : " Promis, si tu le fais, on ne t'en demandera pas plus. " Acceptant son sort, Bixente se lève. Je fais de même. Et là, je lui roule un patin de compétition. En quelques secondes, je le sens basculer de la réticence à l'abandon, puis au plaisir. J'ai légèrement avancé mon bassin et je perçois furtivement sa queue qui durcit dans son pantalon. Nous nous séparons, gênés l'un et l'autre, tandis que le groupe applaudit. Bixente a beau prendre un air vaguement dégouté et s'essuyer la bouche du revers de la main, moi, je sais, je suis fixé. D'autres épreuves suivent, d'autres verres aussi.
Lorsque j'émerge quelques heures plus tard, j'ai la tête dans un étau. L'alcool de la veille. Il me faut un moment pour ouvrir les yeux.... Et sursauter aussitôt. Dans le lit, à côté de moi, en train d'écraser, Bixente, allongé sur le ventre, offrant à ma vue un superbe cul. Comment nous sommes-nous retrouvés tous les deux nus dans le même lit ? Je me lève, la terre tourne, mais une seconde surprise me remet d'aplomb. Au pied du lit, une capote bien remplie... ça fait beaucoup, quand même ! Est-ce que je l'aurais... Non, je n'aurais pas oublié ça. Mais j'ai beau essayé de me souvenir, rien. J'ai besoin d'une bonne douche et d'un café, peut-être que ce sera plus clair après.
Quelques minutes plus tard, alors que l'eau de la douche me fait un bien fou, Bixente rentre dans la salle de bain, me salue vaguement, puis... se lave le cul à grande eau sur le lavabo. Et c'est tout en s'affairant qu'il s'adresse à moi : " Putain, Gilles, qu'est-ce que tu m'as mis ! Tu m'as carrément défoncé. Je n'aurais jamais imaginé que c'était aussi bon. Surtout pour une première fois. " Je manque m'étrangler. Il n'y a désormais plus aucun doute : je me le suis tapé cette nuit. Je ne sais pas ce qui l'emporte de la gêne ou de l'excitation, au regard du côté canonissime de ce mec.
Au moment où je sors de la cabine, une serviette autour des reins, il me l'arrache, se penche en avant sur le lavabo, tend son cul vers moi et d'une voix rendue rauque par l'envie, me dit : " J'en veux encore. C'est trop bon. Remets-moi une cartouche, s'te plaît. " Qu'auriez-vous fait à ma place ? Un, je suis en mission commandée. Deux, le délit est déjà constitué. Trois, les proportions que prend ma queue en le voyant dans cette position ne me laissent pas le choix.
Je récupère dans la chambre le matos nécessaire et il ne me faut que quelques secondes pour être en position. Je ne sais pas si son tuyau est naturellement souple, si Alexia a souvent usé de ses doigts ou encore s'il n'est pas refermé de notre nuit, mais je rentre comme dans du beurre. Je commence à le trombiner et il se lâche : " Vas-y, baise-moi. Oui, bien profond. Défonce-moi. Oh mon dieu, qu'elle est bonne, ta queue ! " À le voir réagir comme ça, avec en plus le spectacle direct live dans le miroir face à nous, je pourrais nous faire gicler l'un et l'autre en quelques minutes. C'est sans doute ce qui s'est passé la nuit dernière. Mais je ne vais pas me limiter au même type de prestation que celle qu'il assure à Alexia. Je sors de lui, lui arrachant un râle, et l'emmène dans la chambre attenante. D'une poussée ferme, je le fais basculer sur le lit. Puis me couche sur lui. Nos bouches se retrouvent et pour le coup, elles s'en donnent à coeur joie.
Je décide de jouer de la langue sur son corps et commence à le lécher, m'attardant sur les zones qui le font le plus réagir. Ses mains me caressent, viennent masser doucement mes boules avant de commencer à me branler. Pour un novice, il s'y prend bien. Sa bouche rejoint mon pieu dressé et l'engouffre. Là, il se déchaine, faisant coulisser sa bouche à grande vitesse. Je bloque sa tête et enfonce encore mon pieu dans sa gorge. C'est serré, c'est chaud, c'est moelleux. J'aime.
À un moment, alors qu'il est couché sur moi et que nos langues se délectent l'une de l'autre, je saisis son cul à deux mains. J'en ai rarement tenu un aussi ferme, aussi dur. Je le serre dans mes mains, puis le claque, ce qui le fait sursauter. " Encore ", me dit-il. Je me désengage, l'allonge sur le ventre, me ré-encapuchonne, puis tout en le fessant, le réinvestis d'un coup. Là, j'y suis peut-être allé un peu fort, il gueule. Mais non, c'est de lui-même qu'il se met à bouger le bassin. S'ensuit une nouvelle chevauchée qui nous fait gicler tous les deux en quelques minutes. Je quitte les lieux vingt minutes après, alors que lui sombre dans un demi-sommeil.
C'est le lendemain, deux jours avant la noce, que je recevrai comme tous les autres invités un texto sybillin : " Mariage annulé. Toutes nos excuses. Alexia/Bixente. " Pendant les dix-huit mois qui ont suivi, Alexia s'est mise aux abonnés absents avec moi. Elle avait bloqué mon numéro et évacuait toute tentative de reprise de contact menée par nos amis communs.
Pourtant, c'est elle qui m'a rappelé. Nous nous sommes retrouvés dans un café. " Désolée pour ce silence, Gilles. Même si tu n'as fait que ce je t'avais demandé, tu ne peux pas imaginer ce que je t'en ai voulu. Le jour où ça s'est passé, Bixente m'a rejointe pour le déjeuner. Il m'a tout raconté. Puis il m'a expliqué qu'il avait compris qui il était et qu'il ne pouvait imaginer une vie dans le mensonge. Que pouvais-je dire ou faire ? C'est la dernière fois que je l'ai vu. Je sais juste qu'il est reparti vivre dans le Sud-Ouest et qu'il a un mec. " Après un temps, elle ajoute : " Plus que tout, ce qui m'a fait mal, c'est quand il m'a dit le plaisir qu'il avait pris avec toi. Sans comparaison avec celui que nous avions ensemble. "
À TOUS MES LECTEURS, vous avez là mon 27ème récit de dépucelage. Il n'y en aura pas de 28ème avant que je ne le vive. Plusieurs d'entre vous m'ont demandé si mes récits étaient réels. Je vous le confirme. Initier un mec a toujours été et reste un de mes kifs. Avis aux puceaux qui m'auront lu.
XXL
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