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Chapitre-11 : De trio à duo.
J'adore les soirées d'été dans ce cadre idyllique, avec mes deux hommes ! Je me lève de mon siège à bascule, face au lac, sur cette magnifique terrasse (je continue ? Ça fait vraiment envie d'y être...)
Me dirige vers la cuisine où Tristan et Quentin préparaient déjà le souper.
- " Dis-moi Evan " me questionnait Quentin. " Je nous verrais bien mariés non ? "
Sur cette question, je manquais de trébucher sur mon propre pied...
- " Euh... Quentin, tu n'es pas sérieux là tout de même ? On file le parfait amour OK, mais de là à se marier... Et puis, suis pas sûr que cela soit réalisable en fait, je vois déjà la tête du pasteur en lui demandant de nous marier tous les trois ensemble "
- " Evan, je parlais de nous deux ! Enfin, si tu n'y vois pas d'inconvénient Tristan ? "
Je me retourne vers Tristan, qui venait lui aussi de changer de couleur. Voilà une nouvelle situation délicate à laquelle je ne m'y attendais pas du tout. Quentin ajouta :
- " Tristan, ne fait pas cette tête la, je suis quand même en couple avec Evan depuis ton décès, enfin... Le décès de ton frère... C'est normal qu'un moment ou un autre cette idée de mariage me traverse l'esprit non ? "
Tristan resta muet, sans rien dire et toujours blanc comme un linge. Je dois dire que je n'étais pas de meilleure composition après cette demande, certes peu romantique, mais une demande de mariage quand même ! Ce n'est pas vraiment comme ça que j'imaginais la suite de notre " relation ". Depuis l'arrivé de Tristan, mon coeur ses littéralement partagé en deux et je peux aisément dire être amoureux des deux ! Surtout que Quentin n'avait pas montré plus d'attachement pour moi que pour Tristan. Quelle idée...
Tristan quitta la cuisine et sortit par la terrasse. En fermant la porte, il se retourna et dit :
- " Ne m'attendez pas pour manger, je rentrerais tard ! "
Et PAF ! La porte claqua.
- " Ah bin voilà ! Tu as vraiment le tour pour le mettre en rogne Quentin. "
- " Euh Evan, un moment faut arrêter, on peut rien lui dire sans qu'il tire la gueule...
Ça lui passera, il va ne pas faire son petit jaloux, de plus que ça ne changera pas grand-chose entre nous trois. On ne le met pas dehors non plus... "
- " Oui d'accord, mais, nous sommes devenu par la force des choses, un trio ! Nous marier nous deux c'est en quelque sorte, le mettre de côté ! En tout cas, je l'aurais pris comme ça. "
- " Oui peut-être, mais putain Evan, je t'aime et je ne sais pas si je pourrais vivre à trois et te partager le restant de ma vie avec Tristan, merde quoi, tu es mon homme et je te veux pour moi et pour moi seul ! "
Sur cette belle parole, il s'approcha de moi et mettant sa main directement à mon paquet.
Embrassade, gallochage, léchage, déshabillage. Il commença à déboutonner mon jeans qu'il fit descendre à mes genoux, retira mon boxer pour laisser sortir ma queue qui ne demanda que de se faire pomper. Il me lécha le gland puis descendis jusqu'à mes boules, les avalas pour repartir de plus belle sur ma tige sur gonflé. Brusquement, il se releva et me fit mettre à genoux à mon tour.
Je n'avais pas besoin de plus d'explication et entrepris de lui faire LA pipe de ses rêves !
J'y étais vraiment bien appliqué quand je fus interrompu par Tristan, qui finalement, rentra bien plus tôt que prévu...
- " Franchement, après me faire remarquer que j'étais de trop, vous n'avez même pas attendu pour commencer vos cochonneries ? Je vois que vous n'avez vraiment rien à foutre de moi ! "
J'étais toujours accroupi face à Quentin, sa bitte dans ma main et là, pour je ne sais quelle raison, je me suis mis à quatre pattes, mis mon pantalon sur mes mollets et commença à exhiber mon anus déjà brillant d'excitation à Tristan telle une grosse chienne en chaleur. Mon bassin alla de gauche à droite et je continuai de sucer Quentin.
- " Putain Evan, t'es vraiment devenu une salope toi ! "
Sur ces mots, Tristan abaissa son froc et s'avança vers mon arrière-train et y planta son beau calibre bien bandé. Je ne l'avais pas vu arriver, sous l'effet de surprise, j'avais lâché un couinement qui n'a eu que pour effet d'augmenter l'excitation de Tristan.
- " Viens ici salope de chienne, je vais te démonter ta chatte ! "
Je n'arrivais presque plus à sucer Quentin, tellement j'étais secoué et je dois dire qu'il me faisait presque mal ! Limite, je l'avais bien cherché, mais tout de même...
Quentin à cette vue de presque viol, ce branlait en nous regardant et finis par ce lâcher sur mon visage tout rouge et crispé. Tristan lui, devenait de plus en plus agressif et me limait litéralement le cul, je venais d'être retourné, les genoux au visage et le trou bien béant, il me cracha dessus et continua ses insultes tout en sortant sa bitte et en la renfonçant de plus belle. Des larmes commençaient à me couler le long des joues ce qui n'avait échappé à Quentin qui aussitôt mi fin à mon calvaire en repoussant Tristan violemment sur le côté.
- " T'es con ou quoi pauvre débile " Dit Tristan en ce relevant.
- " Mes c'est toi le pauvre débile ma parole, qu'est ce que tu nous fais ? " reprit Quentin.
- " Je donne à cette salope ce qu'il mérite ! "
Sur cette parole, le sang de Quentin ne fit qu'un tour et lui plaqua son poing dans la figure.
Je me remettais tout doucement de mon pseudo viol, je me relevai et parti en courant vers la salle de bain. De là, j'avais pu entendre Quentin et Tristan se battre. Se battre pour moi !
Je n'arrivais même plus à arrêter de pleurer tellement j'étais choqué par l'attitude de Tristan.
Tristan, qui venait d'encaisser le poing de Quentin lui envoya :
- " Quoi, toi aussi tu veux ta part ? Tu veux que je te refasse l'entrée des artistes en entrée principale ? Allez, viens ! "
Quentin, toujours le pantalon aux genoux tenta de se rhabiller, mais c'était sans compter Tristan, qui l'empoigna, le retourna en maintenant ses mains derrière le dos et d'un coup, lui planta son dard bien profond sans aucune préparation au préalable. Quentin poussa un cri, ce qui me fit sortir de mes pensées, assis sur les chiottes.
Au moment où je suis sorti de la salle de bain, la vision de Tristan violant Quentin me fit presque tourner de l'oeil ! Tristan avait une telle violence que Quentin ne put faire autre chose que de se faire bien baiser ! Il criait :
- " Tristan non, arrête je t'en prie, mais que t'arrive-t-il ? "
- " Attends, je n'ai pas fini ! Ne bouge pas sale putain ! "
Sur un moment de trou noir, je me suis avancé comme hypnotisé par cette scène surréaliste mêlant horreur, perversion et excitation vers la cuisine, attrapant un couteau de cuisine sur le plan de travail. Ma tête était vidée de toute forme de réflexion.
Arrivant par derrière Tristan, toujours en train de labourer le pauvre Quentin.
Mais qu'est-ce que je fais ? Que m'arrive-t-il ?
Trou noir.
Evanaddison
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