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Aujourd'hui j'interviens dans une conférence sur le Droit Européen des Affaires. Dernier check dans la salle de bain, mon nouveau costume Armani rend plutôt pas mal. Merde ! l'interphone. Ça doit être le chauffeur. Je me dépêche de fourrer mon Mac dans mon sac, je ramasse mes affaires et je descends en courant. Le chauffeur Pakistanais m'attend en bas, en tapant du pied.
Installé à l'arrière de la BMW, je sors mon tél. J'ai un message d'Antoine.
" Trop kiffé la soirée d'hier, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas baisé comme ça. Mon cul a déjà envie de ta bonne queue. "
C'est vrai qu'elle a été pas mal cette soirée. Et putain le cul de ce mec...
Satisfait, je répondrai plus tard. Hors de question qu'il se fasse des idées celui-là...
Nous arrivons rapidement devant l'hôtel 5 étoiles où se tient la conférence. Je suis plutôt en avance, je vais avoir le temps de m'installer tranquillement. Je me dirige vers l'entrée et présente mon badge reçu le matin même par coursier. Le staff de la convention s'ajoute à celui de l'hôtel, et la rigueur côtoie le service irréprochable.
Je suis dans le hall démesuré, et je cherche le panneau qui m'indiquera ma direction.
- Un peu perdu ?
Je me retourne, surpris.
- Kader ??
Son sourire dévoile sa dentition parfaite. Je remarque qu'il s'est rasé les cheveux. Je m'y étais toujours opposé, ça ne lui va pas si mal tout compte fait. Mis à part ce détail il n'a pas changé depuis 1 an, peut être pris un peu d'épaule.
- Qu'est-ce que tu fais là ?
Son sourire aux lèvres, les yeux noirs plantés dans les miens, il ne bouge pas.
- Je t'attendais...
Comme hypnotisé par son regard je mets du temps à comprendre. Il s'en amuse et lève une main qui tient un dossier portant le nom de ma conférence. Je capte alors que sa boite a dû être choisie pour assurer la sécurité. Il aura donc vu mon nom sur la liste des intervenants autorisés...
Je reste muet quelques secondes supplémentaires. Il s'approche ostensiblement.
- Ça m'fait plaisir de t'voir Cédric...
C'est le moment que je choisis pour reprendre un peu de contenance.
- Tu sais donc où je dois aller ?
Il sourit encore plus.
- Je t'accompagne ?
Il veut jouer. Alors jouons.
- Avec plaisir...
Nous nous rendons dans l'aile est du bâtiment. Je salue au passage des connaissances. Arrivés dans la salle qui m'est réservée, Kader me montre les installations, les écrans, le micro à ma dispo, il est très pro. Mais au moment de prendre congé, il se rapproche au point d'avoir sa bouche au niveau de mon oreille.
- Si t'as besoin d'quoi qu'ce soit...
- Tu seras au cocktail ?
- Ouais... pourquoi ?
- Pour savoir si on va se recroiser.
Il s'écarte, je lui souris. Nous nous sommes compris.
Il s'éloigne en me lâchant :
- T'inquiète pas pour ça...
Beaucoup moins perturbé que je ne l'aurais cru après une telle surprise, je m'installe alors que mes premiers auditeurs arrivent déjà et prennent place, et je ne fais rien pour chasser le sourire de midinette scotché sur ma gueule.
3 heures plus tard, après mon exposé, les applaudissements, les questions, mes réponses, les nouveaux applaudissements, je rejoins enfin l'immense salle de réception dans laquelle se tient le cocktail. La salle est bondée. Je cherche Kader du regard, mais impossible de discerner qui que ce soit. Je me fais malgré tout alpaguer par des auditeurs qui souhaitent me serrer la main et me féliciter, et pour les plus relous me poser de nouvelles questions. Je parviens au bar 45 minutes plus tard.
- Une vodka !
Le serveur s'affaire et je sens une main se poser dans mon dos.
- Ça s'est bien passé ?
Pour la deuxième fois de la journée, il a l'avantage.
Il me contourne et se place face à moi, un verre d'eau à la main.
- Ouais c'était cool.
Prenant prétexte du brouhaha qui règne dans la salle, il se penche pour me dire à l'oreille :
- Il t'fait un putain d'cul ce pantalon.
Je bois une gorgée et me penche à mon tour vers lui.
- Fais gaffe Kad... Faudrait pas que tu choppes une mi-molle, avec ton pantalon là tu vas donner chaud à certaines...
Il s'écarte, bois une gorgée à son tour.
- Et à toi ?
Il s'approche à nouveau pour me souffler :
- J'pourrais t'donner chaud à toi ?
Nos yeux sont vissés les uns dans les autres. Je pourrais presque en oublier les 600 personnes autour de nous, mais aussi et surtout en oublier toute prudence.
- Si, pour des questions de sécurité, on devait se retrouver quelque part...
- Suis-moi.
Nous traversons la salle aussi rapidement que possible malgré la foule présente. Je ne sais pas pour Kad, mais moi la mi-molle je l'ai déjà. Nous arrivons enfin à une porte discrète. Elle débouche sur un couloir plutôt calme. Rapidement nous entrons dans les toilettes hommes. Un mec est en train de se sécher les mains. Direct je rentre dans la cabine la plus au fond, sans verrouiller bien entendu. Je défais ma ceinture, mais laisse mon pantalon en place. Il va kiffer le baisser lui-même.
Il me rejoint assez vite et verrouille derrière lui. Direct nous nous embrassons comme des affamés, tantôt je me presse contre lui pour le sentir, et tantôt je m'écarte pour pouvoir le caresser. Même chose de son côté. Il nous retourne et me colle contre la porte.
- Putain suce moi bébé...
Je reprends sa bouche en dégrafant son pantalon que je fais glisser avec son boxer. Il s'assoit alors sur les chiottes et putain ! Même dans ces chiottes ce mec est le plus sexy que je connaisse. Je m'accroupis vite fait entre ses jambes et je retrouve avec délice sa bite de ouf. Comment elle m'a manqué... Je bouffe autant que je peux, mais il est encore plus bestial. Ses mains sur ma tête m'impriment un rythme que je n'apprécierais pas d'habitude. Mais là rien à foutre ! Tout ce qu'il veut pour le faire kiffer.
Rapidement on se relève et nos bouches se rejoignent furtivement. Il fait à son tour tomber mon fut et mon boxer, et me fait ensuite m'installer à genoux sur la cuvette. La position est très inconfortable, mais le " putain " qu'il lâche en se baissant au niveau de mon cul, et sa langue qui commence direct à me bouffer le trou me font oublier l'inconfort de ma position. Je dois lutter pour rester en place sur le chiotte, et surtout pour ne pas couiner comme un malade.
Merde ! La porte des chiottes. Un mec entre en sifflotant.
Kader en profite pour se relever doucement et il fait glisser sa teube bien raide entre mes fesses. Je me retourne pour lui faire signe d'attendre, mais j'obtiens en réponse son sourire vicieux et carnassier.
Je me mords le poing quand ce bâtard fait rentrer son gland, puis l'intégralité de son chibre alors que le mec à côté n'a semble-t-il toujours pas fini de pisser. Il reste bien calé au fond jusqu'à ce que la chasse soit tirée à côté. Là il en profite pour sortir légèrement et rentrer comme un bourrin. J'ai malgré moi laissé échapper un petit gémissement. Il me redresse et colle sa bouche à mon oreille, avec une main sur la mienne, pour me réduire au silence.
- Chut bébé.
Deuxième coup bien au fond. Je pose ma main sur sa hanche pour le retenir de taper encore. Je rencontre sa peau déjà moite, et je ne peux en fait pas amortir le troisième coup encore plus violent. Le bouffon d'à côté sort enfin et là je prends vraiment cher.
Je finis par me remettre debout pour retrouver un vrai appui. Il en profite pour me dégommer le boul encore plus fort. Ses mains elles, se font plus tendres. Elles me caressent, ses bras m'enserrent pour me coller contre lui, sa bouche embrasse mon cou et ma nuque encore et encore et encore.
Sa délivrance arrive ensuite. Il lutte à présent pour ne pas être trop bruyant alors qu'il remplit mon cul abondamment. Sans se retirer, il me colle à lui, nous fait nous pencher en arrière et commence à me branler. Entre les coups qu'il a assénés à ma prostate, sa teube toujours bien épaisse qui reste plantée dans mon trou, et sa main qui va et vient sur ma queue, je ne mets pas une minute pour éclabousser la cuvette face à nous en gueulant beaucoup plus fort que je n'aurais dû.
Nous reprenons nos esprits doucement. Il est toujours adossé contre la porte, je suis toujours adossé contre lui.
- Putain bébé y a qu'avec toi que j'prends mon pied comme ça...
Je souris. Je fais mine de me redresser, mais il me retient.
- Attends encore un peu Cèd...
- Kad on est dans les chiottes...
- D'un 5 étoiles bébé !!
Je ne peux pas m'empêcher de rire avec lui.
- Je suis là pour le taf et toi aussi... allez...
Il soupire, pas content, et se résigne à me lâcher.
Nous nous réajustons tant que faire se peut. Aux lavabos, nous nous regardons dans le reflet du miroir. L'intensité des yeux noirs me trouble. Il semblerait qu'en définitive mes souvenirs de lui se soient quelque peu estompés, car manifestement j'avais oublié à quel point son regard pouvait être captivant, à quel point il pouvait, même l'espace d'une seconde, occulter absolument tout le reste.
Nous sortons donc des toilettes parfaitement présentables.
- T'as quelqu'un ?
- Kad...
- Quoi c'est juste pour savoir !
- Savoir quoi ? Si un keum est cocu à cause de toi ??
Il rigole.
- La vérité ? Graave !!
Nous rejoignons la salle de réception. N'étant initialement pas là pour le plaisir, nous nous séparons afin de rendre à présent cette soirée professionnellement réussie.
Je quitte l'hôtel sans avoir recroisé Kader. C'est surement mieux. De toute façon je garde un souvenir douloureux de notre excursion dans les chiottes.
De retour dans la berline allemande de mon Pakistanais de chauffeur, je lui demande de me ramener à une autre adresse. J'envoie un texto à Antoine.
" Prépare-toi j'arrive trop envie de ton cul "
La réponse ne tarde pas et les messages s'enchainent rapidement.
" Non je suis couché j'allais dormir "
" Rien à foutre tu dormiras quand tu m'auras vidé "
" T'as kiffé aussi hier hein ? "
" Ta gueule et prépare-toi "
" ok ".
Je rentre donc chez mon portos qui m'attend en caleçon. Je le plaque contre le mur et lui bouffe sa gueule barbue en palpant son cul poilu. Il a déjà une main dans mon pantalon et il me branle bien.
- Putain t'as la teube trempée.
Je souris intérieurement en repensant à ma baise plus tôt dans la soirée avec Kad.
- C'est parce que j'ai trop envie de toi.
Et c'est vrai qu'il est bien bandant ce petit con. 22 ans, mais déjà bien viril, et surtout un cul de malade. Il entreprend de se mettre à genoux, mais je le stoppe. Après mes contorsions de tout à l'heure, je ne suis pas contre un peu de confort. On va dans sa chambre et je me pose tranquille sur son lit. Mon tel vibre. Je le récupère dans ma poche alors qu'il me baisse déjà pantalon et boxer. Direct il se jette sur ma queue et me pompe bien comme il faut. Je déverrouille mon iPhone et je découvre un message de Kad :
" Pour info t l seul ac qui j met pas d kpote "
" La même pour moi "
" Bien " " J'pourrai continuer à être l seul à doser ton cul ;-) "
" Parce qu'on va recommencer ? "
Antoine me présente sa bite. Je le suce vite fait et le retourne pour lui bouffer le cul.
- Mets-moi une capote.
- On pourrait pas le faire sans ?
- Ta gueule couvre moi la teube.
Il n'insiste pas et s'exécute. Je le fais s'assoir sur moi, de dos. Je kiffe voir ma queue rentrer dans son cul bien ferme. Je reprends mon tél.
" Bien sûr qu'on va recommencer " " Vu com on est trop bon ensemble ce serait trop dommage d pas l refair "
" On verra ça "
" Arrete dja k ça m tu d savoir k j suis pas l seul à t toucher "
Je décide de jouer et je prends une photo du cul d'Antoine planté sur ma teube et je la lui envoie.
" Wsh t sérieux ?? "
" Quoi ?? :-) "
La réponse tarde un peu venir.
" Rien vas-y "
" Viens je te le prête ;-) "
" Nan vtf j te prete pas oim "
Je décide d'arrêter ici et de me concentrer sur le cul d'Antoine qui commence à bien couiner. Je le fais changer de position. Je le baise à 4 pattes comme un chien, en tapant autant que je peux. Je crois que j'ai envie de me venger de l'assaut de Kad sur lui. Je finis par remplir silencieusement la capote. Je me remets sur le dos et l'invite à venir se faire bouffer les couilles pendant qu'il se finit à la main, il kiffe trop ça.
Je retire le latex.
- Tiens suce moi en même temps.
- Attends, tu viens de jouir !
- Justement tu voulais pas mon jus tout à l'heure ?
- Ouais, mais dans mon cul...
Je le fais basculer en avant et je lui plante ma teube dans la gueule. Il a beau avoir un corps puant la virilité et se la jouer macho, ce mec est une vraie chienne. Il me nettoie consciencieusement avec mes doigts dans sa chatte et ses couilles dans ma bouche.
Au moment où il inonde mon torse, je souris en pensant qu'un certain Kad surkifferait me faire la même chose...
Je comate à fond. Je crois qu'il a été se rafraichir.
- Tu restes dormir ici ?
Il me sort de ma léthargie.
- Nan nan je rentre.
- Allez Cédric j'en ai trop envie...
Toi ma gueule ! tu viens de signer la fin de notre collaboration.
- C'est bon je dois rentrer je t'ai dit !
Cedric-T
