Premier épisode
Suite du compte-rendu de ma vie d'enculé.
Cet été, notre pote Manu avait passé l'après-midi chez nous, lui et mon mec m'avaient niké plusieurs fois avant de me faire remettre mon plug. On avait diné, eux habillés, moi dans ma tenue habituelle (à la maison, je ne porte jamais ni slip ni futal). Mon copain devait partir travailler de nuit et Manu était ce jour-là sans voiture. Il était convenu que je le raccompagnerais en centre-ville où il habite.
Une fois mon mec parti, Manu et moi avons continué à discuter sur la terrasse, chacun sur son fauteuil de jardin, moi dans ma posture habituelle d'exhib et de salope, pattes écartées, pluggé, Manu appuyant de temps à autre sur le plug, naturellement, comme si de rien n'était, en discutant de choses et d'autres. Un mode de vie comme un autre, c'est cool et c'est la place que m'ont assignée mon mec et nos copains.
Comme il se faisait un peu tard, il a décidé de rentrer. Je suis allé chercher un short pour pouvoir le raccompagner, mais il m'a dit : " Non, tu restes comme ça, je ne t'ai jamais vu avec un short, on ne va pas commencer maintenant, tu peux conduire sans pantalon. Je t'autorise juste à mettre un t-shirt pour ne pas te faire remarquer de l'extérieur et à garder un slip dans la boite à gants, juste au cas où. Tu n'as qu'à mettre une serviette sur le siège pour ne pas le tacher, vu que ton cul est bien graissé. Allez, ma petite pute, je suis sûr que tu kiffes ".
En effet, je kiffais. Sortir sans moyen de me rhabiller, sauf un petit slip blanc de pédé, ça m'excite grave surtout quand on me l'impose. Ce n'était pas la première fois que je conduisais comme ça, mon pote E. en sait quelque chose (je raconterai ça un jour). Juste un peu nerveux à l'idée d'aller dans le centre-ville, avec le risque d'être vu par des passants. Durant le trajet de quelques kilomètres, Manu, pendant que je conduisais en respectant scrupuleusement les limitations, a continué à jouer avec mon plug, un petit sourire en coin. Arrivés en ville, nous avons suivi plusieurs artères un peu animées, et finalement il m'a fait me garer dans sa rue qui paraissait déserte. Chance : il y avait une place libre presque devant le proche d'entrée de son immeuble. Manu est descendu de la voiture, mais a continué à discuter, debout sur le trottoir, faisant exprès de laisser la porte-passager grande ouverte. Comme des passants approchaient, il a quand même refermé la portière, se tenant debout devant la vitre pour qu'ils ne me voient pas. J'étais mal à l'aise et excité à la fois... Sitôt qu'ils sont passés, il l'a rouverte. Finalement, il était temps de se quitter, il m'a dit alors : " Eh, tu ne m'as pas dit au revoir ! ", a sorti sa queue, toujours debout devant la portière, et je lui ai fait la pipe d'adieu (c'est comme ça que je dois le saluer quand il part de chez nous). Gonflé, le mec !
Mais je n'en étais pas quitte. Manu, visiblement excité, un peu éméché peut-être, m'a dit : " Eh, ma salope, j'ai encore envie de te tirer. Viens. " Viens ?? Où ?? Sans me laisser le temps de discuter, il a fait le code de sa porte, j'ai dû contourner la voiture, la fermer avec la télécommande, passer sur le trottoir et entrer après lui dans le porche d'entrée d'immeuble, où il m'a plaqué contre le mur. C'était surréaliste : cul nu en t-shirt cho7 skets dans une entrée d'immeuble en pleine ville (heureusement derrière une lourde porte en bois opaque, donnant sur une cour avec plusieurs escaliers), sans moyen de me rhabiller, et si quelqu'un arrivait ? " Si on entend quelqu'un faire le code pour entrer, on monte vite fait chez moi, mais faudra que tu coures vite dans l'escalier. Si c'est quelqu'un qui arrive de l'intérieur de l'immeuble, on peut encore se replier à la cave ". Bref, j'étais à moitié rassuré, et voilà mon Manu qui me retire le plug et commence à me pilonner jusqu'à jouir très vite.
Ayant remis le plug, j'ai été autorisé à partir. Il m'a encore fallu sortir dans la rue, avec précaution, et rentrer chez moi dans la même tenue. Manu m'avait bien spécifié de ne pas mettre le slip qui était toujours dans la boite à gants. Excité, j'ai bien sûr obéi. Je n'ai pas pu m'empêcher de faire un détour par un lieu de drague où, vu l'heure tardive, il n'y avait plus personne. Je me suis branlé devant la voiture et j'ai giclé sur le parking. Je suis rentré chez moi comme ça. Putain, c'est cool de vivre cul nu !
Lopexhib
woofy@wanadoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Ma vie de lope exhib